Qui se ressemble s’assemble dit un sage proverbe. Il fut un temps où l’Italie se vantait d’avoir noué des rapports amicaux très étroits avec le monde de Mahomet, le prophète de l’islam, le modèle à suivre pour toute l’humanité.
Mais les temps changent et les sentiments aussi. Choqués par les attentats meurtriers perpétrés par les terroristes de l’EI, aujourd’hui, les peuples européens, malgré les discours islamophiles du Pape François et de leurs dirigeants, éprouvent de plus en plus pour l’islam des sentiments de crainte et de rejet justifiés.
Au début du siècle dernier, dans une période sombre de son histoire, l’Italie avait tissé, entre ombre et lumière, des liens très étroits avec le monde musulman.
Un grand sentiment d’amitié qui fut favorisé par les relations affectueuses du futur Duce, directeur à l’époque du quotidien « Avanti » avec la journaliste Leda Rafanelli, une militante anarchiste convertie à l’islam, farouchement opposée à toutes les valeurs de l’Occident chrétien. La relation se termina par un « mariage » à Tripoli le 20 mars 1937, dont le témoin fut Italo Balbo. A cette occasion, Mussolini, chevauchant un magnifique pur-sang, bombant le torse, dégaina la fameuse épée de l’islam qui lui fut offerte par des Berbères.
Cette image d’un Mussolini se pavanant à cheval en brandissant fièrement l’épée de l’islam était devenue le symbole d’une longue romance entre il Duce et l’islam, née en 1919 bien avant la marche sur Rome.
Deux évènements politiques favorisèrent en quelque sorte la montée du fascisme en Italie et celle du nazisme en Allemagne.
Le premier fut la Marche sur Rome par Mussolini et ses troupes fascistes.
L’Italie du début des années 1920 était un État en crise, écartelé entre les nationalistes, qui exploitaient avec Gabriele d’Annunzio le thème de la « victoire mutilée » (l’Italie, dans le camp des vainqueurs en 1918, n’avait pas obtenu les satisfactions territoriales qu’elle attendait), et les forces révolutionnaires qui, stimulées par l’exemple de la Révolution russe de 1917, menaçaient les institutions du pays en 1919-1920. Face à ces troubles, le mouvement fasciste de Mussolini se posa tout à la fois en promoteur d’une synthèse du nationalisme et du socialisme, et en défenseur de l’ordre existant, transformant volontiers les fascistes en briseurs de grève.
Au printemps de 1922, le mouvement mussolinien comptait 700 000 membres. Le 27 octobre, Mussolini organisa une marche sur Rome des troupes fascistes. Celles-ci auraient pu aisément être arrêtées par les troupes royales. Mais nombreux furent ceux qui pensèrent que le fascisme pouvait être utile dans un premier temps, et qu’il serait toujours possible de le neutraliser par la suite. Le roi Victor-Emmanuel III était de ceux-là. Le 29 octobre 1922, à la suite de la marche sur Rome, il demanda à Mussolini de former le nouveau gouvernement. (Source : Encyclopaedia universalis)
Tout comme aujourd’hui, certains se servent de l’islam pour accéder au pouvoir, s’imaginant pouvoir le juguler par la suite. De doux dingues, mais des plus dangereux.
Le second évènement fut le traité de Versailles signé le 28 juin 1919 dans la galerie des Glaces du château de Versailles, entre l’Allemagne et les Alliés. Ce traité, ou conférence comme certains le qualifièrent à l’époque, imposa des conditions très dures à l’Allemagne. Obligée de les accepter, l’Allemagne considéra le traité comme un Diktat.
Cette situation humiliante pour les vaincus favorisera les revendications de la part des groupes nationalistes allemands, en particulier chez les nazis, ce qui allait créer d’une part les conditions d’une revanche, d’autre part entraîner l’avènement de la Seconde Guerre mondiale.
Quant à l’Italie, les puissances victorieuses de la Première Guerre mondiale décidèrent de lui annexer une partie seulement des territoires qui avaient été promis par le pacte de Londres (1915), les États-Unis étant fermement opposés aux clauses du traité. Cela bouleversa une grande partie de l’opinion publique italienne en raison de la propagande de la presse nationaliste. Canalisant les mécontentements, Benito Mussolini prit le pouvoir en 1922 et institua un régime autoritaire, militariste et nationaliste, en se faisant désigner du titre de Duce (Le Guide).
Le poète Gabriele d’Annunzio, surnommé il Vate (le prophète) de la «victoire mutilée» et le héros de Fiume, plaça l’Italie sur le même plan que le monde arabe, en conflit permanent avec les puissances coloniales, et inspira l’esprit de revanche envers l’axe franco-anglais.
Dans la nuit du 11 au 12 septembre 1919, le poète nationaliste fit une entrée triomphale à Fiume, une ville yougoslave à population italophone revendiquée par les nationalistes italiens. Il défila à la tête de 287 volontaires italiens, les Arditi ou corps francs, anciennes troupes d’élite de la Grande Guerre.
La veille, il écrivit à Benito Mussolini, alors directeur du journal La Gazzetta del Popolo :
« Mon cher camarade, le dé est jeté, je pars. Demain, je prendrai Fiume les armes à la main. Que le Dieu de l’Italie nous assiste. Je suis fiévreux. Mais il n’est pas possible de différer. Encore une fois l’esprit domptera la chair misérable. »
C’est ainsi que d’Annunzio installa à Fiume une dictature personnelle, mettant en scène son pouvoir : chemise noire et cri de guerre : « Eia ! Eia ! Eia ! Alalà »
Par le Frère Vent, qui ne nous sera pas hostile, eia eia eia ! Alalà !
Par le Frère Feu, qui ne nous brûlera pas, eia eia eia ! Alalà !
Par la Sœur Eau, qui ne nous noiera pas, eia eia eia ! Alalà !
(Per Frate Vento che non ci avverserà, eia eia eia ! Alalà ! Per Frate Fuoco che non ci arderà, eia eia eia ! Alalà ! Per Suor Acqua che non ci affogherà, eia eia eia ! Alalà)
Cette sorte de litanie « franciscaine » de guerre, qu’il peaufinera à Fiume, sera largement reprise par la rhétorique fasciste lors des assemblées et des discours.
Le nationalisme, qui commençait à serpenter dans une partie de l’Europe malgré quelques différences, était de la même souche que celui qui se respirait sur la Quatrième Rive (la Quarta Sponda) appellatif qui fut attribué dans les années trente à la Libye. Mussolini développa après 1934 une politique favorable aux Arabes libyens, les appelant les « musulmans italiens de la Quatrième Rive. »
Revanchistes les uns comme les autres, il fut naturel de chercher des points communs.
La conquête de l’Ethiopie fut présentée par les deux amis-ennemis — Mussolini et d’Annunzio — comme une guerre sainte contre le Négus Hailé Sélassié, ennemi déclaré des musulmans.
En 1939, le gouverneur de la Libye, Italo Balbo, malgré des différends avec le Duce, fit obtenir la citoyenneté italienne à tous les islamiques Libyens de la côte. Les Bédouins et les Juifs, par contre, demeurèrent des citoyens de seconde classe.
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Si déjà en 1934 Radio Bari commençait à transmettre des programmes en langue arabe, car la communication était le cheval de bataille favori du Duce, les rapports commerciaux avec les pays de l’islam se multiplièrent de façon si intense que le Yémen de l’imam Yahya se transforma dans les faits en un protectorat italien. Parallèlement, du côté du Croissant de lune, se développèrent des mouvements de jeunes qui s’intéressaient au fascisme : des Phalanges libanaises aux “Chemises vertes” du parti de la jeune Egypte, opposées aux «Chemises bleues» du parti Wafd.
Selon une hypothèse pas tout à fait infondée, quoiqu’assez farfelue, l’amitié de Mussolini pour le monde musulman aurait aussi pu provenir de son nom : Mussolini dériverait de « muslimin » pluriel de « muslim » qui en arabe signifie musulman. Toutefois, en dialecte vénitien, « musso » signifie aussi âne…
Cet amour du Duce pour l’islam semble s’être transmis aux gouvernements italiens de gauche. Comme quoi, l’histoire se répète, mais aujourd’hui, ce sont les musulmans qui lentement mais sûrement prennent le pouvoir non seulement en Italie, mais partout en Occident, aidés dans leur conquête par nos politiciens au nom de la démocratie et du respect de nos valeurs, et peu importe les conséquences, même si elles conduisent à notre suicide collectif.
Dans les quartiers de Syrte qui viennent d’être libérés par les forces pro-gouvernementales libyennes, on a découvert des graffitis inquiétants sur les murs :
« Ici, c’est le port maritime de l’EI, le point de départ vers Rome, si Allah le veut. »
L’invitation corrobore l’information de différents services secrets européens de la présence de terroristes islamistes sur les bateaux des migrants au départ des côtes libyennes.
Il y a peu, Erdogan déclarait : « Peu importe les agissements grossiers, impitoyables, et sans scrupules des pays occidentaux, ils n’ont aucune chance de maintenir les flux migratoires sous contrôle ».
En clair, ce flux migratoire représente pour Ankara une arme politique pour faire pression sur l’Europe et arriver à ses fins.
Dans les milieux militaires et diplomatiques, on parle depuis des mois de l’arme migratoire, tandis que les services secrets turcs ont favorisé et soutenu cet exode en masse de réfugiés.
L’industrie des « réfugiés » fleurit en Turquie : d’énormes sommes d’argent sont engrangées grâce à toutes sortes de sociétés de services liées à l’accueil des réfugiés. En même temps, Erdogan poursuit son œuvre d’islamisation rampante de l’Europe.
La Turquie dispose d’une agence gouvernementale, dite Présidence des affaires religieuses (Diyanet). Elle est dirigée par le plus haut dignitaire religieux du pays sous l’autorité du Premier ministre.
Diyanet détient le monopole officiel sur l’islam en Turquie et jouit de ressources financières et matérielles importantes pour assurer sa mission. Cette agence est très active en Europe, notamment en Allemagne, en France et en Autriche, où elle contrôle les mosquées sunnites. Et les réfugiés jouent un rôle clé dans cette islamisation planifiée de l’Occident.
En outre, en favorisant l’adhésion de la Turquie islamiste, de l’Albanie, du Kosovo, de la Bosnie-Herzégovine à majorité musulmane, l’UE permettrait à quelque 90 millions de musulmans supplémentaires de se greffer à l’Europe.
Mais l’islamisation de l’Occident chrétien et le remplacement de ses peuples ne seraient qu’un fantasme…
Hier, Hitler et Mussolini aimaient l’islam et appréciaient le grand Mufti de Jérusalem, ils réduisirent l’Europe en un vaste cimetière.
Aujourd’hui, Juncker, Merkel, Schulz, Mogherini et d’autres dirigeants européens aiment les leaders palestiniens et l’islam : ils facilitent son expansion en soutenant l’idéologie islamo-nazie, en autorisant la multiplication des mosquées et écoles coraniques, en imposant une immigration musulmane illimitée.
L’Europe chrétienne, si elle ne se révolte pas, pourrait disparaître des pages de l’histoire, ensevelie sous les cendres de son passé.
Nous sommes nombreux à nous poser certaines questions :
- Quel est le but poursuivi par ces dirigeants qui semblent hypnotisés par l’idéologie islamo-nazie ?
- Pourquoi cette haine de soi, de l’Occident chrétien et de ses peuples, de la part des responsables politiques européens, pourtant élus par ces mêmes peuples pour assurer leur sécurité ?
- À quoi rime cette volonté farouche de nous déposséder de notre histoire, de notre culture, de notre foi, de notre civilisation, pour nous asservir à la plus grande escroquerie de toute l’histoire de l’humanité : l’islam ?
Jamais dans l’histoire du monde des peuples ont été ainsi trahis et vendus à leurs ennemis par leurs propres dirigeants. Trahison malheureusement facilitée par le consentement passif d’une grande majorité d’Européens au cerveau essoré par la propagande mensongère d’un avenir meilleur grâce aux bienfaits du vivre ensemble, du multiculturalisme source de richesses, de félicité, de paix, dont nous goûtons aux joies jour après jour.
Le mensonge enveloppe le monde d’un voile épais, mais de temps à autre surgit une étincelle de vérité, exprimée parfois avec éloquence, parfois avec simplicité.
En voici une : le coup de gueule d’un Tunisien islamolucide : « Cinq fois par jour, la Mecque appelle à égorger les chrétiens ! » :
Pour terminer sur une note d’espérance, je vous propose d’écouter ou de réécouter ce formidable discours d’espoir et de liberté extrait du film Le Dictateur de Charlie Chaplin, ce merveilleux visionnaire.
A notre époque, où mensonges et manipulations règnent en maîtres absolus, ce discours conserve toute son actualité. L’histoire semble se répéter.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.
Source : « Il Duce amico dell’islam » Giancarlo Mazzuca (Il Giornale.it)
A l’instar de Kim Jong Un, Kadhafi appréciait les frites à la cantine.
Qui se ressemble s’assemble dit un sage proverbe. Il fut un temps où Kim Jong Un se vantait d’avoir noué des rapports amicaux très étroits avec l’UNPT (Union Nationale des Producteurs de Pomme de terre), la culture de tubercules, le modèle à suivre pour toute l’humanité.
Mais les temps changent et les sentiments aussi. Choqués par la maltraitance des patates dans la majorité des cuisines, aujourd’hui, les peuples européens, malgré les discours patatophiles des syndicats lycéens défendant, eux aussi, les frites à la cantine, éprouvent de plus en plus pour les restaurants des sentiments de crainte et de rejet justifiés.
Au début du siècle dernier, dans une période sombre de son histoire, Kadhafi avait tissé, entre ombre et lumière, des liens très étroits avec l’UNPT.
Un grand sentiment d’amitié qui fut favorisé par les relations affectueuses voire fétichiste du futur dictateur avec des pommes de terre. Kadhafi trompait sa femme avec une militante anarchiste convertie à la culture de patates, farouchement opposée à toutes les valeurs de l’Oxident catholico-liberto-chrétien, prônant la culture de tournesol. La relation se termina par un « mariage » à Tripoli le 20 mars 1937, dont le témoin fut Touquet Savour, négociant conditionneur de pommes de terre. A cette occasion, Kadhafi, chevauchant une magnifique pomme de terre de 1 mètre de diamètre, bombant le torse, dégaina la fameuse épée de la Sainte Patate qui lui fut offerte par, suspense… l’UNPT.
Cette image d’un Kadhafi se pavanant sur une patate en brandissant fièrement l’épée était devenue le symbole d’une longue romance entre le dictateur et les frites, née le 14 juillet 1789 pendant la prise de la Patate.
Deux évènements politiques favorisèrent en quelque sorte la montée du mouvement pro-patate en Libye et celle du parti Patate en France.
Comment dire…. Votre article peut avoir du sens mais être totalement à côté de la plaque…
Cet article vous a-t-il blessé “Ludwig Chieng” pour que vous perdiez ainsi votre temps à le singer aussi bêtement?
Blessé personnellement, non, mais, par contre j’ai jugé utile de montrer à quel point le raisonnement de l’article était absurde.
Ah d’accord : “commentaire en attente de modération”. Vous ne filtrez que les insultes ou vous censurez les arguments des camps adverses ? Si c’est le cas, comment voulez vous qu’on vous prenne au sérieux ? que l’on ne vous place pas dans la “faschosphère” ?
Je n’aime pas cette expression et je respecte l’avis de tout le monde, mais quand je rencontre des personnes aussi fermées d’esprit et conservatrices que vous, je ne peux que me dire que le monde n’avancera pas grâce à vous… Ou du moins, qu’il avancera sans vous.
J’espère que votre modération ne filtre que les insultes, prouvez-moi que ce que j’ai marqué dans le commentaire précédent est faux.
EDIT : prouvez-moi que ce que j’ai marqué dans le PARAGRAPHE précédent est faux.
Prendre les mahométans pour des patates , c’est osé !!
Qui se ressemble s’assemble dit-on.
Mahométans et nazis, c’est une alliance naturelle bien décrite dans cet article particulièrement bien documenté.
Cet article est bien documenté, je le concède. Tous les faits historiques évoqués dans cet article doivent être vrais, je n’ai pas vérifié. Sur ce point là, je fais confiance à la rédactrice.
Cependant, je ne compare pas les musulmans à des patates, je fais juste un parallèle. Ce que je voulais dire par là, c’est qu’il absurde de dire dans ce cas là, que l’idéologie des musulmans et des fascistes se ressemblent parce que ils “s’aimaient bien”… C’est aussi absurde que de dire que les patates et Hitler ont la même idéologie parce qu’Hitler aime les patates. Évitons de parler d’islamo-nazisme.
Bon, le parallèle est tiré par les cheveux, mais je dois bien avouer que c’est ce que j’ai ressenti quand j’ai lu l’article.
Effectivement, comme vous le reconnaissez, le parallèle que vous faites plus haut est, pour le moins, tiré par les cheveux.
“Qui se ressemble s’assemble” : est-ce un proverbe si difficile à comprendre ?
Il s’agit de personnes se ressemblant dans l’état d’esprit, la mentalité, la façon de se comporter, et non de personnes ayant les mêmes goûts culinaires… Hitler aimait peut-être, sans doute, les pommes de terre, ma grand-mère aussi ; mais cela ne fait pas une communauté d’esprit.
Le présent article de Rosaly illustre tout simplement ce proverbe, qui s’appliquait de façon assez remarquable aux accointances entre Mussolini et le monde musulman sur bien des plans, tout comme Hitler admirait l’islam et eut pour alliés le mufti de Jérusalem et nombre de ses ouailles.
Pour ma part, sachant ce que je sais, je n’éviterai certainement pas de parler d’islamo-fascisme, tant les deux idéologies ont des points communs, et non des moindres.
Ca y est ! L’agresseur se “victimise” !!! Ne serait-ce pas un mahométan qui se cache ? Si non, il en est pas loin….
Non, je ne suis pas musulman, et ne suit “proche” d’aucune religion, je suis athée.
L’athéisme est une religion sans dieu.
De la même façon qu’un état doit protéger un minimum ses frontières , au moins en ce qui concerne les importations illégales ( drogues diverses , armes , produits de contrefaçon , … ) , un site doit obligatoirement se doter d’un service de modération pour les propos insultants et grossiers , les thèses délirantes et les commentaires volontairement abscons de certains internautes , comme cela semble être ici le cas . Les lecteurs de ce site n’ont pas de temps à perdre à lire vos théories fantaisistes concernant la consommation de patates-frites chez les dictateurs .
“Les thèses les plus délirantes” peuvent parfois être les plus déterminantes, par exemple, celle d’Einstein est complètement délirante, pour le moment, on a pas su la réfuter.
Ensuite, c’est le premier site sur lequel je navigue qui contrôle les commentaires. Bon, je n’ai que rarement surfé sur ce type de sites, d’ailleurs.
Mon commentaire, avant d’avoir la forme d'”une théorie fantaisiste”, c’était surtout une critique de l’article. Il fallait en aucun cas le prendre au premier degré, enfin bref…
Vous voulez dire lorsque A. Einstein affirme que de la matière ( même une toute petite particule ) ne peut se déplacer ( dans le vide ) à une vitesse supérieure à celle de la lumière ?
Oui, et donc de toutes les conséquences qu’il y a derrière comme par exemple la relativité restreinte et générale.
En fait ce qui paraissait particulièrement contre-intuitif dans la théorie d’Einstein est ce qu’il a nommé le ‘ paradoxe des jumeaux ‘ car selon lui le temps n’existe pas indépendamment de l’espace , remettant en cause Newton . On a mesuré avec des horloges atomiques l’écoulement du temps si vous restez immobile ou si vous êtes à bord d’un avion dépassant mach 1,2 . Verdict : l’écoulement du temps est différent , selon un reportage vu sur Arte . L’existence des ondes gravitationnelles vient d’être prouvée récemment et l’on a de bonnes raisons de penser qu’elles se déplacent à la vitesse de la lumière ( ou toute proche de la vitesse de la lumière , car elles ne se déplacent pas dans le vide intégral ) . Une chose qu’ignorait Einstein : à son époque on pensait que les dimensions de notre univers se limitaient à notre galaxie , alors que l’on sait maintenant que cela est faux ( même si l’on ne connaît pas encore les dimensions exactes de notre univers ) .
“A l’instar d’Hitler, Mussolini appréciait l’Islam” ? Melenchon aussi ! Félicie non.
nul besoin de remonter dans le passé, je suis toujours étonnée de voir la bienveillance ou la sympathie, témoignée envers les muzz dans le quotidien ! regardez autour de vous
J’ai l’impression parfois que les islamophiles sont fascinés par la violence et la bestialité dont font preuve quotidiennement leurs amis.
Il est clairement établi que Hitler et Mussolini ont puisé l’idée du génocide des Juifs en prenant “exemple” sur le génocide des Arméniens par leurs chers amis ottomans !
Mussolini n’a jamais participé au génocide des Juifs, il a eu des ministres juifs comme Guido Jung. Il a empêcher en Yougoslavie le transfert de Juifs du secteur italien au secteur allemand. Les lois raciales excluaient les juifs de postes administratifs mais il n’y eut pas de persécutions comme en Allemagne. (voir Renzo de Felice)
Un grand sentiment d’amitié qui fut favorisé par les relations affectueuses du futur Duce, directeur à l’époque du quotidien « Avanti » avec la journaliste Leda Rafanelli, une militante anarchiste convertie à l’islam, farouchement opposée à toutes les valeurs de l’Occident chrétien. La relation se termina par un « mariage » à Tripoli le 20 mars 1937, dont le témoin fut Italo Balbo.
Pouvez-vous citer vos sources ?
Merci.
L’idylle entre le socialiste-révolutionnaire et l’anarchiste convertie à l’islam avant la Première Guerre ne dura que deux années et c’était durant la période de l’Avanti ! dont il était le dirigeant. Donc rien à voir avec le fascisme. Mussolini a utilisé l’Islam pour gêner les Britanniques comme il a soutenu un rabbin pro-italien d’Alexandrie.
Il faut rappeler que Mussolini était athée comme son père et qu’il se rapprocha de l’église catholique pour permettre d’éliminer le chef du PPI don Luigi Sturzo et signer les accords de Latran.
Jamais Mussolini n’épousa la Rafanelli ! Même en Libye alors qu’il était chef d’état.
La source est indiquée en bas de l’article. L’auteur du texte en italien mentionne le mariage célébré à Tripoli. Il s’agissait peut-être d’un mariage à la musulmane, sans aucun valeur en Italie. Ce qui explique sans doute qu’il n’y ait pas eu de trace. C’est la raison pour laquelle, dans mon article, j’ai écrit le mot « mariage » entre guillemets.
« Un grande «feeling» che venne propiziato dall’affettuosa amicizia che il futuro duce intrattenne, quando era ancora direttore dell’Avanti!, con la giornalista Leda Rafanelli di fede musulmana. E che, poi, culminò con il matrimonio di Tripoli del 20 marzo 1937, testimone di nozze Italo Balbo … »
Bonjour et merci, je n’avais pas vu les sources du Giornale.
Cependant je reste sceptique, Mussolini avait rompu avec Rafanelli en 1914. L’anarchiste convertie à l’islam n’a plus revu son ex-amant (son témoignage auprès de André Brissaud en 1962 in Mussolini du même auteur) à cette date.
J’essaierais de contacter le journaliste pour qu’il me fasse savoir ses sources.