Dans l’émotion des tensions raciales aux États-Unis après les récentes manifestations du mouvement Black Lives Matter (« les vies noires comptent ») et le drame de Dallas, un officier de police noir, Jay Stalien, a rédigé sur sa page Facebook une lettre ouverte qui a été partagée par 80 000 personnes en trois jours. En voici la traduction littérale. (Il existe déjà une traduction maladroite en français de ce texte à la suite de son post, mais ce cri du cœur méritait un meilleur traitement.)
Jay Stalien – 9 juillet 2016
Enfant, en regardant par la fenêtre, je voyais des Afro-américains se tirer dessus
Je commence à réaliser quelque chose que j’ai encore du mal à comprendre aujourd’hui.
Ce qui suit, venant d’un Afro-américain, pourra en scandaliser plus d’un, mais le simple fait que cela puisse choquer certains est la preuve flagrante du triste état de choses dans lequel nous nous trouvons, en tant qu’êtres humains.
J’étais tellement déchiré à l’intérieur, quand j’étais petit.
Me voilà, jeune Afro-américain né et élevé à Brooklyn, New York, qui rêvait d’être policier. Je vivais en plein dans cette criminalité des quartiers sensibles et je l’observais. Mon propre peuple noir où on se tuait les uns les autres pour un rien. Je devais me frayer un chemin entre des types bourrés de crack et d’héroïne, affalés par terre dans le hall de mon immeuble, pour rentrer dans notre appartement d’une seule pièce, où nous vivions à six. J’étais souvent réveillé au milieu de la nuit par des coups de feu. En regardant par la fenêtre, je voyais deux Afro-américains se tirer dessus.
Je n’ai jamais pu m’y faire.
Je voulais aider ma communauté et ne plus voir le sang d’Afro-américains répandu dans les rues par la faute d’un autre Noir. Je suis devenu policier parce que la vie des Noirs de ma communauté comptait pour moi, comme TOUTES les autres vies, et je voulais contribuer à faire cesser ce bain de sang.
Avec le temps, dans mon métier d’agent des forces de l’ordre, j’ai commencé à réaliser quelque chose.
- Je me souviens des innombrables fois où je me suis trouvé à cinq centimètres d’un jeune Noir d’à peu près mon âge, gisant sur le dos, suffoquant, cherchant de l’air alors que ses poumons se remplissaient de sang. Je me souviens qu’ils saignaient énormément, et je ne pourrais jamais oublier l’odeur, dans l’air, du sang rouge sombre privé d’oxygène qui s’écoulait des blessures de l’un d’entre eux, sur le trottoir brûlant, par un jour d’été.
- Je me souviens des innombrables membres de leurs familles qui m’attaquaient, me crachaient dessus, me maudissaient, alors que j’installais les cordons jaunes pour isoler les scènes de crime, et de ceux qui criaient et hurlaient de douleur et de colère en voyant leurs êtres chers rendre leur dernier souffle. Je n’ai jamais pris cela comme des attaques personnelles, je savais qu’ils souffraient.
- Je me souviens des innombrables fois où j’ai dû commander de nouveaux uniformes, parce que ceux que je portais étaient tachés du sang d’une nouvelle victime noire, d’un meurtrier noir.
- Je me souviens des innombrables fois où je suis remonté dans ma voiture de patrouille, bouleversé d’avoir vu un Noir de plus mourir sous mes yeux, pour rédiger un rapport préliminaire qui commençait comme ça :
Suspect – Noir/sexe masculin, Victime – Noir/sexe masculin
- Je me souviens des innombrables fois où j’ai enquêté aux alentours, en demandant à tout le monde, « avez-vous vu qui a fait ça ? », et la réponse usuelle, même des membres des familles concernées, était toujours « j’encule la police, je suis pas une balance, je m’occuperai de ça moi-même ». Cela arrivait chaque fois, pour chaque meurtre entre Noirs, et là j’ai commencé à comprendre un peu mieux les choses.
J’étais une cible dans la communauté que j’avais juré de protéger, que je voulais aider
En me levant chaque matin, je mettais mon uniforme bien repassé, j’astiquais mon badge, je vérifiais mon arme, j’embrassais ma femme et mon fils, et j’attendais que ma femme me dise ce qu’elle me disait toujours avant que je m’en aille : « Sois bien sûr de rentrer à la maison ».
Je lui répondais toujours « bien sûr », mais pour dire le vrai, je n’en étais jamais sûr.
J’ai presque perdu la vie à faire ce travail, et chaque appel, chaque arrêt, chaque jour où je portais cet uniforme, était pour moi une nouvelle possibilité de quasiment perdre la vie.
J’étais une cible dans la communauté même que j’avais juré de protéger, la communauté même que je voulais aider. En fait, ils haïssaient jusqu’à ma simple présence. Ils m’appelaient « oncle Tom » et « aspirant blanc », et je ne comprenais pas pourquoi.
Les membres de ma propre communauté, hommes et femmes, m’attaquaient, souhaitaient ma mort, souhaitaient la mort de ma famille. J’étais si perdu, si déchiré, je ne comprenais pas pourquoi les membres de ma propre communauté se retournaient contre moi, alors que,
- chaque fois qu’ils appelaient… j’étais là.
- Chaque fois que quelqu’un mourait… j’étais là.
- Chaque fois qu’ils traversaient l’un des pires moments de leur vie… j’étais là.
Alors pourquoi étais-je l’ennemi ? Je me suis plongé dans cette question… Pourquoi étais-je l’ennemi ? Et alors j’ai compris.
J’ai parlé à certains membres de la communauté et j’ai écouté les raisons pour lesquelles ils haïssaient les flics. Puis j’ai recherché les faits. J’ai aussi présenté ces faits à ces membres de la communauté et je les ai écoutés se plaindre en réponse.
Voici ce que j’ai appris
Le nombre des citoyens américains tués par la police cette année est de 238 Blancs, 123 Noirs, 79 Hispaniques, et les Noirs tuent plus de Noirs que ne le fait la police
Accusation : « La police nous vise sans arrêt, ils ne font que s’en prendre aux Noirs ».
Réalité : Dans une ville où la majorité des citoyens sont noirs (comme Baltimore par exemple)… il y aura TOUJOURS un plus fort taux d’arrestation chez les Noirs, il y aura TOUJOURS plus de Noirs à être interpellés, et il y aura TOUJOURS un plus fort taux de Noirs qui se feront tuer, et la raison en est qu’une ville ayant ces caractéristiques aura TOUJOURS un plus fort taux de Noirs à commettre des crimes.
Ces statistiques suivront la même tendance pour les Asiatiques en Chine, pour les Hispaniques à Porto-Rico, pour les Blancs en Russie, et ainsi de suite. Ça s’appelle la démographie.
Ne ratez aucun des articles de Dreuz, inscrivez-vous gratuitement à notre Newsletter.
Accusation : « Il y a plus de Noirs à être arrêtés que de Blancs ».
Réalité : Les Noirs commettent des crimes en nombre largement disproportionné.
Les données du FBI montrent qu’à l’échelle de la nation, les Noirs ont commis 5 173 homicides en 2014 [alors qu’ils ne représentent que 12.6% de la population totale], les Blancs en ont commis 4 367.
Le nombre de meurtres à Chicago est presque égal à celui des deux guerres d’Irak et d’Afghanistan combinées : le nombre des morts à Chicago, pour la période 2001-2015, s’élève à 7 401 ; le nombre total des décès au cours des opérations « Iraqi Freedom » (2003-2015 : 4 815) et « Enduring Freedom/Afghanistan » (2001-2015 : 3 506) se monte à 8 321.
Accusation : « Les Noirs sont les seuls à être tués par des policiers, ou ils sont plus souvent tués ».
En moyenne, 4 472 hommes noirs sont tués par d’autres hommes noirs chaque année, contre 112 dans des fusillades – justifiées ou injustifiées – impliquant la police
Réalité : En juillet 2016, le décompte des citoyens américains tués par la police cette année est de 238 Blancs, 123 Noirs, 79 Hispaniques, 69 Autres/non spécifié.
Réalité : Les Noirs tuent davantage d’autres Noirs que ne le fait la police, mais on ne proteste ou on ne s’indigne que lorsqu’un policier tue un Noir.
Le docteur Richard R. Johnson, criminologue à l’Université de Toledo (Ohio), a analysé les données du FBI les plus récentes concernant la criminalité (provenant des Supplementary Homicide Reports et des Centres for Disease Control) et a découvert qu’en moyenne, par an, 4 472 hommes noirs ont été tués par d’autres hommes noirs entre le 1er janvier 2009 et le 31 décembre 2012. Les recherches du professeur Johnson concluaient en outre que 112 hommes noirs, en moyenne, par an, sont morts dans des fusillades justifiées ou injustifiées impliquant la police au cours de la même période.
Accusation : « Nous sommes déjà assez doués pour nous entretuer, nous n’avons pas besoin des policiers pour ça. Ils devraient le savoir ».
Plus je les écoutais, plus je réalisais. Plus je me documentais, plus je réalisais.
Je posais des questions, mais je n’obtenais que des réponses émotionnelles et des inférences qui ne reposaient sur aucun fait.
Plus je constatais de meurtres, plus je voyais de tragédies, de sauvagerie, de violence, de vies de Noirs perdues par la faute d’autres Noir… plus je comprenais.
Toutes mes réalisations m’ont amené à cette conclusion : les vies noires ne comptent pas pour la plupart des Noirs
J’ai mal dormi toutes ces dernières nuits.
Je suis abattu de chagrin, la colère bat dans mes veines et j’ai des larmes plein les yeux.
J’ai vu mes collègues policiers se faire assassiner en direct, et les images de leur corps gisant sur le sol resteront gravées à jamais dans ma tête. Je n’ai pas pu m’empêcher de me demander : et si ç’avait été moi, un Noir, un policier noir, à la télé, assassiné, allongé mort sur le sol… Mes amis et ma famille penseraient-ils encore que les vies noires comptent ? Ma vie aurait-elle compté ? Est-ce qu’ils auraient imprimé des T-shirts en souvenir de moi ? Est-ce qu’ils seraient passés à la télé pour protester contre la violence ? Est-ce qu’ils auraient même posté quelque chose sur Facebook, ou même évoqué ma mort ?
Toutes mes réalisations m’ont amené à cette conclusion : les vies noires ne comptent pas pour la plupart des Noirs.
- Les seules vies qui comptent pour eux sont celles qui font les gros titres des informations nationales.
- Les seules vies qui comptent pour eux sont celles qui ont été enlevées par des policiers ou par des Blancs.
Les milliers d’autres vies perdues, les autres âmes de Noirs que j’ai vues, comme tous les policiers, enlevées par la faute d’autres Noirs, ne comptent pas.
Leur mort passe inaperçue. Toutes ces morts sont admises comme la « norme », et balayées sous le tapis par ceux-là même qui proclament et affichent partout que « les vies noires comptent ».
J’ai réalisé que ce pays est plein d’ignorance
⇒ Des gens, même instruits, regardent les émissions d’information qui ne visent que l’audimat, ils regardent une ou deux vidéos sur YouTube, et ils en arrivent à la conclusion qu’ils savent tout ce qu’il y a à savoir, pour éprouver “ce que ça fait” que d’avoir un gilet pare-balles dans son équipement de travail, ce que ça fait d’avoir « rester en vie » sur la liste des choses à faire dans une journée, et “ce que ça fait” de devoir prendre une assurance vie à cause du fort taux de mortalité dans notre métier.
Ils regardent une ou deux vidéos et instantanément, en 2 minutes 35 secondes, ils sont capable de nous dire comment on doit se comporter dans un affrontement violent – ce qui nous a pris six mois d’entraînement à l’Académie de Police, deux ou trois mois de formation sur le terrain, et de nombreuses années de sang, de sueur et de larmes, et d’os brisés à gérer des affrontements et à apprendre à maîtriser les directives d’usage progressif de la force.
⇒ J’ai réalisé qu’il y a même des flics, des POLICIERS, qui ont prêté le serment des forces de l’ordre, qui sont censés être aptes à enquêter, qui vont s’exprimer publiquement dans les médias et traiter les autres policiers blancs de racistes, de Ku Klux Klan, après avoir regardé une vidéo enregistrée à des milliers de kilomètres, filmée après les faits, pour parler d’un cas dont les détails ne sont même pas encore connus et pour lequel l’enquête n’a même pas encore commencé.
⇒ J’ai réalisé que la plupart des membres de la communauté afro-américaine se refusent à envisager de résoudre le gros problème auquel je suis confronté tous les jours, celui de la criminalité entre Noirs, qui prend des centaines de vies innocentes tous les ans, mais qu’au lieu de cela, ils valorisent par dessus tout la vie d’un délinquant sexuel et d’un criminel déjà condamné. [NDLR : qui était en train de commettre plusieurs délits graves : il possédait illégalement une arme à feu, la brandissait et en menaçait un sans-abri, a résisté aux officiers de police qui ont d’abord tenté de l’arrêter avec des tasers, et n’était plus maître de lui-même. On peut clairement le voir dans l’une des vidéos lever son épaule droite et l’abaisser du côté droit de son corps, là où se trouvait l’arme qui a été récupérée].
⇒ Ils se soucient plus de ce criminel que des policiers innocents qui ont été assassinés à Dallas alors qu’ils protégeaient des gens qui les haïssaient.
J’ai réalisé qu’ils se refusent à croire que,
- la plupart des policiers reconnaissent qu’il existe de mauvais flics à qui on n’aurait jamais dû donner un badge et une arme, des poules mouillées, faciles à impressionner, qui n’ont jamais travaillé dans les quartiers difficiles et qui tireraient sur un cafard s’il rampait trop vite dans leur direction.
- la plupart des policiers redoutent d’avoir à tirer sur quelqu’un et qu’ils n’ont jamais vu par quels tourments et quelles angoisses passent les policiers qui ont dû tuer quelqu’un pour sauver leur propre vie.
- Ils croient au contraire que nous sommes tous des tueurs assoiffés de sang, parce que c’est ce que les médias leur ont affirmé, même si les statistiques disent l’inverse.
⇒ J’ai réalisé qu’ils ont vraiment l’impression que la mort de ces policiers fera admettre à la population le récit fallacieux entretenu par Black Lives Matter, alors que cela ne fait que faire reculer leur mouvement, qui est qualifié d’organisation terroriste.
⇒ J’ai réalisé que certains de ces gens qui disent que « les vies noires comptent », sont remplis de haine et de racisme.
- De haine de la police, à cause de ce mensonge qui veut que les Noirs soient davantage visés et tués.
- De racisme envers les Blancs, pour une tragédie qui a commencé il y a des centaines d’années, alors que les Blancs d’aujourd’hui n’étaient pas nés.
⇒ J’ai réalisé que pour certains membres de la communauté afro-américaine, l’idée de « justice » se résume à poursuivre CHAQUE policier ou CHAQUE Blanc ayant tué ou étant soupçonné d’avoir tué un Noir, quelles que soient les circonstances.
⇒ J’ai réalisé que la communauté afro-américaine refuse de regarder en son sein pour résoudre ses plus gros problèmes, mais se trouve des excuses et cherche des solutions à l’extérieur.
⇒ J’ai réalisé que beaucoup de gens, dans la communauté afro-américaine, sont menés par la haine et non par l’amour. Par la division et non par l’unité. Par l’agitation et les émeutes et non par la paix.
⇒ J’ai réalisé qu’ils sont devenus ce qu’ils clament vouloir combattre.
⇒ J’ai réalisé que les raisons pour lesquelles je suis devenu policier sont exactement les raisons pour lesquelles mon propre peuple me hait.
Et maintenant, dans cette atmosphère toxique de haine raciale, il y a davantage de probabilités que je meure… et j’ai du mal à comprendre… encore aujourd’hui.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © traduction et adaptation Azénor pour Dreuz.info.
Source : page Facebook de Jay Stalien : facebook.com
Merci pour ce témoignage poignant.
Ce Monsieur est la preuve vivante, qu’il existe encore des gens merveilleux, des Gens de Bien, au service de la Vérité et de la Justice.
Que Dieu protège cet homme formidable, ainsi que sa famille. Son cœur est plein de bonté, de compassion, d’amour pour son prochain.
Enfin un point de vue lucide, de quelqu’un qui a à l’évidence du coeur, mais aussi beaucoup d’honnêteté, de bon sens, et qui sait garder la tête froide au milieu de toute cette confusion.
Cette campagne médiatique dont il parle et qui vise à diaboliser les policiers et les Blancs, fait penser à cette autre campagne médiatique permanente (au moins en France) visant à diaboliser l’Etat d’Israël.
Oui, Jacques, la même qui diabolise les patriotes français qui n’ont d’autres choix, pour quitter l’UE qui a racketté la France de sa souveraineté, que de voter FN (si d’autres solutions ne se présentent pas).
Un catholique attaché aux valeurs chrétiennes et son patrimoine religieux vandalisé systématiquement, pourrait se livrer au même exercice contre les prêtres “prétendus progressistes”, apostats par lâcheté, qui ne bougent pas le petit doigt et qui soutiennent le dialogue avec l’islam, idéologie totalitaire et expansionniste.
Et les juifs qui soutiennent la licra, devraient aussi balayer devant leur porte . Pas besoin de lettre, il suffit d’assister à un procès contre la liberté d’expression devant la 17ème chambre correctionnelle du Tribunal de Paris. Les procès staliniens, c’est maintenant.
je suis d’accord avec lui dans l’ensemble mais une police qui tue 123 sur une population qui repensent que 12% contre 238 sur une population de 2 à 3 plus grande laisse plané le doute et puis faire un parallèle sur des meurtres de criminels pour justifier ceux de la police est minable. combien de criminels blancs tue d’autres blancs , entre les suicides familiale et autre à t’il fait des comptes? Un criminels opère dans ses quartiers la ou il connait bien donc ses victimes sont forcement les gens qui lui ressemble . bien que je sois totalement contre la délinquance j ai envie de dire encore heureux que la police tue moins que les délinquants sinon on saurais plus ou mètre la tête
dommage pour les flics innocents qui payer pour la folie des autres pourris
tout cette haine raciales montre tout simplement qu’il y a encore de plais ouverte que le vrais travail de réconciliations entre ses deux principaux communautés de la société américaines na pas été fait ou pas bien fait et c’est pareille en France et partout ailleurs
quel courage de s exprimer ainsi a l encontre du message de haine vehiculé par les gauchistes et les bandits. oui que D ieu le protege lui et sa famille. il ose dire la verité il prend des risques dans ce monde de mensonges.
Voilà un témoignage précieux, merci à son auteur.
N’avez-vous pas remarqué que les délinquants et les criminels, sont souvent ces jeunes qui ont abandonné l’école, ces jeunes gens qui ont refusé la main tendue par leur entourage.
Des mamans éplorées par l’impossibilité de raisonner leurs enfants, dépassées par l’absence d’un d’un père pour leur rejetons.
Des pères inexistants au delà de leur apports biologiques qu’ils n’entendent pas assumer, tel des adolescents attardés, égoïstes et indifférents à leurs responsabilités.
Des enfants rois revendiquant tous les droits et aucun devoir; des électrons libres, faute de famille…
L’éducation qu’apportent les parents et l’instruction imposée par l’école, sont les bases essentielles d’une société policée, civilisée. Si l’un des deux manque, vous pouvez oublier la démocratie.
C’est surtout l’éducation des parents qui pose les bases du respect de l’autre, du travail, de l’honnêteté et autres valeurs qui font qu’un homme est civilisé, apte à vivre en société.
L’école fournit des connaissances, l’enseignant enseigne, les parents éduquent – même si parfois, un enseignant peut exercer une influence positive sur ses élèves.
Pour les pères inexistants auxquels vous faites allusion, un reportage (de la chaîne M6, de mémoire) datant d’il y a 2 ou 3 ans illustrait cela de façon frappante ; les “familles” d’origine africaine dont le reportage contait le quotidien étaient en fait TOUTES monoparentales, le père ayant abandonné femme et enfants… enfants livrés très tôt à eux-mêmes et à la rue, aux bandes, les mères (travaillant pour la plupart) étant dépassées.
Difficile métier que celui là, et ingrat.
En général, on devient”flic par vocation, pour servir la justice ,la patrie, sûrement pas pour le salaire.
Comme dans tous les métiers,il y a des c..s, mais un c.. dans le restera un c.. qu’il soit “flic”, coiffeur, juge, ministre, professeur ou infirmier
Et son comportement rejaillira sur l’ensemble.
Merci à ce monsieur pour ce beau témoignage.
Que D… le protège ainsi que les siens.
Que la communauté noire entende son cri.
Merci au traducteur
Superbe texte.
La première barriére à la délinquance est la famille avec l’éducation donnée aux enfants. Un père qui fume ne pourra interdire le tabac à son enfant, c’est le principe de l’exemplarité. Que voyons nous aujourd’hui dans nos sociétés dites modernes, les valeurs simples mais fondamentales ne sont plus ni enseignées ou respectées. La famille, a explosé , au nom de lois dites progressistes (surtout en France), le père symbolique d’une nation est représenté par le président de la république et ses ministres, quel bel exemple de corruption, mensonge, hypocrisie , lâcheté, soumission, et j’en passe. Ne nous étonnons pas si les peuples voteront de plus en plus vers l’extrême , car ils ont besoin, comme des enfants, d’un modèle à suivre, ils ont besoin qu’on leur fixe des limites , alors qu’aujourd’hui c’est la permissivité qui est de rigueur avec une totale désinformation des médias, digne des régimes marxistes.
Bravo à ce policier pour ce témoignage exceptionnel.
De toute évidence, il est très courageux : sa hiérarchie n’appréciera pas forcément celui qui a dit la vérité ?
Merci au traducteur.
Bouleversant de vérité. Chapeau, monsieur, on aimerait être votre ami
Je ne peux m’empêcher d’avoir “mal au cœur” pour ce policier qui a cherché la vérité à travers tout ces carnages. Le comment et le pourquoi n’apporte pas toujours des solutions ou des réponses, même pas l’apaisement, mais permet de comprendre comment les choses peuvent arriver.
En tout cas, respect à ce policier qui sait regarder la vérité en face
J’imagine assez, la dose de courage qu’il faut à cet homme, pour se lever tous les matins et revêtir la “panoplie”du flic haï.
Et au fur et à mesure que l’on avance dans son témoignage, on ne peut pas s’empêcher de faire le parallèle avec les racailles de chez nous qui, si elles ne sont pas toutes noires, sont pratiquement toutes musulmanes.
Le musulman victime.
Eternelle victime des Blancs. De la police. De la Justice. De la Société. De l’employeur. Du logeur.
La haine entre eux, maghrébins et musulmans, a toujours existé et perdure. Mais qu’un Blanc vienne à se mêler de leurs histoires et toute la haine accumulée depuis leur naissance se focalise sur le Blanc qui vient à peine d’arriver et qui s’interroge.
Oui, nous avons les mêmes à la maison !
Danièle , je ne crois pas qu’en France ce soit une majorité de musulmans qui mette le feu et la m…. en marge des manifs.
Les casseurs que j’ai eu l’occasion de voir à Marseille étaient bon teint européen.
Cependant,jecrois que les syndicats sont plus ou moins “télécommandés”par les arabes.
Sinon comment se fait-il qu’au cours de tous ces mouvements, à aucun moment il n’est été question de la loi portant sur l’apprentissage d’une langue étrangère des la primaire avec option pour l’arabe?
Pourtant au début la grogne était palpable
Ce n’est que l’analyse de la turpitude humaine… de sa psychanalyse … du plus grand mal intellectuel LA RECUPERATION IMMEDIATE… ce mal terrible qui inhibe toute conversation… ce besoin du MENSONGE CREDIBLE… ce besoin de vouloir paraitre mieux que les autres, alors que seul le mensonge et la spéculation sont les vrais moteurs. Comment spéculer sur une situation de crise pour en retirer un bénéfice ? LA RECUPERATION IMMEDIATE qui n’est que fourberie, l’art musulman de la tackia c’est de faire croire à l’autre que son information est inutile puisqu’on le savais déjà alors qu’en vérité on ignorai totalement le sujet… Plus l’être humain est faible et ignorant, plus il veut paraitre fort et instruit… donc plus il fait appel au mensonge et à la manipulation. Tellement de fonctionnements sont pervers et contre nature que chacun vas vouloir user et abuser de ses avantages… chacun vas vouloir profiter des failles du fonctionnement… des faiblesses de l’autre… C’est ce que les socialistes refusent de comprendre en pensant qu’un être pas éduqué vas par miracle devenir respectueux et sociable… non, le vice est une seconde nature et seul l’éducation permet de faire comprendre que vivre ensemble ce n’est pas être égaux mais de ne pas spéculer en prenant l’autre pour un imbécile… Seul le respect identique des lois d’un pays permet de vivre ensembles… ceux qui ne veulent pas de nos lois de BLANC doivent quitter notre société… sinon nous sommes effectivement dans l’aberration d’avoir des flics arabes !!!! Nous n’avons rien à voir avec ces gens au niveau de l’empathie et du respect de la vie… nous ne pouvons donc pas appliquer la loi de la même façon… en plus quand on a le cerveau ruiné par l’islamisme, j’imagine mal que l’on est la capacité à comprendre nos lois et à respecter notre pays… ce n’est qu’un faux semblant de la RECUPERATION IMMEDIATE… un clone dangereux et inhumain. Pour vivre ensemble il faux penser ensemble… et non les uns contre les autres…. La religion ne sert qu’à créer des confusions… Notre égalité d’être humain vas au delà des doctrines religieuses et ethniques…
Témoignage bouleversant !
Que faire ?
Les faits exposés sont désespérants, il ne semble pas possible de changer des mentalités conséquence d’une (non)culture, dont l’origine devrait être au préalable clairement identifiée, si l’on veut envisager une quelconque rééducation.
Le terme “rééducation” sent le goulag et l’asile psychiatrique de feu l’URSS.
Vous pouvez rêver à un monde où tout le monde finira au diapason, mais cela ne restera qu’une utopie…
Ce qui me gène, c’est “la communauté noire américaine” ! Comme s’ils se sentaient noirs avant d’être américains! Tant que cette “appartenance” n’aura pas été dépassée, les problèmes perdureront. Pour avoir travaillé en Afrique et vu dans certains pays ou la délinquance explose, en même temps que le nombre de mères célibataires, j’ai eu l’envie de penser que certains n’assument RIEN ! Prennent leur pied en se moquant totalement des conséquences. On a les mêmes en France, éternelles “victimes” !
Un bon témoignage qui ressemble à un véritable cri du coeur. Il a réalisé que “la vie d’un noir ne compte pas pour les autres noirs”. Par contre moi je réalise que la lutte que mène les noirs pour leur bien être n’a des contradicteurs que d’autres noirs. NOIRS JAMAIS UNIS.