Lorsqu’un parrain de la mafia libère le monde de sa nuisance, ses successeurs se pressent autour de son cercueil, attendant le partage de son entreprise criminelle en agitant leur croix en or massif, lesquelles sont loin de marquer une appartenance à la doctrine du Christ.
Il serait dangereux pour votre vie d’interrompre les louanges des bandits-héritiers. Cela ne s’est même d’ailleurs jamais vu ! Pourtant, quelqu’un doit bien mettre un terme au meuglement des flatteries funèbres soviétoïdes pour crier la vérité, selon cette noble expression de Charles Péguy : le feu professeur Nikita Struve ne fut qu’un fonctionnaire-boutiquier lâche et arrogant ! Français, jamais il n’a soutenu un dissident de France, que celui-ci provienne du monde universitaire ou politique. Face à cette France, son pays, envahi et déchiré sous ses yeux, jamais il n’a élevé la voix pour la défendre. Ni offert une tribune dans sa librairie ou sa faculté à un dissident authentique, français ou russe.
Son commerce se trouvant à deux pas de Saint-Nicolas-du-Chardonnet, Struve se barricadait derrière les banalités et les piafferies d’un fonctionnaire craignant de perdre sa petite boutique, traitant les Français traditionalistes attachés à la foi de leurs pères de «fascistes». Il convient maintenant de comprendre pourquoi : la slavistique française, autrement dit les petits apparatchiks du ministère de l’Enseignement qui transmettent tant bien que mal la grammaire d’une langue qu’ils sont souvent loin de maîtriser, ou quelques trivialités sur un auteur russe qu’ils n’ont jamais lu en version originale, est une meute de gauchisants mous issus du trotskisme syndicaliste. Ni ces minables, ni Struve qui dépendait d’eux pour sa carrière et pour la vente de ses livres, ne sont capables de faire une authentique découverte dans l’œuvre d’un écrivain russe, présentant Pouchkine, Dostoïevski ou Tchekhov comme le ferait n’importe quel journaleux de troisième classe d’un village sibérien.
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«Nikita Struve, l’éditeur du dissident Soljenitsyne» ! Voilà l’image fausse de courage civique que ceux qui partagent maintenant sa boutique professorale voudraient inculquer à ses compatriotes français.
Mais jamais le pleutre Struve n’aurait eu le cran d’éditer Soljenitsyne s’il n’avait été aiguillonné par des services spéciaux états-uniens qui injectaient des millions de francs dans ce business, campagne non anticommuniste, nous le voyons aujourd’hui clairement, mais russophobe ! Pire encore : pour avoir osé donner la parole à Soljenitsyne (qui, d’ailleurs, ne faisait que répéter ce que chaque homme qui se respecte connaissait en Occident sur l’URSS depuis l’affaire Kravtchenko), Struve fut obligé pendant des décennies, et jusqu’à sa mort, de littéralement ramper devant les syndicalistes de la slavistique française souvent dépourvus d’existence psychique, ainsi que devant les filles de joie ex-soviétiques que ces derniers, incapables de s’exprimer en russe, importaient dans l’Université française. Car le pingre Struve se démenait pour être convié dans les salons de vente des mairies communistes que ces tovarichi russistes abrutis par Trotski organisaient, pour y obtenir une table et gagner une centaine d’euros supplémentaires en refourguant quelques matriochki à la face sordide de Gorbatchev.
Et pour terminer : si Soljenitsyne n’avait pas seulement été un homme de lettres, mais également son concurrent en slavistique, jamais Struve n’aurait lancé son œuvre !
Combien d’authentiques dissidents français non soutenus par une puissance quelconque Nikita Struve a-t-il dû calomnier par son silence complice, chassant des rayons de sa librairie les ouvrages iconoclastes qui pouvaient nuire à son commerce, dans cette France où il est né, et que pourtant ce «chrétien», fonctionnaire de la très crasse université de Nanterre trahissait chaque jour ?
Jamais il n’est venu s’exprimer dans un média réellement dissident, comme le faisait par exemple son consanguin Vladimir Volkoff.
Comble de l’immondice : le fait d’intervenir en compagnie de Vladimir Volkoff sur les pages de L’Action française 2000 de l’époque de Pierre Pujo, et d’avoir obtenu un prix international russe pour une thèse sur Nabokov et Nietzsche qui anéantissait les graphomanies pseudo-scientifiques de ses camarades les plus proches, a valu à l’auteur de ces lignes de devenir persona non grata chez ce faux dissident Nikita Struve sur lequel pourra désormais dévaler l’avalanche de la vérité.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Dr Anatoly Livry, Bâle, Suisse pour Dreuz.info.
Règlement de compte obsessionnel inintelligible. Présentez un peu le sujet avant de faire des remarques et critiques.
Par ailleurs, Dreuz a recours a des régies publicitaires envahissantes et très pénibles qui en rendent la lecture éprouvante et dégradent son image de marque. Pop-under, rechargements de page intempestifs, fenêtres surgissantes sur le côté, etc. J’ai déjà fait la remarque que si c’était imprimé ce serait sur du méchant papier dont l’encre tache les mains. Le travail de JPat (mon chouchou grognon un peu bulldozer) mérite mieux.
Joyeux Noël.
Quel déferlement de haine ! Que voulez-vous que cela nous fasse, que vous ayez un compte à régler avec cet homme ? Vous auriez au moins pu prendre la peine de nous expliquer qui il était, au lieu de vous cantonner à des insultes compréhensibles par dix personnes.
Diffamer quelqu’un à l’occasion de sa disparition, en l’accusant d’actions imaginaires qu’il n’a pas commises, mais dont l’auteur assure qu’il les aurait commises si les circonstances avaient été différentes, c’est inqualifiable.
C’est bien que Struve est enfin correctement présenté !
Ces millions qu’il a reçus de l’ambassade de certains pays pour publier Soljenitsyne, alors que des dizaines de dissidents français se faisaient littéralement expulsés de la boutique de Struve, le “professeur” …
Enfin, le vérité est dite !
+ « Jamais je ne viendrai à Radio Courtoisie, cette radio fasciste ! » (Nikita Struvé sur radio courtoisie de l’époque de Jean Ferré).
Et c’est vrai. Jamais Struvé n’est venu sur Radio Courtoisie !
Et Radio Courtoisie n’est qu’un seul exemple !
Ce « dissident » Struvé qui a commercialisé (un certain !) Soljenitsyne a bien obéi aux ordres de ceux qui régissent des russistes français : c’est un nid de vipères géré par des fonctionnaires trotskisants et leurs concubines importées, prêtes à tout.
Nikita Struvé n’a été que l’un parmi ces minables, un petit fonctionnaire (en plus, propriétaire d’une boutique !), esclave de tabous et d’avidité insatiable.
Totale stérilité incarnée !
Comme preuve, Struvé n’a laissé aucune œuvre scientifique ou littéraire. Struvé n’a fait aucune découverte scientifique majore (et a étouffé les découvertes scientifiques des autres !).
Boutiquier-fonctionnaire commercialisant la « dissidence » et le Christ ! – ce Struvé est le personnage de Léon Daudet !
Et on se souviendra de Struvé qu’en évoquant ce vide immense qu’il a généré.
Quand l’on exige du respect, il faudrait fournir d’autres preuves qu’une malfaisance de longues années.
« Les faits sont têtus », comme disait Lénine, ce génocidaire qui a finalement rapporté tant d’argent au camarade Struvé …
La majorité des responsables universitaires français en place répondent à ce portrait : carriéristes, envieux, médiocres, intrigants, veules… C’est aussi probablement le cas dans nombre d’autres pays. On peut le constater même à un niveau aussi modeste que celui de simple ‘fantassin-étudiant’ ayant un sens de l’observation minimum… J’ai été le témoin direct de cette remarque éloquente venant d’un maître de conférences à propos d’un professeur, très compétent et intègre, ne faisant jamais aucun prosélytisme politique (contrairement à d’autres), mais qui avait le tort d’être plutôt de droite (péché mortel dans une faculté littéraire) : “Si tu fais une thèse avec lui, tu seras classé ‘extrême-droite’ ”. Étonnant de la part d’individus censés consacrer leur existence à la recherche, la réflexion et l’analyse ! Une cabale a priori ! Ce type de jugement est monnaie courante dans les universités : on juge un travail, une personne avant de l’avoir lue, et on le fait en se renseignant sur ses “fréquentations” et ses affiliations. L’idéologie règne en maîtresse.
Je crois qu’une partie du propos vise à souligner ce décalage ironique entre les valeurs de l’Université — libre examen – qui est l’authentique goût pour la recherche, dialogue fructueux entre positions (réellement) adverses, indépendance face à l’injonction de rentabilité, etc. — et le système universitaire, qui n’est qu’un autre nid de crabes poussifs, ou du moins une structure gangrénée par un certain népotisme. Pour réussir dans l’Université, il faut “être bien avec” les mandarins et même les secrétaires.