Publié par Jean Vercors le 10 janvier 2017

Les conséquences du ménagement immoral et irresponsable des terroristes par notre gouvernement et nos chefs militaires ont et auront d’horribles ramifications, après le verdict d’Elior Azaria.

Dimanche, le terroriste n’a pas été abattu par des soldats. Non. Les soldats sur les lieux attendaient probablement la permission de tirer au moment où leurs camarades étaient écrasés par le camion du terroriste.

C’est un civil armé qui est intervenu et a tué le terroriste.

Ceux dans l’état major qui se vantent que Tsahal est l’armée la plus morale au monde devraient avoir honte. Ce n’est pas le cas.

Il est absolument immoral et absurde de donner des droits aux terroristes, ces droits allant contre la sécurité de son propre peuple.

La condamnation du héros Elior Azaria est un feu vert à plus de terreur arabe, l’attentat de Jérusalem en est la preuve.

Comme à Nice et à Berlin, le terroriste Fadi Qunbar, 28 ans, qui a foncé sur les piétons avec son camion est un sympathisant de l’Etat islamique, et il a déjà fait de la prison. Sa sœur a dit de lui : «c’est le plus beau martyre».

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De nombreuses familles israéliennes paient le prix de ces erreurs politiques contraires à l’éthique. Comme prévu par beaucoup, ce sont nos soldats qui paieront cette immoralité avec leurs vies.

La dizaine de soldats qui étaient à terre, lors de l’attentat de dimanche, ont pointé leurs armes sur le camion, et ils ont demandé l’autorisation de tirer au commandant. Ils ont hésité, ne sachant pas s’ils avaient le droit de tirer. Il fallait attendre que le terroriste tue 4 personnes et fasse 15 blessés pour avoir le droit de tirer sur le terroriste.
Ces morts sont la conséquence indirecte du jugement du tribunal militaire dans l’affaire Azaria.

Ce soir, le chef d’état-major de l’armée et les juges qui ont condamné Elior Azaria devraient être jugés à leur tour. Ils n’ont réussi qu’à semer le doute dans les rangs des forces de défense d’Israël.

Et nos ennemis se moquent de nous en distribuant des gâteaux à Gaza et Ramallah. Comment les blâmer ?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean Vercors pour Dreuz.info.

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