La réaction de Barack Obama, l’islamo-gauchiste encore présent à la Maison Blanche, au moment de l’annonce du décès de Fidel Castro a été digne d’un disciple de Fidel Castro : prétendre tendre la main au peuple cubain tout en évoquant le statut “historique” d’un abject dictateur est méprisable.
Le peuple cubain souffre sous le joug totalitaire depuis près de six décennies et lui tendre la main ne passe pas par l’évocation du statut “historique” du principal responsable de la souffrance subie. La réaction de Donald Trump a été infiniment plus digne, et a été celle d’un vrai Président des Etats Unis. Donald Trump a appelé le dictateur par son nom de dictateur, a rappelé ses multiples crimes, et a dit souhaiter la liberté pour les Cubains.
La presse internationale, tout particulièrement en France, a, de manière générale, usé de mots élogieux pour décrire le mort. Elle continue, ce qui n’est pas étonnant.
Il faut donc le souligner une fois de plus.
Fidel Castro a été un dictateur féroce, dès son arrivée au pouvoir en 1959. Il s’est emparé de Cuba par la force des armes, y a installé un régime destructeur et barbare à la solde de l’Union Soviétique (et je le souligne : d’emblée à la solde de l’Union Soviétique). Il a fait assassiner des milliers d’opposants, en usant au commencement d’un exécuteur des basses oeuvres cruel et sadique appelé Ernesto Che Guevara, parti ensuite pratiquer le terrorisme en Afrique et en Amérique latine. Il a ravagé une économie qui, avant lui, était prospère, a provoqué une chute vertigineuse du niveau de vie du pays, aboli toutes les libertés, suscité l’exode de centaines de milliers de Cubains vers les Etats-Unis, volé des propriétés immobilières et des entreprises par centaines, transformé l’île en une grande prison.
Il faut le rappeler, Fidel Castro a failli provoquer une guerre mondiale en octobre 1962 quand il a accepté (ce qui était logique puisqu’il était un agent soviétique) l’installation de missiles nucléaires soviétiques à Cuba, missiles braqués vers les Etats Unis en un temps où l’Union Soviétique affichait ses intentions destructrices vis-à-vis de la principale puissance du monde libre. Fidel Castro a demandé explicitement à l’époque à l’Union Soviétique d’utiliser les missiles nucléaires installés à Cuba pour détruire les Etats-Unis. Nikita Khrouchtchev a refusé.
Il faut le rappeler aussi, Fidel Castro est le seul et unique responsable de la rupture de toute relation commerciale ou autre entre Cuba et les Etats-Unis. A l’arrivée de Fidel Castro au pouvoir, les Etats-Unis ont eu une attitude neutre, voire positive, vis-à-vis du nouveau régime : l’antipathie est vite venue, avec les exécutions sommaires, l’instauration de la dictature, la confiscation de toutes les entreprises américaines, la transformation de l’île en base soviétique.
Et il faut le dire : l’absence de toute relation entre Cuba et les Etats-Unis n’a jamais empêché Cuba sous Castro de commercer avec le reste du monde. La ruine économique de Cuba a une cause et une seule : la destruction de l’économie de marché et des structures de production du pays par des criminels sanguinaires, incompétents, vicieux, et méprisants envers l’être humain. Des gens tels qu’Hugo Chavez au Venezuela ou Jean-Luc Mélenchon s’il arrivait au pouvoir en France. Le crétin de l’Elysée, après avoir qualifié (comme Obama) Fidel Castro de grande figure historique, a incriminé l’embargo américain. Il aurait mieux fait d’incriminer les causes de la ruine de Cuba et de demander comme Trump un retour à la liberté à Cuba, mais le crétin en question étant socialiste, ce serait trop lui demander.
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Fidel Castro n’a rien apporté au peuple cubain, sinon la souffrance et la mort
Il faut le dire : l’expédition de la Baie des Cochons fut une expédition libératrice qui aurait pu permettre au peuple cubain de retrouver la liberté face à la férocité qui s’abattait déjà sur lui. Elle a échoué à cause de la pusillanimité de John Kennedy, qui a retiré aux forces cubaines libres les moyens logistiques et l’appui qui leur avait été promis, cela au moment même où elles débarquaient. Si John Kennedy n’était pas mort à Dallas en 1963, le monde aurait fini par s’apercevoir qu’il était, outre un obsédé sexuel, un mauvais Président. Les Cubains de Floride se souviennent et savent que les démocrates sont, en général, des traîtres.
Il faut l’ajouter : le discours qui imprègne les grands médias aujourd’hui disant que, sous Battista, Cuba était un lieu de débauche et de prostitution est particulièrement infect. Cuba sous Battista avait un niveau de vie équivalent à celui de l’Italie de l’époque, et La Havane était une ville de casinos où la prostitution existait, une sorte de Las Vegas tropical. Des clubs de vacance existaient, les salaires allaient aux employés. Ces dernières années, quand les frères Castro ont eu besoin d’argent, des clubs de vacance ont ouvert, les salaires sont versés par les entreprises qui ont ouvert les clubs au gouvernement cubain, qui donne une pitance (20 dollars) équivalant à deux pour cent des salaires aux employés cubains utilisés, qui n’ont pas l’autorisation de ramener de la nourriture jetée dans les poubelles des clubs à leurs familles qui crèvent de faim. Les jeunes filles se prostituent pour un prix modique parce qu’elles crèvent de faim elles aussi.
Il faut l’ajouter : Fidel Castro n’a rien apporté au peuple cubain, sinon la souffrance et la mort. La médecine cubaine pour les Cubains est digne de celle du pire pays du tiers-monde (même les médicaments de base tels l’aspirine sont rationnés) tandis que des hôpitaux traitent, pour des sommes élevées de riches clients étrangers, tous les bénéfices allant au régime. Cuba était un pays très alphabétisé avant Castro, la différence est que l’alphabétisation désormais est totalement imprégnée de propagande léniniste monolithique.
L’”ouverture” voulue ces dernières années par le pape François, pratiquée par Barack Obama, et, aussi, par le crétin de l’Elysée, est une façon de renflouer les caisses de la dictature, sans que rien n’ait changé aux pratiques de la dictature : c’est donc une assistance à dictature en danger, et un crime supplémentaire contre le peuple cubain.
La joie des Cubains de Floride est très logique et pleinement légitime. Les Cubains encore à Cuba ne peuvent exprimer la moindre joie sans risquer d’avoir à le payer cher.
La nostalgie de ceux qui parlent de Fidel le “révolutionnaire” est obscène : mais les gens de gauche sont souvent obscènes et n’ont aucun sens des valeurs éthiques les plus élémentaires. Ils marchent chaque jour sur des millions de cadavres suppliciés. Ils détestent Trump, élu démocratiquement, mais admirent l’assassin Fidel Castro comme ils ont admiré tant d’autres assassins : Lénine, Ho Chi Minh, Arafat, etc.
Que les cendres de Fidel Castro soient destinées à reposer là où se trouve la sépulture de José Marti, qui était un libéral, un démocrate, un défenseur de la liberté de parole, et qui est mort lors de la décolonisation de Cuba, menée grâce aux Etats-Unis en 1895, est une insulte à la mémoire de José Marti, dont Fidel Castro a piétiné l’héritage.
© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.
Quand Obama à tendu la main à Cuba, en réalité à Raul Castro – qui idéologiquement ne reniait rien de la politique de Fidel Castro, c’était avec le prétexte, de se rapprocher du pays et ses habitants, ce qui en soit n’aurait pas été critiquable, si l’on n’avait déjà eu l’occasion de remarquer les accointances peu honorables auxquelles s’était empressé de fusionner, Mr Obama.
Et les louanges venant de lui, et de tous les autres fielleux et imposteurs – ne leur font pas vraiment honneur.
Personne n’accusait le peuple cubain – Mais les hommages distribués ici, sont bien à l’attention d’un dictateur, pendant plus de sept décennies –Même la mort ne l’arrête pas, puisque le despotisme se relaie dans la famille. Et l’oublier, c’est faire injure à tous les dissidents et toutes les victimes nombreuses de ce profiteur, dont on sait aujourd’hui, combien il s’est enrichi au “service” de son pays, tout en prétendant agir dans ses intérêts.
Je ne regrette toutefois pas, que cette mort, nous montre de manière claire les dirigeants qui n’ont pas de scrupules et qui n’ont guère beaucoup de morale.
@ Aline cela démontre surtout les dirigeants qui sont susceptibles et volontaires pour nous engager dans la même direction envieux d’une telle longévité …
là où on peut remercier Fidel Castro c’est de nous rappeler que TOUS les dictateurs finissent par mourir un jour.
tout le monde meurt un jour ? :o)
Et “le crétin de l’Elysée” dont vous parlez, Monsieur, n’a pas l’excuse de la jeunesse du nouvel élu canadien: Justin Trudeau qui aurait, par ses propos maladroits, en l’occurrence, récolté des tweets de reproches.
J Trudeau ne faisait que suivre la tradition familliale instituée par son Père alors qu’il etait premier ministre..histoire de famille.. et puis au Canada, Cuba c’est presque le jardin tropicale où l’on passe une semaine ou deux ou même trois entre decembre et mars chaque année selon budget… depuis ces trente dernieres années…Alors Castro et une centaine de mille de victimes directes ou indirectes et ceux qui sont encore en cage, ça se passe sur une autre planéte….
Bravo M. Millière pour dire la vérité sur le funeste dictateur qu’a été le communiste Fidel Castro. Merci de rappeler tous ses crimes, et ceux du tueur en série (d’opposants démocrates) Che Guevara. Et de rappeler également qu’avant Castro, Cuba était un pays prospère, que le tyran a ruiné.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Fulgencio_Batista
au lu de cette biographie , je pense que Castro aurait du laisser le pouvoir après avoir virés les mafiosii , blanchisseurs d’argent de la drogue et autres voyous .
Cette biographie a été écrite par un propagandiste communiste. Cuba sous Battista avait un niveau de vie élevé. La Havane était le Las Vegas des tropiques. Je vis a Las Vegas, et il y a des drogués et des voyous comme dans toute société libre. Cela ne fait pas de Las Vegas une ville qui mérite un dictateur infect. La Havane et Cuba ne méritaient pas un dictateur infect. Fidel Castro a voulu créer un Etat totalitaire de type soviétique. Il était l’un des pires criminels du vingtième siècle. Arrêtez de vous abreuver de propagande.
Mr Millière bonjour hier ils ont passé une biographie de Castro à la télévision choquante truffée de mensonges et de propagande !
Entre autres exemples les missiles soviétiques ont été installés à son insu … comme si cela avait pu être possible !!!
Aucun commentaire concernant les assassinats et élimination des opposants, à les écouter Cuba était un paradis du bien-être…
En réalité la soi-disant ouverture vers les USA est un moyen détourné de demander l’aumône pour un peuple opprimé et exsangue .
On comprend mieux la propagande bolchevique qui a perduré pendant près de 70 ans …
Enfin, un article de Guy qui remet les idées en place sur les «soins médicaux» dans l’ile cubaine. Ça devenait fatiguant de lire certains intervenants. Comme Guy le rappelle, il y a deux formes de médecine, celle pour ceux qui payent, et celle pour les pauvres. http://www.washingtonexaminer.com/think-the-cuban-healthcare-system-is-ideal-no-cigar.-not-even-close./article/2608367
A cuba il y a les plages uniquement pour touristes, restaurants uniquement pour touristes, et hôtels uniquement pour touristes. Il en est de même pour les hôpitaux et les soins. Bien sur la ‘nomenklatura’, l’élite cubaine, et les membres du parti ont eux aussi accès à ces hôpitaux top-notch. Ils n’ont pas besoin d’amener à l’hôpital des draps pour leur lit, papier toilette, nourriture, antibiotiques, savon, et ampoules électriques. D’ailleurs les soins sont tellement déplorables, que la tuberculose, la lèpre, la fièvre typhoïde et la fièvre dingue reviennent de plus belle. http://www.nationalreview.com/article/432680/myth-cuban-health-care
Je regrette une chose ; ne pas être à Miami au restau «Versailles» pour célébrer avec la population cubaine ! That would have been such fun !
Je regrette aussi, chère Annika, de ne pas être a Miami, et au Versailles. Nous irons ensemble la prochaine fois que je passe par Miami et que tu y es aussi.
Une anecdote ! J’ai rencontré, il y a une quinzaine d’années, une personne qui revenait d’un séjour sur l’île pour y perfectionner son espagnol. Elle logeait dans une famille et payait sa pension tous les jours. La dite famille attendait le paiement pour aller acheter …. UN oeuf ! Je ne pense pas que nos germano pratins connaissent ce genre de situation ….
Cette anecdote m’en rappelle une autre, tout aussi vécue : j’avais deux amis communistes (en dehors de l’ânerie de leur statut politique, ile étaient formidables, humainement parlant, surtout lui, qui est malheureusement décédé).
Ils avaient gagné une sorte de concours de distributeurs de l’Humanité ou de l’Humanité-Dimanche, je ne sais plus trop.
Le prix était un voyage à Cuba et un séjour de huit jours dans le pays, dans une famille cubaine.
Lorsqu’ils sont revenus (nous sommes allés les chercher Orly), ils ne tarissaient pas d’éloges sur l’île, son dictateur, etc.
Petit bémol à leur enthousiasme : ils nous ont raconté que les Cubains chez qui ils séjournaient, pour leur faire plaisir, avaient sacrifié la totalité de leurs réserves de café, malgré l’évolution économique incroyable – selon eux – de l’ile. Curieuse économie que celle qui contraint à avoir des réserves de café pour pouvoir recevoir des invités et se retrouver sans rien, non ?
Ma femme et moi en avons conclu que, même cachée par le soleil sous des prétextes politiques, la misère reste la misère.
Mais je me trompais, d’après eux !
@ guy je salue votre tolérance, que je n’ai pas envers les communistes, eux n’en ont aucune envers quiconque ne pense pas comme eux .
C’est une question de défense de vie et de liberté.
@Callahan : je ne vous dis pas tout ! Chez ces amis, que j’ai toujours respectés parce qu’ils n’ont pas changé d’idées (suivez mon regard pour voir les petits salopiots qui retournent leur veste politiquement parlant) et aussi, surtout, parce qu’ils avaient de grandes qualités humaines.
En revanche, nous n’avons pas arrêté de nous disons disputer pour rester poli sur le plan politique. Je le prouve en relatant une histoire ici :
http://guypoursin.com/
Il faut aller sur Impressions, puis, une fois là, chercher la date du 4 juillet 2015. A ce propos mon ami communiste – ironie de l’histoire – était né un 4 juillet !
Que dire sur ce MONSTRE sinon que nous avons la preuve que le DIABLE existe bien sur notre Terre.
Comment des Femmes Américaines célèbres, stars d’Hollywood, ont-elles pu s’allonger dans le lit de ce type pour s’entendre dire “Te quiero, mi cielo… Pouah ! Avec la sublime Ava Gardner qui giffle une de ses rivales tant elle en pinçait pour son CASTOR … C’était ni plus ni moins “La Bête et la Belle” !
Je doute que Danièle Mitterrand se soit fait susurrer à l’oreille “te quiero, mi cielo”, par son fidèle Fidel, quoi que …
Disons que la Danièle, avec ses Pataugas et sa besace qui sent le crottin de chèvre moulé à la louche, c’est pas franchement Ava Gardner… :-))
A la havane une maman demande du lait pour son bebe a la sortie de la pharmacie mon mari c est fait engueuler par des habitants pourquoi ???? Une autre fois arrivée à Cuba en charter grande file d attente pour les visas une preposee vérifie les origines des passeports ma fille de 16 ans en bout de file fut priée de passé en privilégiée avec sourire et courbette son passeport était biélorusse
La seule dictature que je connaisse , c’est celle de la France en Afrique et des USA dans le monde ! vive Castro , vive la révolution , a bas l’esclavagisme , le colonialisme et l’impérialisme occidental
ARMÉE FRANÇAISE HORS D’AFRIQUE !