Publié par Jean-Patrick Grumberg le 29 juillet 2016

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Une jeune femme emplie de haine, Julie Le Goïc, gauchiste et idiote, défenseur de l’islam qui lui mettra le voile, fielleuse envers la culture judéo-chrétienne qui lui a apporté sa liberté d’expression et la démocratie, n’a pas pu s’empêcher, en bonne nihiliste, d’insulter le prêtre égorgé par deux islamistes.

On la voit assise à côté de Daniel Cohn Bendit, « l’expert en petits garçons et petites filles » qui lui a sans doute soufflé son tweet :

« Du coup, le prêtre mort en martyr, il a le droit à 70 enfants de chœur au Paradis ? »

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Non seulement ce qu’écrit la perverse est infâme, mais ce qu’elle ne dit pas l’est plus encore : c’est la haine derrière le sourire hypocrite, la haine vivace envers ceux que leurs cerveaux incapables de nuance aiment appeler extrême droite, cette haine aux lèvres qui habite ceux-là mêmes qui dénoncent la haine, le dégoût pour la diversité de pensée de ceux qui disent vouloir défendre la diversité.

Seulement voilà que la pigiste est l’objet de menaces physiques.

Et c’est là que je tire l’alarme et trace une ligne rouge. Les insultes, oui, bien entendu, elle les vaut bien puisqu’elle a insulté — avec ce qu’elle appelle craneuse de l’humour (si elle avait de l’humour, elle aurait écrit que Clément Méric, qui a perdu la vie dans une rixe de fascistes contre fascistes, avait une tête à claques)

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Mais les menaces de violences, de mort, de coups, non, sous aucun prétexte. Ni je ne cautionne, ni je n’excuse, ni j’accepte, tolère et supporte.

Des propos comme « on sait ou tu travaille, une bouteille d essence et un briquet, c est rapide…. Tu ne sera plus sereine » m’inspirent un immense dégoût pour la vermine qui les a tenus. Dans la vilenie, quelqu’un dit « peut on aller lui crever sa voiture ou jetter des pierres sur sa fille », et j’en passe.

Cette Julie Le Goïc est la première à justifier les coups de couteau de Palestiniens « désespérés » contre des petites filles dans leur sommeil à qui ils volent la vie. La première à légitimer les violences des antifas, ces fascistes qui se font appeler antifascistes. Elle voue une adoration d’idolâtre aux bourreaux qui ont tué 100 millions d’insubordonnés sous le communisme, et c’est tout ce qui fait la différence avec moi.

Elle appartient à l’engeance qu’elle excuse. Rien de plus épais qu’une feuille de papier à cigarette ne la sépare des bolchéviques, des islamistes, des terroristes palestiniens et des nazis, elle est de leur clan. Moi pas.

Je ne soutiens donc pas, je ne peux soutenir, ceux qui lui ressemblent et trouvent comment justifier le sort qu’ils lui réservent. Car il n’est qu’une seule violence, quel que soit son habillage. Attaquer l’ennemi, l’anéantir, le neutraliser, le tuer avant qu’il ne vous atteigne, voilà la violence saine et indispensable, car elle protéger la vie qu’il ôtera si l’on ne fait rien. Mais la violence pour des idées ? C’est faire partie du camp bolchévique, islamiste, terroriste palestinien et nazi, son clan.

L’infâme idiote avec son tweet de championne, elle ne menace physiquement personne. Personne ne peut justifier physiquement la toucher. L’insulter, l’humilier, oui mille fois, car il est évident qu’elle n’est pas capable d’accéder au dialogue. La toucher jamais. C’est si difficile à comprendre ?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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