À partir d’une recherche sur les besoins en formations continues, le Centre suisse islam et société dévoile ses plans. Faire participer les bénévoles des mosquées à des formations, valoriser et parfaire leurs compétences, les faire intervenir dans un maximum de secteurs de la société.
Le saviez-vous ? Une kyrielle d’acteurs bénévoles s’activent dans les mosquées et leurs associations. Enseignants de langues, de religion, animateurs de groupes de jeunes, animatrices de groupes de femmes, dispensateurs de services divers (outils pour l’emploi, prise en charge des nouveaux réfugiés, médiations, etc.)
Ces ruches nous font déjà profiter de leurs activités. « Un certain nombre d’associations musulmanes (…) développent un catalogue d’activités orientées vers la société. Si initialement ces activités ont été pensées à l’attention des membres de leur communauté, aujourd’hui il n’est pas rare que des non musulmans bénéficient aussi du soutien des associations musulmanes. »
Ces activités sont données par des militants de l’islam dont le centre tente de faire oublier ce caractère profondément religieux. La gomme passée, il s’agit d’enrichir leurs compétences et de professionnaliser leurs activités ou encore de les faire éclore en experts de l’islam qui interviendront dans un maximum de formations, celles du centre et de secteurs privés et publics.
Le Centre islam se charge avec avidité de cette tâche avec la complicité des autorités qui l’ont déjà adoubé. D’ailleurs, et quelle merveilleuse coïncidence : « Il existe dans ce domaine de la formation continue un degré élevé de correspondance entre les attentes des acteurs de l’État et les musulmans eux-mêmes. »
Valoriser, former, infiltrer. Créer un bassin d’emplois où se désaltéreront tous ces acteurs religieux en invoquant leur contribution à notre société. Non seulement nous sommes priés de célébrer cette vaste opération d’islamisation, mais aussi de la financer !
« … ainsi une femme par exemple, après avoir été formée par le CSIS, pourrait s’engager ailleurs [dans la société] pour l’islam et les musulmans. Par exemple dans le travail auprès des jeunes. Chaque ville a un service consacré aux jeunes, par exemple dans la ville de X, dont la population est maintenant à majorité musulmane. »
Les radicaux se sont évaporés
Un axiome implicite parcourt les 114 pages du rapport : les centres islamiques sont au service exclusif de l’intégration. Les imams sont des « bâtisseurs de ponts », des médiateurs, des religieux ouverts et progressistes. Un but majeur du centre est donc logiquement d’améliorer l’image de l’islam dans le grand public, de « déconstruire les préjugés », d’aider les religieux à mieux communiquer.
A l’horizon de ce riant paysage, pas un bouton de veste de Frère musulman, pas l’ombre d’un imam turc soumis à son islamiste sultan, pas la moindre babouche wahhabite. Tous les littéralistes, intégristes et autres radicaux se sont dissous comme par enchantement dans la grande marmite à former du CSIS.
Les associations musulmanes qui gèrent les mosquées sont déjà sollicitées dans les hôpitaux et les prisons. Cette modeste contribution est promise à une riche diversification dans les secteurs publics : « Les centres fédéraux de requérants d’asile et, dans une moindre mesure, les établissements médico-sociaux, les centres d’animation socioculturelle pour les adolescents et jeunes adultes ainsi que les écoles, deviennent aussi des secteurs publics concernés par la thématique. »
Une facette de la formation théologique des aumôniers de prison est étonnante. Le CSIS envisage l’enseignement d’un « fiqh facilité ». Le fiqh (enseigné dans les grandes mosquées) désigne le droit positif issu de la charia, qui regroupe tous les aspects de la vie, religieux, politiques et privés, droit défini par les « juristes » de l’islam. Ceux-ci sont de grands pourvoyeurs de jurisprudences. Sommes-nous désormais dans un État de droit ?
Les deux auteurs principaux, le co-directeur du centre Hansjörg Schmid et sa collaboratrice Mallory Schneuwly Purdie, sont des habitués de la complaisance face aux mœurs musulmanes. Ainsi, les groupes de femmes sont qualifiés de « groupes de genre », ce qui fait souffler un vent de modernisme sur ce qui représente la régression sexiste majeure de ce siècle, observée dans la quasi-totalité des associations musulmanes. Les auteurs utilisent par ailleurs avec le plus grand naturel des termes inventés pour et par cette religion : islamologie, islamophobie, sciences islamiques…
Savoir que des services du ressort de l’État sont assurés par des dévots devrait inquiéter. Le CSIS au contraire veut renforcer leur contribution. Et pourquoi ne pas invoquer des activités religieuses pour reconnaître des compétences récompensées au final par des diplômes permettant de travailler hors des associations islamiques ?
Le rapport donne des exemples de cours organisés par les mosquées à l’intention des jeunes. Ceux-ci, obligés de vivre dans une société où ne domine pas la religion musulmane, planchent sur leur « condition de minoritaire » et leurs « défis dans une société laïque ». Ils représentent un grand souci, car les tentations non islamiques sont légion. Aider à leur organiser des loisirs modernes et des activités qui les empêchent de s’éloigner des associations est un grand objectif des formateurs.
Les associations traitent aussi d’un thème millénaire : les droits et devoirs de la femme en islam. Mais aussi « les enjeux » pour les pratiquantes d’aujourd’hui. On devine que l’un de ces enjeux est notre rejet des voiles et autres camouflages sexistes. Il faut que ça change ! Une collaboratrice du CSIS porte le foulard, c’est déjà un argument fort, et le premier colloque du centre a confirmé que son but est de faire avaler le couvre-chef aux professionnels qui travaillent avec des musulmans.
De précieuses recrues : les réfugiés
Dans ces associations, les nouveaux réfugiés et les demandeurs d’asile sont accueillis à bras ouverts, ce qu’il faut encourager. Des ressortissants arabophones illettrés apprennent à lire et à écrire dans leur langue, se font traduire des documents administratifs. Certains centres islamiques deviennent « des lieux privilégiés de passage et d’apprentissage de certains flux de migrants », notamment Afghans et Somaliens.
Les associations sont « des partenaires de l’action sociale » et pour cela méritent aussi formations et financement. Ce qu’en termes choisis les auteurs expriment : « Les champs d’activité des organisations qui sont à l’interface de l’islam et de la société ne sont pas encore intégrés aux arrangements existants entre l’État et les communautés religieuses. Les bénévoles souhaitent une reconnaissance sociale de leur engagement et une stabilisation de leur activité, en particulier dans le domaine de l’action sociale. Il peut ainsi en ressortir de nouvelles perspectives professionnelles dotées de ressources financières propres, notamment dans les aumôneries hospitalières carcérales. »
Les associations se sentent surtout de l’appétit pour des formations telles que communication institutionnelle et médiatique (comment répondre aux vilains médias qui nous critiquent et convaincre nos autorités de notre ouverture), pédagogie, didactique des langues, gestion de conflits, management associatif. Toutes disciplines destinées à renforcer l’efficacité des prosélytes et l’extension de l’islam.
Des imams surmenés
Les imams, surmenés, exercent « des arbitrages et de la médiation ». Un interlocuteur des rapporteurs illustre : « … par exemple, j’ai reçu quatre personnes qui avaient des problèmes avec leurs épouses… » Autre exemple : des parents craignent que leurs enfants fréquentent des non-musulmans ; ou encore : l’école appelle un imam, car un père ne laisse pas sa fille participer à certaines activités.
Si on comprend bien, l’imam est appelé pour résoudre des problèmes issus de l’enseignement de sa doxa, et nous devrions nous prosterner pour le remercier. En espèces sonnantes et trébuchantes si possible. C’est une pilule que font passer habilement les auteurs : « Des activités de médiation (…) propulsent aussi parfois les imams au cœur des institutions suisses et soulignent leur rôle de passeur culturel et religieux. »
Les associations musulmanes forment elles aussi. Elles organisent des activités consacrées à la religion, à la langue arabe, à la formation à la toilette mortuaire, au rôle de guide de mosquée (accueil de groupes, souvent des classes d’écoliers), à l’approfondissement de la jurisprudence d’une école juridique. En quoi ces formations ne sont-elles « pas totalement religieuses » ? Réponse des auteurs : parce qu’elles exigent une présence régulière, voire une validation du « cursus » par un examen.
Le rapport donne un exemple assez ébouriffant de ces formations internes, celles qui sont organisées par La Fondation islamique turque, la représentante du Ministère des Affaires religieuses (Dinayet). Ses imams sont envoyés et salariés par l’État d’Erdogan. Ils s’activent dans nos pays pour une période de cinq ans, sans connaissance préalable de la langue locale. Leur site est d’ailleurs en turc. Et le gouvernement d’Ankara finance le déplacement en Suisse de formateurs : théologiens, pédagogues, psychologues, etc.
La fondation convoque chaque mois ses imams, une quarantaine, pour une journée de bilan. Différents thèmes sont au menu, dont l’éducation religieuse dans une société multiculturelle. Décidément, nos sociétés égalitaires posent beaucoup de problèmes aux pieux musulmans.
Ce contrôle par un pays dont le dirigeant considère l’assimilation comme un crime contre l’humanité n’émeut pas le moins du monde nos rapporteurs qui n’en disent pas un mot. Pas de problème non plus avec le Centre islamique suisse de Lausanne qu’ils décrivent brièvement, en fait l’un des plus radicaux de Suisse, dont le porte-parole et l’imam ne serrent pas la main des femmes et dont le site s’en prend régulièrement aux « mécréants ».
Toute allusion à des questions critiques serait malvenue. Par exemple celles que se posent tant de citoyens en observant ce que produit l’islam aujourd’hui, dont l’épais nuage d’obscurantisme et de barbarie qui a atteint nos rivages. Les formateurs prennent d’ailleurs soin de préciser qu’ils traitent de l’islam « en Suisse », sans importation des « débats étrangers à l’islam et aux musulmans en Suisse ». Et l’on nous donne comme exemple de cours « Qu’est-ce que la charia ? Sens et portée du terme pour les musulmans en Europe. »
Le but : concocter aux musulmans une vie où des mœurs et conceptions du VIIe siècle sont promues et financées par notre société sans la moindre exigence. Un vaste projet de formations est déjà en cours, sponsorisé entre autres par le Service de lutte contre le racisme.
La Suisse généreuse et suicidaire, mais en douceur et sans douleur, s’attache ainsi à favoriser l’infiltration de l’islam et de ses prosélytes partout où une opportunité se profile.
Quant au peuple des mosquées, son avidité pour un encadrement religieux et identitaire est inépuisable. Est-il si déstabilisé par les libertés et l’ouverture dont il jouit dans nos sociétés ?
P.S. Le CSIS co-organise pour le 1er octobre prochain un colloque sur la charité musulmane. Les intéressés peuvent s’inscrire sur le site www.lasuissenexistepas.ch
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Un centre islam bien conseillé
Le casting du Conseil consultatif du CSIS est éloquent. Parmi ses 14 membres :
- Khaldoun Dia-Eddine, directeur scientifique du Musée des civilisations islamiques de La Chaux-de-Fonds. A participé activement à l’essor des Frères musulmans en Europe. Membre jusqu’en 2010 d’une organisation « charitable » au côté de Youssef Al-Qaradawi.
- Dilek Ucak Ekinci de l’Association islamique turque, représentante officielle de la Diyanet, ministère d’Erdogan. Membre du comité directeur de l’Association des organisations islamiques de Zurich (VIOZ), qui compte une brochette de fondamentalistes.
- Rehan Neziri, imam de la mosquée de La Nouvelle Lune à Kreuzlingen. Elle fait partie de la radicale Union des imams albanais de Suisse (UIAS).
- Rifaat Lenzin, théologienne musulmane et membre d’un « Think Tank interreligieux ». Favorable aux prières des élèves musulmans dans les établissements scolaires. A longtemps appartenu au comité directeur du VIOZ.
- Sakib Halilov, imam de la Communauté islamique bosniaque à Zürich-Schlieren. Il a été invité par le Département fédéral de l’intérieur avec le grand Mufti Husein Kavazovic de Bosnie-Herzégovine. Celui-ci a signé en février 2015 un vaste accord de coopération avec la Ligue islamique mondiale d’Arabie saoudite.
- Pascal Gemperli, président de l’Union vaudoise des associations musulmanes, élu Vert. Favorable au foulard des femmes dans toutes les professions, au foulard des écolières, à l’autorisation de la burqa. Le conférencier privilégié de ses congrès : Tariq Ramadan.
- Montassar BenMrad, président de la Fédération des organisations islamiques de Suisse (FOIS) qui regroupe quelque 150 mosquées. Il veut « faire entendre la voix du milieu, la voix de la modération ». Favorable lui aussi à tout le vestiaire islamique. A Arena (TV alémanique), il n’a pas réussi à condamner le refus des ados de Therwil de serrer la main de leur enseignante. Il a dû se reprendre.
- Isabelle Chassot a dirigé le Département de l’instruction publique de Fribourg de 2002 à 2013. Parmi ses directives aux enseignants : congés pour des fêtes religieuses (trois à cinq jours), autorisation du burkini et du foulard des fillettes, souplesse dans les cours de sport durant le ramadan jusqu’à « dispenser les élèves qui suivent le jeûne ». Les fêtes d’origine chrétienne « sont autorisées », mais attention à « ne pas porter atteinte aux sentiments religieux des élèves d’autres confessions ».
- Michele Galizia, directeur du Service de lutte contre le racisme. On connaît un des buts majeurs de ces mouvements : combattre les esprits critiques et imposer les revendications musulmanes.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Mireille Vallette pour Dreuz.info.
Le nuage mortifère du tchernobyl islamique s’insinue donc par tous les interstices de liberté qu’offre la Suisse, Mireille Vallette? Votre article laisse pantois, quant à l’imagination diabolique du djihad mondial, pour utiliser toutes les ressources de la démocratie, en singeant cette dernière, et la remplacer par un système politico-religieux figé dans ses pratiques archaïques, et laminant tous les acquis de la civilisation.
J’avais cru comprendre, à la lecture d’un article récent , sur Dreuz, qu’une très grande majorité de Suisses s’était prononcée contre la burqa.
Il s’agit, ni plus ni moins , d’empoisonner une société moderne , libre et prospère, d’abolir son histoire. L’islam stérilise la pensée. L’islam est létal.
La France fait de même avec le doux, le pacifique, BOUBAKER !
Mais précisément, la France est le parfait exemple à ne pas imiter!
Des sommes colossales ont été englouties, ces dernières décennies, en faveur des immigrés de toutes les terres d’islam en guerre les unes contre les autres. Il s’agissait de les “intégrer”; cela semblait donc “justifier” les milliards dépensés en logements sociaux ( à vie), aides et subventions de toute sorte; aide à la “parentalité” ( y avez-vous eu droit, vous, quand vous avez mis au monde vos enfants? moi, non! il ne me serait pas venu à l’idée d’en demander, non plus).; associations pléthoriques dédiées auxdits immigrés et “réfugiés”; alphabétisation — avec un succès que nul n’a osé évaluer—; expression prétendument culturelle, etc…
Tout cela pour s’entendre dire, depuis 2O12, que finalement, on n’allait tout de même pas exiger des nouveaux arrivants, qu’ils s’intègrent ( avec un méchant esprit de conservatisme ); non, l’on allait , tout bonnement, “inclure”, tels quels, des pans entiers de populations allogènes, africaines mahométanes , de préférence, en manière de rédemption inavouée, pour nos péchés de colonisateurs.
Pas un de nos hommes/femmes politiques ne s’est dit, à un moment donné, que les colonisateurs arabes qui avaient étendu leurs conquêtes sur l’Inde, les Maldives, l’Indonésie,l’ Afrique, etc… et les Y AVAIENT MAINTENUES JUSQU A AUJOURD HUI, auraient un sérieux mea culpa à accomplir; en sorte qu’ils la mettent en veilleuse et réfrènent leurs visées expansionnistes.
Boubaker est un barbu déguisé !!!
J’espérais que la Suisse serait épargnée… J’ai l’impression qu’ici aussi le tsunami fera son effet s’il n’y a pas rapidement prise de conscience et mesures efficaces. Y en a-t-il contre cette façon insidieuse de s’infiltrer partout?
j’ai de grandes inquiétudes pour la Suisse – des prophétes parlent d’empoisonnement des eaux ( chimique )
Eh bien Blum, je ne peux que vous approuver à 150%.
Lorsque je songe à toutes ces écoles, ces universités, ces crèches, ces hôpitaux, ces entreprises qui silencieusement donnent des gages à cette religion.., et à ces dévots qui n’apportent strictement rien à nos sociétés et se plongent dans de fières et misogynes bondieuseries sans que personne ne les arrête, j’ai l’impression qu’il est trop tard.
“… qui n’apportent strictement rien à nos sociétés …”
Et pour cet apport “substantiel”, ces “chances pour le pays” bénéficient de toutes les prestations sociales du pays … sans, presque jamais, avoir cotisé en conséquence.
Heureusement qu’ils se tiennent à carreau … et que l’on en retrouve aucun dans nos prisons trois étoiles (deux menus à choix ! … c’est vrai, je n’invente rien.)
@ à vous, Mme Vallette: Je ne veux pas croire qu’il soit trop tard, encore que, depuis que le gouvernement a abandonné nos caricaturistes à la kalach. des djihadistes, nous manquons d’armes: non seulement celles dont vous, Suisses, disposez, chez vous, après votre service militaire, mais d’armes intellectuelles. L’humour est désormais absent Or, les islamistes détestent qu’on les caricature, comme ils le méritent; ils ont bien compris que c’était une vraie arme!
Nous n’avons plus de Molière, non plus.
Je vous adresse qqs vers de TARTUFFE, Acte 1,sc. 2; Cléante, frère d’Orgon qui s’est entiché de Tartuffe, lui répartit:
“Hé quoi! vous ne ferez nulle distinction
Entre l’hypocrisie et la dévotion?
Vous les voulez traiter d’un semblable langage,
Et rendre même honneur au masque qu’au visage;
Egaler l’artifice à la sincérité,
Confondre l’apparence avec la vérité,
Estimer le fantôme autant que a personne,
Et la fausse monnaie à l’égal de la bonne?”
J’espère beaucoup des bistros politiques; il s’y rencontre des militaires, réservistes sans doute, mais auxquels il va falloir parler fermement des possibilités existant, d’armer la population, plutôt que de la livrer à l’égorgement programmé.
Bonjour,
A la lecture de cet article, comment peut-il rester un doute sur les menées expansionnistes de ces “précieux” immigrés et de leur descendance ? Il faut vraiment être naïf pour gober leurs arguments ?
Trop tard ? Ce n’est plus une impression, cela devient une certitude.
L’analyse des propos de nos dirigeants suffit à comprendre que nous devons être pessimistes pour l’avenir de nos enfants et petits-enfants.
La (re) lecture de l’ouvrage de Christian Makarian (Le choc Jésus Mahomet chez Lattès) nous donne quelques clefs intéressantes.
Mais le propos essentiel me paraît être celui attribué à Marcel Bigeard :
« La vraie guerre est ailleurs, là où personne ne l’a repérée. La vraie guerre, elle se passe dans les maternités …. ».
Mais qui est “personne” ? Finalement tous ceux qui se suffisent du “panem et circenses” d’un vieux poète latin d’il y a près de deux mille ans.
« …Les auteurs utilisent par ailleurs avec le plus grand naturel des termes inventés pour, et par, cette religion: islamologie, islamophobie, sciences islamiques… »
Durant le nazisme, des millions de personnes ont lu et ont été séduit par Mein Kampf et, plus généralement, par les théories nazies qui sont, par ailleurs, très similaires (dans le fond) à l’Islam.
Durant les années 50, des millions de personnes ont acheté (et quelques masochistes ont même lus) les œuvres complètes de Staline (eh oui) et de Lénine, traduites en X langues. Après la disgrâce de Staline, les gens se sont débarrassés massivement de ces écrits.
Nous pouvions espérer que ces enseignements de la « science islamique », de l’« islamologie » tomberaient « dans la désuétude », et que critiquer l’Islam deviendrait équivalant à critiquer les théories marxistes.
Hélas, il n’en est rien. Même si l’idéologie périclite (il y a des signes évident que c’est le contraire qui est en train de se passer), ces populations ont une démographie tellement supérieure à la nôtre … et une mentalité si incompatible avec la nôtre que notre disparition est programmée.
Les ennemis de notre pays, de notre civilisation nous ont déclaré la guerre. Pour le moment, nous avons une société organisée, … nous sommes supérieurs en nombre. Hélas, en ajoutant aux musulmans déjà présents ceux qui vont se déverser nous devons nous rendre compte que le temps presse (sans parler des traîtres qui veulent cette invasion).
Voici un commentaire de yoniii, du 30 août 2016, qui résume bien la situation :
« les seul fautif sont les patriotes occidentaux et ses cons de dhimmis civlies .
Tant que les patriotes occidentaux ne prendront pas les armes et n’en useront pas,
cela continuera de plus belle un bulletin de vote n’a jamais arrêter une balles.
Nous sommes en guerre pas en démocratie et en guerre il faut la livrer par les armes…
Les victimes sont seules fautives, ce balader sans arme défensive c’est de l’imbécilité suicidaire
néanmoins cette situation a une bonne chose les citoyen patriotes s’armeront de plus en plus et finiront par s’en servir et l’état n’y pourra rien si l’état a peur de ce défendre alors les citoyen patriotes doivent le faire de gré ou de force les citoyen patriotes s’armeront et en useront
c’est simplement une question de temps et d’opportunité mais c’est inévitable ce qui ce passe au Moyen-Orient va ce dérouler en Eurabia tant que nous ne livrons pas cette guerre par les armes la situation s’aggravera étape par étapes»
http://www.dreuz.info/2016/08/30/attentat-islamiste-toulouse-france-policiere-egorgee/
p.s : Hollande, Orbàn DISENT que nous sommes en guerre. La Suisse n’est même pas à ce stade. Et avec un Burkhalter et une Sommaruga au gouvernement, cette prise de conscience basique ne risque jamais d’arriver.
ce que font les musulmans en Suisse aujourd’hui, demain la Suisse sera comme la France d’hier
Génial, génial, … génial !
Mme Vallette, merci infiniment pour cet article dont NOUS (nous : les Hommes libres, … les Suisses de 1291) avons terriblement besoin.
La pieuvre islamique mortelle développe ses bras innombrables pour NOUS étouffer, … CHACUN de ses innombrables bras est mortifère (mortifère : qui cause la mort, létal) pour ce que NOUS sommes et voulons être.
Islam, … tolérance zéro, NOUS n’en voulons pas un milligramme (les nombreux pays musulmans de par le monde sont là pour ça ! GO HOME !).
MESDAMES, MESSIEURS, réveillez vous ! … il en va de la survie de l’Occident gréco-romano-judéo-chrétien, … le phare de l’humanité parce qu’Il est du côté du JUSTE, du VRAI, du BON et du BEAU.
« Monsieur Bonhomme et les incendiaires est une comédie aux allures de tragédie. C’est une pièce visionnaire dans laquelle Frisch annonce déjà en 1958, ce qu’est devenu notre monde actuel sous la menace terroriste.
[…]
Cette comédie est un chef-d’œuvre universel qui nous renvoie à nous-mêmes. Nous sommes tous des Bonhomme : on préfère aller droit dans le mur plutôt que de changer. »
Source : https://www.alchimic.ch/
La Suisse n’a qu’à accueillir le millier de migrants de Calais, s’ils les apprécient tant