Valeurs Actuelles a toujours prôné le débat loyal entre Français. Mais il y a des cas où le consensus se fait sur l’inertie… Décryptage d’une maladie nationale.
Relire en 2016 les premiers numéros de Valeurs Actuelles, publiés en 1966, peut surprendre.
Voilà un journal qui, d’emblée, s’est réclamé d’une droite sans complexe. Voilà aussi, pourtant, un journal qui, d’emblée, a dialogué avec toutes les gauches. Pourvu qu’elles acceptent, au-delà des différences idéologiques, la notion d’un « bien commun » national.
Ouvrons par exemple le numéro un, daté du 6 octobre 1966 : deux pages et demie sont consacrées à une interview d’André Barjonet, alors directeur du Centre d’études économiques et sociale à la CGT, et membre éminent du parti communiste. Le dossier commence par ces mots : « La CGT change. »
Dans le numéro trois, daté du 20 octobre : une interview sur quatre pages de Guy Mollet, ancien président du Conseil, secrétaire général de la SFIO, nom que portait alors le parti socialiste. Valeurs note à la fois que Mollet s’est opposé avec force aux communistes dans le passé, et « qu’il semble préparer pour l’avenir quelque rapprochement poussé, voire très poussé, entre le parti socialiste et le parti communiste ».
Peut-on aller plus loin dans le débat loyal avec ses adversaires ?
Pour l’équipe réunie par Raymond Bourgine, cette démarche n’est pas une astuce rédactionnelle (un pitch, comme on dirait aujourd’hui). Elle procède d’une conviction : « Dans toute patrie, il y a une droite et une gauche », écrit Bourgine. « La gauche est le double fraternel de la droite. » Il est sain qu’elles existent l’une et l’autre, qu’elles s’affrontent, et qu’elles se retrouvent sur l’essentiel. Cinquante ans plus tard, Valeurs reste sur cette ligne. Sans pitié pour l’impéritie de François Hollande, l’hebdomadaire publie sur six pages, le 14 juillet dernier, un portrait élogieux et une interview du ministre socialiste de la Défense Jean-Yves Le Drian, alias « le Menhir », « le ministre le plus populaire du gouvernement ».
Mais s’il est important de rechercher un consensus national, il est parfois plus important encore de le refuser. Notamment quand celui-ci ne repose, en dernière analyse, que sur la faiblesse et l’irrésolution des uns et des autres.
Dans l’histoire la Ve République, Mai 1968 est le cas le mieux connu d’une telle inertie globale.
A court terme, c’est un fiasco pour la gauche, qui perd les élections législatives du mois suivant, et va perdre toutes les autres pendant treize ans, jusqu’en 1981. A court terme, toujours, ces événements n’ont aucune incidence sur l’économie : les « Trente Glorieuses », cette prospérité de longue durée, caractérisée à la fois par l’essor de la production, la hausse des salaires et le plein emploi, se poursuivent cinq ans de plus, jusqu’en 1973.
Mais sur le long terme, Mai 1968 prend un tout autre caractère. Le général de Gaulle, alors président de la République, comprend le premier qu’une révolution sociétale est en cours derrière la tentative – ou le simulacre – de révolution politique ou sociale.
Faute de mieux, il parle de « chienlit », c’est à dire de charivari généralisé. Le sociologue Edgar Morin, décrivant les événements à vif pour Le Monde, préfère évoquer une « révolution mythologique », c’est à dire à la fois un événement fantasmé et l’avènement des fantasmes. Les deux analyses se rejoignent : pour l’homme d’Etat comme pour l’universitaire, Mai 1968, en « interdisant d’interdire », fait paradoxalement de l’anomie, du rejet de toute règle, une règle suprême. De Gaulle parti, moins d’un an plus tard, personne, à quelques exceptions près (dont l’équipe de Valeurs) n’osera plus s’élever contre cette dérive. Ni la gauche, qui croit pouvoir prendre sa revanche en l’instrumentalisant. Ni la plus grande partie de la droite, qui croit désarmer ainsi la « révolte des jeunes ». Avec le temps, l’anomie devient une seconde nature. Ou une addiction.
Dans le Monde des Idées du 26 juillet dernier, Frédéric Encel, maître de conférences à SciencesPo cosigne avec Yves Lacoste, ancien professeur à Paris VIII et fondateur de la revue Hérodote, une tribune où ils appellent, face à la menace jihadiste, au « réenchantement de la Nation républicaine », à « se ressouder autour des mots, des valeurs et des symboles de la Nation et de la République ». Ils ont raison. Mais quand ces mots, ces valeurs, ces symboles, et jusqu’à l’idée même de Nation, ont-ils été « désenchantés », sinon en Mai 1968 – et dans le long « après-Mai » où gauche et droite ont également trempé ?
Autre faux consensus, aux conséquences non moins corrosives : la démission devant l’immigration de masse.
Tout commence en 1976, une année tranquille, sans grèves, manifestations, ou élections. Le 29 avril, le gouvernement – le président de la République, Valéry Giscard d’Estaing, le premier ministre, Chirac, le ministre du Travail, Michel Durafour – décide d’autoriser le regroupement familial au profit des travailleurs étrangers déjà installés en France. Une mesure présentée comme un compensation humanitaire à la suspension de l’immigration décrétée près de deux ans plus tôt, le 3 juillet 1974, en raison de la crise du pétrole et du ralentissement de l’activité économique.
Mais un « effet Serendip » – allant à l’encontre du but recherché – se déclenche immédiatement. On compte alors 1,2 million de travailleurs immigrés originaires du Maghreb. La moitié d’entre eux ont déjà une famille, qu’ils font venir en vertu des nouvelles dispositions : plusieurs centaines de milliers de femmes et d’enfants arrivent ainsi en France en quelques mois. A l’automne, les services sociaux, les logements sociaux et les écoles sont littéralement saturés dans la plupart des grandes agglomérations : Raymond Barre, qui a remplacé Chirac à Matignon le 3 août, annule le décret. Mais le Conseil d’Etat invalide cette contre-mesure. Toutes les tentatives ultérieures tendant à limiter ou réguler l’immigration, notamment sous le second gouvernement Chirac, en 1986-1988, cabinet d’incertaine cohabitation avec le président socialiste François Mitterrand, se solderont par des échecs.
Le regroupement va donc se poursuivre. Et s’amplifier : du simple regroupement d’une famille nucléaire déjà constituée on passe à l’admission de personnes « rattachées » à cette famille. Il est devenu aujourd’hui la principale source de l’immigration légale, et sans doute aussi d’une immigration clandestine périodiquement « amnistiée ». En 2010, l’immigration pour motif familial représentait 45 % des 194 000 entrées autorisées en France, et l’immigration économique 9 % seulement. Seule évolution, sur quarante ans : l’Afrique noire a remplacé le Maghreb comme origine principale des arrivants.
Les conséquences, Valeurs Actuelles n’a cessé de les évoquer. Aucun parti pris contre l’immigration en soi : « Tout immigré peut devenir Français, s’il aime la France et s’il s’y identifie », observe Bourgine en 1985. Mais comment nier les échecs – inévitables sans une immigration de masse – de l’« identification » à la France : et donc la montée d’un grave problème de « vivre-ensemble » ? Aujourd’hui, les trois quarts de l’opinion publique, y compris une majorité d’électeurs de gauche, en conviennent. Mais le sursaut ne s’est toujours pas produit.
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Troisième faux consensus, le refus de mener des réformes économiques drastiques : libéralisation, simplification, responsabilisation. L’équivalent, pour la France, des redressements opérés dans les années 1980 par les conservateurs Margaret Thatcher et Ronald Reagan en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis, puis par le social-démocrate Gerhard Schröder en Allemagne, de 1998 à 2005. Elles sont nécessaires, chacun le sait. La gauche mitterrandienne et post-mitterandienne, il faut lui rendre cette justice, les a souvent esquissées, de Laurent Fabius à Dominique Strauss-Kahn, et de Pierre Bérégovoy à Emmanuel Macron, avant d’y renoncer par peur de perdre ses électeurs. Cela aurait donc été à la droite de les imposer, pour le bien commun. Or elle s’est dérobée elle aussi, à plusieurs reprises…
L’épisode de 1993 est sans doute le plus navrant à cet égard. Usure du pouvoir, contrecoup de la chute du communisme soviétique, en 1989-1991, et par implication de la dévaluation de toutes les idéologies marxistes ou étatistes : la gauche s’effondre cette année-là, tombant aux législatives des 21 et 28 mars de 300 sièges à 97. Pour la droite, au contraire, c’est un triomphe : de 242 sièges à 458. Soit, sur 575 sièges au total, 170 sièges de plus que la majorité absolue de 288 sièges.
Il n’y a eu que deux précédents à une telle Assemblée : la « Chambre introuvable » ultra-royaliste élue en août 1815, au début de la Seconde Restauration ; et la « Chambre bleu horizon », élue en novembre 1919. Dans les deux cas, le succès de la droite avait été écrasant, mais de courte durée. La Chambre introuvable avait été dissoute dès 1816 par le roi Louis XVIII lui-même, qui voulait disposer d’une majorité plus modérée et donc, en fait, plus docile. La Chambre bleu horizon s’était rapidement fragmentée en groupes rivaux ; une partie d’entre eux s’étaient alliés aux radicaux pour constituer une majorité centriste.
L’Assemblée nationale de 1993 va connaître un destin analogue. Rien ne l’empêche d’engager, aussitôt élue, toutes les réformes, économiques, sociales, sociétales, qu’elle a prévues : l’opinion est soit acquise, soit passive. Mais elle ne fait rien.
Un mauvais prétexte : Mitterrand, qui est toujours président, peut évidemment leur opposer son veto, comme il l’avait fait naguère à l’encontre de nombreuses mesures avancées par Chirac. Mais cette fois-ci, le rapport de forces est trop favorable à la droite, aussi bien numériquement que psychologiquement : passer outre, ce serait défier le suffrage universel et bientôt se retrouver dans la situation du maréchal de Mac-Mahon en 1877, sommé de « se soumettre ou se démettre ». Mitterrand, que la maladie mine, ne souhaite pas finir son double septennat – quatorze ans à la tête de l’Etat, la durée moyenne d’un règne sous l’Ancien Régime – de cette façon…
La véritable raison de l’inertie de 1993, c’est la faiblesse des individus.
Chirac, chef naturel de la droite, ne songe qu’à la « véritable échéance » : la présidentielle de 1995. Il a été deux fois premier ministre, face à deux présidents qui ne l’aimaient pas, Giscard d’Estaing et Mitterrand, et en a gardé un souvenir amer. En outre, il s’est persuadé qu’un premier ministre sortant ne peut pas gagner une présidentielle. Il préfère donc laisser Matignon à un « ami de trente ans », Edouard Balladur. Qui bien entendu décide d’être lui-même candidat, et juge plus prudent de gouverner a minima. Dès le mois de juin, Strauss-Kahn, le ministre de l’Industrie sortant, note dans Libération, non sans humour :
« Le nouveau gouvernement n’a aucune chance de réussir parce qu’il fait à peu près la même politique que nous, ce qui dénote une absence totale de réflexion. »
Chirac sera élu président en 1995. A la suite d’un retournement in extremis de l’électorat qui lui permet de coiffer Balladur au poteau. Mais l’opinion est déjà en train de repasser à gauche. Alain Juppé, nommé à Matignon, tente de faire les réformes éludées deux ans plus tôt : il est désarçonné par des grèves impitoyables. En 1997, Chirac dissout l’Assemblée nationale introuvable de 1993 : et se retrouve avec une majorité de gauche, dirigée par Lionel Jospin.
Mais ce ne sont pas seulement ses chances que la droite a gaspillées en 1993. C’est la capacité de réforme de l’ensemble de la classe politique, gauche comprise. Depuis vingt-trois ans, personne ne veut ou ne peut trancher le nœud gordien. Dernière victime en date de cette malédiction française : la socialiste Miriam El-Khomri, dont la « loi travail » est partie en lambeaux sous nos yeux.
Vingt-trois ans. C’est beaucoup. C’est trop. La France se ressaisira-t-elle ?
Bourgine aimait citer une phrase magnifique d’Antoine de Rivarol : « Les nations sont des vaisseaux mystérieux, dont les ancres sont au ciel ».
© Michel Gurfinkiel & Valeurs Actuelles, 2016
– hO Ben Alors Merde , A qui Ne SAit pas pourquoi ?
– i had a dream , a NICE dream …
Si Valeurs Actuelles n’avait pas, il y a 18-24 mois, très visiblement soutenu une future candidature de N. Sarkozy, la droite n’en serait peut-être pas là… Certaines candidatures seraient mortes de leur belle mort, certains ne seraient peut-être pas sortis du bois, d’autres auraient pu réfléchir d’abord à une plateforme commune et à un “deal” pour le mieux placé, etc.
Valeurs Actuelles avait une santé éditoriale (nombre d’abonnés et de lecteurs) très surprenante dans un contexte de grande morosité pour la presse. Cela voulait dire quelque chose… Mais Yves de Kerdrel et la direction de Valeurs Actuelles n’ont vraisemblablement pas compris quoi.
Croire (et pousser) que la (future) candidature de N. Sarkozy à la présidence pour 2017 était ce qui était attendu au lieu de continuer à faire émerger et traiter des thématiques nouvelles, est un très efficace éteignoir…
Pensez vous que Juppé est mieux ?
Probablement que le prochain quinquennat est le dernier car la guerre civile éclatera tôt ou tard ( avant 2022 ? ) . Sarkozy ne propose rien de concret pour l’en empêcher et si la guerre civile éclate bien pendant son éventuel second quinquennat il s’exilera pour échapper aux troubles pour présider depuis l’étranger car en fait il n’en à rien à péter des Français contrairement à ce qu’il veut faire croire , il est seulement avide de pouvoir .
Y. De Kerdrel a sponsorisé Ménard et son diner Ozez quelque chose, il s’est retrouvé avec les 51 propositions de Ménard , une candidature de je ne sais plus quel écrivain et la porte claquée par MMLP et Collard , ce qui a fait dire à Y.De K. qu’il s’était fait cornaquer par Ménard . Quand on s’aperçoit qu’on s’est fait entuber , qu’est-ce qu’on fait ? on continue sur sa lancée ? ?
Fidéle lecteur de Valeurs , depuis sa création , je trouve objectivement qu’il n’a
pas faillis à sa mission …. Déjà le plaisir de lire des journalistes érudits s’exprimants
dans la langue de Moliére …. Et ensuite une ligne éditoriale , qui informe et analyse
sur tous les sujets de société …
Les prises de position Politique ….sont toujours prudentes … l’on ne peut prétendre
qu’il y ait un affichage partisan ,privilégiant , tel ou tel , au détriment de l’Esprit
critique , qui est l’essence même de cette publication Nationale …!!
Le salut et l’avenir de la France ne se situent pas auprès d’une classe politique corrompue et inféodée au supranationalisme européiste et dictatorial de Bruxelles. Valeurs Actuelles se trompe lourdement et inexcusablement de défendre un parti politique, le LR (ex-RPR, ex-UMP, ex-etc. dont l’appellation change au gré des ambitions présidentielles de l’opportuniste qui arrive à séduire le plus grand nombre de futures dupes) qui a démontré qu’il n’a pas du tout l’intention de défendre les valeurs familiales traditionnelles de la France. Pour l’anecdote, Nicolas Sarkozy aurait dit dans son dernier torchon de livre (je ne l’ai pas lu et ne compte ni l’acheter, ni le lire) que sa pensée a “évolué” au sujet de l’appairage pseudo-mariage pour tous. Terme politiquement correct pour dire que, le cas échéant, il ne compte pas revenir sur la loi Taubira inique, misérable, suicidaire. Autrement dit, lorsque des représentants du LR se sont joints à la manif pour tous, c’étaient uniquement afin de faire de la récupération politicienne. Messieurs les bouffons du LR, l’année prochaine vous paierez votre trahison dans les urnes.
Je voudrais m’adresser à tous les Français qui lisent ce post : Si vous êtes attachés aux valeurs familiales traditionnelles (la famille, élément constitutif fondamental de toute société équilibrée, composée d’un papa, d’une maman et, le cas échéant, d’enfants) ainsi qu’à l’indépendance de la France par rapport à la dictature bruxelloise, voudriez-vous de Nicolas Sarkozy, ou d’Alain Juppé, ce qui revient au même, comme futur président ?
La réponse vous appartient et vous aurez l’occasion de l’exprimer l’année prochaine.
Je suis pro Sarkozy, tout en étant anti islam, mais la blonde le pen est infiniment dangereuse, avec une politique économique qui nous conduirait vers le désastre, sans oublier son anti américanisme absolument abject et honteux. Et c’est cette blonde assez répugnante qui provoquerait une guerre civile dès le lendemain de son éventuelle élection, le pays serait à feu et à sang.
En tous les cas, Mr Sarkozy sera de toute façon le moins mauvais, c’est absolument clair et net.
Vous véhiculez des contre-vérités qui ne sont que des fantasmes gauchistes. La politique économique suivie par les européistes est de toute façon un désastre et le protectionnisme sélectif l’unique solution… Les USA mènent une politique (notamment en Syrie) qui, elle, est abjecte : ils le paieront bientôt, surtout s’ils élisent l’ignoble Clinton. Quant à la guerre civile si MLP est élue, cela prouve une chose : vous n’êtes pas un démocrate puisque vous ne voulez pas faire respecter les décisions du peuple. Je vous parie qu’il ne se passerait pas grand chose dans la rue en cas d’élection de Mme Le Pen mais, si cela se produisait, il faudrait écraser la rébellion dans le sang : la démocratie, ce n’est pas la chienlit. La Troisième République – qui n’est pas si loin de nous – a su se faire respecter plus d’une fois dans le sang et personne aujourd’hui n’y trouve rien à redire. À bon entendeur…
En matière de grossièreté et d’absence totale d’argument ( à part votre statut de lesbienne refoulée ) vous n’avez aucune leçon à prendre ( sauf en orthographe toutefois ) .
” ( à part votre statut de lesbienne refoulée ) ” : vous vous arrogez le droit de me coller une étiquette sans même me connaître ? une insulte encore alors que j’en appelle à la simple acceptation de personnes qui ne vous ont probablement rien fait. Les homosexuels (dont je ne suis nullement) ont-ils à vos yeux juste le tort de seulement exister ?
pour vous Chinook
http://premium.lefigaro.fr/vox/politique/2016/09/21/31001-20160921ARTFIG00369-sarkozy-sous-le-regard-de-l-historien.php
Grand merci Alice, belle soirée à vous.
http://www.libertyvox.com/article.php?id=537
“’il n’a pas du tout l’intention de défendre les valeurs familiales traditionnelles de la France” : ben oui, restons en aux années 50, pourquoi pas… ? pour info, le mariage pour tous ne prend rien aux hétéros, absolument rien, il ne vous enlève rien, alors basta !
Chintook , à ce que je crois savoir et je vous le dis amicalement , vous ne vivez ni n’êtes citoyen(ne) de ce pays , donc vous n’êtes certainement pas la personne la mieux placée pour savoir ce qui bon ou pas bon pour nous , ok ?
Zut il y a un ‘t’ de trop , désolé !
Hé bien si, je suis française, de naissance, du nord de France et je vis en france, malheureusement à ce jour car ce pays me dégoûte du fait de son immobilisme, et vous vous voudriez m’enlever ma liberté d’expression ? drôle de conception de la démocratie !
C’est ça et moi je suis le pape !
Et pourtant c’est exact, mais votre tendance à l’expression grossière dénote aussi une absence totale d’arguments.
vous accusez d’ immobilisme un pays qui s’islamise à 300 à l’heure avec des collabos de droite comme de gauche qui entretiennent la machine à abrutir musulmane comme une formule 1 ?
Tous ensemble avec l’islam , tous ensemble , tous ensemble , quel dynamisme , dans la connerie OK , mais quand même !
Sarko Hollande Juppé même soumission criminelle !
Je ne vais pas argumenter avec quelqu’un qui s’exprime en utilisant des clichés usés jusqu’à la corde par les partisans de l’appairage sodomite/lesbien.
J’aimerais quand même préciser un chose et je sais que vous n’allez pas l’apprécier mais je vous le dis quand même : Si d’aventure et pour le malheur de la France votre champion, le voyou et escroc politique Nicolas Sarkozy (complicité de vol/détournement du résultat du référendum sur le traité européen en 2005, l’auriez-vous déjà opportunément oublié ?) devait arriver au second tour l’année prochaine face à, par exemple, le pire président de la 5ème République et pensionnaire actuel de l’Elysée, je voterai blanc, même si cela doit indirectement et bien involontairement reconduire dans sa fonction présidentielle l’artisan principal de la loi Taubira scélérate. NS ou FH, sont les deux faces de la même pièce, la supercherie européiste bruxelloise. There’s no free meal anymore !
Ce post s’adresse à Chinook.
Le Pen est infiniment plus dangereuse que Sarkozy, par ailleurs nous n’avons plus de vrai libéral au sens français du terme en politique, Alain Madelin malheureusement est hors jeu. Oui je suis pro capitalisme, libéralisation réelle de l’économie, pro USA et Canada à 200 %, anti étatisme, pro Israel et anti-Islam. Que cela plaise ou non d’ailleurs. Qui plus est je suis veuve d’un militaire anglo-saxon ayant combattu le terrorisme pendant des années jusqu’au sacrifice ultime, je considère n’avoir plus de leçons à recevoir de quiconque.
Madelin est un invité récurent de BFM Business et il est également le gérant d’un fond d’investissement privé . Je pense que vos propos n’ont aucun sens concrètement car il faut tenir compte du contexte économique du pays considéré , ce que vous semblez ignorer . La pensée économique de Madelin est macro-économique , l’UE est pour lui son champ d’investigation , la France n’en étant qu’une ‘ sous-zone ‘ .
” l’appairage sodomite/lesbien” : ah les préjugés et l’intolérance doublés de propos tombant sous le coup de la loi en france d’ailleurs. Liberté, notre bien le plus précieux.
Votre esprit est rempli de préjugés et vous me faites un procès d’intention. Qui vous parle de la personne que vous mentionnez ? Où avez-vous lu son nom dans mes posts précédents ? Vous faites une véritable obsession de cette personne. Vous ai-je dit que j’étais pour une économie étatique centralisée avec des plans quinquennaux ? Vous semblez croire que la France chrétienne et souverainiste se limite à son parti. Enlevez un peu vos œillères et informez-vous.
” … ah les préjugés et l’intolérance doublés de propos tombant sous le coup de la loi en france d’ailleurs … ”
Je suis étonné que vous ne m’affubliez pas d’un autre de vos clichés, celui d’homophobie. Il ne manque plus que celui de xénophobie et d’islamophobie. Si mes propos, non-édulcorés par le politiquement correct, et qui vous dérangent énormément sont susceptibles de tomber sous le coup de la loi française scélérate, c’est à cause de gens qui pensent et agissent comme vous : Ces personnes qui chérissent leur petite liberté personnelle mais qui sont prêts à en priver arbitrairement tous ceux qui ne partagent pas leur vision du monde, comme les vils gauchistes de ce pays qui pensent que la France leur appartient et qui, en réalité, sont des idéologues et usurpateurs identitaires et totalitaires. Vous aimez la liberté, mais seulement la vôtre; vous la refusez aux autres. Si vous aviez un minimum de culture juridique et historique, vous sauriez qu’il existe des lois liberticides surreprésentées dans l’arsenal législatif français. Cela démontre amplement à ceux qui ont des yeux pour voir que la France n’est plus, et cela depuis de nombreuses années déjà, une vraie démocratie mais une crypto-dictature européiste.
Le mal qui gangrène la France, c’est l’abandon de nos valeurs judéo-chrétiennes qui, jadis, ont fait de la France un des phares du monde. C’est de cet abandon que sont nés le relativisme moral, le féminisme, l’égalitarisme, la théorie du genre, sortie e.a. du cerveau dégénéré d’une féministe radicale et lesbienne américaine, l’hyperindividualisme, le consumérisme, le matérialisme et bien d’autres maux qui accablent notre société. C’est l’abandon de notre culture, de notre identité religieuse et nationale au sens patriotique du terme, de notre indépendance aussi, qui ont produit les décisions calamiteuses de nos irresponsables politiques corrompus en matière d’immigration extra-européenne incontrôlée. Ce sont les conséquences de votre philosophie de vie dont vous vous plaignez mais dont vous chérissez les causes.
Au fait, pouvez-vous m’expliquer à quoi pourrait bien servir une économie basée sur la libre entreprise si nous sommes envahis de toutes parts de clandestins extra-européens qui ne viennent en France et en Europe que pour profiter des largesses de nos systèmes de prévoyance, de santé, de retraite et de chômage ? Votre champion, le truand et escroc européiste Sarkozy, n’a strictement rien fait pour supprimer les effets désastreux des accords sur l’espace Schengen qui sont directement à l’origine de l’envahissement que nous subissons depuis un certain temps à cause de l’absence de surveillance de nos frontières nationales.
Primaire de la droite et du centre : H. Mariton , le seul opposant réel à l’appairage sodomite/lesbien qui vous décrit si bien , vient d’être exclu de la primaire pour des motifs assez mesquins et discutables , elle est où la liberté ? LR = Magouille et République .
Ce commentaire s’adresse à Chinook .
http://jforum.fr/qui-est-david-rachline-directeur-de-campagne-de-marine-le-pen.html
les commentaires sont aussi parlant
=> LA VRAIE INERTIE C EST CEUX QUI NOUS LAISSENT AVEC L EURO.
cette monnaie communiste responsable de la crise de 2008.
sans l’euro, le déficit, la mauvaise gestion deviendrait de l’inflation et avec de l’inflation on peut pas emprunter à 0% : on finit par plus pouvoir emprunter.
Déficit et mauvaise gestion se résorbent alors naturellement par l’inflation et surtout pas l’impossibilité d’emprunter de façon éternelle !!!!!!!
@Alice : les personnes en France qui sont le plus victimes de racisme , d’insultes , de malveillance et d’arbitraire sont les dirigeants et les électeurs du FN , que ce soit dans la réalité , dans les médias ou sur Internet .