Publié par Rosaly le 9 décembre 2016

Immédiatement après l’attentat terroriste islamiste contre Charlie Hebdo, “coupable” d’avoir publié des caricatures satiriques du prophète musulman, l’OCI, l’Organisation de la coopération islamique – la voix du monde musulman et la seconde plus grande organisation intergouvernementale après l’ONU – a réitéré ses appels à criminaliser tout « blasphème » contre l’islam, aussi oecuméniquement appelé « la diffamation des religions ».

Et pourtant, la seule religion, qui regorge de versets calomnieux, haineux, odieux, incitant au meurtre des non musulmans, c’est l’islam.

Toutefois, la grande ironie des revendications iniques et liberticides de l’OCI semble échapper à cette organisation mafieuse, basée en Arabie saoudite, un modèle de respect des Droits de l’Homme, mais selon la charia, et qui regroupe 57 pays musulmans dont certains figurent sur la liste des pays islamiques les plus cruels, les plus violents, les plus barbares. Et cette organisation ose donner des leçons de morale à l’Occident, qui ose accepter de les entendre.

Si des lois internationales devaient interdire des caricatures, des livres, ou des films sous prétexte qu’ils diffament une religion, en toute logique elles devraient commencer par interdire l’islam, la seule religion dont les textes fondamentaux diffament librement, activement et sans équivoque toutes les autres religions, en citant même leurs noms.

« Diffamation », selon la définition du dictionnaire, signifie « noircir la réputation d’un tiers » et porter atteinte à son honneur par la propagation de fausses accusations ou de calomnies verbales ou écrites.

Or dans l’usage islamique, la diffamation concerne tout ce qui insulte ou offense les sensibilités islamiques – mais pas les autres. Cependant, pour duper la communauté internationale et la séduire, l’OCI prétend cyniquement que de telles lois protègeraient toutes les religions de la diffamation, non seulement l’islam.

Hypocritement, cette formulation suggère que toute expression qui « dénigre » les sentiments religieux des croyants non musulmans devraient aussi être interdites et ce pour légitimer leur requête malhonnête de réduire toute critique de l’islam au silence par voie légale.

Or l’islam est le seule « religion », dont le livre « sacré » regorge de versets belliqueux, haineux, suprématistes, misogynes, la seule religion qui appelle à la soumission ou à la mort du non musulman.

  • Ce sont les gouvernements musulmans qui interdisent les églises, détruisent les croix et brûlent les Bibles … pas les autres. Et leurs actes criminels sont justifiés par le « saint et noble coran ».
  • Ce sont eux qui doivent être poursuivis pour diffamation envers les autres religions et leurs fidèles.
  • C’est eux qui menacent, incitent à la haine des non musulmans et au génocide des koufars, des impurs, des souillures chrétiennes – et le pratiquent.

Si les gouvernements occidentaux n’étaient pas si lâches, si ignorants, si lèche-babouches, ils demanderaient le vote d’une résolution de l’ONU pour faire cesser la diffamation et l’incitation à la haine des non musulmans contenues dans les textes fondamentaux islamiques, à commencer par le coran lui-même qui dénigre, calomnie et noircit la réputation des autres religions, notamment le christianisme.

5 :72

« Ce sont, certes, des mécréants ceux qui disent : «En vérité, Allah c’est le Messie, fils de Marie.» Alors que le Messie Jésus a dit : «Ô enfants d’Israël, soyez des serviteurs à Allah, mon Seigneur et votre Seigneur». Quiconque associe à Allah (d’autres divinités) Allah lui interdit le Paradis ; et son refuge sera le Feu. Et pour les injustes, pas de secoureurs !“

5 :73

« Ce sont certes des mécréants, ceux qui disent: «En vérité, Allah est le troisième de trois.» Alors qu’il n’y a de divinité qu’Une Divinité Unique ! Et s’ils ne cessent de le dire, certes, un châtiment douloureux touchera les mécréants d’entre eux. »

Coran 9 :30

« Les Juifs disent : « Uzayr est fils d’Allah » et les Chrétiens disent : « Le Christ est fils d’Allah ». Telle est leur parole provenant de leurs bouches. Ils imitent le dire des mécréants avant eux. Qu’Allah les anéantisse ! Comment s’écartent-ils (de la vérité) ? »

En sachant que le mot « infidèle » (kafir) est l’un des termes islamiques les plus désobligeants, que se passerait-il si un livre chrétien ou une caricature occidentale déclarait que les infidèles sont ceux qui proclament que Mahomet est le prophète de Dieu ?

Les musulmans considéreraient cela comme une grave diffamation à l’encontre de l’islam et de la meilleure communauté qui soit selon Allah, et ils les vengeraient en multipliant émeutes sanglantes, meurtres d’innocents, et destructions d’églises.

Dès lors, ne devrait-on pas appliquer la même norme et demander l’interdiction du coran qui diffame les Juifs, les Chrétiens, le Christianisme et toutes les minorités non musulmanes présentes en terre d’islam ?

C’est précisément pour cette raison que dans certaines régions en Russie sont interdits les versets clés islamiques, y compris Sahih Bukhari, considéré comme la seconde autorité après le coran lui-même.

Selon les procureurs d’Apastovsk, Sahih Bukhari a été ciblé car il promeut exclusivement une seule religion, l’islam ou, déclarait Ruslan Galliev l’assistant du procureur du Tatarstan, il favorise un islam militant qui incite à la haine religieuse et ethnique.

La façon dont la Croix, vénérée par des centaines de millions de Chrétiens est décrite, insultée, diffamée dans l’islam est effrayante : selon des hadiths canoniques, quand Isa (le Jésus islamique) reviendra, il détruira les Croix. Mahomet, qui n’autorisa jamais une seule Croix en sa présence, ordonna à une personne portant la Croix de jeter cet objet d’idolâtrie loin de sa vue.

Sans surprise, suivant l’exemple de leur doux prophète, la Croix est interdite et souvent détruite dans de nombreux pays musulmans. Et cette tradition de tolérance islamique se répand également dans nos pays grâce à l’arrivée des pieux migrants.

Les gouvernements occidentaux ne devraient-ils pas considérer cela comme un blasphème et exiger le respect des symboles chrétiens en terre d’islam ? Sans doute, s’ils étaient encore eux-mêmes les défenseurs du christianisme, mais ils sont devenus des traîtres et ils renient les racines judéo-chrétiennes de l’Occident, à quelques rares et courageuses exceptions en Europe centrale et de l’Est.

Et que se passerait-il si des livres ou des films chrétiens déclaraient que des objets sacrés de l’islam comme la pierre noire et la Ka’ba à la Mecque étaient des objets d’idolâtrie et que Mahomet lui-même reviendrait pour les détruire ? (la pierre noire vénérée par les musulmans est une météorite enchâssée dans un cadre en argent à l’un des angles de la Ka’aba, angle dit de la pierre. La Pierre Noire est placée à proximité de l’unique porte d’accès de la Ka’ba, à environ un mètre au-dessus du niveau du sol afin que les pèlerins puissent la toucher et l’embrasser, mais en se penchant en signe de soumission.)

Les musulmans verraient rouge et organiseraient des représailles sanglantes.

Par contre, eux peuvent détruire les églises, les croix, persécuter et tuer les chrétiens en toute quiétude, et l’Occident se tait.

Ne ratez aucun des articles de Dreuz, inscrivez-vous gratuitement à notre Newsletter.

Une autre diffamation particulièrement odieuse envers la sensibilité de millions de Chrétiens, catholiques et orthodoxes, concerne la Vierge Marie.

Selon les exégètes coraniques ayant la plus grande autorité spirituelle, y compris le très vénéré Ibh Kathir, Mahomet est, au paradis, marié à la Vierge Marie.

Imaginez quelle serait la réaction du monde musulman si un livre chrétien ou un film occidental représentait Aïcha, l’épouse favorite de Mahomet, la mère des Croyants, mariée et ayant des relations sexuelles avec un faux prophète dans le lupanar céleste d’Allah ?

Ce serait un feu d’artifice sanglant, de nombreux innocents paieraient de leur vie ce sacrilège, non seulement en terre musulmane, mais aussi en Occident.

Si les gouvernements occidentaux étaient honnêtes et courageux, ils admettraient que les exégètes coraniques diffament la Vierge Marie et insultent des centaines de millions de chrétiens. Ils exigeraient l’interdiction en Occident de ce livre blasphématoire. Mais ne rêvons pas. Ils sont non seulement corrompus et soumis aux musulmans, mais tétanisés par la peur que suscite la violence des fidèles de cette religion de paix et de tolérance.

La diffamation du christianisme ne se limite pas aux seules écritures islamiques. Des érudits modernes de l’islam, des cheikhs et autres savants coraniques s’accordent pour dire qu’il est autorisé de diffamer et de se moquer du christianisme.

Islam Web, propriété du gouvernement qatari a même émis une fatwa légitimant l’insulte au christianisme. Quoi de plus normal !

Et parallèlement, le Qatar fait partie de l’OCI qui pousse l’UE à voter une résolution prônant le délit de blasphème pour toute critique à l’encontre de l’islam.

En 2006, le site qatari promulgua la fatwa No 71.480 intitulée « The Burning of Ias bin Abdul Yalil by Abu Bakr » qui autorisait à brûler vif un être humain comme punition.

Cette fatwa fut rapidement retirée après que l’EI utilisa les mêmes arguments énoncés par ce décret religieux pour justifier le sort réservé au malheureux pilote jordanien tombé entre ses mains : il fut brûlé vif enfermé dans une cage.

Mas le Qatar est un pays musulman modéré, civilisé, grand ami de l’Occident, et les lèche-babouches au pouvoir sont fiers de s’incliner devant l’émir du Qatar qui répand sur eux le doux parfum des pétrodollars. Les musulmans, même riches et occidentalisés, restent attachés à leurs mœurs barbares.

N’est-il pas ironique de constater que la diffamation de l’islam dont se plaignent les musulmans à l’origine de violences et d’effusion de sang à travers le monde tourne autour de choses comme des caricatures et des films réalisés par des individus qui ne représentent qu’eux-mêmes ?

D’un autre côté, c’est l’islam lui-même, via ses textes sacrés, qui dénigre et condamne, en un mot, diffame, toutes les autres religions, sans oublier les nombreux appels à la violence.

Coran 9 :29

« Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n’interdisent pas ce qu’Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu’à ce qu’ils versent la capitation par leurs propres mains, après s’être soumis et humiliés. »

L’islam s’arroge ainsi le droit de diffamer et de détruire toutes les religions, et les membres de l’OCI demandent pour ce faire l’aval juridique des gouvernements occidentaux – qu’ils finiront sans doute par obtenir.

Or ce droit, perçu comme divin par l’islam de diffamer et de détruire tout ce qui n’est pas islamique, devrait inquiéter la communauté internationale et l’inciter à prendre des mesures pour protéger les non musulmans contre la tyrannie de l’islam, et pas de condamner les caricatures, petits films satiriques ou critiques de l’islam. Ils ne devraient pas céder aux exigences anti-démocratiques et criminelles de cette organisation mafieuse islamique qu’est l’OCI.

Selon cet OCI encore, l’islamophobie mène aux crimes de haine, et crée la peur, le sentiment de stigmatisation, la marginalisation, l’aliénation et le rejet. La conséquence est une angoisse aggravée et la montée de la violence et du terrorisme. L’islamophobie est une atteinte à l’identité des personnes et à leur dignité humaine.

Par contre leur christianophobie, qui se traduit par le génocide des Chrétiens en terre d’islam, ne porte aucune

Inscrivez-vous gratuitement pour recevoir chaque jour notre newsletter dans votre boîte de réception

Si vous êtes chez Orange, Wanadoo, Free etc, ils bloquent notre newsletter. Prenez un compte chez Protonmail, qui protège votre anonymat

Dreuz ne spam pas ! Votre adresse email n'est ni vendue, louée ou confiée à quiconque. L'inscription est gratuite et ouverte à tous

En savoir plus sur Dreuz.info

Abonnez-vous pour poursuivre la lecture et avoir accès à l’ensemble des archives.

Continue reading