Publié par Rosaly le 14 août 2016

Il duce épée de l'islam

Qui se ressemble s’assemble dit un sage proverbe. Il fut un temps où l’Italie se vantait d’avoir noué des rapports amicaux très étroits avec le monde de Mahomet, le prophète de l’islam, le modèle à suivre pour toute l’humanité.

Mais les temps changent et les sentiments aussi. Choqués par les attentats meurtriers perpétrés par les terroristes de l’EI, aujourd’hui, les peuples européens, malgré les discours islamophiles du Pape François et de leurs dirigeants, éprouvent de plus en plus pour l’islam des sentiments de crainte et de rejet justifiés.

Au début du siècle dernier, dans une période sombre de son histoire, l’Italie avait tissé, entre ombre et lumière, des liens très étroits avec le monde musulman.

Un grand sentiment d’amitié qui fut favorisé par les relations affectueuses du futur Duce, directeur à l’époque du quotidien « Avanti » avec la journaliste Leda Rafanelli, une militante anarchiste convertie à l’islam, farouchement opposée à toutes les valeurs de l’Occident chrétien. La relation se termina par un « mariage » à Tripoli le 20 mars 1937, dont le témoin fut Italo Balbo. A cette occasion, Mussolini, chevauchant un magnifique pur-sang, bombant le torse, dégaina la fameuse épée de l’islam qui lui fut offerte par des Berbères.

Cette image d’un Mussolini se pavanant à cheval en brandissant fièrement l’épée de l’islam était devenue le symbole d’une longue romance entre il Duce et l’islam, née en 1919 bien avant la marche sur Rome.

Deux évènements politiques favorisèrent en quelque sorte la montée du fascisme en Italie et celle du nazisme en Allemagne.

Le premier fut la Marche sur Rome par Mussolini et ses troupes fascistes.

la marche sur Rome

L’Italie du début des années 1920 était un État en crise, écartelé entre les nationalistes, qui exploitaient avec Gabriele d’Annunzio le thème de la « victoire mutilée » (l’Italie, dans le camp des vainqueurs en 1918, n’avait pas obtenu les satisfactions territoriales qu’elle attendait), et les forces révolutionnaires qui, stimulées par l’exemple de la Révolution russe de 1917, menaçaient les institutions du pays en 1919-1920. Face à ces troubles, le mouvement fasciste de Mussolini se posa tout à la fois en promoteur d’une synthèse du nationalisme et du socialisme, et en défenseur de l’ordre existant, transformant volontiers les fascistes en briseurs de grève.

Au printemps de 1922, le mouvement mussolinien comptait 700 000 membres. Le 27 octobre, Mussolini organisa une marche sur Rome des troupes fascistes. Celles-ci auraient pu aisément être arrêtées par les troupes royales. Mais nombreux furent ceux qui pensèrent que le fascisme pouvait être utile dans un premier temps, et qu’il serait toujours possible de le neutraliser par la suite. Le roi Victor-Emmanuel III était de ceux-là. Le 29 octobre 1922, à la suite de la marche sur Rome, il demanda à Mussolini de former le nouveau gouvernement. (Source : Encyclopaedia universalis)

Tout comme aujourd’hui, certains se servent de l’islam pour accéder au pouvoir, s’imaginant pouvoir le juguler par la suite. De doux dingues, mais des plus dangereux.

Le second évènement fut le traité de Versailles signé le 28 juin 1919 dans la galerie des Glaces du château de Versailles, entre l’Allemagne et les Alliés. Ce traité, ou conférence comme certains le qualifièrent à l’époque, imposa des conditions très dures à l’Allemagne. Obligée de les accepter, l’Allemagne considéra le traité comme un Diktat.

Cette situation humiliante pour les vaincus favorisera les revendications de la part des groupes nationalistes allemands, en particulier chez les nazis, ce qui allait créer d’une part les conditions d’une revanche, d’autre part entraîner l’avènement de la Seconde Guerre mondiale.

Quant à l’Italie, les puissances victorieuses de la Première Guerre mondiale décidèrent de lui annexer une partie seulement des territoires qui avaient été promis par le pacte de Londres (1915), les États-Unis étant fermement opposés aux clauses du traité. Cela bouleversa une grande partie de l’opinion publique italienne en raison de la propagande de la presse nationaliste. Canalisant les mécontentements, Benito Mussolini prit le pouvoir en 1922 et institua un régime autoritaire, militariste et nationaliste, en se faisant désigner du titre de Duce (Le Guide).

Le poète Gabriele d’Annunzio, surnommé il Vate (le prophète) de la «victoire mutilée» et le héros de Fiume, plaça l’Italie sur le même plan que le monde arabe, en conflit permanent avec les puissances coloniales, et inspira l’esprit de revanche envers l’axe franco-anglais.

Dans la nuit du 11 au 12 septembre 1919, le poète nationaliste fit une entrée triomphale à Fiume, une ville yougoslave à population italophone revendiquée par les nationalistes italiens. Il défila à la tête de 287 volontaires italiens, les Arditi ou corps francs, anciennes troupes d’élite de la Grande Guerre.

La veille, il écrivit à Benito Mussolini, alors directeur du journal La Gazzetta del Popolo :

« Mon cher camarade, le dé est jeté, je pars. Demain, je prendrai Fiume les armes à la main. Que le Dieu de l’Italie nous assiste. Je suis fiévreux. Mais il n’est pas possible de différer. Encore une fois l’esprit domptera la chair misérable. »

C’est ainsi que d’Annunzio installa à Fiume une dictature personnelle, mettant en scène son pouvoir : chemise noire et cri de guerre : « Eia ! Eia ! Eia ! Alalà »

Par le Frère Vent, qui ne nous sera pas hostile, eia eia eia ! Alalà !

Par le Frère Feu, qui ne nous brûlera pas, eia eia eia ! Alalà !

Par la Sœur Eau, qui ne nous noiera pas, eia eia eia ! Alalà !

(Per Frate Vento che non ci avverserà, eia eia eia ! Alalà ! Per Frate Fuoco che non ci arderà, eia eia eia ! Alalà ! Per Suor Acqua che non ci affogherà, eia eia eia ! Alalà)

Cette sorte de litanie « franciscaine » de guerre, qu’il peaufinera à Fiume, sera largement reprise par la rhétorique fasciste lors des assemblées et des discours.

Le nationalisme, qui commençait à serpenter dans une partie de l’Europe malgré quelques différences, était de la même souche que celui qui se respirait sur la Quatrième Rive (la Quarta Sponda) appellatif qui fut attribué dans les années trente à la Libye. Mussolini développa après 1934 une politique favorable aux Arabes libyens, les appelant les « musulmans italiens de la Quatrième Rive. »

Revanchistes les uns comme les autres, il fut naturel de chercher des points communs.

La conquête de l’Ethiopie fut présentée par les deux amis-ennemis — Mussolini et d’Annunzio — comme une guerre sainte contre le Négus Hailé Sélassié, ennemi déclaré des musulmans.

En 1939, le gouverneur de la Libye, Italo Balbo, malgré des différends avec le Duce, fit obtenir la citoyenneté italienne à tous les islamiques Libyens de la côte. Les Bédouins et les Juifs, par contre, demeurèrent des citoyens de seconde classe.

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Si déjà en 1934 Radio Bari commençait à transmettre des programmes en langue arabe, car la communication était le cheval de bataille favori du Duce, les rapports commerciaux avec les pays de l’islam se multiplièrent de façon si intense que le Yémen de l’imam Yahya se transforma dans les faits en un protectorat italien. Parallèlement, du côté du Croissant de lune, se développèrent des mouvements de jeunes qui s’intéressaient au fascisme : des Phalanges libanaises aux “Chemises vertes” du parti de la jeune Egypte, opposées aux «Chemises bleues» du parti Wafd.

Selon une hypothèse pas tout à fait infondée, quoiqu’assez farfelue, l’amitié de Mussolini pour le monde musulman aurait aussi pu provenir de son nom : Mussolini dériverait de « muslimin » pluriel de « muslim » qui en arabe signifie musulman. Toutefois, en dialecte vénitien, « musso » signifie aussi âne…

Cet amour du Duce pour l’islam semble s’être transmis aux gouvernements italiens de gauche. Comme quoi, l’histoire se répète, mais aujourd’hui, ce sont les musulmans qui lentement mais sûrement prennent le pouvoir non seulement en Italie, mais partout en Occident, aidés dans leur conquête par nos politiciens au nom de la démocratie et du respect de nos valeurs, et peu importe les conséquences, même si elles conduisent à notre suicide collectif.

Syrte
« Ici, c’est le port maritime de l’EI, le point de départ vers Rome, si Allah le veut. »

Dans les quartiers de Syrte qui viennent d’être libérés par les forces pro-gouvernementales libyennes, on a découvert des graffitis inquiétants sur les murs :

« Ici, c’est le port maritime de l’EI, le point de départ vers Rome, si Allah le veut. »

L’invitation corrobore l’information de différents services secrets européens de la présence de terroristes islamistes sur les bateaux des migrants au départ des côtes libyennes.

Il y a peu, Erdogan déclarait : « Peu importe les agissements grossiers, impitoyables, et sans scrupules des pays occidentaux, ils n’ont aucune chance de maintenir les flux migratoires sous contrôle ».

En clair, ce flux migratoire représente pour Ankara une arme politique pour faire pression sur l’Europe et arriver à ses fins.

Dans les milieux militaires et diplomatiques, on parle depuis des mois de l’arme migratoire, tandis que les services secrets turcs ont favorisé et soutenu cet exode en masse de réfugiés.

L’industrie des « réfugiés » fleurit en Turquie : d’énormes sommes d’argent sont engrangées grâce à toutes sortes de sociétés de services liées à l’accueil des réfugiés. En même temps, Erdogan poursuit son œuvre d’islamisation rampante de l’Europe.

La Turquie dispose d’une agence gouvernementale, dite Présidence des affaires religieuses (Diyanet). Elle est dirigée par le plus haut dignitaire religieux du pays sous l’autorité du Premier ministre.

Diyanet détient le monopole officiel sur l’islam en Turquie et jouit de ressources financières et matérielles importantes pour assurer sa mission. Cette agence est très active en Europe, notamment en Allemagne, en France et en Autriche, où elle contrôle les mosquées sunnites. Et les réfugiés jouent un rôle clé dans cette islamisation planifiée de l’Occident.

En outre, en favorisant l’adhésion de la Turquie islamiste, de l’Albanie, du Kosovo, de la Bosnie-Herzégovine à majorité musulmane, l’UE permettrait à quelque 90 millions de musulmans supplémentaires de se greffer à l’Europe.

Mais l’islamisation de l’Occident chrétien et le remplacement de ses peuples ne seraient qu’un fantasme…

Hier, Hitler et Mussolini aimaient l’islam et appréciaient le grand Mufti de Jérusalem, ils réduisirent l’Europe en un vaste cimetière.

Mufti de Jérusalem
« Arabes, levez-vous comme un seul homme et combattez pour vos droits sacrés. Tuez les Juifs, où que vous les trouviez. Cela plaît à Allah, à l’histoire, à la religion. Cela sauve votre honneur. Allah est avec vous ! Hadj Amin Al-Husseini, (surnommé le glaive de l’islam)

askolovich

Aujourd’hui, Juncker, Merkel, Schulz, Mogherini et d’autres dirigeants européens aiment les leaders palestiniens et l’islam : ils facilitent son expansion en soutenant l’idéologie islamo-nazie, en autorisant la multiplication des mosquées et écoles coraniques, en imposant une immigration musulmane illimitée.

L’Europe chrétienne, si elle ne se révolte pas, pourrait disparaître des pages de l’histoire, ensevelie sous les cendres de son passé.

Nous sommes nombreux à nous poser certaines questions :

  • Quel est le but poursuivi par ces dirigeants qui semblent hypnotisés par l’idéologie islamo-nazie ?
  • Pourquoi cette haine de soi, de l’Occident chrétien et de ses peuples, de la part des responsables politiques européens, pourtant élus par ces mêmes peuples pour assurer leur sécurité ?
  • À quoi rime cette volonté farouche de nous déposséder de notre histoire, de notre culture, de notre foi, de notre civilisation, pour nous asservir à la plus grande escroquerie de toute l’histoire de l’humanité : l’islam ?

Jamais dans l’histoire du monde des peuples ont été ainsi trahis et vendus à leurs ennemis par leurs propres dirigeants. Trahison malheureusement facilitée par le consentement passif d’une grande majorité d’Européens au cerveau essoré par la propagande mensongère d’un avenir meilleur grâce aux bienfaits du vivre ensemble, du multiculturalisme source de richesses, de félicité, de paix, dont nous goûtons aux joies jour après jour.

Le mensonge enveloppe le monde d’un voile épais, mais de temps à autre surgit une étincelle de vérité, exprimée parfois avec éloquence, parfois avec simplicité.

En voici une : le coup de gueule d’un Tunisien islamolucide : « Cinq fois par jour, la Mecque appelle à égorger les chrétiens ! » :

Pour terminer sur une note d’espérance, je vous propose d’écouter ou de réécouter ce formidable discours d’espoir et de liberté extrait du film Le Dictateur de Charlie Chaplin, ce merveilleux visionnaire.

A notre époque, où mensonges et manipulations règnent en maîtres absolus, ce discours conserve toute son actualité. L’histoire semble se répéter.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Source : « Il Duce amico dell’islam » Giancarlo Mazzuca (Il Giornale.it)

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