Publié par Ftouh Souhail le 13 septembre 2016

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Il ne faut pas s’étonner si des musulmans de plus en plus jeunes décapitent, dans nos rues, des citoyens occidentaux.

A cause de l’immigration de millions de musulmans vers les pays occidentaux, les mœurs barbares de l’Islam s’installent, avec leur cortège d’égorgements et de décapitations.

Ici, une école privée coranique à Tunis a pris en charge, à l’occasion de cette sanguinaire coutume du sacrifice du mouton, aussi barbare pour les adultes que traumatisante pour les enfants, de donner des cours en égorgement rituel à la petite enfance.

Sans prendre conscience de l’impact désastreux de l’égorgement du fait de sa charge émotionnelle sur des enfants de moins de 4 ans, l’exercice s’est déroulé sur des moutons fabriqués en coton.

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Les enseignantes tunisiennes voilées ont même publié des photos expliquant les techniques de l’égorgement halal. Elles essayent notamment de montrer aux petits innocents comment tenir « les couteaux pour qu’ils coupent bien » selon la stricte application de la Sharia.

Alors que la licéité de l’égorgement du mouton par une femme ne fait pas déjà l’unanimité des savants musulmans, ces éducatrices motivent leurs élèves sur le fait que « tes parents égorgeront ce mouton pour ne pas avoir à t’égorger… »

La décapitation d’un mouton les rend ainsi insensibles à la vue du sang, et à la souffrance d’une pauvre bête qui se débat. Tuer un mouton ou un humain avec un couteau est le même geste. Il n’est pas étonnant que cette pratique répétée de l’égorgement, dès le plus jeune âge, couplée à la haine envers les non-musulmans que déverse le Coran dans ses versets, débouche sur des décapitations.

L’un des moyens d’assassinat les plus employés pour tuer les non-musulmans est la décapitation, que de nombreux chefs musulmans ont pratiquée à grande échelle, en suivant les préceptes de la Sharia.

Pas un jour sans nouvelles qui puent la mort sur la planète au nom de l’Islam : des assassinats, des égorgements, des prises d’otages, des boucheries perpétrées par des kamikazes au Yémen, en Libye, des carnages dans les rues d’Irak ou en Syrie, des tueries en Afghanistan ou au Pakistan…

Pour les musulmans, les égorgements et décapitations sont non seulement une pratique licite (halal) de l’Islam, mais aussi un moyen de propagande. C’est pourquoi ils ont la sordide manie de filmer leurs crimes barbares, afin de tenter de terroriser les peuples non-musulmans. En exemple cette décapitation en Tunisie, par des islamistes d’un converti chrétien (juin 2012) [de 1 h 13 à 3 h 59].

Et l’État tunisien tolère l’enseignement de la barbarie dans les écoles coraniques

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Enfants en train de mimer — en souriant — l’égorgement d’un homme

Alors que le rythme des égorgements et décapitations s’accélère, le gouvernement à Tunis ferme les yeux sur l’enseignement de la barbarie dans ces écoles coraniques.

Depuis l’an dernier, Nabiha Kammoun, la présidente de la Chambre nationale des jardins d’enfants et des crèches, a lancé une alerte, à la télévision, pour dire que l’État a abandonné le secteur de l’enfance aux islamistes, qu’il ne s’y investit pas, et la preuve en est que 91 % des enfants sont chez dans les écoles privées, qui sont dominées par les écoles religieuses.

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Elle a ajouté que le secteur est devenu de plus en plus fragile après le départ de Ben Ali en 2011, et l’avènement des associations et des « jardins d’enfants coraniques », qui fabriquent des projets d’enfants kamikazes et qui encadrent les enfants d’une manière qui leur est propre, selon ses dires.

Elle a ajouté que ces associations, qui opèrent depuis 2012, encadrent les enfants selon un programme extrémiste wahhabite, au vu et au su du ministère, précisant que ces crèches travaillent sans autorisation, sont non réglementées, et dans lesquelles les salafistes s’activent.

Et en grandissant, dans quel pays voudront-ils aller vivre ? En France…

D’ailleurs l’école coranique privée qui a formé l’auteur de l’attentat de Sousse en 2015 contre des occidentaux est toujours ouverte. (voir notre article)

Cinq ans après la révolte, l’ONU considère la Tunisie comme le premier pourvoyeur de combattants à l’Etat islamique, avec 5 500 ressortissants en Syrie et autant en Libye.

Les Tunisiens sont aussi les plus solidaires envers l’EI en Libye. Selon un sondage réalisé par l’institut Emrhod Consulting, 74 % des Tunisiens s’opposent à une intervention militaire pour déloger les djihadistes. Seulement 12 % des sondés l’approuvent (1).

On se rappelle comment, lors des attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis, des millions de musulmans, sur toute la planète, s’étaient félicités de l’assassinat de près de 3000 civils occidentaux.

En France, dans les cours de récréation des collèges et lycées de banlieue, de nombreux élèves musulmans avaient hurlé de joie à l’annonce de ces crimes contre l’humanité.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Souhail Ftouh pour Dreuz.info.

(1) Enquête réalisée entre le 16 et le 19 février 2016 auprès d’un échantillon représentatif de la population tunisienne en âge de voter (18 ans et plus). Un palier 1078 personnes ont été interrogées par téléphone dans les 24 régions (zones urbaines et rurales).

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