Publié par Jean-Patrick Grumberg le 27 juillet 2016

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Les propos des auteurs classiques prouvent que les terroristes agissent – sans le plus petit droit au doute – au nom de l’islam.

A lire les classiques, les attentats ne sont pas nouveaux, la barbarie de l’islam n’est pas nouvelle, et entre Obama, Cazeneuve ou Valls qui déclarent que “l’islam ce n’est pas cela”, et les grands auteurs, il me semble plus raisonnable de faire confiance à Bossuet, Voltaire, Hegel, Tocqueville, Gide, Malraux, de Gaulle…

Nous déclarons aujourd’hui ce que les grands constataient jadis. Pourtant il ne viendrait à l’idée de personne de les accuser d’être d’extrême droite n’est-ce pas ?

Et si l’islam conquérant et violent n’est pas apparu avec l’Etat islamique, “l’occupation israélienne” et le désespoir d’une certaine jeunesse, il ne disparaîtra pas avec l’anéantissement du premier, le retrait du second, et le plein emploi des derniers.

Enfin, si les grands auteurs décrivaient l’islam comme la religion de la guerre et de la terreur, quand donc a-t-elle été la religion de la paix ?

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Heinrich Himmler – Reichführer SS (1900-1945) :

« Je n’ai rien contre l’Islam, parce que cette religion se charge elle-même d’instruire les hommes, en leur promettant le ciel s’ils combattent avec courage et se font tuer sur le champ de bataille: bref, c’est une religion très pratique et séduisante pour un soldat. »

Le grand Mufti de Jérusalem en 1943 :

« Les nazis sont les meilleurs amis de l’islam. »

Carl-Gustav Jung (1875-1961) :

“La religion d’Hitler est la plus proche qui soit de l’islamisme, réaliste, terrestre, promettant le maximum de récompenses dans cette vie, mais avec ce Walhalla façon musulmane avec lequel les Allemands méritoires peuvent entrer et continuer à goûter le plaisir. Comme l’islamisme, elle prêche la vertu de l’épée.”

Hermann von Keyserling (1880-1946) :

« Je fus impressionné par la parenté du national-socialisme avec l’islam et cette impression n’a fait que se préciser et s’affermir depuis. »

Montaigne (1533-1592) :

« […] quand Mahomet promet aux siens un paradis tapissé, paré d’or et de pierrerie, peuplé de garçes d’excellente beauté, de vins et de vivres singuliers, je vois bien que ce sont des moqueurs qui se plient à notre bêtise pour nous emmiéler et attirer par ces opinons et espérances, convenables à notre mortel appétit. » (Essais, II, xii, page 518)

Bossuet (1627-1704) :

« L’islam! Cette religion monstrueuse a pour toute raison son ignorance, pour toute persuasion sa violence et sa tyrannie, pour tout miracle ses armes, qui font trembler le monde et rétablissent par force l’empire de Satan dans tout l’univers. »

Montesquieu (1689-1755) :

“C’est un malheur pour la nature humaine, lorsque la religion est donnée par un conquérant. La religion mahométane, qui ne parle que de glaive, agit encore sur les hommes avec cet esprit destructeur qui l’a fondée.”

“La religion des Guèbres (Zoroastriens) rendit autrefois le royaume de Perse florissant ; elle corrigea les mauvais effets du despotisme : la religion mahométane détruit aujourd’hui ce même empire.”

« Pendant que les princes mahométans donnent sans cesse la mort ou la reçoivent, la religion, chez les chrétiens, rend les princes moins timides, et par conséquent moins cruels. […] Sur le caractère de la religion chrétienne et celui de la mahométane, on doit, sans autre examen, embrasser l’une et rejeter l’autre : car il nous est bien plus évident qu’une religion doit adoucir les mœurs des hommes, qu’il ne l’est qu’une religion soit vraie. C’est un malheur pour la nature humaine, lorsque la religion est donnée par un conquérant. La religion mahométane, qui ne parle que de glaive, agit encore sur les hommes avec cet esprit destructeur qui l’a fondée. […] La religion des Guèbres rendit autrefois le royaume de Perse florissant ; elle corrigea les mauvais effets du despotisme : la religion mahométane détruit aujourd’hui ce même empire. »
De l’Esprit des lois, 1748, livre XXIV, chapitres 3, 4 et 11.

Voltaire (1694-1778) :

“Mahomet le fanatique, le cruel, le fourbe, et, à la honte des hommes, le grand, qui de garçon marchand devient prophète, législateur et monarque.”

“Il est à croire que Mahomet, comme tous les enthousiastes, violemment frappé de ses idées, les débita d’abord de bonne foi, les fortifia par des rêveries, se trompa lui-même en trompant les autres, et appuya enfin, par des fourberies nécessaires, une doctrine qu’il croyait bonne.”

Claude Adrien Helvétius (1715-1771) :

“Mahomet, simple courtier d’Arabie, sans lettres, sans éducation, et dupe lui-même en partie du fanatisme qu’il inspirait, avait été forcé, pour composer le médiocre et ridicule ouvrage nommé al-koran, d’avoir recours à quelques moines grecs. Or, comment, dans un tel homme, ne pas reconnaître l’ouvrage du hasard qui le place dans le temps et les circonstances où devait s’opérer la révolution à laquelle cet homme hardi ne fit guère que prêter son nom ?”

D’Alembert (1717-1783) :

“Les imams et les muphtis de toutes les sectes me paraissent plus faits qu’on ne croit pour s’entendre; leur but commun est de subjuguer, par la superstition, la pauvre espèce humaine.”

Condorcet (1743-1794) :

« La religion de Mahomet, la plus simple dans ses dogmes, (…) semble condamner à un esclavage éternel, à une incurable stupidité, toute cette vaste portion de la terre où elle a étendu son empire »

Chateaubriand (1768-1848) :

« Tous les germes de la destruction sociale sont dans la religion de Mahomet. »

Georg Wilhelm Friedrich Hegel (1770-1831) :

“Le plus grand mérite pourtant est de mourir pour la foi, et celui qui meurt pour elle en bataille, est sûr d’entrer au paradis.”

Arthur Schopenhauer (1788 -1860) :

« Le Coran, ce méchant livre, a suffi pour fonder une grande religion, satisfaire pendant 1200 ans le besoin métaphysique de plusieurs millions d’hommes ; il a donné un fondement à leur morale, leur a inspiré un singulier mépris de la mort et un enthousiasme capable d’affronter des guerres sanglantes, et d’entreprendre les plus vastes conquêtes. Or nous y trouvons la plus triste et la plus pauvre forme du théisme.(.) je n’ai pu y découvrir une seule idée un peu profonde. »

Alfred de Vigny (1797-1863) :

« Si l’on préfère la vie à la mort on doit préférer la civilisation à la barbarie. L’islamisme est le culte le plus immobile et le plus obstiné, il faut bien que les peuples qui le professent périssent s’ils ne changent de culte. »

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Alexis de Tocqueville (1805-1859) :

« L’islam, c’est la polygamie, la séquestration des femmes, l’absence de toute vie publique, un gouvernement tyrannique et ombrageux qui force de cacher sa vie et rejette toutes les affections du cour du côté de l’intérieur de la famille. »

« J’ai beaucoup étudié le Coran (…) Je vous avoue que je suis sorti de cette étude avec la conviction qu’il y avait eu dans le monde, à tout prendre, peu de religions aussi funestes aux hommes que celle de Mahomet. Elle est, à mon sens, la principale cause de la décadence aujourd’hui si visible du monde musulman (…) je la regarde comme une décadence plutôt que comme un progrès. »

« Celui qui prétend être le prophète d’Allah devrait avoir des lettres de créances, c’est-à-dire la prophétie, les miracles et l’intégrité de l’ensemble de sa vie. Rien de tout cela ne se trouve chez Mahomet, cet homme de pillage et de sang qui prêche sa doctrine à coup de cimeterre, en promenant la mort sur un tiers du globe alors connu. »
(Monseigneur Louis Pavy – Évêque d’Alger / 1805-1866)

“Je demande, au nom de l’humanité, à ce qu’on broie la Pierre-Noire, pour en jeter les cendres au vent, à ce qu’on détruise la Mecque, et que l’on souille la tombe de Mahomet. Ce serait le moyen de démoraliser le Fanatisme.”
(Gustave Flaubert / 1821-1880)

« L’islam est contraire à l’esprit scientifique, hostile au progrès ; il a fait des pays qu’il a conquis un champ fermé à la culture rationnelle de l’esprit. »
(Joseph Ernest Renan / 1823-1892)

“Mahomet nous apparaît comme un homme doux, sensible, fidèle, exempt de haine (…) Rien de moins ressemblant à cet ambitieux machiavélique et sans cour.”
(Joseph Ernest Renan / 1823-1892)

“Toute sa conduite dément le caractère entreprenant, audacieux, qu’on est convenu de lui attribuer. Il se montre habituellement faible, irrésolu, peu sûr de lui-même. M. Weil va jusqu’à le traiter de poltron ; il est certain qu’en général il avançait timidement et résistait presque toujours à l’entraînement de ceux qui l’accompagnaient. Ses précautions dans les batailles étaient peu dignes d’un prophète.”
(Joseph Ernest Renan / 1823-1892)

“Le plus mauvais état social, à ce point de vue, c’est l’état théocratique, comme l’islamisme et l’ancien Etat pontifical, où le dogme règne directement d’une manière absolue.”
(Joseph Ernest Renan / 1823-1892)

“L’islamisme ne peut exister que comme religion officielle; quand on le réduira à l’état de religion libre et individuelle, il périra. L’islamisme n’est pas seulement une religion d’État, (…) c’est la religion excluant l’État…”
(Joseph Ernest Renan / 1823-1892)

“Là est la guerre éternelle, la guerre qui ne cessera que quand le dernier fils d’Ismaël sera mort de misère ou aura été relégué par la terreur au fond du désert. L’Islam est la plus complète négation de l’Europe; l’Islam est le fanatisme”
(Joseph Ernest Renan / 1823-1892)

“L’Islam est le dédain de la science, la suppression de la société civile; c’est l’épouvantable simplicité de l’esprit sémitique, rétrécissant le cerveau humain, le fermant à toute idée délicate, à tout sentiment fin, à toute recherche rationnelle, pour le mettre en face d’une éternelle tautologie : Dieu est Dieu…”
(Joseph Ernest Renan / 1823-1892)

“Du fond de son tombeau, l’ombre du prophète règne en souveraine sur ces millions de croyants qui peuplent l’Afrique et l’Asie, du Maroc jusqu’à la Chine, de la Méditerranée à l’Equateur.”
(Gustave Le Bon / 1841-1931)

“Des musulmans peuvent-ils être vraiment Français ? (…) d’une manière générale, non (…) Dans cette foi le musulman regarde l’islam comme sa vraie patrie et les peuples non-musulmans comme destinés à être tôt ou tard subjugués par lui musulman ou ses descendants ; s’il est soumis à une nation non-musulmane, c’est une épreuve passagère ; sa foi l’assure qu’il en sortira et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti ; la sagesse l’engage à subir avec calme son épreuve.”
(Charles de Foucauld / 1858-1916)

“C’est au nom de Dieu qu’on se battra. Et comment en serait-il autrement, du moment que chaque religion prétend au monopole de la vérité révélée ? C’est ainsi que les religions, chacune prétendant unir tous les hommes, les divisent. Chacune prétend être la seule à posséder la Vérité. La raison est commune à tous les hommes, et s’oppose à la religion, aux religions.”
(André Gide / 1869-1951)

« L’influence de cette religion paralyse le développement social de ses fidèles (…) Il n’existe pas de plus puissante force rétrograde dans le monde (…) Si la Chrétienté n’était protégée par les bras puissants de la Science, la civilisation de l’Europe moderne pourrait tomber, comme tomba celle de la Rome antique. »
(Winston Churchill / 1874-1965)

“Mais pourquoi nos femmes s’affublent-elles encore d’un voile pour se masquer le visage, et se détournent-elles à la vue d’un homme ? Cela est-il digne d’un peuple civilisé ? Camarades, nos femmes ne sont-elles pas des êtres humains, doués de raison comme nous ? Qu’elles montrent leur face sans crainte, et que leurs yeux n’aient pas peur de regarder le monde ! Une nation avide de progrès ne saurait ignorer la moitié de son peuple !”
(Mustapha Kémal Atatürk / Premier président de la république turque 1881-1938)

“Vous venez me parler des avantages que nous a valu notre conversion à l’Islam, et moi je vous dis : regardez ce qu’elle nous a coutée !”
(Mustapha Kémal Atatürk / Premier président de la république turque 1881-1938)

“L’islam, cette théologie absurde d’un bédouin immoral, est un cadavre putréfié qui empoisonne nos vies.”
(Mustapha Kémal Atatürk / Premier président de la république turque 1881-1938)

“Les musulmans ne sont pas français, ceux qui prônent l’intégration, ont une cervelle de colibri.”
(Charles de Gaulle / 1890-1970)

“Les tentatives pour islamiser les pays occidentaux ne doivent pas être dissimulées. La menace que cela fait peser sur l’identité de l’Europe ne devrait pas être ignorée sous prétexte de respect mal placé.”
(Gänswein George / secrétaire particulier de Benoit XVI)

“Des millions d’hommes quitterons l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Ils n’iront pas en tant qu’amis. Ils iront pour le conquérir, et ils le feront en le peuplant avec leurs fils. C’est le ventre fécond de nos femmes qui nous donnera la victoire.”
(Houari Boumedienne – Conférence islamique de 1974)

“Les mosquées sont nos casernes, les coupoles nos casques, les minarets nos baïonnettes et les croyants nos soldats.”
(Erdogan – Premier Ministre de Turquie)

“C’est le grand phénomène de notre époque que la violence de la poussée islamique. Sousestimée par la plupart de nos contemporains, cette montée de l’islam est analogiquement comparable aux débuts du communisme du temps de Lénine.

Les conséquences de ce phénomène sont encore imprévisibles. A l’origine de la révolution marxiste, on croyait pouvoir endiguer le courant par des solutions partielles. Ni le christianisme, ni les organisations patronales ou ouvrières n’ont trouvé la réponse. De même aujourd’hui, le monde occidental ne semble guère préparé à affronter le problème de l’islam.

En théorie, la solution paraît d’ailleurs extrêmement difficile. Peut-être serait-elle possible en pratique si, pour nous borner à l’aspect français de la question, celle-ci était pensée et appliquée par un véritable homme d’Etat.

Les données actuelles du problème portent à croire que des formes variées de dictature musulmane vont s’établir successivement à travers le monde arabe. Quand je dis «musulmane» je pense moins aux structures religieuses qu’aux structures temporelles découlant de la doctrine de Mahomet.

Peut-être des solutions partielles auraient-elles suffi à endiguer le courant de l’islam, si elles avaient été appliquées à temps. Actuellement, il est trop tard ! Les «misérables» ont d’ailleurs peu à perdre. Ils préféreront conserver leur misère à l’intérieur d’une communauté musulmane. Leur sort sans doute restera inchangé. Nous avons d’eux une conception trop occidentale.

Aux bienfaits que nous prétendons pouvoir leur apporter, ils préféreront l’avenir de leur race.

L’Afrique noire ne restera pas longtemps insensible à ce processus. Tout ce que nous pouvons faire, c’est prendre conscience de la gravité du phénomène et tenter d’en retarder l’évolution. »

André Malraux, 3 juin 1956.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

Source (merci HALLALI) : http://atheisme.free.fr/Contributions/Citations_islam.htm

Première publication, 25 juin 2013.

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