Dans la nuit du 28 au 29 juillet, aux abords de la cité du Franc Moisin de Molenbeek sur Seine (aka Saint-Denis en Seine-Saint-Denis), aux alentours de 1h du matin, un groupe d’une quinzaine de terroristes musulmans a forcé un bus RATP de la ligne 170, reliant la gare RER de Saint-Denis à la Porte des Lilas, à s’arrêter en bloquant la route avec des poubelles en feu.

Après avoir contraint le chauffeur et les quelques passagers à descendre du véhicule, ils ont brisé les vitres avant de projeter des engins incendiaires à l’intérieur du bus qui a complètement été détruit par l’incendie.

L’attaque n’a heureusement fait aucun blessé. Les pompiers, protégés par les groupes d’intervention de la police, sont intervenu pour éteindre l’incendie puis sécuriser la zone.

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Dans un communiqué, La RATP a «condamné fermement cet acte» et annoncé qu’elle portera plainte. Une déviation de la ligne 170 a été mise en place afin d’éviter le secteur.

Le maire PCF de la ville, Didier Paillard, a dénoncé dans un communiqué «un acte de vandalisme, prémédité, gratuit, et dont les conséquences auraient pu être dramatiques» qui «fait suite à une tentative d’homicide sur un ouvrier par le jet d’un cocktail Molotov vendredi 22 juillet». Ironique quand on sait à quel point ces maires communistes ont dorloté les populations responsables de ce genre d’acte, en particulier en faisant de terroristes musulmans les citoyens d’honneur de leurs villes.

Le maire a demandé «une fois de plus, au ministère de l’Intérieur que la commune de Saint-Denis se voit attribuer des moyens policiers à la hauteur de sa population et des faits de délinquance qui gangrènent la qualité de vie» des habitants. Tout aussi ironique quand on se rappelle comment les communistes diffament les forces de l’ordre.

L’incident s’inscrit dans un climat tendu en Seine-Saint-Denis. En effet, durant la nuit du 29 au 30 juillet, une vingtaine des voitures de service et des minibus municipaux ont été incendiés.

© Gaïa pour www.Dreuz.info