Publié par Rosaly le 3 janvier 2017

L’un des nouveaux lieux communs répandu par les médias, les élites politiques et religieuses est le suivant : toute critique de l’islam encouragerait la radicalisation des musulmans modérés.

Faux! a rétorqué William Kilpatrick, auteur de Christianity, Islam, and Atheism* dans “Catholic Thing”:

«Ce raisonnement est démenti par les faits, car il serait aussi facile de prétendre le contraire : c’est le manque de critique qui a conduit à la renaissance de l’islam radical.»

Au lieu de critiquer l’islam, les gouvernements occidentaux, les médias, le monde académique et même les Églises se sont pliées à la censure exigée par l’OCI, et affirment en chœur que toutes les horreurs commises au nom de l’islam n’ont aucun rapport, mais alors aucun, avec l’islam, cette religion de paix et d’amour qui s’est imposée au cours des siècles par la douceur, la poésie, la tolérance et le respect de la vie des infidèles.

Ce refus obstiné de dire la vérité sur l’islam n’est qu’un rigide système d’autocensure. Affirmer que toutes les atrocités sont commises au nom de l’islam (officiellement religion de paix) serait une provocation qui transformerait un grand nombre de musulmans pacifiques en jihadistes. C’est peu flatteur pour les musulmans dits modérés, et cela laisse entendre que les musulmans peuvent devenir jihadistes si leur religion est attaquée, ce qui n’est pas le cas des autres religions.

En sanctionnant toute critique de l’islam par crainte d’une riposte violente, on reconnaît dès lors implicitement la nature agressive de cette «religion de paix».

On peut critiquer le christianisme, le judaïsme, le bouddhisme sans angoisse, car il n’y aura ni radicalisation des fidèles ni attentats meurtriers, en représailles.

Faut-il qu’Allah soit faible et fragile pour que les musulmans se sentent obligés de le protéger par le massacre de quiconque ose le critiquer.

C’est donc bien par la peur que l’islam distille dans le cœur des mécréants cette idéologie sanguinaire, qu’il se développe et s’impose aux non-musulmans et à nos dhimmis au pouvoir, les premiers à se laisser terroriser par la «religion» de paix.

Au lieu de combattre le mal, nos dirigeants interdisent aux citoyens de se défendre et s’agenouillent devant l’ennemi de l’Occident.

Cette attitude servile est vue comme un signe de faiblesse par les musulmans, cela renforce leur sentiment suprématiste et nourrit leur devoir obsessionnel de nous conquérir et de nous soumettre.

L’islam fait peur, et nos dirigeants, non seulement capitulent devant l’ennemi sans combattre, mais ouvrent les portes de l’Occident à un flux interrompu de migrants musulmans. Là encore, le censure est de rigueur.

Les conséquences pourtant désastreuses de cette immigration de masse majoritairement musulmane n’ont jamais été discutées de manière objective. Bien au contraire, ce phénomène migratoire effrayant est sans cesse exalté en termes enthousiastes et élogieux.

Les migrants vont enrichir l’Europe, pallier les carences démographiques, contribuer au financement des systèmes sociaux !

Pieux mensonges, car seulement un faible pourcentage de ces migrants est qualifié et trouvera un travail dans une Europe déjà bien plombée par le chômage. Les autres réfugiés arriveront à la retraite sans avoir jamais travaillé ni cotisé. Comme ils débarqueront de plus en plus nombreux, ils dépendront en très grande partie de l’aide sociale, jusqu’à l’effondrement du système. Ajouter à cela les problèmes de criminalité déjà en forte hausse, la haine des mécréants intrinsèque à l’islam, et la situation deviendra explosive et finira en un bain de sang.

L’Europe deviendra un continent sous-développé, appauvri, enlaidi, surpeuplé, déchiré par des conflits interconfessionnels, car ces migrants enrichiront bien nos pays, mais de problèmes ethnico-religieux, socioculturels et civilisationnels.

Les migrants qui arrivent en Europe par millions viennent du Moyen-Orient, «il y a là une différence culturelle et religieuse qui est un facteur de grave préoccupation» a déclaré Mgr Schönborn, archevêque de Vienne.

Aucune société multiculturelle ne peut exister avec les musulmans sans que la violence ne vienne un jour mettre le pays à feu et à sang et les exemples dramatiques se multiplient. Nous pouvons déjà expérimenter tous les bienfaits de cette «richesse» importée :

  • hausse dramatique de l’insécurité, des viols, des vols, de la délinquance, de la violence ;
  • diminution, voire disparition de nos libertés pour soi-disant lutter contre cette violence ;
  • églises, écoles, évènements festifs placés sous protection policière par crainte d’attentats terroristes islamistes.

 

 

Selon l’ONU, la Suède, pourtant pays accueillant, très ouvert à l’immigration musulmane, va devenir un pays du Tiers monde d’ici 2030. Les autres suivront, si les peuples ne prennent pas leur destin en main.

Mais, l’establishment, conforté par les médias de gauche, croit dur comme fer en une société parfaite basée sur le multiculturalisme issu d’une immigration à grande échelle provenant de pays les plus pauvres de la planète. Tout citoyen qui ne partagerait pas ce point de vue, ce paradigme, prend le risque d’être qualifié de raciste, fasciste, voire même de nazi.

Il est interdit de contredire la doxa officielle. Quiconque ose soulever des objections doit s’attendre à être pénalisé. L’immigration musulmane, c’est notre avenir assuré : oui, mais sous le statut du dhimmi, soumis au Pacte d’Omar !

Parler de manière négative de l’immigration musulmane sur sa page Facebook peut avoir pour conséquence la visite de la police à votre domicile. Le dire en public vous soumet à des poursuites judiciaires. Et peu importe si vous êtes un écrivain célèbre, comme ce fut le cas d’Oriana Fallaci, ou le président de la Free Press Society danoise (Lars Hedegaard), ou un membre du Parlement néerlandais (Geert Wilders).

En Europe, rares sont les gens qui osent critiquer l’islam, mais cela n’a pas empêché la radicalisation de jeunes musulmans, et ce dans toutes les classes sociales de la société musulmane.

C’est surtout le silence imposé par la police de la pensée qui a permis à l’islamisation et à la radicalisation d’exploser en France, en Allemagne, en Belgique, aux Pays-Bas, en Grande-Bretagne, en Espagne, en Suisse, en Italie, dans les pays scandinaves.

Pendant des années, personne n’osa parler officiellement des zones de non-droit, des tribunaux islamiques, des mariages forcés, de la polygamie, du refus de s’intégrer, et les quelques rares courageux furent mis au ban de la société, ostracisés, jugés tels de vulgaires malfaiteurs par les élites apôtres du «vivre ensemble», les chantres du «multiculturalisme» et les partisans émus de l’immigration de masse, eux bien à l’abri dans leurs ghettos dorés et hyper sécurisés, la mixité si chérie étant réservée au peuple.

Mais les faits violents qui se succèdent, les attentats qui ensanglantent nos pays commencent à fissurer le mur du silence à nous imposé par la dictature écolo-gauchiste.

Et les langues se délient.

Il se pourrait, toutefois, que ce soit trop tard pour éviter la honte de la capitulation, le destin probable de la Suède et de la Grande-Bretagne ou un conflit sanglant en France, en Italie, en Allemagne.

Nous, les Occidentaux, ne craignons pas que la critique du catholicisme fasse sortir dans les rues des foules menaçantes de catholiques hystériques, les yeux injectés de sang. Si quelqu’un offense notre foi, nous ne nous inquiétons pas, car aucun de nos jeunes ne sortira, la taille garnie d’une ceinture d’explosifs ou armé d’un fusil d’assaut pour perpétrer un massacre dans une mosquée ou dans un quartier halal.

Dès lors, qu’attendent les responsables politiques pour oublier le politiquement correct et se concentrer sur le cœur du problème qui menace l’Occident : l’islam. Que le ciel leur tombe sur la tête ?

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Au vu de son passé et de son présent sanguinaire, il serait tout à fait irresponsable de ne pas soumettre l’islam à une analyse critique.

L’islam est avant tout une idéologie politique qui n’a rien à envier ni au nazisme, ni au communisme, ni à l’impérialisme japonais d’avant la guerre de 40.

L’islam s’est saupoudré d’une couche de religieux, ce qui lui permet de bénéficier de la liberté de culte dans nos sociétés, mais son objectif premier reste celui d’imposer au monde libre un modèle sociétal temporel et spirituel unique, révélé, éternel et hors d’atteinte de toute critique.

L’approche vivre et laisser vivre est généralement bonne, mais quand l’autre religion exige la conversion ou la mort, alors, le vivre et laisser vivre n’est plus une option, mais une menace létale. Et c’est hautement suicidaire de faire comme si de rien n’était et continuer à fermer les yeux… en rêvant à l’utopie d’une société multiculturelle, gage de bonheur assuré.

L’islam contient, dans ses fondements mêmes, dans son histoire, dans ses mythes, tous les germes de la violence qui déferlent sur le monde entier. Son fondateur Mahomet est décrit par la tradition musulmane comme un farouche guerrier qui n’hésita pas à piller et à massacrer au nom de la parole supposément infaillible et éternelle d’Allah. Dès son origine au VIIe siècle, l’islam s’est figé dans l’immobilisme et l’absolutisme idéologique. De leur côté, les musulmans pratiquants partagent une foi de charbonnier qui les aveugle. Ce qui est tragique dans leur cas, c’est que l’enracinement dans leur religion est si fort qu’ils ont tendance à sombrer rapidement dans le fanatisme.

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L’angélisme liberticide et suicidaire de la plupart des politiciens et des journalistes occidentaux, qui se veulent si ouverts à la différence culturelle au point de cautionner les excès des autres cultures et de déconsidérer, voire de mettre en péril leur propre culture ainsi que la sécurité et la liberté de leurs concitoyens pave le chemin de l’islamisme, de la servitude, et de la mort de la civilisation occidentale.

«Réveillez-vous. N’acceptez pas chez vous les réfugiés qui ont fait de nous des réfugiés ici», telle est la mise en garde de Mgr Nicodemus Daoud Shraf, archevêque syriaque orthodoxe de Mossoul, du Kurdistan et de Kirkouk.

Il sait de quoi il parle, contrairement à nos élites pro-immigration musulmane !

L’Europe vs Islam !

 

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Source :»: Criticare l’islam favoprisce il radicalismo. Pensarlo e un suicidio» Il Foglio

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