Publié par Rosaly le 17 décembre 2016
Nos futurs Italiens

Ceux qui s’attendent à la reconnaissance des réfugiés peuvent se préparer, ils vont être servis…

Ils débarquent en Italie fuyant la misère et la guerre. On leur offre l’hospitalité, des repas, des vêtements, de l’argent de poche et en guise de remerciement, ils menacent d’égorger leurs hôtes. Quoi de plus naturel, de la part des musulmans.

Début décembre, un Nigérien et deux Gambiens ont séquestré et menacé d’égorger deux travailleurs de la coopérative de Potenza qui gère une structure d’accueil pour demandeurs d’asile.

« Si vous ne nous donnez pas plus d’argent et de meilleurs repas, nous vous égorgerons », ont menacé les réfugiés.

Quelques jours en cellule et les auteurs de la menace furent à nouveau libres – il faut respecter le droit à la liberté d’expression de nos invités.

Mais de quoi étaient donc coupables les responsables du centre pour avoir suscité une telle ire de la part de ces malheureux réfugiés africains ? Etaient-ils victimes de racisme, de violence, d’insultes xénophobes ? Pas du tout. La seule faute dont ils se plaignaient était qu’on avait refusé d’augmenter l’argent de poche perçu par chaque demandeur d’asile, soit 4 euros par jour, à un montant ultérieur réclamé par les Africains sans que personne ne sache à quel titre.

Une requête absurde, qui dégénéra en agressions et tentatives de révoltes, auxquelles seule l’intervention policière mit fin.

Résultat : l’arrestation des trois individus.

Mais les accusations à leur encontre ne furent pas considérées suffisamment graves pour les garder plus longtemps en prison.

Sans doute aurait-il fallu que ce sympathique trio venu en Italie pour enrichir ce pays de leurs fières traditions tribales, et y apporter sa belle culture, passe à l’acte et égorge un ou deux employés du centre pour que la justice réagisse et les condamne à la prison, et encore … rien n’est moins certain.

Laxisme et indulgence envers les délinquants non italiens sont les mamelles de la justice gauchiste italienne.

La dénonciation des victimes et le rapport de la police mettent pourtant en évidence les intentions criminelles d’une partie des supposés réfugiés.

Dans l’armée de ceux qui attendent les bras croisés la reconnaissance de leur statut de réfugiés, les têtes brûlées ne manquent pas, et elles ne se gênent pas pour exiger plus d’argent, des repas plus respectueux de leur origine et des conditions de vie meilleures.

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Ils ne manquent pas d’air, ces frères si chers aux gauchos. Ils exigent respect et humanité, puis ils menacent d’égorger celui qui lui tend la main.

Travailler ? Pas la peine d’en parler, même à voix basse. Ce mot barbare, beurk ! Evoquer publiquement l’idée qu’on pourrait leur demander de travailler est se voir accusé d’islamophobie. Et on appelle cela « l’intégration ».

Ce fait divers n’est pas un cas isolé. Il fait désormais partie du quotidien des Italiens, sans oublier les nuisances et autres délits qui accompagnent la vie des citoyens de la Botte. Et gare à celui qui se plaint ! La justice pro-multiculturalité veille !

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Source : « L’ira dei migranti al Cie: “Dateci più soldi o vi scanniamo » Il Giornale.it

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