Publié par Antidjihad QcCa le 6 juillet 2016

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Je suis de Montréal, originaire de Trois-Rivières. Pourquoi m’intéresser au djihad ? Pour avoir été agressé verbalement moi-même. En 2013 on a menacé de m’égorger parce que j’affichais un petit drapeau d’Israël au coin de mon balcon.

Ce qui m’a le plus frappé est l’âge de mes deux agresseurs : un n’avait pas 12 ans tandis que sa sœur, qui l’accompagnait, n’en était que tout près de 16 ans maximum. Ils étaient tous deux musulmans.

Je compte beaucoup de voisins musulmans sans que je n’ai jamais eu maille à partir avec eux. Ils sont d’un tempérament modéré et n’agressent personne, pour la majorité. En fait, mes voisins sont un mélange de diverses nationalités et religions.

Moi, je suis chrétien non-pratiquant. Ma relation avec Dieu se fait chez moi, dans le quotidien de ma vie et je vais très peu à l’église.

Bref…

Je prenais conscience que des guerres, ça se transporte dans les valises…

N’acceptant pas de me faire menacer par qui que ce soit, je portai donc plainte aux policiers — qui eux — ont prit la menace très sérieusement.

Je n’ai cependant pas voulu me rendre jusqu’à la Cour de justice, car je voulais que les parents de ces enfants prennent la mesure d’une telle menace et réajustent le tir avec leurs progénitures, sans plus.

Était-ce une erreur ? Aujourd’hui je serais porté à dire que oui. Avant, en 2013, non. Je croyais sincèrement que ce n’était qu’un geste isolé provenant de jeunes trop émotifs dont les parents n’avaient pas porté attention aux propos tenus devant eux.

Les enfants étant des éponges, ils absorbent nos émotions et les transportent avec eux dans leurs comportements.

Bref…

Après le départ des policiers, quelques un des petits voisins redébarquèrent au pied de mon balcon pour une intimidation en règle.

Quelle ne fut pas ma surprise de constater l’âge des 7 enfants voulant me mener une guerre des nerfs ! Ils avaient entre 7 et 4 ans. Ca a été mon coup de grâce, la désillusion d’un monde tolérant, et la vision de certains sur le « vivre ensemble ».

En fait, d’entendre de telles paroles sortir de la bouche d’enfants me fit terriblement mal. J’ai beaucoup pleuré. Pour moi, un enfant a cette innocence que nous nous devons de protéger et prioriser au-delà de nos revendications. Je prenais tout à coup conscience que certains de mes voisins et concitoyens n’avaient pas cette gêne que l’on se doit de garder devant nos enfants, les enfants.

Je prenais conscience que des guerres, ça se transporte dans les valises…

Je suis pour une immigration, et offrir ainsi un meilleur avenir à ceux qui en ont la chance. Je suis un privilégié de la vie. J’ai cette chance d’être né au bon endroit au bon moment. Jamais je ne m’en excuserai. Le reconnaître est un bien, s’en excuser est mal s’aimer.

Tendre la main à qui a besoin, à qui la réclame, offrir le gîte, le couvert, une couverture à celui qui a faim ou froid et partager sans toutefois m’oublier — voilà comment on m’a éduqué. J’ai donc œuvré longtemps dans le monde du bénévolat.

Puis j’ai décidé d’aller voir un peu plus le fond des choses sur le pourquoi certains immigrants n’arrivaient toujours pas à s’adapter malgré tous les programmes mis en place par les gouvernements (Fédéral, provincial…)

Ce qui m’emmena à regarder de plus près pourquoi j’avais été menacé d’être égorgé par des enfants.

Une chose en apportant une autre, ma curiosité m’emmena à lire sur le djihad, comment et quand il a débarqué chez nous, au Québec.

Ça fouette ! Je tombais des nues.

Mon Québec, que je croyais encore innocemment en sécurité, était menacé depuis longtemps.

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Aujourd’hui, près de 4 ans plus tard, je combats le djihad à ma façon. Oh, je ne prétends pas détenir la vérité — loin de là ! Je tente de dénoncer les radicaux, islamistes ou non. Je les dénonce d’abord à nos services de renseignements et policiers, puis sur les réseaux sociaux.

Nous sommes des centaines à le faire, sans être payé pour.

Protéger notre ville, notre province, notre pays de ces fous est un devoir de citoyen.

  • On ne doit pas rester les bras croisés devant une menace, on se doit de la dénoncer pour faire exclure de la société le coupable. L’isoler.
  • Le laxisme de nos gouvernements à leur égard, nos lois, n’ont pas été conçues pour prévenir le djihad ni le combattre.

Comment nos aïeux auraient-ils pu imaginer ceci, eux qui étaient occupés à faire de notre pays un des meilleurs endroits où il fait bon vivre ? Nous avons ce devoir d’honorer ce pour quoi ils ont travaillé leur vie durant.

Le Québec, mon Québec, est composé de gens merveilleux — d’ethnies et religions différentes — c’est ce qui en fait une superbe province.

La majorité vit sans faire de vague. La majorité — sauf les islamistes, les fondamentalistes, les radicaux. D’ailleurs ils ne s’adaptent ni ici ni ailleurs.

Aujourd’hui je me pose sérieusement la question : pourquoi ont-ils emménagé ici, au Québec, si c’est pour regretter ce qu’ils ont quitté dans leurs pays respectifs. Je ne suis heureusement pas le seul à avoir cette question qui le turlupine et qui reste sans réponse.

Mais la seule réponse publique est « t’es un islamophobe ».

Nous y voilà donc. Est islamophobe celui ou celle qui pose des questions. Eh ben…. Ok ! J’le suis donc. Ça me va. J’assume sans difficulté.

Durant ce temps, on m’insulte, me menace, mais on ne me répond pas : pourquoi donc êtes-vous venus ici, si c’est pour répéter ce pourquoi vous avez fui votre pays ?

Pourquoi les Asiatiques, Japonais, Chiliens, Italiens, Français, Portugais, Grecs, Juifs, Syriens chrétiens, Yézidis, mexicains, espagnols, irlandais, etc., vivent en paix et harmonie depuis des années au Québec sans faire de vagues, sans trop réclamer d’accommodements raisonnables, et les islamistes n’ont de cesse d’en réclamer ?

Ce n’est pas l’individu qui est déplaisant ou requérant, c’est sa religion et ses exigences. L’islam est un mode de vie qui englobe la vie des individus. L’islam est fait de dérives sectaires, de repli identitaire, ce dont ils nous accusent.

Je suppose que ça leur évite de regarder le problème, et permet de pointer vers tout le monde sauf eux-mêmes. Ça fait moins mal d’accuser les autres de ce dont on souffre.

Nous devenons les hôtes de ceux que nous avons généreusement accueillis, sans arrière pensé, car il n’y avait pas lieu de s’en inquiéter alors, en ces temps-là. Aujourd’hui, nous nous questionnons sur le bien-fondé de cet accueil.

En 2016, nous devrons, en tant que société qui veut vivre un « meilleur vivre ensemble », mieux choisir les migrants qui voudront fouler notre sol.

Nos gouvernements doivent cesser d’en faire entrer, ils doivent prioritiser ceux déjà ici — s’occuper de les localiser dans un emploi pour lequel ils ont étudié. Prévoir des habitations pour ne pas former de ghetto. Nos charmants gouvernements doivent aussi mettre sur pied un ou plusieurs comités mandatés pour vérifier ce qui se dit dans les mosquées. Au risque de déplaire aux fondamentalistes.

Ils doivent expulser les récalcitrants ! Tant qu’ils seront en sol québécois, ils pollueront la vie des autres et feront de plus en plus de victimes. Nous devons prévenir et non guérir. On doit aussi avoir accès à leurs livres comptables, et cesser de les exempter d’impôts et de taxes.

Nos lois ont été faites quand nous vivions sous le dogme chrétien, ce qui n’est plus le cas, et les dérives sont trop grandes.

Un pays hôte doit vivre en paix malgré ses incohérences. Il en va de sa survie. Du mieux vivre ensemble. De notre sécurité.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Antidjihad QcCa pour Dreuz.info.

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