Michel Garroté – L'ascension de l'aile militaire du chavisme au Venezuela scelle le sort de la révolution bolivarienne avec des militaires impliqués dans des activités de corruption et de trafic de stupéfiants, ce qui assombrit les perspectives d'une sortie démocratique du régime de Hugo Chávez. La nomination de l’ex-militaire et actuel député Diosdado Cabello comme président de l'Assemblée Nationale, et du général Henry Rangel Silva comme ministre de la défense, sont des signes qui confirment que le chavisme ne quittera pas le pouvoir.
Diosdado Cabello a été mentionné dans les câbles du Département d'État divulgués par WikiLeaks comme l'un des principaux pôles de la corruption au Venezuela. De son côté, Rangel Silva a été accusé par les États-Unis de participer au trafic de drogue et d’avoir des liens avec les Farc colombiennes et leur trafic de stupéfiants. Diosdado Cabello – un lieutenant à la retraite qui avait participé à la tentative putschiste de Chávez en 1992 – exerce une forte influence sur un nombre important d'officiers de l’armée du Venezuela.
Après ce “coup” anti-libertés, faudra suivre avec attention l’ABSENCE de hurlements de nos gauches tant connues pour leur goût à dénoncer les abus militaro-politiques… ailleurs dans le monde!
Pas d’émotions : sur ce coup-ci, ils vont fermer leur gueule!
Parierez-vous avec moi que le nouveau promu est d’origine …indienne?
Chavez fait clairement du racisme gringo, pour tout dire, du racisme anti-blanc (anti-occidental). En première ligne de sa détestation : USA et Israël bien sûr.
VIVE HUGO son charisme et son courage ne font que prendre de l’ampleur.
viva la revolucion bolivariana !