L’élection de Donald Trump a étonné les médias américains. Pour Gilles-William Goldnadel, les leçons de morale de l’establishment, en France comme aux États-Unis, sont désormais contre-productives.
Les médias conformes sont trop modestes. Au lendemain de l’élection de Donald Trump, un éditorialiste d’une radio française d’État disait «son impuissance». À l’entendre, les journalistes cultivés n’avaient pas été en mesure d’empêcher l’arrivée d’un butor borné.
L’homme, sûr de son intelligence raffinée, se trompait totalement.
Car je soutiens au contraire que de nombreux électeurs, tout aussi raffinés que notre commentateur déprimé, sont venus, pour cause de révolte devant l’expression satisfaite, intolérante, sentencieuse, de médias convenus et unanimes, grossir les rangs de l’électorat populaire promis naturellement au candidat «populiste».
Pour le dire autrement, la question se pose de savoir à présent si le matraquage médiatique de la pensée obligatoire n’a pas, aujourd’hui que celle-ci a perdu de son magistère moral et intellectuel, un effet contre-productif sur l’usager qui souffre en silence, mais se revanche ensuite avec d’autant plus de jubilation.
Pour le dire encore autrement, depuis que l’usager possède le décodeur médiatique et que, notamment, l’injonction prétendument antiraciste a perdu de son effet d’intimidation, si le citoyen souffre toujours d’un surmoi social qui lui fait cacher au sondeur ses idées, il craint moins moralement de les exprimer dans l’isoloir.
D’où un vote toujours caché. Une mobilisation moins grande du camp faussement majoritaire. Et le résultat final que l’on sait.
Et compte tenu de la réaction intellectuelle et médiatique au lendemain de l’élection du candidat mirobolant, il y a peu de raisons que cette réaction de révolte change, et ce y compris en France.
Ce qui ne signifie certainement pas que tous les électeurs de Donald Trump apprécient la pensée brute de l’homme décoiffant et ses rudes manières, ou qu’en France tous les électeurs putatifs des candidats dits populistes approuvent entièrement ces derniers.
Ceci signifie que la révolte devant la pensée convenue et son expression verrouillée est telle, qu’elle donne envie avant tout à de nombreux électeurs de se donner la joie mauvaise de donner une leçon aux donneurs de leçons.
Quelques exemples de ce lendemain d’élection illustreront notre propos vengeur.
Les manifestations d’abord des mauvais perdants, qui pleurent, trépignent et allument des bougies. Quand ils ne regrettent pas l’élection démocratique au suffrage universel qui autorise des bouseux incultes à donner leur avis. Bientôt New York et Philadelphie voudront fusionner avec Londres et l’Écosse pour former une république libre et multiculturelle.
Les commentaires des commentateurs ensuite qui expliquent tranquillement, que tout compte fait, et après examen du scrutin, ce sont les riches qui ont voté pour le milliardaire.
Le portrait du vainqueur brossé par quelques moralistes autoproclamés a de quoi également irriter l’épiderme de quelques hétérosexuels blancs tels que Madame Ernotte voudrait ne plus en voir. Lu ce gazouillis sur Twitter d’une militante écologiste bien connue à propos du triomphant :
« Il est blanc. Il est sexiste. Il est raciste. Il est démagogue. Il est con. Il est dangereux. Ils l’ont élu.»
On notera donc le premier défaut chromatique et rédhibitoire reproché au président élu.
Effectivement, ce qui caractérise sans doute le plus l’élection américaine – et qui est perçu au moins confusément par les électeurs – est la racialisation à outrance de celle-ci. Ceux qui auront mis en avant obsessionnellement le racisme unilatéral des blancs à l’égard des Noirs et des latinos, dont ils réclamaient le vote unanime, sont mal placés pour s’en plaindre aujourd’hui. Ils auront réussi l’exploit de faire renaître chez l’homme blanc hétérosexuel américain, forcément raciste et sexiste, un sentiment d’appartenance qui lui était jusque-là défendu et la conscience révoltée de l’existence d’un racisme anti blanc alimenté par l’antiracisme sélectif idéologique de la gauche américaine xénophile.
Certains, mais un peu tard, commencent à s’en apercevoir. C’est ainsi que dans une lettre à ses lecteurs, Arthur O.Sulzberger Jr, l’éditeur du New York Times, quotidien gauchisant sans doute le plus en pointe dans la croisade morale contre le président élu, se sentait dans l’obligation d’écrire au lendemain de la défaite de celle qu’il soutenait radicalement :
«Nous entendons nous recentrer sur la mission fondamentale du journalisme du Times et qui consiste à rapporter honnêtement ce qui se passe en Amérique et dans le monde, sans crainte ni faveur.… Désormais le journal va s’efforcer de comprendre toutes les perspectives politiques».
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Et Michael Goodwin, journaliste au New York Post, d’enfoncer le clou profondément :
«Parce que le New York Times a diabolisé Trump du début jusqu’à la fin, il n’a pas été capable de se rendre compte que Trump avait mis la main sur quelque chose de réel. Et parce que le quotidien avait décidé que ceux qui soutiennent Trump étaient des tas de beaufs racistes et homophobes, il n’avait pas la moindre idée de ce qui se passait dans la vie des Américains qui l’ont élu.»
Certains médias français seraient bien inspirés de faire, eux aussi, leur examen de conscience, avec humilité. Ce n’est pas gagné.
Un dernier exemple, en effet, de ce qui pourrait révolter le plus placide des usagers des médias hexagonaux : Entendu ce samedi matin ce billet sur la radio active de service public.
De la bouche d’un incertain «humoriste», un certain Pablo Mira :
«Trump c’est le candidat qui redonne aux Américains l’espoir, l’espoir qu’il soit assassiné avant son investiture»…
On dira évidemment que c’est de l’humour bête et méchant.
Le problème, à la radio d’État, c’est que tous les humoristes ont le sourire qui penche vers le même coin. Leurs plaisanteries sont à sens unique obligatoire. Ils ne viendraient pas plaisanter en souhaitant l’assassinat de Barack Obama ou de Christiane Taubira.
On a beau être vache. Il y a des vaches sacrées.
Or, lorsque l’humour est unilatéral, ce n’est plus de l’humour total. Lorsqu’on souhaite en riant l’assassinat d’un homme que l’on déteste parce qu’on doit le détester parce qu’il est détestable, ce n’est plus de la plaisanterie. C’est du défoulement collectif et connivent.
Et sans risque, puisque rient tous en chœur, les bons qui ont bon cœur.
Il se trouve qu’il existe des deux côtés de l’Atlantique des auditeurs électeurs, qui, quand bien même ils ne seraient pas forcément attirés par les blonds ou les blondes, se sentent irrépressiblement démangés par l’envie de moucher les morveux qui jouent les courageux.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Gilles-William Goldnadel. Publié avec l’aimable autorisation du Figaro Vox.
J’ai mis au point un logiciel , capable de caviarder automatiquement les noms des clochards du bulbe indésirables pour ma bonne vision du monde , il fonctionne merveilleusement bien . Des noms de risibles tels que Anagramic Caron , Pabo Mira , Ouioui Plenel et autres Ali Jupeh n’apparaissent plus sur mon écran !
Faites breveter; vous serez bientôt riche !!!
Certes.
Mais des fois le racisme n’est pas où on le décrit…
Voir la vidéo en bas de page @ http://www.toddstarnes.com/column/obama-silent-as-black-mob-beats-white-man
Les blonds et les blondes ont peut-être aussi des choses à dire et à faire, pas plus idiotes que d’autres ténébreux qui s’y sont déjà essayé. L’adhésion totale à un discours politique étant en passe de devenir une illusion enfin évaporée…
Dans cette optique, un élément de la campagne Clinton était peut-être à retenir : ce logo en forme de flèche (un symbole très iconique, et ce, quelque peu à la manière des régimes totalitaires). De plus en plus d’électeurs se contentent de choisir la direction générale vers laquelle ils pensent que tel candidat les emmènera. Quitte à ignorer les signes avant-coureurs de pourriture, je pense à l’indolence criminelle de Juppé vis-à-vis de l’islam dissoute dans son discours recyclé de force tranquille.
Par-delà l’envie de moucher les tyrans morveux qui verrouillent l’expression, qui imposent à la totalité leur discours en se posant comme ventriloques du peuple, il existe aussi une dynamique sociale réelle du vote à tonalité « populiste » ou réactionnaire : l’effet sonnette d’alarme qui va freiner d’urgence un train lancé à toute berzingue contre une paroi rocheuse.
Je vous suis M. Goldnadel, mais personnellement, il y a longtemps que j’ai tiré la leçon, que nous ne vivrons plus en paix désormais.
Je m’explique, auparavant, les mécontents râlaient après une élection, puis ça se tassait, ils se faisaient une raison, car tous avaient une culture plus ou moins démocratique.
Ce temps la est fini, nous avons désormais à faire à une fange de la population, que ce soit en France ou aux USA qui a décidé par la violence, de ne reconnaître qu’une forme de démocratie « la leur », un mondialisme multiculturelle qu’ils veulent imposer par la force et rien, je dis bien rien, ne les arrêtera, étant même prêt à aller jusqu’aux pires extrémités s’il le faut, d’ou ma plus grande crainte que Donald Trump, n’arrive même pas jusqu’au 20 janvier.
Si on ne comprend pas que des diables à l’apparence humaine, sorties tout droit des portes de l’enfer, oeuvrent à détruire la civilisation actuelle, pour la remplacer par un monde « Orwellien » alors on ne peut pas comprendre l’élection de Donald Trump qui va bien au-delà des clichés du petit blanc révolté.
Trump c’est celui qui a été envoyé pour lutter contre Satan, Trump n’est pas un ange, mais c’est pour cela qu’il a été désigné par l’inconscient collectif d’une humanité en perdition, à qui il fallait un homme fort, n’ayant peur de rien, n’étant pas sujet à être acheté, bref, le combattant idéal.
Et cet être mi-Ange, mi-Démon qu’est Donald Trump n’est ni plus ni moins que l’annonciateur d’une ère nouvelle, qui doit désormais livrer une lutte titanesque contre les forces du mal représentée par « Sauron ou Soros comme on veut » et bien d’autres encore, qui ont décidé de soumettre le monde à leur volonté démoniaque.
Ces gens la on rabaissé le niveau intellectuel des classes populaires en utilisant tous les artifices à leur disposition, de l’école à la téléréalité en passant par un abrutissement des masses en matière d’informations (presse, grands médias), privilégiant ensuite un star système décadent, nous offrant des images plus obscènes les unes que les autres, alliées à un langage ordurier que l’on a justifié par le droit à l’expression, sans jamais que les autorités de contrôle n’interviennent à quelque niveau que ce soit.
Ils ont ensuite libéralisée l’homosexualité par l’intermédiaire de la toute puissante LGBT qui a donné lieu au mariage pour tous, permis que le clandestin soit reconnu comme un immigré légal, permis que le nombre de chômeurs et de pauvres battent des records année après année, car quoi de mieux que des citoyens affaiblis pour gouverner, un pied sur la tête, mais pas trop quand même pour qu’ils puissent continuer de voter pour leurs bourreaux, j’en passe et des meilleurs…
Moralité, arrivée au bout du bout de ce qu’ils pouvaient faire, ils ne leurs manquaient plus qu’une bonne petite guerre en Europe via Hillary Clinton (Poutine, Iran) pour transformer l’essai…
Las pour eux, le grain de de sable envoyé par les forces du bien est venu enrayer tout cela, d’ou la « lutte titanesque » qui va se dérouler sous nos yeux ébahis pour les mois ou les années à venir…
A suivre…
C’est grave Docteur Goldnadel votre bilan de santé donné sur tous ces incapables majeurs qui ont prôné jusqu’à l’assassinat de D. TRUMP. Je n’y vois pour ma part aucune note d’humour. J’y vois que la bêtise à l’état pur, souvent accompagnée de la HAINE, n’a pas eu raison de l’Intelligence. Une intelligence mise au service d’une Grande Nation et de son Peuple.
les médias ne savent pas que le peuple est capable de se venger et de se revenger
Trump gêne les combinards les malhonnêtes qui comme Hilary Clinton touche des fortunes en vendant des secrets d’état à certains pays étrangers , et en recevant des millions de certains pays musulmans ;une fondation financée par l’ islam anti américain ,protégée par l’ imam Obama Prix Nobel sans valeur et il ne sera jamais jugé pour ces crimes non plus . Il faut un Président comme Trump pour relever les Etats-Unis .
Me Goldanel
pourquoi ne pas attaquer France inter et pablo mira pour incitation au meurtre de D.Trump?
A quoi bon ? La justice gauchiste classera cela comme de « l’humour »…
Sur TV Libertés, l’émission i-média de Jean Yves Le Gallou met en évidence tous les mensonges et manipulations des médias.
En suivant quelques émissions à la suite, nous apprenons rapidement à détecter le mécanisme dégoûtant du système.
Combien je me sens en osmose avec l’analyse de Mr Goldnadel, comme souvent, en tout cas pour l’instant, car il n’est pas question que je devienne comme les gauchistes et que je devienne béni oui oui de quiconque, pour une idée, qui deviendra trop conforme.
Pour l’instant, je reste en osmose, parce qu’il ne prêche pas d’article en article une idée unique, il prêche selon les évènements, et ce n’est de la faute de personne si les évènements sont faits par les médias qui eux sont en train de mourir de leur conformisme particulier.
Déjà, il a raison sur le vote. Taper sans cesse sur un homme n’a pas été d’une intelligence sublime – étrange que les médias ne s’aperçoivent pas, qu’à la fin, on obtient le résultat inverse, de celui que l’on vise.
Je me souviens que j’avais voté Sarkozy, surtout en raison de l’acharnement qui s’était abattu sur lui, et que malgré mes déconvenues à son propos, j’ai eu du mal à me désolidariser de lui, tant les médisances, les méchancetés, les insultes ad hominem contre lui et ses proches, m’indisposaient et donc par ricochet me faisait le supporter.
Il a fallu vraiment de grosses déceptions, pour m’en détacher et encore pour Hollande, j’ai préférer encore ne pas choisir.
Trump c’est pareil ! Je ne sais ce qu’il fera au juste, ce qu’il pourra réussir, car en plus du challenge habituel et inhérent à tout nouveau Responsable élu, je constate que cela ne va pas être facile pour lui – Parce que les perdants l’ont décidé ainsi.
Des bâtons dans les roues, on les voit déjà en œuvre, et leur sens de la démocratie est tellement défaillants, que je ne pense pas qu’ils aient l’intention d’ arrêter.
Qu’importe pour eux le bien du Pays ? Non ! Il faut surtout qu’ils se vengent de n’avoir pas été du bon côté.
Maintenant je vais avouer une chose qui France de tout temps, donnait plutôt mauvais genre :
– Voilà : J’ai toujours eu l’admiration pour l’Amérique et les américains !
Bouhhh ! Ah non, je ne vais pas être huée, parce qu’entre temps, l’Amérique est devenue bien-aimée du fait de l’élection d’Obama.
Mais justement, je me souviens quand Obama fut élu, combien mon admiration pour les américains fut renforcée…J’étais tellement fière de voir ce pays que je soutenais contre l’anti-américanisme largement répandu en France et depuis si longtemps, prouver une nouvelle fois à mes yeux, combien il était innovateur et en l’occasion absolument pas raciste.
Vraiment les premiers mois de la Présidence Obama, j’étais aux anges.
Ensuite…Et bien, je pense qu’il n’y a que les aveugles et les mauvaises foi qui n’ont pas voulu déchanter…Parce que désenchantement il y avait de quoi !
Mais ce qui est terrible, je m’en aperçois maintenant, c’est qu’il est vraiment dangereux de voter de quelqu’un qui vient d’une minorité, parce qu’alors le pays par qui il est voté, tremble de montrer qu’il est déçu de crainte…d’être traité de raciste !
Pour n’importe quelle différence…Le symptôme aurait été le même.
Et voilà nos américains, qui pourtant fissa avait destitué Nixon par une procédure d’impeachment, pour une affaire d’écoutes (affaire du Watergate), sont restés cois face à une affaire similaire et peut-être même d’une ampleur bien plus importante, vu les moyens de communications nouveaux.
Et ont suivis ainsi différents actes, attitudes, etc…inhabituels et pas vraiment « catholiques », et nos américains toujours en état d’apathie.
Aujourd’hui nous connaissons l’État ou est rendue l’Amérique.
Et l’on va trouver les américains racistes parce qu’ils ont voté un blanc qui leur parait avoir la fermeté qui a franchement manquée à Obama ?
Il aurait fallu, sans doute voté Hillary, qui a participé amplement à ce désastre – Seulement parce que c’est une femme, et que cela prouverait qu’à nouveau on a voté pour une minorité ? Même si vraiment tout montre que cette femme n’est pas digne ?
Non mais c’est à dégouter d’un vote multiculturaliste à l’avenir, si le principe est juste de montrer que l’on choisit un représentant d’une minorité, sans se soucier un instant des besoins et des désirs d’un peuple qui n’en plus pour la majorité qui a voté ?
C’est du n’importe quoi ! On ne doit jamais arriver à ce vote pour diriger un pays qui ressemble, à ce truc…Vous savez ce truc là, que l’on appelle « discrimination positive » !
Qui est la chose la plus sidérante et injuste et qui rend indigne l’idée de « mérite », que j’ai pu voir.
Non par racisme, mais parce que j’y vois mille raisons qui démontrent qu’il y manque la logique !
Les anti racistes qui prônent le respect feraient bien de commencer par donner l’exemple en respectant les autres…
Le grand changement dans la lecture du monde c’est la source d’information… Ce n’est plus la presse papier qui donne la température… selon son degré d’intérêt personnel et son gout du mensonge crédible, dénué de contradicteur. Maintenant c’est internet et la possibilité d’échanger ses idées en temps réel et d’en changer pour évoluer… avec une multitudes d’infos même en vidéo, qui permettent de mieux se rendre compte… notre ingratitude s’habitue tellement au confort informatique que l’on ne se rend pas compte à quel point nous devenons de plus en plus intelligents….
Se rendre compte par exemple que la direction du monde se limite à quelques individus qui gèrent les 3/4 de la finance mondiale… qui passe en grande partie par les trusts qui gèrent l’énergie dont les pays toxiques comme le Qatar et l’Arabie… que dans cette masse financière sont incluses nos cotisations sociales qui en faisant le tour du monde, via même des paradis fiscaux, nous reviennent laminées et de plus en plus chères et de moins en moins garanties… comme les retraites… Les milliards et les richesses n’ont pas disparues, tout est là… sauf que par un tour de prestidigitation le peuple se trouve de plus en plus paupérisé alors que les banques sont de plus en plus riches…
Devant cette gestion mondialisée nous sommes bien peu de choses et d’espérer que nos dirigeants interviennent est utopique. Restons modeste et cessons de nous déchirer entre nous pour des idées qui fâchent alors que nous pourrions rester amis… Se fâcher pour des idées mesquines alors que nous sommes tous broyés par un monstre revient à nourrir le monstre de notre médiocrité et à lui faire penser que nous méritons d’être exploité comme du bétail…
D’habitude ils faut des guerres pour tout détruire et recommencer à zéro et apprécier d’avoir la vie sauve… cette fois ci nous avons la chance d’avoir un Trump qui non seulement nous évite la guerre avec la Russie mais qui en plus nous permet une révolution pacifique, juste en utilisant les institutions par le contrôle du peuple… Ne laissons pas passer cette chance et cessons de nous disputer pour des conneries…
Le vivre ensemble qui n’existe pas comme le dit intelligemment MENARD, car chacun vie chez soi, on ne vie pas chez le voisin… ( sauf les arabes avec leur charia ) … personne ne vie chez son voisin et personne n’imagine le voisin vivre chez lui… Nous vivons cote à cote mais pas ensemble… Mais ce fameux vivre ensemble ne peux être de qualité que si nous sommes rassurés par la qualité de nos voisins… donc les français doivent être unis pour foutre les voisins indésirables hors de France… Et que le spectacle de la rue ne soit plus aussi lamentable avec des quartiers entiers invivables qui ressemblent à des décharges publiques… La France n’est pas une poubelle… Le défi n’est pas écologique mais de salubrité publique… et malheureusement je ne vois que le FN qui selon ses vielles maraudes du nettoyage à l’eau de javelle, soit capable de faire te tri entre nos bons voisins qui peuvent rester en France et nos ennemis que nous n’avons pas à entretenir chez nous… quitte à faire des dégâts collatéraux, mais qui nous sauve du suicide collectif…