Deux graves évènements occupent le devant de la scène en Israël : le suicide d’une femme et de ses quatre enfants et le procès d’un jeune soldat accusé d’homicide volontaire qui risque jusqu’à 20 ans de prison.
Ces deux évènements semblent n’avoir d’autre rapport entre eux que de s’être produits simultanément.
A y regarder de plus près, il est pourtant possible d’y déceler une causalité commune.
Que dit le premier drame ? Qu’une famille a choisi la mort. Pour en arriver à une telle option, il faut être dans une situation de détresse extrême. Le fait saillant de ce drame est que cette mère de famille n’a pas jugé utile d’appeler au secours, de crier son désespoir. Dans son for intérieur, ce cri était inutile, car elle pensait à tort ou à raison, que personne ne pouvait l’entendre. Bettelheim explique que dans les camps de concentration, à Buchenwald notamment où il a été interné, lorsqu’une personne était habitée par l’intime conviction que sa vie n’avait de prix pour personne, elle devenait instantanément folle et se suicidait en allant au-devant des balles allemandes, sans crainte aucune de la mort.
Ce drame exprime une situation que tout un chacun ressent avec plus ou moins de force, une situation qui fait que, ceux qui ont pour vocation de représenter le peuple, de prendre en charge les problèmes du pays, sont de plus en plus coupés de celui-ci, ne sont plus capables ni de parler de ses problèmes, ni d’entendre ses cris. Le mur de verre derrière lequel ils se sont enfermés rend nos cris parfaitement inaudibles à leurs oreilles délicates et fines. Ils sont dans une tour d’ivoire, fonctionnent avec leurs propres critères. Inaccessibles, intouchables, ils regardent du haut de leur suffisance, avec une sorte de recul voire de dégoût, les «gueux» se débattre dans les affres d’un quotidien impitoyable. Tout élu qui se permettrait d’évoquer leur souffrance serait immédiatement voué aux gémonies, serait accusé de faire du «populisme», voire de faire partie de l’extrême droite. Car pour les biens pensants, pour la plus grande partie de l’intelligentsia, parler aujourd’hui des problèmes ressentis par le peuple, c’est être d’extrême droite ! C’est tomber dans le «populisme » !
Cette dictature de la bien-pensance impose aux élus, aux responsables de tous niveaux, le silence sur les souffrances du peuple. Face à ce mur de l’indifférence calculée, dans les situations de détresse extrême, ne reste que le suicide. Suicide d’une famille. Souffrance d’un jeune soldat désespéré que l’on lynche en public, que l’on est incapable d’entendre ; dont on déforme le drame qu’il a vécu, profitant du désarroi dans lequel on le plonge pour le condamner, le suicider.
D’un côté, des castes dirigeantes, concentrant entre leurs mains l’essentiel des richesses, des pouvoirs, des savoirs et de la culture ; de l’autre une masse de plus en plus pauvre, confrontée aux difficultés d’une vie quotidienne de plus en plus dure ; de plus en plus enfermée dans sa détresse muette.
De la surdité de nos «élites»
Cette incapacité des «élites» à entendre est à l’œuvre dans le drame épouvantable que vit ce jeune soldat et à travers lui, toutes les mères qui ont confié à l’armée leurs enfants chéris.
Un jeune homme que des responsables ont précipité dans le chaudron d’une guerre atroce est accusé d’avoir commis un crime affreux, un homicide. Comme si c’était lui qui avait choisi d’être là, comme s’il avait tiré sur cet homme au sol pour «se venger». L’accusation fait porter sur ce jeune homme tout le poids d’une chaîne de responsabilité qui traverse tout l’appareil de commandement et par delà la société israélienne tout entière.
Ce jeune homme n’a pas fait le choix d’être là. On lui a collé un habit de soldat après une formation plus ou moins adaptée à la situation à laquelle il allait être confronté.
Celui qui l’a recruté, celui qui lui a donné une formation, celui qui l’a armé, celui qui l’a jugé apte à affronter des situations de guerres, celui qui l’a envoyé sur le terrain… toute la chaîne du commandement est responsable de l’acte de ce jeune homme. Lui arrive en bout de course, il est le dernier maillon de cette longue mécanique du pouvoir. Ce jeune soldat ne décide et n’a décidé de rien. Il subit. Il est brutalement confronté à une situation que manifestement il ne maîtrise pas. Il est sous le choc d’un traumatisme épouvantable. Tout comme la société israélienne, il baigne dans une sorte de climat d’épouvante ; dans la hantise de l’agression ; plus grave : il vient de vivre, d’assister à l’agression de son ami. Le film montre bien que c’est au moment où il voit la voiture transportant celui qui vient d’être agressé, son copain, c’est à ce moment qu’il se retourne vers l’agresseur et qu’il tire sur lui. Il ne voit pas un homme au sol, un blessé sans défense comme nous le voyons nous, confortablement installé dans notre salon. Lui, voit un assassin, un terroriste qui a poignardé son ami.
C’est le climat d’horreur qu’il vit depuis de longs mois, c’est la scène de l’agression qu’il vient de vivre à l’instant qui le fait agir. Croit-on qu’on se débarrasse d’un épouvantable choc émotionnel comme on se débarrasse d’un habit ?
Lorsque l’on subit une agression, l’impact de cet acte ne disparaît pas instantanément.
On recrute des enfants qui sont la prunelle des yeux de leurs parents, qui ont été élevés dans le confort, dans la douceur et on voudrait, on exige que ces enfants soient des guerriers, des héros ou des saints quasiment du jour au lendemain.
L’empreinte que laisse dans le cerveau l’agression dure bien au-delà de l’instant où l’acte a eu lieu. On est enfermé dans la structure, dans la constellation émotionnelle du drame. Tous les grands traumatisés continuent à vivre perpétuellement l’agression qu’ils ont subie. Ils continuent à se battre, à réagir pendant des années contre l’agresseur qui n’est pourtant plus là. Et on voudrait que ce jeune soldat, à chaud, reprenne immédiatement la maîtrise totale de lui-même. On voudrait qu’il soit un soldat aguerri, professionnel. On recrute des enfants qui sont la prunelle des yeux de leurs parents, qui ont été élevés dans le confort, dans la douceur et on voudrait, on exige que ces enfants soient des guerriers, des héros ou des saints quasiment du jour au lendemain.
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On exige de cet adolescent qu’il se conduise en soldat professionnel. Et on lui fait porter le poids de la responsabilité de toute l’armée et de toute la société. En un mot, on le charge au maximum. Cette fonction porte un nom précis. C’est celle du bouc émissaire. Une classe dirigeante, des élites dirigeantes qui ne se sentent plus responsables des conséquences prévisibles de leurs décisions font porter sur le plus faible, le plus exposé, le pauvre soldat confronté du jour au lendemain à la guerre, les conséquences de leurs décisions. Ceux dont la mission est d’être précisément des responsables, ceux-là désignent celui qui est en bas. Le plus vulnérable, le plus faible comme responsable. C’est le monde à l’envers. C’est un renversement de toutes les valeurs.
Quelle règle de droit et quelle règle liée à l’échelle des responsabilités applique-t-on dans ce procès ?
A travers cette condamnation du soldat, nous assistons en direct à un phénomène qui n’a pas de précédent ; un phénomène unique : la démission massive des élites qui conduit à faire porter le chapeau à celui qui est au bout de la chaîne décisionnelle. Ce renversement de l’ordre des responsabilités est un crime autrement plus grave que celui dont il est question.
Au nom de la morale, nos responsables disent : «Ce n’est pas moi, c’est lui.» Ce n’est pas moi qui donne des ordres, qui recrute, qui organise, qui décide qui suis responsable ! C’est le petit soldat !
Le plus grand des crimes moraux n’est-il pas dans cette démission générale des vrais responsables rejetant la faute sur le plus faible ?
Car si ce soldat est coupable de crime, alors Churchill qui ordonne de faire bombarder nuit et jour la ville de Dresde, tuant plus de 100 000 civils par définition innocents, Churchill serait selon cette jurisprudence, un assassin de masse !
Alors ce soldat russe qui tue un soldat allemand pendant son sommeil, serait non pas un héros, mais un criminel ?
Et celui qui deviendra un véritable héros en France, le Colonel Fabien qui tue d’une balle dans le dos un soldat allemand dans le métro, qu’est-il ? Un lâche, un assassin ? Quelqu’un qui a commis un homicide volontaire ?
Juger ce jeune soldat comme s’il avait choisi d’être là ; comme s’il avait décidé froidement de tuer ; comme s’il n’était pas en mission, comme s’il ne luttait pas contre le pire des fléaux, le terrorisme… ce procès repose manifestement sur un déni des réalités.
Seule la négation des réalités qui sont celles du jeune soldat ; celles du contexte de guerre ; celle de la chaîne du commandement… permet d’aboutir à la condamnation du soldat et cela dans le but unique de décharger de toute responsabilité les vrais responsables.
Cette jurisprudence risque d’avoir des conséquences incalculables en ce qu’elle repose sur le renversement de toutes les valeurs et de toute la hiérarchie des responsabilités.
C’est une véritable catastrophe pour Israël, mais également pour toutes les démocraties confrontées au phénomène du terrorisme islamique.
Espérons que cette décision sera renversée.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Sidney Touati pour Dreuz.info.
Condamner et envoyer e
Mr. Touati, je m`excuse mais Israel n`est pas un pays en detresse, au contraire. Quand une mere fole tue ses enfant, c`est pas la detresse, mais la folie pure. Si elle a marre a vivre, q`elle se jete par la fenetre, pas tuer 4 enfants. En ca qui concerne Elor, le soldat, c`est la folie du politiciens, et personne, y compris nous qui notres enfants serve a l`arme, on va pas se taire, et madame judje qui debitee des aneries, va paye a sa place. Notre democratie ne doite pas faire des conneries, car pour nous, notre armee sont nos enfants plus que la prunelle des nos yeux . Elor doite recevoir la Medaille pour la Bravure , ci non, garde madame judge a ta promenade. !!
Il faudra peut être se décider un jour à considérer que les auteurs d’attentat s’attaquant, par définition, à des victimes innocentes perdent du même coup leur statut d’humain, et qu’en conséquence les droits valables pour l’ensemble des hommes ne s’appliquent plus à eux.
Le terroriste à terre, ayant été jusqu’au bout de son geste, devait être considéré comme une bête sauvage et courait le risque d’être abattu.
On peut ensuite discuter de l’opportunité d’abattre les bêtes dangereuses mais on n’est plus devant un crime méritant une peine de prison.
Exactement ce que j’allais écrire.
Connaissez-vous la soeur de la juge qui a condamné le soldat Elor Azria ?
http://www.liguedefensejuive.com/connaissez-vous-la-soeur-de-la-juge-qui-a-condamne-elor-azria-2017-01-04.html
Ouch… c’est du lourd!
Accuser les « élites » d’être responsables de la mort atroce de cette femme et de ses 4 enfants est révoltant et d’une injustice insupportable.
Il s’agit malheureusement d’un drame relevant d’une psychose arrivé à un stade gravissime.
Entièrement d’accord. Un drame personnel qui peut largement se
passer d’une basse récupération journalistique ou politique.
Pour le militaire jugé :
Le capharnaüm dans lequel nous tentons de vivre, juifs ou gentils, est en grande partie dû à une tripotée de nuques raides qui n’a pas compris que depuis le Christ et son étrange aventure, le sacrifice a perdu son principe actif: on ne ressoude plus une communauté sur le dos d’un ou d’une seule. Jésus est le champion du lynchage raté!
Après Lui, plus besoin ni de Prophètes, ni de bouc-émissaires( emissaires-à-rien LOL)
Seulement, y en a dans le troupeau qui n’ont pas les oreilles propres, (ni la laine fraîche d’ailleurs ) alors un peu de plomb dans la tête, des fois…
Pour la mère de famille et ses enfants, aucun jugement, la miséricorde.
Il devraient plutôt lui décerner une médaille et le récompenser de nous avoir débarrassé d’un terroriste qui aurait pu faire plus de victimes
Je suis tout à fait de votre avis. S’acharner sur ce brave soldat est totalement injustifié et encourage le hamas à poursuivre ses exactions .
les gauchistes sont en tres grande partie responsables du sort du soldat israelien elor azria.
Je me souviens des premiers mots d’un professeur de Droit: « La Justice n’est pas là pour faire respecter le Droit, mais pour préserver la paix sociale ».
Et comme un pet dans une baignoire en Israël déclenche une alerte mondiale de tsunami, nonobstant les tensions locales, il apparaît impossible que ce jeune homme puisse ne pas être condamné, ne serait-ce qu’au nom de la « paix sociale ».
Ce n’est plus lui qui compte, c’est le principe. Reste à espérer une clémence très discrète, voire très secrète dans l’application de la peine, ce serait de « bon droit ».
@ Jean-Aymar de S
Condamner directement un soldat de Tsahal pour la plus grande joie des terroristes du Hamas et de tous les gamins qui lancent des pierres et qui poignardent de civils dans la rue… vous appelez ça un message de « paix sociale » ?
Désolé, mais le droit et la justice n’ont rien à faire en zone de guerre.
Israël est victime de sa démocratie à sens unique en se créant l’ obligation insensée de respecter la morale que ses ennemis foulent chaque jour de leurs pieds ! quand on est en guerre contre des ennemis qui ne respectent pas les lois de la guerre, on n’est pas tenu de respecter les ennemis qui se comportent de cette façon; je ne vois pas pourquoi un soldat est condamné pour avoir tué un ennemi à terre alors que celui-ci n’a pas hésité à égorger des Juifs avec son couteau et que maintenir en vie cet individu aurait exposé Israël à des représailles et des Kidnappings de Juifs dans le but de les échanger contre des terroristes; la loi internationale sur la guerre autorise la puissance occupante à tuer ses ennemis qui se comportent en terroristes, c’est écrit dans la Convention de Genève !
Il est insupportable de penser qu’Israël a libéré 1500 prisonniers palestiniens dont la plupart sont des meurtriers en échange d’un soldat et hésite à accorder sa grâce à un soldat courageux qui n’a accompli que son devoir.
Il a même rendu service au terroriste qui avait pour seul objectif de mourir en martyr.
On ne parlera pas de la coalition qui massacre des civils sous leurs bombardements en Irak ou en Afghanistan……………on est dans le ridicule le plus total…………………..
Cette situation est arrivée forcément par hasard. Au départ une agression. Mais c’est une situation qui baigne dans une globalité, c’est à dire une guerre non déclarée et qui dure. La condamnation du soldat relève d’une justice « normale » pour un homicide. Mais la situation n’est pas normale par rapport à l’ensemble. Ce qui veut dire que par ricochet elle va atteindre les autres soldats. Nous avons le m^me problème en Europe dans un autre domaine mais qui a des similitudes. Ce sont les jugements pour racisme. Les Français de souche se font insulter, mais si vous réagissez en faisant allusion à la religion ou la couleur de l’agresseur, vous êtes condamné. Cette justice « normale » dans un contexte de guerre ou d’envahissement sert l’adversaire. Il faut s’adapter pour combattre l’adversaire et surtout pas se placer avec ses institutions dans une situation où l’adversaire a choisi « le terrain de jeu ».
Merci Monsieur Touaty pour l’ensemble de votre article. Contrairement aux commentaires de certains qui ignorent sur quels criteres pas toujours clairs, on declare que quelqu’un est psychotique, Je crois comme vous, qu’il faut lier le suicide de cette famille a la demission des elites et des administrations ( assistantes sociales et autres medecins de famille). Je vous remercie de ce que vous dites de Elor Azaria. Je crois que vous voyez juste et vous n’etes pas le seul a voir ainsi. L’ordre qui plus ou moins bien maintenait la societe Israelienne unie, etait celui du service militaire. Cela a vole en eclat. Les jeunes appeles auront du mal a remplir leur mission maintenant et envoyer les enfants faire leur service militaire va devenir un exploit. Ca l’etait deja mais chacun savait que tout le monde prenait sa part de responsabilite. Notre armee etait connue pour avoir des officiers qui criaient « suivez moi » La nous avons une armee qui va trainer les pieds et qui refusera de prendre ses responsabilites. La gauche israelienne a une lourde responsabilite dans cette affaire.
A Aymar, vous suggerez une clemence discrete! Vous ne comprenez pas la situation. Ce n’est pas la justice qui est en cause ici. Mais l’ incapacite a distinguer entre des situations differentes. Le fait d’avoir envoye ce soldat devant la justice est la preuve qu’aucune analyse n’a ete faite. Le mouvement « Be tselem »est responsable de l’echo immediat dans les media. Ce soldat au pire aurait du etre deffere devant un tribunal interne a l’armee sans publicite. Ce lynchage public qui dure depuis des mois, et qui sera sanctionne par des mois de prison va obliterer l’avenir de ce garcon. Il aura sans doute du mal a faire des etudes apres l’armee et a trouver un travail par la suite. Aucune clemence ne pourra effacer ce qui s’est passe. Et la clemence ne regle pas le probleme.
ventdusud vous avez raison ces organisations gauchistes au temps de la guerre froide on les aurait nomme la cinquieme colonne. cela pour dire qu elles sont des enemies dangereuses pour la securite d Israel. elles n hesitent pas a mettre presqu a mort un soldat qui fait tout pour proteger les israeliens donc les membres de ces organisations aussi. combien de temps encore nous allons etre obliges de les supporter. c est le monde a l envers on pleure sur une ordure et on sacrifie un jeune qui sert son pays.que de la lachete.
Pas d’accord avec vous M. Touati.
C’est justement ce qui fait la force d’Israël que de juger ce soldat. Qu’il bénéficie de circonstances atténuantes me parait évident, qu’on lui dise simplement « au-revoir et merci » dénoterait de la même barbarie dont sont coupables Abbas et sa clique de d’assassins.
Quant à cette pauvre femme que vous mettez sur le même plan politique alors qu’il s’agissait probablement d’une désespérance absolue sans lien avec les hautes manoeuvres politiciennes, je trouve votre procédé lamentable.
Oliange: Je suis d’accord avec vous! C’est tout à l’honneur des Israéliens de juger ce jeune homme pendant que les terroristes barbares sont considérés comme des héros et que l’AP compense leurs familles et donne leurs noms à des rues dans les territoires disputés.
L’armée israélienne a des règles et les émotions bien compréhensibles de ce jeune soldat ne sont pas une excuse pour les enfreindre.
Combien de soldats israéliens se sont trouvés dans une situation semblable à la sienne et ont respecté les règles? Ce sont eux les héros.
Je suis tout à fait d’accord avec vous Magali.
Les vrais héros sont les autres soldats qui confrontés à la même situation n’abattent pas les terroristes maîtrisés.
Et comment ce soldat pouvait-il être sûr que le terroriste ne portait pas de ceinture d’explosifs? Selon moi il n’a fait que son devoir. Tuer quelqu’un n’est un crime qu’en temps de paix. Face au terrorisme nous sommes confrontés à un climat de guerre et celui qui tire le premier reste en vie. C’est aussi simple et tragique évidemment. De plus, on égorge et décapite des chrétiens presque quotidiennement dans les conflits avec l’Islam sans que cela émeuve le moins du monde nos médias. Mais si un soldat israélien « dérape » l’info fait le tour du monde. Ecoeurant.
Bonjour, Magali. je ne suis pas d’accord avec votre appréciation.
S. Touati expose une situation très précise: celle dans laquelle se trouvent projetés de jeunes Israéliens, pendant trois ans de leur existence, pour aller protéger leur peuple, du terrorisme.
Je ne me suis jamais trouvée dans pareille situation: décider, en l’espace d’une seconde, si le terroriste qui a déjà tué un de mes amis, est , à terre, complètement inoffensif, ou armé d’une ceinture explosive, avec le stress lié à semblable épisode.
Aussi bien ledit terroriste aurait trouvé assez d’énergie pour se faire exploser. Le cas s’est déjà produit.
Dans le calme de nos appartements, loin de ce genre de scènes que vivent les Israéliens, nous ne sommes pas à-même de juger.
C’est fou ce que l’on aime les soldats juifs morts! C’est fou ce que l’on aime les commémorer.
Tsahal est l’armée la plus morale du monde. Chacun le sait.
Regardez, par exemple, ce que font les membres de la coalition, en Syrie, en Irak: des bombardements sans » Be Tselem », surtout, pour rendre compte des victimes dites » collatérales ».
Le gouvernement Hollande a-t-il été capable de distinguer entre les rebelles dignes d’être soutenus, et ceux appelés » homos »( dignes d’être éliminés, en douce, par les forces spéciales?
Je pense, enfin, que si, selon le code militaire israélien, le soldat Azaria a fait une faute d’appréciation, une faute morale, en tirant sur un terroriste qu’il aurait DU JUGER INOFFENSIF DESORMAIS, seul le tribunal militaire doit en juger, en prnant en compte les ordres donnés par les supérieurs du jeune homme, dans cette situation précise.
En tout cas, la planète entière, derrière son poste de télé, n’a pas à juger, ( encore moins à condamner), en gobant ses cacahuètes, toute a soirée, tranquillement.
J’ajouterai que nos dirigeants occidentaux , par leur confusion, ont une influence néfaste jusqu’en Israel: ils inversent les valeurs et l’échelle des responsabilités.
Cordialement, D.B.
@ Oliange:
« qu’on lui dise simplement au-revoir et merci dénoterait de la même barbarie dont sont coupables Abbas et sa clique de d’assassins » ???
Ah bon ? Vous mettez donc sur le même plan une armée régulière et des terroristes de rue ?
Donc pour vous, le GIGN et Coulibaly c’est la même chose.
@ Magali:
« l’armée israélienne a des règles et les émotions bien compréhensibles de ce jeune soldat ne sont pas une excuse pour les enfreindre » ?
Avez-vous déjà effectué de telles missions de sécurité vous même ? Vous a-t-on déjà confié la lourde responsabilité de porter une arme et de contrôler des sites, des positions et des personnes ? Savez-vous que dans un tel cas de figure (attaque par un terroriste armé et prêt à mourir) chaque seconde compte ? Êtes-vous si sûre qu’à sa place vous auriez bien « respecté ces règles », même en temps de guerre ?
Rico: Dans le cas d’Azaria, il n’était pas chargé de maîtriser le terroriste (pour lequel je n’éprouve aucune sympathie), il est arrivé après l’attaque avec l’équipe médicale dont il faisait partie et le terroriste était déjà à terre et désarmé.
Votre argument ne tient pas la route.
Même si ce n’est pas pertinent, je vous dirais que j’ai fait trois ans dans la Réserve Navale Canadienne. Bien entendu, je n’ai jamais effectué de missions de sécurité. Mais je sais qu’on ne plaisante pas avec les ordres, même en temps de paix.
La défense d’Azaria a essayé de faire valoir que le terroriste représentait un danger mais la vidéo montre les autres militaires qui déambulent tranquillement autour du blessé et ne semblent pas du tout inquiets.
Azaria qui venait d’arriver en savait-il plus que ceux qui étaient déjà présents sur les lieux?
De plus, Azaria a répondu à son officier qu’il a posé ce geste parce qu’il pensait que le terroriste méritait de mourir! Il aurait pu dire à ce moment-là qu’il craignait que le blessé fasse détonner une bombe. Il ne l’a pas fait.
Tout le monde a le droit de se faire son idée, ce n’est pas le privilège de ceux qui ont connu le même genre de situation.
@ Magali : je suis heureux de lire quelqu’un défendre le fait qu’Azaria n’aurait pas dû abattre ce terroriste dans ces circonstances.
Il n’était pas une des cibles, il est arrivé après. Ce qu’il a fait (tuer froidement quelqu’un qui ne représente plus aucun danger) est inacceptable et très dommageable pour l’image de l’armée pour laquelle des tas de jeunes israéliens mettent leur vie et leur santé en péril tout en respectant les règles.
Quid du soldat qui a mis hors d’état de nuire le terroriste sans l’exécuter pour autant? C’est lui le vrai héros.
C’est l’honneur d’Israël que de condamner Azaria.
Ce serait aussi l’honneur d’Israël de châtier les palestiniens qui soutiennent le terroriste et veulent profiter de cette histoire pour le présenter en victime.
@ Magali
Connaissez-vous des cas de soldats canadiens revenus d’une opex (opération extérieure) en zone de guerre, Afghanistan, Iraq, Syrie… qui aient été jugés et/ou condamnés par une cour civile ?
Oliange, notre force sont nos soldats, en dessus de tout condamnation, et personne n`a droite les touchee.
Ce n’est pas tant qu’ils soient au dessus de toute condamnation, c’est surtout que le droit (qui s’applique à une société de droit) et la « justice » (qui se retrouve bizarrement toujours aux mains des gauchistes) ne s’appliquent certainement pas à aux forces militaires en action dans un pays en état d’urgence.
Monsieur Touaty et ventdusud,
Je partage entièrement vos opinions dans les 2 cas cités.
Je trouve inadmissible ce qui arrive à ce jeune soldat, le jeter en pâture aux médias et terroristes pour avoir achevé un ennemi qui a tenté de tuer son ami et, qui aurait continué à en abattre d’autres si il n’avait pas été neutralisé.
Ce soldat a fait son boulot, juste fait son boulot, le terroriste a essayé de faire le sien.
Et alors.. Il est où le problème dans un pays qui lutte pour sa survie et qui envoie sa jeunesse se faire tuer, parfois dans des conditions beaucoup plus atroce, pour défendre sa nation?? C’est à l’envoyeur et non à l’envoyé « obligatoire » d’assumer ces dégâts collatéraux!!
j’ignorais qu’on les envoyait au front, avec aussi pour mission, d’enfiler des perles pour les offrir à l’ennemi…
Quelle mascarade lamentable!!
le terroriste est a terre blesse mais libre de ces mouvements . pourquoi personne
n’etait en train de le menoter ,de le fouiller . les grades ont ils oublies leur devoir de
protection des personnes presentes sur place . le soldat n’a pas entendu l’ordre de ne
pas tirer . le soldat est arrive sur place apres . pourquoi l’acces a la zone de l’attentat
etait lire? pour moi c’est une faute grave de l’officier present . a quand son proces?
Le menoter de le fouiller? facile a dire quand on n`habite en Israel. Jamais entendu du bombes cachee?? jamais entendu d`autobus a T-A Cafee a Jerusalem?
Si Tsahal ne protège plus ses soldats,
autant qu’Israël légalise le terrorisme.
Quand une ordure sort le couteau pour tuer du juif, et bien, il a choisi. Et ce qui peut lui arriver de mieux, c’est le sort qu’il promettait à autrui.
Moralité lorsqu’un assassin lobotomisé par la meilleure des communautés sur terre décide de passer aux travaux pratiques, il faut l’éliminer le plus rapidement possible.
Soutien à ce jeune soldat.
Si on commence à appliquer le droit commun, le droit valable pour les civils, aux militaires, nous pouvons être certains que la moitié au moins de nos soldats (de tous les pays du monde) seront condamnés à de lourdes peines.
Les fautes éventuelles faites par des militaires dans le cadre de leur mission doivent relever de la justice militaire, pas de tribunaux civils.
Les terroristes islamiques du Hamas et autres Hezbollah doivent bien rigoler. Les soldats de Tsahal, beaucoup moins, qui y regarderont désormais à deux fois avant d’appuyer sur la gâchette.
Je trouve cette affaire malsaine. A vouloir donner des leçons de morale au monde entier (spécialité des gauchistes, d’ailleurs c’est B’Tselem qui est à l’origine de l’affaire), on se fragilise considérablement. Les terroristes le savent, et ils en joueront toujours plus.
Autant pour moi, il s’agissait d’un tribunal militaire.
Si j’ai bien compris, la sentence n’a pas encore été prononcée, mais le juge aurait choisi de considérer que le jeune soldat avait tiré par « vengeance » sur un homme qui ne présentait plus aucun danger (selon Europe-Israël).
Ça paraît gros quand même, si c’est ça et si le jeune se prend 20 ans.
J’attends d’avoir plus de détails sur le procès, mais le fait que les ennemis existentiels d’Israël se réjouissent de la condamnation du soldat n’est pas bon signe du tout.
Idée comme ça ….
Israël (moderne) … Un état juif, vous y croyez ?
Je pense que les juges en question ne veulent surtout pas d’une telle dénomination !
On peut les comprendre car un état juif se devrait de regarder un tout petit peu ce que dit sa Torah sur le sujet ! Et à étudier même superficiellement le Talmud on verrait tout de suite que c’est vraiment pas du tout tendre pour les terroristes … même en puissance !
Tout à fait d’accord d’accord avec vous .
Le droit et la justice dont se réclament les juges militaires dans le cas du soldat se basent sut les valeurs morales du monde occidental . Comment s’y fier au vu du passé et des nombreux effets pervers que l’application de leurs législations à géométrie variable a eu en particulier pour les Juifs.
En ce qui concerne le drame familial de cette mère qui s’est suicidée avec ses enfants , cela relève de la psychiatrie et non du politique.
Je rajouterai que ce jugement du soldat est porté non seulement pour les faits accomplis, mais surtout pour trouver grâce aux yeux des nations afin de leur prouver qu’Israel est capable de » laver plus blanc que blanc « .
De plus , il se targue que la condamnation serve d’exemple : peut- on dés lors parler de jugement impartial et équitable?
Absolument révoltant la récupération politique d’une tragédie qui plonge une famille dans la douleur. TAISEZ VOUS!
Les russes font moins de chichi. Quand Poutine dit on ira les chercher jusque dans les chiottes pour les tuer, au moins lui, il sait qu’il est en guerre et ne palabre pas inutilement. Quand on s’engage à tuer quelqu’un on peut s’attendre en retour à être tué. Celui qui prend l’épée sera tué par l’épée disait avec raison Jésus. Ce soldat a fait son devoir, point. Et si son cerveau a vrillé, c’est de la faute de toute façon du terroriste. De plus, Ce terroriste est heureux car il est mort en martyr et a rejoint les houris au paradis. Donc pas la peine d’en faire un foin. Libérez ce jeune soldat, qui a déjà bien assez subi et fait son devoir de soldat. En temps de guerre, lois de guerre. Sinon on en finit plus, et le pays est dans le chaos absolu, faute de n’avoir pas soutenu les guerriers au service de la défense de leur pays, ceci au prix de leurs vies.
Je voudrais ajouter une remarque.
Le jugement extremement severe puisque SANS circonstance attenuante contre Elor Azaria, a ete concommitant d’une autre affaire dans la meme sphere. Un depute arabe a accepte de faire entrer en prison et de donner a des prisonniers politiques sous haute surveillance, des telephones portables et des cartes sym. A l’entree de la prison il a REFUSE D’ETRE FOUILLE invoquant son immunite parlementaire. Cet homme qui est un traitre au pays qui l’a accepte parmi les representants du peuple a ete arrete sur denonciation a reconnu les faits et a simplement recu – pour le moment certes – d’etre en residence surveillee Il peut se rendre a la Knesset et participer aux deliberations des groupes parlementaires auxquels il appartient. La seule limitation a sa liberte: NE PAS S’APPROCHER DES PRISONS. Vous pouvez rire et meme rire tres fort car les gauchistes nous mettent en danger mais ils mettent aussi le monde entier en danger.
Nous avons des precedents, nous savons que ce traitre, sera puni d’une simple exclusion de la Knesset pendant 6 mois…. Et Elor sera en prison pour plusieurs annees. Excusez moi « J’en ai marre de S » Mais je ne suis pas chretienne et dans ma tradition un traitre doit etre tue parce qu’il met ses freres en danger. Pas de clemence possible pour ceux qui de tous bords qui pervertissent un systeme bien fragile.
A Magalie Marc , J’apprecie vos ecrits mais vous entrez la sur un terrain moral dont vous n’avez pas les clefs. C’est la faiblesse d’Israel –ET NON SA FORCE– d’imiter la morale chretienne et de vouloir confondre justice civile et champs de bataille. En repetant ce que vous dites, vous confortez tous les Charles Enderlin qui sont des traitres et qui nous tuent avec la benediction des juges Israeliens qui clament qu’ils ne s’abaisseront pas au niveau des barbares qui nous attaquent. Mais qui sont les barbares au sein de nos societes??? Cela vous parrait evident en Europe et au canada. Malheureusement nous en avons aussi. Ne les soutenez pas ouvrez les yeux.
Bravo, ventdusud. Tout est dit.
Quand Israel faisait la guerre pour gagner contre son adversaire, son armée était invincible et on en était fier en Israel et on la supportait à 100%, Tsahall gagnait toujours,
Quand on a vouluLes « humaniser » les affrontement avec l’adversaire, Israel s’est engagé sur une pente où il ne fallait pas poser des geste qui pourraient déplaire à l’opinion publique. C’est le début du déclin. Le « politically correct » est une erreur des politiciens israelien: il devrait être plus important de gagner, de protéger le peuple juif que de ne pas déplaire à l’opinion publique.
Si Israel devait affronter l’ennemi qu’il a du affronter dans les années soixante, gagnerait-il aujourd’hui? Je ne suis pas certain. On a ramollit. Les récentes résolutions des Nations Unis ont prouvé le manque de support de la communauté internationale et pire, la dernière résolution où on n’a même pas eut le support d’Obama devrait convaincre qu’il est seul.
Sarah Z, mon amie, repose en paix aux côtés de tes 4 filles
Sarah Z et ses quatre filles ont été portées en terre lundi soir au cimetière de Guivat Shaoul à Jérusalem, entourées de centaines d’amis, de proches et même d’inconnus, émus par le drame qui a frappé les familles ainsi que la communauté francophone d’Israël et choqué le pays. Yaël, une amie de longue date de Sarah, a fait parvenir à la Rédaction de Coolamnews, le texte suivant.
Moi qui connais Sarah depuis notre jeunesse, j’ai le devoir de prendre la parole pour crier au monde qui était cette fille hors du commun.
Ce qui caractérise d’abord Sarah, c’est sa force de caractère. Une fille forte, sure d’elle, avec un aplomb comme je n’en ai jamais rencontré de toute ma vie. Une fille qui savait se sortir de toutes les situations, qui avait une capacité à rebondir en toutes circonstances, qui savait rire de tout. Elle était d’une rare vivacité d’esprit, très belle et surtout très intelligente. Elle en était même impressionnante. J’admirais ce tempérament. Un roc, un bulldozer !
Elle était aussi bien capable de bondir, avec une répartie, sans nulle autre pareille, sur les nazillons qui croisaient son passage que de faire bouger des montagnes pour faire le bien autour d’elle. Des amis, elle en avait de partout. Elle a même eu le mérite de faire se rencontrer les gens, à tel point que beaucoup ont trouvé leur âme sœur grâce à elle. Mais le plus impressionnant, c’est que c’était naturel chez elle. Elle aimait être entourée et les gens aimaient être avec elle. C’était un pilier, celle qui rassemblait toujours tout le monde pour passer un bon moment entre amis, chanter (elle avait une voix magnifique) et surtout rire.
Son mari et elle, c’est une longue histoire d’amour, depuis la jeunesse. Les souvenirs d’eux l’un sans l’autre sont très lointains. Une famille se forme, entourée de l’amour de leurs proches et Sarah devient maman. Elle est bouleversée d’avoir un être si fragile sous sa protection, d’autant qu’elle a failli la perdre à la naissance.
La famille s’agrandit et Sarah aime inconditionnellement et naturellement ses enfants. Telle une louve avec ses petits, Sarah était une maman si aimante que parfois, elle redoutait de sortir ses enfants de peur qui leur arrive quelque chose.
Mais Sarah tombe malade. Mais elle se fait suivre et est très entourée.Le problème c’est que tout le monde la connaît. Tout le monde sait à quel point Sarah est dotée d’une force exceptionnelle. En se soignant et avec son tempérament de gagnante à toute épreuve, on est tous persuadés qu’elle va s’en sortir. Mais oui, ce n’est pas n’importe qui, c’est Sarah. Mais non. On a trop compté sur elle, et elle pas assez sur nous.
Comment une fille pareille a pu tomber sans pouvoir se relever en emportant ses enfants dans sa chute ? C’est la question qui me hante, qui hante tous ceux qui l’ont connu. Au moment où j’écris, l’enquête est en cours mais les premiers éléments nous permettent d’affirmer que ses enfants n’ont subi aucun mauvais traitement, ni traces sur le corps, ni brûlures, comme on a pu l’entendre dire ou le lire.
Sarah, mon amie, tu étais malade, comme un cancer qui te ronge le cerveau. Et ça, les gens doivent le réaliser, et moi la première. Les mentalités doivent évoluer pour prendre conscience de ce qu’est une maladie mentale et arrêter de juger. L’Homme doit comprendre qu’il n’est rien ici-bas, qu’il finira ses jours comme tout le monde, enfoui sous terre et que rien ne nous donne le droit de juger.
Comment faire confiance à des charognards dont le métier est de faire dans le sensationnel? Comment peut-on tirer des conclusions immédiates sans même avoir enquêté sur les circonstances de ce drame? Mais qui sommes-nous? Laissons l’enquête se poursuivre, cela répondra peut-être à nos interrogations.
Sarah était aussi une amoureuse d’Israël, une femme de conviction qui maintenant repose dans la paix et la sérénité aux côtés de ses enfants qu’elle aimait tant.
Yael. L
http://coolamnews.com/sarah-zouari-mon-amie-repose-en-paix-aux-cotes-de-tes-4-filles/
Je viens de lire deux belles réflexions, ……….
Merci à « ventdusud » et merci à « Guy Dorais »……… Pour les idées développées
Je rajoute qu’à force d’intrusions insistantes de l’Occident dans les affaires Israéliennes, l’armée Israélienne tend à se « Féminiser » … Si TSAHAL commence à faire la révérence aux « Démocraties Occidentales », …. La destruction d’Israël est déjà programmée. C’est d’ailleurs ce que cherche à obtenir l’Occident.
« Féminiser » … à prendre au sens figuré, bien entendu. Cela va sans dire !
Merci à Monsieur Sidney Touati pour la qualité de son article dont la teneur m’inspire le plus grand respect.
Il faut avoir l’honnêteté de reconnaître qu’il y a aussi une volonté de discréditer le système et qu’elle émane parfois d’opposants dont la déloyauté pèse lourdement sur le destin d’Israël et du peuple Juif. Ces derniers ne sont pas à un bouc-émissaire près.
Par ailleurs, il est un peu léger d’insinuer qu’en faisant un rapprochement entre les deux drames, l’auteur se compromet en tant que journaliste.