« La nationalité algérienne exclusive est exigée pour l’accès aux hautes responsabilités de l’Etat et aux fonctions publiques »
Ce 26 juillet 2016, le Conseil des ministres Algérien a voté le projet de loi permettant l’application de l’article 63 de la nouvelle constitution concernant tous les postes à responsabilités qu’ils soient civils ou militaires.
La nationalité algérienne exclusive est dorénavant exigée pour les postes de présidents des deux chambres du parlement et du Conseil constitutionnel, de Premier ministre, de membre du gouvernement, de président de la Cour suprême et du conseil d’état, de gouverneur de la banque d’Algérie, de responsable des organes de sécurité ainsi que du président de la haute instance indépendante chargée des élections.
Il en est de même en ce qui concerne les militaires, toutes les principales fonctions au sein de l’Armée nationale populaire, ainsi que tous les postes de haute responsabilité militaire.
Tous les candidats à ces responsabilités, civiles et militaires, devront produire une déclaration sur l’honneur de nationalité algérienne exclusive.
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Bien entendu, les représentants de la communauté algérienne à l’étranger, pratiquement tous des bi-nationaux, ont dénoncé une « ségrégation ». Ils sont particulièrement nombreux en France et la porte de l’Algérie leur est, à présent, fermée.
Imaginons une seule seconde qu’une telle loi constitutionnelle soit appliquée en France, non seulement elle soulèverait un tollé général, mais elle obligerait un remaniement ministériel ainsi qu’un remplacement à tous les niveaux de hautes responsabilités civiles et militaires.
Il est vrai que l’Algérie a payé, il y a quelques décennies, un très lourd tribut au terrorisme islamiste : des dizaines de milliers de morts.
En France nous sommes encore loin du compte, et nos gouvernants ont le temps d’y réfléchir.
En conclusion : un conseil à tous ces Algériens bi-nationaux, désormais sans emploi dans leur pays, des postes leur sont largement ouverts sur notre sol. Une chance de plus pour la France…
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Manuel Gomez pour Dreuz.info.
Ils ont bien raison.
Ils éliminent déjà un risque de trahison
Mais eux, ils ont des frontières
…et des cerveaux !
Prend exemple Hollande !!!!!!
Pas d accord avec DREUZ. L’Algérie montre la voie et nous ne devrions pas pouvoir nommer ministre des bi nationaux.
Il me semble évident que M. Gomez fait de l’ironie quand il invite les Algériens bi-nationaux à postuler en France…
Je suis bien d’accord. À mon avis, cela permet de prévenir beaucoup de dégâts à court, moyen et long terme.
Pas cons le gouvernement algérien;
Forcément: « comme on connait ses saints on les honore ! »
On devrait bien en prendre de la graine.
et surtout ça leur évite de reprendre chez eux toute la racaille qui a fuit l’Algérie pour venir en France bénéficier de tous les avantages qu’on leur offre, le gouvernement algérien sait très bien que ce ne sont pas des lumières et qu’il vaut mieux les laisser à la France
on ce moque d’eux, pourtant ils sont plus perspicace que notre bande de cons ,pas de bis nationaux au gouvernement pas de musulman pas de sectes ,et pas de menteurs et que des gens qui aime la France ,pour les deux dernier tu rêve