Publié par Guy Millière le 20 septembre 2016

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Au cours des trois derniers jours, on le sait, plusieurs attaques djihadistes ont eu lieu sur le sol américain.

L’une a eu lieu à St Cloud, dans la banlieue de Minneapolis, les autres ont eu lieu à New York et sur la côte du New Jersey. Il y a des blessés, dont l’un dans un état très grave, mais pas de morts.

L’un des djihadistes, celui qui a blessé neuf personnes à St Cloud avant d’être abattu par un policier, était un réfugié somalien, l’autre, celui qui a posé une bombe dans le quartier de Chelsea à New York, une autre sur la vingt septième rue, à New York toujours, et une troisième dans le New Jersey, était un réfugié afghan.

Ces attaques viennent après d’autres attaques djihadistes plus sanglantes aux Etats-Unis, à San Bernardino et à Orlando. Elles coïncident avec des attaques djihadistes menées en Israël, et suivent des attaques djihadistes menées ailleurs, en particulier en France.

Elles rappellent une réalité qu’il ne faut jamais oublier : nous sommes en guerre, car l’islam radical a déclaré la guerre au monde occidental.

Elles rappellent aussi une autre réalité, qui ne doit pas être oubliée non plus : la guerre s’est exacerbée depuis que Barack Obama est Président des Etats Unis. Ce parce que Barack Obama a été souvent complice de l’islam radical.

Nous sommes à cinquante jours d’une élection présidentielle cruciale aux Etats Unis.

Le peuple américain a le choix entre d’une part, une femme qui incarne la continuation d’Obama, en pire, car en supplément d’avoir les mêmes idées islamo-gauchistes que ce dernier, elle est corrompue, viscéralement menteuse, et gravement malade, et d’autre part un homme qui incarne les valeurs de l’Amérique profonde et entend mener la guerre contre l’ennemi, jusqu’à la victoire.

La logique voudrait que la femme qui incarne la continuation d’Obama, en pire, soit écrasée et sorte de l’histoire par la porte de service, et que l’homme qui incarne les valeurs de l’Amérique profonde soit élu triomphalement.

Il n’est, à l’heure actuelle, pas certain que la logique soit respectée.

Les sondages état par état montrent que la femme, Hillary Clinton, garde des chances d’être élue, quand bien même l’homme, Donald Trump, est en phase ascendante, depuis que la femme, Hillary Clinton, s’est effondrée physiquement le 11 septembre à New York.

Lundi 19 septembre, la femme, Hillary Clinton, a prononcé un discours plus infect encore que tous les discours infects qu’elle a déjà prononcé, et a désigné le coupable des actes djihadistes, Donald Trump lui-même, en expliquant qu’il était par ses propos un agent recruteur du terrorisme. Elle n’a pas une seule fois accusé l’islam radical, pas une seule fois, non. Elle n’a pas même employé l’expression “terrorisme djihadiste”.

Alors qu’elle a commis des actes de haute trahison en mettant en circulation des documents classés “secret défense” sur un serveur internet non sécurisé, alors qu’elle a laissé assassiner des Américains à Benghazi, menti à leurs familles, fait obstruction à la justice en détruisant des preuves à charge, et perpétré divers autres crimes, c’est un homme qui n’a rien fait de tout cela qu’elle ose accuser pour les attaques djihadistes qui viennent d’avoir lieu !

Cette femme est indigne d’occuper la fonction de Président. Sa place légitime, si les lois en vigueur aux Etats-Unis étaient respectées, serait la prison. Chaque phrase qu’elle prononce est infâme.

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Qu’elle ait tant d’électeurs potentiels montre que la population américaine change, qu’un nombre croissant d’électeurs américains est sans scrupules ni éthique, et de surcroit aveugle, ce qui signifie que les Etats Unis sont en danger.

Les djihadistes qui ont mené les attaques, je l’ai dit, sont des réfugiés musulmans. Hillary Clinton veut faire rentrer aux Etats Unis des dizaines de milliers de réfugiés musulmans supplémentaires dès les mois à venir.

Elle a une lourde responsabilité dans la naissance et l’essor de l’Etat Islamique, dont se réclament les djihadistes qui ont mené les attaques. Elle ne propose pas de détruire l’Etat Islamique.

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Pendant qu’Hillary Clinton prononçait un discours infect, Donald Trump prononçait un discours d’homme d’Etat. Il en a prononcé beaucoup au cours des trois dernières semaines.

Si, dans cinquante jours, Donald Trump est élu, l’Amérique et le monde occidental (que j’aimerais pouvoir encore appeler monde libre) auront une chance d’être sauvés.

Si Hillary Clinton est, au contraire, élue, le pire sera à craindre. Vraiment le pire.

Dans le premier cas, le 8 novembre sera un jour d’espoir. Dans le deuxième cas, ce sera un jour de deuil.

Si c’est un jour de deuil, de nombreux journalistes seront heureux, ils auront fait le travail de sape que Marx décrivait quand il parlait de vieille taupe et évoquait l’effondrement qui, espérait-il, allait suivre.

Les djihadistes se frotteront les mains.

Les victimes d’attentats futurs ne sauront pas nécessairement que leurs jours sont comptés.

Leurs jours seront comptés néanmoins.

© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.

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