Insondable est le juste mot qui convient à la bêtise de tous les convenus. On croit que l’on a touché le fond, et bien non, les bornés repoussent toujours les limites de la sottise connue.
Un esprit sain pouvait penser que le reportage réalisé par Bernard de la Villardière pour M6 et consacré à l’échec rencontré par la république pour régler les problèmes islamiques lui aurait valu la reconnaissance de ses pairs.
Le journaliste aborde en effet sans le fard habituel les questions qui fâchent ordinairement ceux de nos contemporains qui prennent toute critique de l’islam contemporain pour une offense aux bonnes mœurs.
C’est ainsi qu’il montre que l’UOIF n’est que le faux-nez des Frères musulmans. Pour le même prix, il dévoile le projet impérial qui se dissimule sous le discours chattemitte de nos frères bonhommes.
À Sevran, il confond le maire de la cité, tout confus d’avoir à expliquer pour quelles raisons quelques jours avant la dernière consultation, il a cédé, pour une poignée de nèfles, un terrain communal pour abriter une école intégriste. Bien entendu, l’édile municipal, la main sur son cœur vert d’écolo-gauchiste, jure que cela n’a rien à voir avec du clientélisme.
Dommage que notre journaliste n’ait pas eu le temps de se rendre à Trappes, questionner Monsieur Hamon sur ses accommodements, ou dans toutes les cités communistes qui ont fait citoyens d’honneurs d’authentiques terroristes, cela aurait pu aussi valoir le détour.
En revanche, celui-ci s’est rendu dans le 18e arrondissement de Paris, où il a pu démontrer sans grande difficulté les espiègleries de la mairie de Paris pour contourner la loi sur la laïcité et offrir une seconde mosquée sous couvert d’un centre culturel.
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Il faut voir encore comment La Villardière montre que les tentatives de déradicalisation des djihadistes en milieu carcéral relèvent de la farce la plus indigeste.
Il ne faudrait pas penser que ce voyage en pays islamique tourne en exploration anti- musulmane. C’est ainsi, par exemple, que notre journaliste empathique nous fait pénétrer dans un foyer de franco-tunisiens sympathiques que l’on aimerait connaître, avec son pater familias chaleureux et sa fille aussi drôle que voilée.
Enfin, ce périple passionnant se révèle périlleux lorsque quelques islamo-gangsters s’en prennent physiquement à notre reporter.
On aurait donc pu croire que la profession aurait eu à cœur de tresser des lauriers mérités à l’un de ses membres dangereusement exposé.
Las, un esprit sain n’est en cette matière sulfureuse qu’un esprit simple.
Il faut lire les commentaires constipés de ses chers confrères de Libé, il faut boucher son nez pour parcourir un article qui se veut caustique dans Télérama, et même dans l’Express, ordinairement mieux inspiré, un folliculaire, plutôt que de morigéner les malfrats agressifs, explique tranquillement que c’est le journaliste qui a été fautif en se rendant sur site sans y être convié.
Dans l’Obs Rue 89, ce sont des « journactivistes » (admirez donc l’acronyme peu soucieux d’oxymore), dont la promotrice du « camp d’été décolonial », interdit aux blancs, qui donnent au journaliste effronté une leçon d’antiracisme et d’objectivité.
Rendons ainsi grâce à la profession des journalistes, elle n’est nullement corporatiste, contrairement à ce que voudrait faire accroire la légende tenace. Elle est seulement idéologique.
Que l’un de la confrérie idéologisée soit seulement égratigné, et c’est la liberté qu’on assassine. Mais qu’un professionnel courageux veuille faire son travail à contre-courant de la doxa obligatoire, alors tirez à vue sur le journaliste !
Hier, c’était ce journaliste de FR3 qui révélait l’existence du mur des cons du Syndicat de la Magistrature. Il faillit y laisser sa peau, sans que les principaux syndicats de journalistes ne lèvent un sourcil.
Aujourd’hui, un autre a dynamité allègrement le mur des murmures et des chuchotements. Laissons donc les méchants à leurs égarements.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Gilles-William Goldnadel. Publié avec l’aimable autorisation de Valeurs actuelles.
Les journalistes ont une responsabilité colossale, qu’on ne mesure absolument pas… Bien plus grande que celle des politiques, à mon sens. Ce sont eux, en tant que groupe « idéologique » justement, qui créent littéralement l’air du temps.
Lorsqu’ils décident de plébisciter tel ou tel phénomène qu’ils auront choisi au milieu de l’océan des réalités, telle ou telle vogue, tel ou tel courant culturel — la culture américaine hip-hop, par exemple, dont les effets sont bien plus profonds et multiples qu’on pourrait penser — ils provoquent eux-mêmes un engouement, qu’ils vont eux-mêmes faire perdurer en s’attelant à le commenter ou à l’ “analyser”. Faccio tutto io, en somme (« eh, sono giornalista ! »)
Il n’est dès lors pas étonnant qu’ils couchent (au propre comme au figuré) avec le Pouvoir législatif et exécutif car ils SONT eux-mêmes un pouvoir.
Les journalistes ont le pouvoir de rendre visible ou de mettre au placard — le pouvoir de FAIRE EXISTER. Tout médiocres que la majorité des journalistes puissent être, voilà l’effroyable champ d’action de cette meute grégaire.
Quand l’un d’eux use de cet incroyable pouvoir de manière indépendante (ou presque) pour dénoncer une omerta, dévoiler une situation inconnue au grand public ou faire entendre une injustice qui n’est pas à l’ordre du jour de la meute : haro sur le franc-tireur ! c’est un déserteur, il agit contre l’armée régulière ! À fusiller, donc.
Quand on voit l’armée régulière sur les plateaux (d’émissions pompeusement appelées “politiques”) caqueter avec la même frivolité, la même vacuité satisfaite que s’ils prenaient un apéro dans un bar à tapas… On se prend à regretter qu’Émile Zola fut aussi un des leurs : car c’est leurs parties génitales à eux qui méritent de se retrouver au bout d’une pique, aujourd’hui.
Un seul mot : BRAVO !
Merci Robbie, de cette très pertinente contribution.
Tous ceux qui ont vu cette émission, même partiellement, savent que ce qu’a rapporté le courageux journaliste de M6 – pourtant très ‘soft’ par certains côtés – correspond à la réalité vécue par les Français.
Cette caste journalistique ‘constipée’ qui décrie la Villardière ne fait donc qu’apparaître un peu plus aux yeux des citoyens non encore complètement lobotomisés comme ce qu’elle est : une engeance de manipulateurs, en laquelle on ne peut avoir une confiance que très limitée, pour ne pas dire nulle.
La fracture se fait de plus en plus béante entre le peuple et ces soit-disant “élites” politiques et médiatiques, qui apparaissent de plus en plus sous leur vrai jour : des collaborateurs de l’envahisseur, des traîtres à la France.
DEJA CENSURE :
La vidéo n’est plus disponible sur les sites M6 Youtube et autres . Ce reportage est trop sensible, et M6 fait jouer à fond ses droits de propriété pour interdire la diffusion de cette vidéo.
reste l’émission Tabou, qui parle de ce reportage :
https://www.bing.com/videos/search?q=de+la+villardi%c3%a8re+tabou+youtube&view=detail&mid=BE045BE8C7250F86CDECBE045BE8C7250F86CDEC&FORM=VIRE
Il semble que la vidéo du reportage “La République en Echec” soit dispo sur un site Russe. La Pravda (Vérité) ressuscite !!!
Personnellement, j’ai pris le soin de l’enregistrer avant qu’elle ne soit effacée de Youtube.
Vs pouvez aller sur t 411 le télécharger
Le “bon” journaliste c’est celui qui fait là où le politburo lui dit de faire, c’est le journaleux collabo qui ne parle pas de rené bousquet le copain de mitran , qui parle de réfugiés au lieu de dire que c’est une invasion arabo-musulmane, qui scrute la coiffure de Donald Trump en évitant de parler des casseroles au cul de mamie zinzin d’outre atlantique.
Vive la déontologie journalistique à la française.
Quand on franchit le Rubicon de la déontologie ‘ Veni , Vidi , Vichy ‘ devient votre cheval de bataille …
Einstein a dit : deux choses sont infinies l’univers et la bêtise humaine ; pour l’univers je ne suis pas certain ………………………………………………………………………
Par contre , on sait ou se situe les autres ( journalopes)……………………..
Je ne dirais qu’un (4) mot …………..
BRAVO!!! Monsieur De la Villardière …………………….
Vous êtes GRAND !
c’est notre regretté Coluche qui disait, en parlant des journalistes : “un chien mord une vieille femme et le journaliste d’écrire, regardez la vie de ces pauvres bêtes, obligées de bouffer des vieilles pour survivre”
et c’est toujours d’actualité !
B. de Villardière a montré un vrai courage, Monsieur, moral et physique, en allant faire un reportage à Sevran.
Qui ne sait, en effet, MAINTENANT, que cette commune est un fief islamiste grâce aux Verts et aux Communistes?
Votre 1ère phrase, Monsieur, n’est pas juste. ” …l’échec rencontré par la république pour lèmes islamiques”.
Mais c’est du contraire qu’il s’agit!sous mes yeux, l’islamisation de Sevran, DECIDEE par des fonctionnaires et politiceins véreux, passés du communisme à l écologie, après la chute du bloc soviétique.
Travaillant là-bas, depuis 1991, j’ai entendu l’un d’eux dire’il ne voulait pas que ” SEVRAN reste une oasis dans le 93.” E, moins de 3 ans, Sevran est de non-droit.
Non, M. de La Villardière n’est “pas chez lui” , là-bas, pas plus que je ne l’étais, n’étant ni gauchiste, i pro hamas.
Ce journaliste des plus talentueux montre un grand nombre de dérives dont l’attribution d’une mosquée sous couvert d’un centre culturel financé par la municipalité de Paris et c’est lui qui se fait flinguer!
De quoi vomir!!!…………..
Charia , dans toutes les sales de rédaction
Nous chantons la même chanson
Charia , sou sou mission
Nous n’avons plus qu’une seule activité
Nous projetons de nous infiltrer
Charia , sou sou mission
New-York , London , Paris , München
Dans le monde post-occidental
Nous nous érigeons en tribunal
Charia , con con vertis
Charia con con vertis
Charia , dans toutes les sales de rédaction
Nous chantons la même chanson
sou sou mission
Nous ne sommes pas de la race des rats
Nous préférons la Charia
Nous sommes con con vertis
J’aimerais vous informer
j’aimerais vous déformer
J’aimerais vous formater
Charia , sou sou mission
Charia , dans toutes les sales de rédaction
Charia , nous sommes de plus en plus
Con con vertis
Charia , dans toutes les sales de rédaction
Nous chantons la même chanson
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