Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit ce fort long texte, un exposé magistral d’un grand ami de Dreuz, Richard Landes*, qui est à lire absolument et à faire lire à nos amis bien-intentionnés mais mal informés, gauchistes, pacifistes, pro-palestiniens, anti-islamophobes, pasdamalgamistes, si tant est qu’ils soient encore nos amis…
La victoire de l’Orientalisme
Par Richard Landes
(publié dans le Middle-East Quarterly du site Middle East Forum)
Hiver 2017
Que l’on considère l’impact d’Edward Saïd (1935-2003) sur le monde universitaire comme un grand triomphe ou comme une tragique catastrophe, peu de gens peuvent remettre en question l’étonnante portée et la pénétration de son magnum opus, L’Orientalisme.
En une génération, une transformation radicale a dominé les études du Moyen-Orient : une nouvelle catégorie d’universitaires «post-coloniaux», ayant une perspective libératrice et anti-impérialiste, a remplacé une génération d’érudits que Saïd a dénigrés en les traitant d’«Orientalistes».
Cette transformation ne se limitait pas aux études du Moyen-Orient : Saïd et son paradigme post-colonial réunissaient un large éventail d’acolytes dans de nombreux domaines des sciences sociales et humaines.
Pourtant, quand on examine les événements des deux dernières décennies, on peut dire que les héritiers académiques de Saïd se sont plantés de façon spectaculaire dans leurs analyses et prescriptions concernant la façon dont il fallait s’y prendre pour régler les problèmes du Moyen-Orient.
Nulle part cela n’a été aussi évident que dans la lecture erronée du désastreux «processus de paix» israélo-palestinien d’Oslo et des fameux «printemps arabes» qui se sont rapidement détériorés en vagues de guerres tribales et sectaires, créant des millions de réfugiés, dont beaucoup ont littéralement détruit les malheureux rivages de l’Europe.
Une grande partie de cet échec peut être attribuée aux restrictions imposées par la pensée postcoloniale sur la capacité de discuter de la dynamique sociale et politique du Moyen-Orient. Si les experts et les journalistes ont été hypnotisés par les perspectives de paix arabo-israélienne et le mirage d’une vague de démocratisation arabe, c’est en partie parce qu’ils avaient systématiquement sous-estimé le rôle de la culture d’honneur et de honte dans les sociétés arabes et musulmanes et son impact sur la religiosité islamique.
La dynamique «honneur-honte» dans les dimensions politique et religieuse
Les termes honneur-honte désignent des cultures où l’acquisition, l’entretien et la restauration de l’honneur public triomphent de toutes les autres préoccupations.
Alors que tout le monde se soucie de ce que les autres pensent et veut sauver la face même si cela signifie mentir, dans les cultures d’honneur et de honte, ces préoccupations dominent le discours public : il n’y a pas de prix trop élevé à payer– y compris la vie– pour préserver l’honneur.
Dans de telles cultures politiques, l’opinion publique accepte, attend, exige même que le sang soit versé pour l’honneur.
Dans de telles sociétés, quand les gens critiquent publiquement ceux qui sont au pouvoir– ceux qui ont l’honneur– ils attaquent leur être même. Si ces derniers ne répondaient pas– de préférence par la violence– ils perdraient la face.
Les sociétés autoritaires permettent donc à leurs mâles dominants de supprimer violemment ceux dont les paroles les offensent.
Conséquemment, les cultures d’honneur et de honte ont une immense difficulté à tolérer la liberté d’expression, de religion, de la presse tout autant que de traiter avec les sociétés qui pratique cette tolérance.
Dans les cultures où les gens se font eux-mêmes justice, cette insistance sur l’honneur peut signifier tuer quelqu’un qui a tué un parent, et dans la culture japonaise, l’honneur peut signifier se suicider.
Cependant, dans certaines cultures d’honneur, cette préoccupation signifie tuer un membre de la famille pour sauver l’honneur de la famille. Le «jugement public», dont le verdict détermine le sort de la communauté demeure le vecteur qui motive le besoin de sauver la face, et définit les façons de faire. Le terme arabe pour «commérage» est kalam an-nas, (la parole du peuple), qui est souvent sévère dans son jugement des autres.
À ce sujet, le psychologue Talib Kafaji a écrit :
«La culture arabe est une culture de jugement, et tout ce qu’une personne fait est sujet au jugement… induisant de nombreuses peurs… avec de graves conséquences sur la vie individuelle. Éviter ce jugement peut être la préoccupation constante des gens, presque comme si toute la culture était paralysée par le kalam [an] –nas.»
Autrement dit, dans la société arabe, tous les individus sont les otages les unes des autres.
En dépit de sa résonnance «orientaliste», cette attention à un jugementalisme paralysant et omniprésent fournit des aperçus importants sur les dysfonctionnements du monde arabe d’aujourd’hui.
Les cultures d’honneur et de honte ont tendance à être à somme nulle : les hommes d’honneur gardent jalousement leur honneur et considèrent l’ascension des autres comme une menace pour eux-mêmes. Dans les cultures à somme nulle de «bien limité», l’honneur pour une personne signifie la honte pour les autres. Si l’autre gagne, vous perdez. Afin que vous ayez le dessus, l’autre doit perdre.
Ceux qui sont juste en dessous continuent de défier ceux qui sont juste au-dessus, et l’ascension n’est possible que par l’agression. Tu n’es pas un homme tant que tu n’as pas tué un autre homme. La prise des biens d’autrui –par le vol ou le pillage– est supérieure à la production. Domine ou soit dominé. Le visage noirci (de la honte) est lavé dans le sang (de l’honneur).
Cette même mentalité dite «à somme nulle», «gouverne-ou-soit-gouverné», qui domine la plupart des interactions dans la politique des cultures d’honneur et de honte, a son analogie dans la religiosité du triomphalisme, la croyance que la domination de sa religion sur les autres constitue la preuve de la vérité de cette religion.
De la même manière que les chrétiens ont pris la conversion de l’Empire romain au Christianisme comme un signe que leurs revendications sur les Juifs avaient triomphé ; les musulmans triomphalistes, dans une expression suprême de la religiosité inspirée par l’honneur, croient que l’islam est une religion de domination destinée à gouverner le monde.
Cette dynamique d’honneur et de honte explique en grande partie l’hostilité arabe et musulmane envers Israël, ainsi qu’envers l’Occident.
Israël, un État de Juifs libres (c’est-à-dire, des infidèles non-dhimmis), vivant à l’intérieur du Dar al-Islam historique (royaume de la soumission), constitue un blasphème vivant. La capacité d’Israël à survivre aux efforts répétés des Arabes pour le détruire constitue un état permanent de honte arabe devant toute la communauté mondiale. Cela fait de l’hostilité musulmane triomphaliste envers Israël un cas particulièrement grave d’une hostilité généralisée envers les infidèles et les musulmans «modérés».
Tout effort pour comprendre ce qui se passe dans le monde arabe aujourd’hui doit tenir compte de cette dynamique religio-culturelle.
Pourtant, dans l’ensemble, cette dynamique n’est pas seulement ignorée, mais ceux qui en parlent sont réprimandés pour (prétendument) contribuer à aggraver le conflit plutôt que de le comprendre.
Une grande partie de cette ignorance (à la fois active et intransitive) remonte à Saïd, qui a fait de l’analyse «honneur-honte» un péché «orientaliste» particulièrement impardonnable.
Avant même que n’arrive la contribution de Saïd, l’anthropologie s’était éloignée de cette analyse. Lui en a fait un dogme. A tel point que, dans le dernier tiers du XXe siècle, il est devenu paradoxalement honteux– voire raciste– qu’un anthropologue discute de l’«honneur et de la honte» arabe ou musulmane.
La honte de Saïd et la désorientation de l’Occident
L’Orientalisme de Saïd a exploité une tendance occidentale à l’autocritique morale concernant l’analyse des autres cultures, dans le but de protéger son peuple de la honte. Pour lui, la critique des Arabes ou des musulmans reflète les préjugés ethnocentriques de l’Occident et de son projet culturel discriminatoire de domination impérialiste.
Ce n’était pas ce que les orientalistes croyaient faire, eux pensaient qu’ils offraient des observations précises concernant les caractéristiques et les conditions d’une autre culture et de son histoire.
Pour Saïd, au contraire, tout contraste entre les cultures de l’Occident démocratique et celles des Arabes et des musulmans– certainement ceux qui montraient ces derniers sous une lumière peu flatteuse– étaient des exemples lamentables de xénophobie hostile dirigée contre des «inférieurs», et ne pouvaient pas constituer une réflexion sur une réalité sociale.
À propos du dix-neuvième siècle, Saïd a écrit : «Tout Européen qui parlait de l’Orient était raciste, impérialiste et presque totalement ethnocentrique».
Saïd a lancé un plaidoyer en faveur d’une alternative : il fallait à tout prix éviter d’orientaliser l’Orient, encore et encore.
Sans l’«Orient» il y aurait des érudits, des critiques, des intellectuels, des êtres humains pour lesquels les distinctions raciales, ethniques et nationales seraient moins importantes que l’entreprise commune dans la promotion de la communauté humaine.
Bien compris, cet appel demande aux chercheurs de ne pas parler de différences ethniques, raciales ou religieuses, alors que la plupart des moyen-orientaux vous diront que ce sont des questions culturelles très importantes pour eux.
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Ainsi, dans la nouvelle édition d’«Orientalisme» publiée en 1994, SaÏd se plaignait-il de la focalisation croissante de l’Occident sur le danger que représente l’islam : «les médias électroniques et imprimés ont été inondés par des stéréotypes dégradants qui amalgament l’islam et le terrorisme, les Arabes et la
Excellent article, merci Magali. Cela fait plus de cent que dure cette erreur de jugement, depuis le Colonel Lawrence. Il a propagé l’idée que la culture arabe était forte, et que les Juifs n’étaient que des faibles. Il ne faut pas lui en vouloir, ce n’était qu’un militaire. Mais sa façon de voir arrangeait bien la politique du Foreign Office et ça a mis les Occidentaux sur la mauvaise voie. Moralité, les Arabes n’ont pas pu battre les Juifs durant quatre guerres, et ils passent aujourd’hui pour des assistés, incapables de produire quoi que se soit, ce qui est un signe d’une grande faiblesse culturelle, organisationnelle, intellectuelle et politique. Tout chez eux n’est qu’une question d’autoritarisme, de force et de m’as-tu-vu… Ils veulent imposer leur façon d’être, mais il faut leur expliquer qu’une société ne peut être exemplaire que si elle a des modes de pensée et ne peut s’imposer que par le sabre et la mort. Elle s’est multipliée durant 14 siècles parce qu’elle a permis à des myriades de petits Mohamed de dominer femme et enfants, incapables de les séduire, et de donner la mort en toute légalité morale à tous ceux qui étaient pour eux leurs ennemis (cela comprenait aussi leur voisin ou leur fille).
Oups “Cela fait plus de cent ans…” désolé !
La musique de kalam nas , rappelle curieusement … calomnie !
Dans nos démocraties se glissent parfois des corbeaux qui écrivent des textes anonymes , dans l’islam un seul texte anonyme transforme tout le monde en corbeaux !
C’est la démocratie à l’orientale !
Certaines pages de livres devraient être utilisées pour torcher les chameaux.
Vous écrivez:
“Six mois après son retour de Tunisie en juillet 1994 à ce qui était devenu un territoire sous contrôle palestinien grâce aux accords d’Oslo, il a défendu sa politique devant des musulmans d’Afrique du Sud, non pas en parlant de la «paix des braves», mais plutôt en invoquant le traité de Mahaybiya de Muhammad, signé quand il était en position de faiblesse, rompu quand il fut en position de force.”
>
Il faut rapprocher cette phrase du coran:
>
47:35 – Ne vous diminuez pas en appelant à la paix alors que
vous êtes en situation de force. allah est avec vous et ne
réduira pas le mérite de vos actions.
>
En inversant les termes du texte, cela donne:
“Ne vous glorifiez pas en appelant à la guerre alors que vous êtes en situation de faiblesse….”
Nous y sommes, c’est exactement cela !
>
En somme , que ce soit dans les sectes ou les mafias, bref, les confréries sataniques, le code de l’ honneur sert de table de la Loi , mais ne diffuse aucune morale. Son principe est simple: la seule Loi, c’est celle du plus fort; la civilisation est un combat permanent, la Bible est là pour nous le rappeler . Vive l’ amitié judéo-chrétienne, et que l’ Aventure continue !
Article très intéressant , car il est important de connaitre ce qui sert de ” psyché” à nos ennemis.
Oui, absolument.
Les musulmans sont pris en tenaille mortelle, pour eux, entre deux “absolus” :
1/ L’absolu de la lettre : un musulman ne cesse de se demander si le coran l’autorise à voir ce qu’il voit, à entendre ce qu’il entend et à ressentir ce qu’il ressent. Il est soumis de ce fait à un surmoi monstrueux et malade qui au sens propre le rend idiot.
2/ L’absolue nécessité de la visibilité, bien sur assurée par la oumma.
Le musulman n’a aucun espace intérieur et ne peut exister que sur ses apparences. C’est ce qui le rend violent et incapable de raison saine et ouverte. L’auto-critique est juste impossible : elle anéantirait toute cette extériorité qui le fait tenir de façon si perverse en le niant en son être même.
Très finement observé. Ils sont frappés d’idiotie et bien sûr leur besoin de réparation narcissique les entraîne dans le déni paranoïaque puis dans un second temps dans une violence juste démentielle.
Ils ne nous ont jamais pardonné l’offense du Décret Crémieux qui libérait de leur tyrannie les juifs d’Algérie. Leur honte est d’autant plus grande qu’Israël maintenant prospère au milieu du monde musulman.
Tous les problèmes posés par nos banlieues viennent de là.
De la conscience d’avoir été humiliés. L’outrage demande réparation.
La restauration de l’honneur ne peut se faire que dans notre propre humiliation et dans le sang versé.
Ne vous étonnez donc pas des attentats , nous n’en avons pas fini !
Regardez leurs vidéos you tube skyrock, leur rap est explicite : ils veulent nous faire la peau et ils brandissant leur fierté dz, rappellent leur 5 Juillet 1962 en éructant leur haine et ils truffent leur musique de rafales de kalachnikovs et d’explosions.
Ils sont définitivement tarés. Que faire si ce n’est nous débarrasser d’eux car ils sont trop nombreux nous ne pourrons jamais les faire revenir vers nous.
Les orientalistes pullulent au CNRS et ailleurs. Ce sont des gens qui se sont couchés devant les exigences musulmanes. Des lâches qui viennent faire la promotion de la fierté arabe dans les débats télés en accusant les occidentaux.
Le pire d’entre eux Emmanuel Todd et à sa suite la presque totalité de tous ces pseudos intellos experts du monde arabe dont les interventions sont toujours une accusation du monde occidental.
article magnifique. Un grand merci à Magali Marc.
Daniel Sibony qui a beaucoup écrit sur l’Islam et la culpabilité des Occidentaux fait remonter cette culture de la honte et de l’honneur chez les musulmans au chapitre de la Genèse de la Bible, lorsqu’Abraham chasse, sur le conseil de Sarah, leur servante égyptienne Agar, avec qui il avait conçu son premier -né Ismaêl. Dans la tradition biblique Ismaël serait l’ancêtre des arabes. Mohamed aurait reconstruit le récit biblique en remplaçant Isaac par Ismaël, ne supportant pas cette honte en ce que leur ancêtre ait été chassé, considéré comme indésirable dans la famille.
Et c’est ainsi que selon le Coran, l’Islam remonte à avant Abraham, et que nous naissons ainsi tous musulmans, que les Infidèles des “Gens du livre” ne veulent pas reconnaître cette révélation, et s’obstinent dans leur “mécréance”. Le Djihad consiste précisément à vouloir combattre et détruire cette “mécréance” considérée par les musulmans comme une perversité. Du coup l’honneur des arabo-musulmans est sauf: C’est le texte biblique sur lequel s’appuie le Coran, qui devient un texte pervers ou perverti, et le Coran, lui, devient parole incréée, impossible à modifier car provenant directement d’Allah, le plus grand, va sans dire.
http://lesobservateurs.ch/2016/07/21/berlin-maghrebin-met-feu-aux-cheveux-de-deux-allemandes-samuser-video/
Posté par Ritchy Colonel le 21 juillet 2016 à 21h14
L’invasion de l’islam se fait en 4 étapes.
1er étape, les musulmans arrivant prétendent qu’ils sont modérés, qu’ils ne sont pas des intégristes, qu’ils veulent la paix, et ne pas s’opposer à la démocratie ni à la laïcité.
2ème étape, l’islam commence à revendiquer des droits et demande à ce que la population d’origine s’adapte à l’islam et non l’inverse.
>>> Nous en sommes à cette étape la !!
…
3ème étape, la charia. La guerre pour détruire la démocratie et imposer une dictature islamique selon les lois coranique.
>>> L’Allemagne et l’Angleterre sont déjà dans la visée !!!
4ème étape, lorsque la république ou la dictature islamique en accord avec la charia est installé, alors commence le génocide racial. Le massacre des blancs, des chrétiens, des juifs, de tous les non-musulmans.
Il faut bien comprendre que l’islam n’est et ne sera JAMAIS une religion de paix.
Partout ou est l’islam, partout il y a la guerre. L’islam est un état permanent de guerre. Il est en perpétuel désir d’expansion. Le but final de l’islam est de conquérir le monde dans sa totalité.
Pour l’islam le monde est divisé en deux parties : une « Maison de l’Islam » (Dar-el-islam) et une « Maison de la guerre » (Dar-el-harb).
Les Maisons de l’Islam sont tous les pays où l’islam est majoritaire. La charia dictatoriale est instaurée de force et l’opposition est interdite.
Les Maisons de la Guerre sont tous les pays dans lesquels vivent des musulmans, minoritaires en nombre, et qui agissent par tous les moyens légaux et illégaux pour faire triompher indirectement l’islam.
De nombreux pays sont actuellement des « Maisons de la Guerre », dont l’Europe, dont la France.
Dans les pays ou les musulmans sont minoritaires, l’islam autorise « la taquia » (ou takiya), un comportement qui permet aux musulmans d’œuvrer en cachette à l’instauration de l’islam par les moyens du mensonge, de la ruse, de la peur (attentats aveugles).
Posté par Un observateur le 24 juillet 2016 à 16h35
En Algérie, cela a commencé par des islamistes qui jetaient de l’acide chlorhydrique au visage des filles qui ne voulaient pas mettre le foulard.
L’ALGÉRIE, qui aurait pu être un des pays les plus beaux et riches du monde est devenu un dépotoir où on égorge à ciel ouvert…grâce aux centaine de milliers d’immigrants frères musulmans Égyptiens, Palestiniens, Syriens etc…importés en 1962 pour à arabiser et islamiser la société. Ce fut une bombe atomique pour ce pays….qui n’est pas prêt de se relever.
C’est exactement le même processus en cours ici.
C’est à nous à prendre conscience du péril islamiste.
Cela doit passer par une inversion du flux migratoire, une défrancisation des éléments dangereux et une remigration de très grande envergure.
J’accuse les intellectuels antiracistes grands défenseurs de la république de nous avoir mis ces hordes de tarés dans les pattes.
De même, les services de renseignements qui laissent tous nos jeunes de banlieues
éructer leur haine anti-française sur internet. Les dégâts sur les plus jeunes se fait déjà sentir à l’école.
Seul un régime autoritaire viendra à bout de ce cancer. Dorénavant je ne voterai que pour un parti politique facho.
Mme Magali Marc, merci mille fois pour ce document primordial et sa traduction.
Il ne pourra jamais y avoir de paix véritable entre Israël et ses voisins musulmans, … à moins que ces voisins cessent d’être musulmans et aspirent alors à la paix … ou bien à moins que ces voisins intériorisent leurs défaites définitives (et TOUTES les conséquences qui en découlent) face à Israël.
Un grand merci à vous Magali Marc !
Avoir accès à un texte d’une telle profondeur et à une analyse si éclairée est une réelle source d’enrichissement pour comprendre les graves crises que traverse notre monde.
Mais au-delà de tous ces évènements, levons nos tête, comme nous y invite Yeshouha Ha Mashiah, car son retour est proche !
Yéroushalaïm est Indivisible par décret divin de toute éternité !
Genèse 15/18. Zacharie 12/3…
Merci à Magali Marc pour cet article si éclairant qui nous montre que l’islam est une contrecivilisation de l’heteronomie morale dont les membres sont d’ores et déjà supplantés par la civilisation judéo-chrétienne
À condition que les ressortissants de celle-ci fassent sur eux mêmes l’indispensable travail d’introspection leur permettant de cesser de donner le moindre crédit aux alliés objectifs de l’islam dans son état dominant actuel, toute la question étant de savoir s’il peut encore évoluer dans un sens positif.