Publié par Guy Millière le 23 janvier 2017

Les émeutiers et les manifestants haineux et délirants qui ont déferlé sur les villes américaines et sur diverses capitales du monde occidentale dès le lendemain de l’entrée en fonction du President Trump montrent à quel point les Etats-Unis et le monde occidental se sont dégradés depuis l’arrivée d’un islamo-gauchiste à la Maison-Blanche en janvier 2009.

La couverture médiatique accordée aux émeutiers et manifestants haineux et délirants est elle-même éloquente, et inquiétante.

Sous la présidence de George Walker Bush, des gens du même genre que ceux qu’on a vu samedi défilaient, des actes de vandalisme avaient lieu, mais tout cela s’était produit plus tard, lors de manifestations organisées au moment de la guerre en Afghanistan, puis en Irak, et les défilés avaient un objet : le soutien à l’islam radical déguisé en “action contre la guerre”. La couverture médiatique avait été importante et avait, comme ceux qui défilaient et vandalisaient, servi la cause de l’islamo-gauchisme.

Aujourd’hui, émeutiers et manifestant agissent avant même qu’un President ait pris quelque décision que ce soit.

Ils prétendent être des “résistants”, et des journalistes les qualifient de “résistants”: résister contre une élection démocratique et contre une passation de pouvoir démocratique peut porter divers noms, comportement putschiste, exigence totalitaire, fascisme. Que des millions de gens disent “résister” ainsi et adoptent un comportement putschiste, une exigence totalitaire et une attitude fasciste est très inquiétant. Que tant de journalistes entérinent un tel comportement, une telle exigence et une telle attitude est tout aussi inquiétant.

Ce que ces gens reprochent à Trump est ou bien totalement fallacieux et mensonger et relèvent de la plus vile propagande, ou bien relève du refus du pur et simple pluralisme et de ce qu’il faut bien appeler un désir de dictature. J’ai évoqué récemment les chemises noires de la marche sur Rome organisée par Benito Mussolini, et l’arrivée du fascisme au pouvoir. J’ai constaté que ceux qui ont agressé des policiers, incendié des voitures, brutalisé des passants, saccagé des magasins à Washington étaient habillés de noir des pieds à la tête.

L’un des thèmes des manifestations était le fait que Trump il y a une douzaine d’années avait eu des propos de garçon de bain vis-à-vis des femmes. Il y a une douzaine d’années. Et des propagandistes infects en ont déduit que Trump aujourd’hui était sexiste et hostile aux femmes, oubliant d’un seul coup toutes les femmes qui ont des responsabilités dans l’administration Trump et dans les entreprises Trump et le fait qu’ils ont soutenu voici peu une candidate qui a harcelé avec violence des femmes violées par l’obsédé sexuel qui lui sert de mari.

Comme un ramassis d’abruti au cerveau en pâte à modeler, les manifestants sont descendus défendre le droit des femmes dans un pays, les Etats-Unis, où ce droit n’est absolument pas menacé, et surtout pas par Trump. Aucun de ces manifestants n’a jamais protesté contre les pays ou le droit des femmes est quotidiennement foulé aux pieds, et aucun n’a trouvé à redire au fait que la candidate qu’ils ont soutenu s’est affichée avec ces chanteurs de gangsta rap qui traitent les femmes de putes bonnes à violer à longueur de textes.

Parce que les manifestations étaient “spontanées”, des centaines de milliers de bonnets à oreilles de chats censés être l’emblème des “pussies” sont apparus. Trump a été traité de sexiste, de raciste, de porc, d’abruti, et d’autres qualificatifs plus répugnants encore. Des comparaisons à Hitler ont fleuri, émanant de gens aux idées très hitlériennes.

L’une des organisatrices des manifestations est une islamisme voilée liée au Hamas : cela ne s’invente, hélas, pas. Les autres organisateurs ne valent pas mieux.

Des artistes américaines ont proféré des obscénités au nom de la résistance, et Madonna, qui avait promis une fellation à tous ceux qui voteraient pour Hillary, mais n’a pas tenu parole, a cette fois dit qu’il fallait faire exploser la Maison Blanche, ce qui s’appelle de l’incitation au terrorisme. Des menaces de mort ont été dirigées contre le plus jeune fils de Donald Trump : s’en prendre à un petit garçon de dix ans est chez ces gens là une marque de courage.

Manifestations et émeutes reprendront à coup sûr et viendront ponctuer la présidence Trump.

J’ai écrit que Trump faisait face aux totalitaires. Il est désormais face aux totalitaires islamo-gauchistes. Ceux-ci représentent des millions de gens aux Etats-Unis et sur la surface de la terre. Ils vont de Madonna à Abou Bakr al-Bagdadi, en passant par Hillary Clinton, par une large part des journalistes et commentateurs.

Il y a clairement deux Amériques, celle qui respecte le droit et la démocratie, et celle qui soutient le totalitarisme islamo-gauchiste et qui fera tout, absolument tout, pour reprendre le pouvoir, le garder, achever de détruire l’Amérique, ses institutions, sa liberté de parole, ses valeurs les plus essentielles. Il faut être du côté de la première. Il en va de la survie de la civilisation occidentale.

Il y a, en Europe, deux camps aussi, les mêmes, fondamentalement. Le combat n’est pas très différent des deux côtés de l’Atlantique.

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Le combat en Europe doit être aussi celui défendant Donald Trump. On a vu au cours des huit années de présidence Obama ce que devenait le monde quand un islamo-gauchiste était à la Maison Blanche.

Le combat, en Europe, en France en particulier, est plus désespéré.

Il est possible en France de cracher sur Trump, de sentir, de tenir des propos absolument vils insultants et sans fondements sur l’administration qui se met en place et de le faire à longueur d’antenne, mais dire la vérité est impossible. Ce qui vient d’arriver à Evelyne Joslain, une femme que je connais et que j’estime, sur BFM Télévision est absolument honteux. En disant qu’Obama avait un passé islamique et n’avait jamais parlé de terrorisme islamique, elle a dit la vérité. Elle a été exclue immédiatement d’un plateau et ses mots ont été qualifiés de “dérapage”. Les seuls propos admissibles en France sont ceux traitant Obama comme un Dieu vivant et Trump comme une réincarnation de Lucifer. C’est ce qu’on appelle le pluralisme à la française.

Il y avait un pluralisme de ce genre en Russie quand l’Union Soviétique existait encore, en Italie quand Mussolini dirigeait les programmes, en Allemagne quand Goebbels entendait le mot culture et sortait son revolver. J’apporte, bien sûr, mon entier soutien à Evelyne Joslain, une femme courageuse, intègre, droite, et qui, à la différence de la plupart de ceux invités à parler des Etats-Unis en France et qui ne connaissent rien à ce dont ils parlent, ou mentent, connaît son sujet, et ne ment pas.

© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.

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