La foule était compacte, ce 27 octobre : plus de 3 000 personnes s’étaient rassemblées sur l’Esplanade des Invalides, près du Quai d’Orsay.
Les forces de police qui protégeaient ce rassemblement ont eu droit à une ovation
A l’appel de toutes les organisations juives sauf l’UEJF, appendice socialiste que les obéissants dirigeants utilisent comme tremplin pour leur carrière (*), et la participation de l’amitié judéo-chrétienne, une importante manifestation de protestation s’est tenue à Paris pour protester contre l’abstention de la France à l’UNESCO, à la résolution portée par les palestiniens et certains pays arabo-musulmans, niant tout lien entre Jérusalem et le peuple juif, et du même coup le christianisme.
Conscient de la faiblesse des Occidentaux, le rouleau compresseur arabo-islamique dont l’ambition est de faire disparaître – parce que l’islam est une religion tolérante – le seul Etat non musulman du Proche-Orient et le seul Etat juif au monde, joue à plein au sein des institutions européennes.
La résolution nie tout lien entre Israël et le peuple juif
C’est ainsi que jeudi 13 octobre 2016, une commission du Conseil exécutif de l’Unesco, l’organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture, dont le siège est à Paris, – sous l’impulsion des représentants palestiniens et de nombreux pays arabes (Algérie, Egypte, Liban, Maroc, Oman, Qatar, Soudan),- a adopté une résolution qui tout en rappelant « l’importance de la Vieille Ville de Jérusalem et de ses remparts pour les trois religions monothéistes» nie dans le texte tout lien historique entre Jérusalem et le peuple juif.
Vingt cinq Etats dont la France se sont abstenus au lieu de voter contre, un signe de lâcheté pire que voter pour.
Seuls six Etats ont voté avec droiture pour la vérité historique : les Etats-Unis, la Grande Bretagne, l’Allemagne, les Pays-Bas, l’Estonie et la Lituanie.
A l’Unesco, la France avait déjà commis un sacrilège le 15 avril dernier, en votant POUR une résolution semblable. Pris à parti et accusés de cautionner un texte négationniste, François Hollande avait tardivement adressé une lettre au CRIF : « Rien dans le vote de la France ne devrait être interprété comme une remise en cause de la présence et de l’histoire juives à Jérusalem», et Manuel Valls avait à l’Assemblée nationale essayé de rattraper la dérive française : « Il y a dans cette résolution de l’Unesco des formulations malheureuses, maladroites, qui heurtent et qui auraient dû être incontestablement évitée, comme ce vote.»
On pouvait espérer que cette fois, la France voterait contre le texte, elle qui avait offert à la « Palestine », ce pays qui n’existe pas – un siège d’Observateur à l’ONU et l’UNESCO, mais les socialistes étant les socialistes…
Un grand écart écoeurant, pathétique et schizophrénique
Il n’en fut rien.
Les abstentions ont laissé libre cours au camp arabe. La France a apposé sa signature au bas du document. En endossant un texte qui utilise une terminologie arabe pour nommer tous les sites religieux juifs et chrétiens, et nie le lien entre Jérusalem et le peuple juif, la France a commis un grand écart écoeurant, pathétique et schizophrénique, au point que l’Italie et le Mexique, qui s’étaient aussi abstenus, ont après coup subitement réalisé leur faute et s’en sont ouvertement repentis.
Le texte mensonger, insulte à la vérité, est un délire antisémite, un de plus.
Sur l’estrade, lors de la manifestation, ont défilé une vingtaine d’intervenants pour déplorer d’une même voix le vote stupide de la France – l’un deux a parlé de vote « crétin » ; un autre a réclamé que le siège de l’UNESCO quitte Paris pour s’installer à Alger ; un autre a souligné que ce vote ouvrait la voie à un type de djihad culturel et sémantique plus subtil et plus dangereux encore ; un autre qu’il montrait clairement que le conflit israélo-palestinien n’était pas territorial, mais reflétait le rejet de l’existence d’Israël, purement et simplement.
Nul ne peut douter que l’abstention de la France à l’UNESCO s’est faite avec l’assentiment du Président François Hollande et de son premier ministre Manuel Valls.
Comment croire encore en la France qui depuis près de 50 ans et malgré les attentats dont elle est la cible, donne encore et toujours des gages au djihad arabo islamique ?
Claude Barouch, président de l’Union des Patrons Juifs de France, Meyer Habib, député de la 8ème circonscription des Français de l’étranger, Gilles William Goldnadel, avocat et président de France-Israël, Claude Goasguen, député maire du 16ème arrondissement et grand ami d’Israël, ont fustigé la politique française.
Frédéric Lefèbvre, député de la 1ère circonscription des Français de l’étranger a fait de même.
Jérôme Guedj et François Pupponi, les seuls socialistes présents sur l’estrade, ont tenté de se rendre audibles devant une foule qui les huait chaque fois que les orateurs prononçaient les noms de Valls, Cazeneuve, Hollande et autres pitres de l’Etat.
Les forces de police qui protégeaient ce rassemblement ont eu droit à une ovation.
L’actrice Véronique Genest est venue aussi apporter son soutien.
Aucune réaction des médias, aucun éditorial, aucun débat télévisé pour ce qui constitue la défaite de la Vérité, de l’Histoire et de l’Archéologie
Ainsi, pendant que la France lutte sur le terrain contre les djihadistes de Daesch, elle ouvre des portes à ce même djihad par des voies linguistiques et terminologiques qu’elle finira par ne plus maîtriser.
Il n’y a jamais eu aucune réaction des médias, aucun éditorial, aucun débat télévisé pour ce qui constitue la défaite de la Vérité, de l’Histoire et de l’Archéologie, somme toute la défaite de l’humanisme sur la barbarie.
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L’UNESCO s’est elle-même condamnée à disparaître
L’UNESCO s’est tiré une balle dans la tête, a souligné un intervenant.
L’Institution qui au cours de la décennie a assisté impuissante à la destruction par les islamistes des Bouddhas de Bâmiyân, et plus récemment du site de Palmyre, puis à la décapitation de son conservateur, à la destruction d’œuvres culturelles majeures, en Irak et en Syrie où des statues antiques et des églises anciennes sont irrémédiablement perdues, n’avait eu que de molles protestations face à cette barbarie.
En s’asservissant au diktat arabe qui réécrit à sa façon l’histoire de Jérusalem, l’Institution a perdu tout reste de crédibilité, a cessé d’œuvrer pour la culture et le patrimoine de l’humanité, et s’est elle-même condamnée à disparaître.
L’ambiance était pesante en ce soir du 27 octobre.
Sourdement, chacun ressentait plus qu’un malaise, une véritable fracture.
La douleur de voir le pouvoir censé représenter la France trahir une fois de plus Israël, pire encore, trahir l’histoire juive, en la rayant d’un trait de plume.
Ce n’est pas la première fois qu’en France, les juifs se sentent abandonnés, rejetés … Mais cette fois “ils se sentent comme inexistants» a dit un orateur.
C’est la France qui est en danger… la France et le monde occidental
Israël peut donner des leçons à la France en matière de créativité, de droits de l’homme, d’initiatives pour l’environnement, et de sécurité pour ses citoyens (l’attentat de Nice n’aurait pas pu se produire à Tel Aviv où aucun policier ne laisserait passer un camion dans une rue où sont réunis des milliers de gens).
Israël est un joyau au cœur du Moyen-Orient, et si un certain de Villepin connaissait un peu l’histoire, il saurait qu’elle n’est pas une « parenthèse de l’Histoire »…
Israël sait se protéger. C’est la France qui est en danger. La France et le monde occidental.
La France soumise au diktat du djihad islamique et palestinien, la France qui a perdu toute conscience politique et morale, tout repère, s’enfonce inexorablement dans le mensonge et le reniement.
La France soumise est au bord de l’effondrement moral. Croit-elle acheter sa sécurité intérieure, éviter d’autres attentats en jettant les juifs et Israël sous le train ?
Un pays déclinant est dangereux pour les juifs et plus généralement pour tous ceux qui sont épris de justice, de vérité et de liberté.
“Après le Mur des Lamentations” s’est exclamé un des orateurs, “ce sera au tour de St Pierre de Rome puis Notre Dame de Paris d’être déclarés monuments islamiques”.
On n’en est peut-être plus très loin : les musulmans multiplient les prières devant le Colisée pour s’approprier les lieux. Des internautes djihadistes répètent à l’appui de chants libanais chrétiens en langue arabe, que le Dieu des chrétiens est Allah…..
(*) Organisée par le Collectif d’Urgence de la Communauté regroupant les associations suivantes : UPJF, Alliance France Israël, Les Amis d’Israël, AUJF, FSJU, Bnei Brith Ben Gourion, BNVCA, CJFAI, Europe Israël, FOSF, Impact, Israel for Ever, KKL, Libi, Siona, OJE.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Nancy Verdier pour Dreuz.info.
UNESCO, … encore un petit effort SVP, … et le JUDENREIN de Hitler aura triomphé !
Où l’on retrouve les mêmes salopards de complices de Hitler !
Lâches un jour, … lâches toujours ?
Merci infiniment aux COURAGEUX.
Hitler ? L’UNESCO ? Triompher ? Pfffffffffttt…………
De par leur propres c0nnerie, ils disparaîtront corps et biens comme des rats d’égouts, comme les nazis et comme toutes les dictatures communistes.
La ré écriture de l’histoire est une des caractéristiques d’un régime totalitaire.
@Le goy, d’accord, … mais où se trouve le(s) totalitaire(s) ?
Dans l’islam (toutes les formes de l’islam), … oui bien sûr, … également ailleurs ?
L’amitié judéo -chrétienne était absente ainsi que l’association des étudiants juifs de France ? preuve qu’ils ont TOUS LES DEUX laissé tombé le “judéo ” !
Non, l’amitié judéo-chrétienne était bien présente: “A l’appel de toutes les organisations juives sauf l’UEJF,… ET [avec] LA PARTICIPATION de l’amitié judéo-chrétienne, …”
Que sont les pays qui se sont abstenus?
-Qu’ils ne connaissent pas l’histoire du monothéisme.
-Qu’ils sont antisémites.
-Qu’ils sont froussards.
-Qu’ils sont totalement ignares.
-Qu’ils ne sont plus libres de reconnaître l’évidence.
-Qu’ils ne connaissent pas leurs origines, aussi bien les Chrétiens que les Musulmans.
Si vous avez d’autres raison, communiquez les moi, merci.
je dis qu il faut encore et encore manifester partout dans le monde jusqu à qu ils comprennent qu ils vont trop loin
Manifester? a qui ? A l`UNESCroc et ses complices ? demander q`ils comprennent, c`est trop, car c`est pas ecrite dans leurs torchon, le quran !!
glané sur le Web
“”””Binyamin Netanyahu devant l’Assemblée Générale de l’ONU.
Face à la dépression du leader palestinien, Netanyahu a présenté et “interprété” – quel acteur, quelle perf ! – un discours optimiste, plein et millimétré. [Voir la totalité de l’intervention du 1er ministre israélien].
Le Premier ministre hébreu a commencé par régler son compte à l’ONU et aux autres institutions internationales, dont il a condamné l’”obsession israélienne”, qualifiant l’Assemblée Générale de “disgrâce”, le Conseil des Droits de l’Homme de “plaisanterie”, et l’UNESCO de “cirque”.
Cela serait vraisemblablement tombé dans l’oreille d’un sourd si le président du Conseil israélien n’avait pas fourni quelques chiffres stupéfiants en soutien de ses allégations, tel le fait qu’en 2017, l’Assemblée Générale avait prononcé 23 condamnations, 20 contre Israël et 3 contre le reste du monde.
Ce qui a autorisé Netanyahu à déclarer, ce que tous les ambassadeurs présents à Manhattan savaient déjà, à savoir que “l’ONU avait commencé comme une force morale et qu’elle était devenue une farce”.
Il a rappelé l’évidence, qui veut qu’en concentrant leur temps et leur énergie sur Israël, les institutions internationales ne faisaient pas que fragiliser l’Etat hébreu mais manquaient à leur fonction consistant à améliorer les relations entre les peuples et les conditions de vie humaines, à garantir les droits de la femme ainsi que les droits fondamentaux des dizaines de millions de personnes vivant sous les dictatures.
Ce qui découlait de cette constatation était que l’acharnement biaisé et hystérique contre Israël, seul Etat laïc et libéral du Proche-Orient, permet en fait aux régimes totalitaires de préserver le statu quo et de continuer à persécuter leurs ressortissants sans être dérangés.
Mais Netanyahu a annoncé un changement fondamental dans le monde arabe, qui ne va pas tarder à s’exprimer publiquement à l’ONU selon lui, constatant que “c’était la première fois, dans sa vie, que beaucoup de ces Etats ne nous considèrent pas comme un ennemi mais comme un partenaire”.
Le monde a besoin d’Israël pour combattre le terrorisme et afin de développer les technologies de demain, a martelé l’Israélien, souvent sous les applaudissements nourris de l’assistance. Il a expliqué de manière convaincante, que s’il était nécessaire de trouver des solutions au problème des implantations, ces dernières n’étaient pas la cause du conflit israélo-arabe ; pour asseoir ce propos, Netanyahu a rappelé à bon escient qu’avant 1967, l’ensemble de la Cisjordanie – y compris la partie orientale de Jérusalem – et Gaza se trouvaient entièrement en mains arabes, qu’il n’existait aucune implantation, et que cela n’avait pas empêché les Arabes de lancer trois guerres d’extermination contre Israël.
Fort de cette démonstration historiquement incontestable, le 1er ministre a invité M. Abbas à faire un choix, celui de la confrontation et du soutien au terrorisme ou celui d’engager des négociations de paix directes. Jusqu’à ce que l’AP prenne la bonne décision, pour Netanyahu, lorsque les Palestiniens parlent de libérer les implantations, ils pensent particulièrement à Tel-Aviv, Jaffa et Haïfa.
Il a reconnu qu’il existait un terrorisme juif marginal, comme dans toute société, mais, qu’à l’inverse de l’Autorité Palestinienne, les “leaders israéliens condamnent le terrorisme juif pendant que l’AP célèbre les siens”. Le Premier ministre complétant : “Nous emprisonnons nos terroristes pendant qu’ils paient les leurs”, faisant allusion aux rentes versées par l’AP aux assassins de Juifs, notamment de civils sans défense, ainsi qu’aux familles de ces terroristes.
Binyamin Netanyahu s’est brièvement pris pour un jeune palestinien, Ali, pour énumérer toutes les incitations à la haine, au racisme et à l’assassinat d’Israéliens que celui-ci subissait au cours de sa journée d’écolier, sur le chemin de son établissement scolaire, dans la rue baptisée au nom d’un assassin d’enfant israéliens, dans ses manuels scolaires, à la télévision, dans les journaux et à la radio, n’hésitant pas à citer in extenso les appels au meurtre prononcés par Mahmoud Abbas.
Ce qui ne l’a pas empêché d’inviter le président de l’autonomie palestinienne à s’exprimer devant la Knesset, se déclarant prêt, pour sa part, à s’adresser au parlement palestinien à Ramallah.
Bibi n’a pas manqué non plus de fustiger la théocratie perse, qui appelle régulièrement à l’anéantissement d’Israël et qui étend son emprise sur ses voisins et exporte son terrorisme sur cinq continents. Il a promis que son pays ne permettra pas à l’Iran de développer des armes nucléaires, “pas maintenant, ni dans une décennie, ni jamais”.
Sans juger des intentions réelles des uns et des autres, nous avons écouté de la part du Premier ministre israélien, un discours de confiance, de paix, de progrès, de succès, de sécurité, de partage du savoir avec les peuples d’Afrique et de la région, le tout énoncé dans un anglais à la fois parfait et accessible.
Face à l’allocution interminable [deux fois le temps imparti] d’Abou Mazen, déprimée et désespérante, rancunière, dénuée de perspective et d’espoir, il fallait, hier à l’ONU, être un délégué de la “République” Islamique d’Iran, ou de la Corée du Nord, pour ne pas se laisser charmer par les propositions du chef de l’exécutif de Jérusalem.
condamnatio,ns de l’ONU : il faut lire bien sur en 2015
L’important est bien ce rassemblement de 3.000 personnes réunies contre l’UNESCO !
Ce n’est pas passé inaperçu dans ce quartier du Quai d’Orsay…Sauf pour nos journalistes radio comme télé. HONTEUX !
Merci pour cette information transmise. Merci à toutes ces personnes rassemblées pour la même cause.
Sur les 95 Etats Membres de l’UNESCO qui contrôlent cette organisation, il y a quelque 54 pays musulmans (y compris l’état fantôme de “Palestine”) plus la vingtaine d’Etats Membres ayant adhéré aux accords d’Eurabia. Total 74, c’est à dire une majorité en béton dont le but, avoué ou caché, est la disparition d’Israël.
Mais il n’y a pas que ces 74 membres qui voteront systématiquement contre Israël ou qui s’abstiendront. A titre d’exemple, en ce qui concerne la résolution objet de cet article, l’Afrique du Sud, le Brésil, la Chine, la Russie et le Viet Nam ont voté pour, l’Argentine et l’Ukraine se sont abstenues.
Le texte de la Résolution n’est d’ailleurs pas moins choquant que sa substance. Israël, dénommé « la puissance occupante », est blâmée pour tout, le blocus de Gaza (qui n’existe pas, sauf pour les armements) les violences dans la population civile (déclenchées par les jihadistes), les constructions (funiculaire, centre d’accueil des visiteurs) et les démolitions, les soi-disant ‘destructions du patrimoine culturel’ de la pseudo-palestine, etc..
A noter que la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO contient 9 articles pour Israël et 2 seulement pour la pseudo-palestine, soit :
– Lieu de naissance de Jésus : l’église de la Nativité et la route de pèlerinage, Bethléem
– Palestine : terre des oliviers et des vignes – Paysage culturel du sud de Jérusalem, Battir (village de Judée actuellement occupée par les Arabes).
Ah bon.
Enfin, le Directeur général de l’organisation chargée de l’exécution des ordres des Etats Membres est Madame Irina Bokova, originaire de Bulgarie, diplômée de l’Institut d’Etat des Relations Internationale de Moscou. Fermez le ban, case closed.
Ce qui se passe à l’UNESCO reflète simplement la complicité qui existe depuis la fin de la WWII entre les gauchistes et les islamistes.
Il ne faut donc pas s’étonner du cirque qu’est devenue cette organisation dont les résolutions ridicules concernant le seul pays démocratique du Moyen-Orient n’ont de toute façon aucune valeur, puisque Israël les ignore et que l’UNESCO n’a aucun moyen de contrainte contre sa bête noire. Du vent, tout ça.