Publié par Rosaly le 27 octobre 2016

soulier Pirelli

Les mauvaises langues diront : encore un hoax de la fachosphère pour susciter la haine contre ces pauvres gens qui fuient la guerre, la misère et la faim au péril de leur vie. Nous aussi préférerions que ce soit un hoax et que les migrants soient d’authentiques bénéficiaires de l’aide humanitaire.

Eh bien non ! Navrée de vous décevoir, vous les soi-disant Hoaxbunkers, mais cette révélation-choc émane du Président de la coopérative sociale Sar.ha, qui héberge des migrants à l’hôtel Byron de Malcontenta (Venise).

Si certains sont de véritables réfugiés, pour d’autres, de sérieux doutes subsistent, vu leur comportement violent, leurs exigences et leur arrogance, une fois accueillis en Italie.

Quand ils débarquent dans le pays, ils n’ont pas de souliers, mais des smartphones de la dernière génération et des exigences vestimentaires de luxe.

Dès lors, si on leur offre des vêtements de Caritas ou du Centre d’accueil, ils ne cachent pas leur déception, car ces vêtements ne sont pas griffés des grandes marques. Ils veulent des vêtements de chez Armani ou Hugo Boss et des souliers Pirelli.

Quoi de plus normal ! Nos dirigeants les invitent, répètent sans cesse : «nous avons besoin des migrants», «ils sont une chance, une richesse pour notre avenir». Ces propos irresponsables ne tombent pas dans les oreilles de sourds…

La polémique a éclaté suite à la décision de la coopérative Sar.ha de mettre des loquets aux fenêtres des chambres pour empêcher les migrants de quitter l’hôtel la nuit.

Les migrants étaient descendus dans la rue pour protester entre autres contre la nourriture qu’ils ne trouvaient pas à leur goût. De plus, ils ne veulent pas de jeans ordinaires, mais griffés Armani et Hugo Boss. Ce ne sont pas les premiers à dédaigner les vêtements qui leur sont gracieusement offerts— quand ils ne les brûlent pas carrément.

«Malheureusement, ils viennent en Italie, ayant comme modèle le système d’accueil des pays du nord de l’Europe» a déclaré Lorenzo Chinellato, président de la coopérative Sar.ha au journal Il Gazzettino.

«Quand ils sont arrivés, nous leur avons donné des vêtements standards. Mais ils aiment les vêtements de marque, Armani et Boss, et ils nous ont demandé des souliers Pirelli. Quand ils ont débarqué, ils n’avaient pas de souliers, mais tous possédaient des smartphones de la dernière génération.»

Ces exigences de luxe de la part de «réfugiés» fuyant misère, guerre et faim ne sont pas rares. Il y a quelques jours, d’autres «réfugiés» logés dans un complexe hôtelier ont bloqué une route pour réclamer plus d’argent, des menus plus variés, et une accélération des formalités administratives.

D’autres ont saccagé une partie de l’hôtel où ils étaient hébergés, situé dans une très belle réserve naturelle, pour les mêmes raisons.

Hier, une centaine d’Africains ont essayé de bloquer le trafic via Aurelia à Rome, car ils ne voulaient plus de tickets d’achat, mais de l’argent.

Et le ministre de l’Intérieur continue à affirmer qu’il n’y a pas de problème, que tout est sous contrôle et que la gestion des «réfugiés» est parfaite. Il s’en félicite d’ailleurs, mais il est le seul.

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Il continue à obliger les maires des petites communes à accueillir des groupes de migrants, mais les habitants disent stop, notamment en Ligurie, en Toscane et dans les Pouilles.

Dans le village de Goro, les habitants ont dressé des barricades pour empêcher un bus amenant des migrants de les déposer dans le centre d’accueil réquisitionné par les autorités, et le bus a dû rebrousser chemin.

Depuis, les critiques des politiciens s’abattent sur ce village, et Cécile Kyenge, ex-ministre de l’Intégration qui a déclaré rêver de voir une Italie africanisée, a dit que ce village est «le village de la haine». Le Pape François y a ajouté son refrain et a appelé les habitants à être généreux et ouverts envers ces «pauvres migrants».

La situation est cauchemardesque pour les Italiens.

Si certains migrants sont logés dans des structures d’accueil, aujourd’hui débordées, ou dans des hôtels 3 et 4 étoiles réquisitionnés par le gouvernement comme à Vérone, où un hôtel a été prié de renvoyer ses touristes pour y loger des migrants, d’autres dorment dans les rues et les parcs et transforment ces lieux en dépotoirs.

Dès la tombée de la nuit, les gens n’osent plus sortir et les nuisances sonores des migrants les empêchent de dormir.

Mais pour le ministre, il n’y a pas de problème…

Les médias continuent à parler de «réfugiés syriens» (ce doit être des mutants, car ils sont très noirs pour des Syriens) alors que les bateaux ne cessent de débarquer des milliers d’Africains en provenance du Ghana, du Bénin, du Sénégal, de la Côte d’Ivoire, du Soudan, d”Erythrée, de Somalie, en plus des Maghrébins. C’est se moquer des gens !

On vient d’ailleurs d’arrêter trois Maghrébins qui recrutaient des jihadistes entre Milan, Turin et Savona, et d’appréhender un groupe de «réfugiés» égyptiens qui diffusaient du matériel de propagande jihadiste sur le net.

Mais il est interdit aux Italiens de se plaindre de l’invasion.

Les manifestations sont interdites, les hôtels réquisitionnés, les touristes priés de se loger ailleurs.

En projet, la réquisition des résidences secondaires et des maisons à louer…

Pour les Italiens devenus citoyens de seconde zone dans leur propre pays, ce n’est plus La Dolce Vita, mais Riso amaro (riz amer)

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Source : » Le pretese choc dei migranti: Dateci vestiti Armani e Boss– Il Giornale.it

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