Publié par Jean Vercors le 26 décembre 2016

 

Alors que l’ONU, l’Union européenne et la Ligue arabe mettent la pression sur Israël pour un retour en dehors de ces soi-disant territoires contestés, la réalité est que le conflit au Moyen-Orient vient du fait que les Arabes ne peuvent pas accepter un Etat juif.

Même si Israël rendait ces territoires, il n’y aurait pas de paix, car les Arabes voudront alors utiliser la paix pour détruire Israël.

Le monde doit savoir que notre peuple s’appelle juif parce que nous venons de Judée, comme les Bretons viennent de Bretagne, les Corses de Corse et les Arabes d’Arabie. Le fait demeure que ces territoires rebaptisés en Cisjordanie pour faire oublier ce lien font partie intégrante de l’Etat d’Israël, et ils ont toujours été liés au peuple juif.

Le terme Cisjordanie a été inventé il y a 60 ans.

De nombreux voyageurs de renommée mondiale, historiens et archéologues des siècles précédents se réfèrent à la Judée et la Samarie, parce que le terme Cisjordanie a été inventé il y a seulement 60 ans.

La Jordanie a donné ce nom à la région pendant les 19 ans où il l’a occupée après la guerre d’Indépendance contre Israël.

Aucune nation sur terre autre que la Grande-Bretagne et le Pakistan n’a reconnu l’occupation illégale par la Jordanie de la Judée et de la Samarie. Même l’Encyclopédie Britannica, et de nombreux documents officiels britanniques et ottomans, utilisaient le terme Judée et de Samarie, et non Cisjordanie.

Le traité de San Remo de 1920

Par ce traité, la Société des Nations, ancêtre de l’ONU, reconnaissait aux juifs un droit exclusif sur la terre d’Israël en raison des liens historiques du peuple juif avec le territoire précédemment connu sous le nom de Palestine.

Le résultat de cette déclaration donna naissance au Mandat pour la Palestine, un traité international de la Société des Nations qui établissait le droit donné aux juifs de s’installer n’importe où en Palestine occidentale, entre le Jourdain et la mer Méditerranée.

Et ce traité stipule noir sur blanc que les colonies juives de peuplement sont légales.

la légitimité d’Israël est donc liée à une décision internationale prise à San Remo le 25 avril 1920.

Le second fondement juridique de l’Etat moderne d’Israël remonte à l’époque qui a suivi la Première Guerre mondiale.

Quand les grandes puissances de l’époque et la Société des Nations – L’ONU de cette époque – ont décidé de qu’il adviendrait des différents territoires ennemis.

Par rapport au droit international, la résolution de San Remo est donc le document constitutionnel principal de l’Etat d’Israël. Et les droits reconnus comme étant inhérents au peuple juif ont été garantis par l’article 80 de la Charte de l’ONU.

Résolution 242

« La résolution 242 du Conseil de Sécurité du 22 novembre 1967 est souvent mentionnée comme étant à l’origine des droits et devoirs de toutes les parties au Moyen-Orient. Concernant Jérusalem proprement dit, je soutiens l’idée qu’encore une fois, les droits ont été accordés sur la base de la reconnaissance des droits historiques, en se fondant sur le principe du rétablissement des possessions anciennes du peuple juif » explique le docteur Jacques Gauthier, juriste international spécialisé dans la défense des droits de l’homme.

L’Etat juif et le Peuple juif n’ont rien fait pour abandonner les droits qui leur ont été donnés concernant ce territoire ni pour y renoncer.

Les gauchistes haineux du monde veulent qu’Israël divise à nouveau Jérusalem selon les « frontières de 1967 », et ils ne savent même pas qu’il n’existe pas de « frontières de 1967 ». Ce qu’ils réclament placerait ainsi la totalité de la Vieille Ville du côté arabe palestinien, y compris le quartier juif et le mur des Lamentations, rayant d’un trait les événements de 1948 et de 1967.

Les ennemis d’Israël font souvent référence au droit international, mais ils ne le connaissent pas en fait. Ils se contentent de jouer les perroquets de la propagande arabe, en mentionnant des résolutions qu’ils n’ont pas lues ou pas comprises, et des traités qui ne s’appliquent pas.

 

« La présence d’Israël en Cisjordanie n’est pas une occupation, les colonies israéliennes sont légales en vertu du droit international » déclarait le Rapport Edmund Levy en 2012.

Nous devons opérer pour faire valoir nos droits, le droit du peuple juif en tant que nation indigène dans sa terre. Les juifs sont la nation la plus ancienne ici, mais l’Etat d’Israël l’a rarement mentionné. Il a rarement rappelé que nous avons des droits sur ces territoires depuis des temps immémoriaux. Que d’immenses régions ont été légalement achetées au cours des siècles par de riches juifs et conservés jusqu’à ce qu’ils soient offerts au KKL.

Israël a rarement rappelé au monde l’existence des traités internationaux, la déclaration Balfour, la déclaration de San Remo, la Charte des Nations-Unis et le Mandat britannique tel qu’approuvé par la Société des Nations. Ils sont pourtant pertinents en ce qui concerne nos droits.

Il est inconcevable que le monde entier répète le mantra que la Judée et la Samarie sont des territoires occupés quand d’un point de vue factuel, il n’y a pas de base légale pour le dire.

Ne ratez aucun des articles de Dreuz, inscrivez-vous gratuitement à notre Newsletter.

Quand Obamalek, les Nations-Unies ou l’Union européenne prétendent, avant même que les négociations commencent, que nous n’avons aucun droit sur les territoires de Judée et Samarie, que nos « colonies » sont illégitimes, ils adoptent essentiellement la position arabe fondée sur le mensonge.

De très nombreux livres décrivent la Judée et la Samarie juives :

  • Henry Baker Tristram (La terre d’Israël, 1865)
  • Mark Twain (les Innocents à l’étranger, 1867)
  • R.A. MacAlister et Masterman (« Fonds d’exploration de la Palestine »)
  • A.P. Stanley (Sinaï et Palestine, 1887) Robinson et E. Smith (Recherches bibliques en Palestine, 1841)
  • CW Van de Velde (Peise durch und Syrien Paletsinea, 1861
  • Felix Bovet [Voyage en Terre Sainte, 1864].

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean Vercors pour Dreuz.info.

Inscrivez-vous gratuitement pour recevoir chaque jour notre newsletter dans votre boîte de réception

Si vous êtes chez Orange, Wanadoo, Free etc, ils bloquent notre newsletter. Prenez un compte chez Protonmail, qui protège votre anonymat

Dreuz ne spam pas ! Votre adresse email n'est ni vendue, louée ou confiée à quiconque. L'inscription est gratuite et ouverte à tous

En savoir plus sur Dreuz.info

Abonnez-vous pour poursuivre la lecture et avoir accès à l’ensemble des archives.

Continue reading