Publié par Guy Millière le 1 février 2017

Quand Donald Trump a décidé de se présenter à l’élection présidentielle américaine, il voulait seulement redresser l’économie et la situation géopolitique des Etats Unis avant qu’il ne soit trop tard.

Il pensait incontestablement qu’il n’aurait pas la tâche facile. Il ne pensait peut-être pas que ce serait aussi difficile.

Depuis qu’il a pris ses fonctions, Donald Trump a agi, et il a fait beaucoup. Il s’est conduit en homme qui tient ses promesses, respecte ses électeurs et ne s’éloigne pas du programme sur lequel il a été élu, ce qui est tout à son honneur.

Il a signé des décrets (executive orders), dans tous les domaines où la Constitution et les lois en vigueur l’autorisent à le faire. Il a, entre autres, suspendu la mise en oeuvre de l’Obamacare et le financement des villes sanctuaires. Il a retiré tout pouvoir de décision à l’Agence de Protection de l’Environnement et ordonné le commencement de la construction du mur séparant les Etats-Unis du Mexique. Il a gelé toute embauche de nouveaux fonctionnaires et licencié dix hauts responsables du Département d’Etat, très impliqués dans la mise en oeuvre des délétères politiques pro-islamiques de l’administration Obama. Il a annulé le Trans-Pacific Partnership aux fins de renégocier les accords commerciaux avec les pays concernés. Il a renforcé les liens des Etats-Unis avec le Royaume-Uni, et s’est entretenu avec une dizaine de chefs d’Etats et de gouvernements, au premier rang desquels figurent Binyamin Netanyahu et Abdel Fattah al Sissi. Il a mis en place un gel d’une durée de quatre vingt dix jours des entrées sur le territoire américain de sept pays musulmans où le terrorisme islamique est très implanté. Il vient de nommer un juge à la Cour Suprême aux fins de remplacer le juge Antonin Scalia, et ce juge, Neil Gorsuch, est tout à fait digne de succéder à Antonin Scalia.

Il a fait tout cela en étant confronté à une guerre ouverte des grands médias américains qui n’ont cesse de multiplier fausses accusations, diffamations et propos malveillants et ont cessé de se comporter en vecteurs d’information, et pas un jour n’a passé sans une attaque médiatique plus ou moins perverse.

Jamais un Président n’avait été confronté à une telle hostilité, radicale et systématique, de la part de la quasi-totalité des grands médias américains.

Donald Trump n’a pas plié et a su faire front.

Il a fait tout cela aussi en étant confronté à la guerre que lui livrent les démocrates au sein du Congrès.

La plupart des ministres censés composer l’administration Trump n’est pas en poste, le juge Gorsuch va se heurter à un tir de barrage intense et devra le surmonter : les démocrates sont minoritaires, mais peuvent pratiquer l’obstruction, et c’est ce qu’ils font. Jamais un Président n’avait été confronté à une telle hostilité, radicale et systématique, de l’opposition au sein du Congrès.

Donald Trump n’a pas plié là encore et sait faire front.

Donald Trump est confronté aussi à l’hostilité de l’ensemble du monde du cinéma et du show business, à de rares exceptions près, et ces gens semblent enragés.

Il est confronté, en outre, à des dizaines d’organisations gauchistes ou islamiques, parfois les deux à la fois, qui disposent de moyens financiers considérables pour mener des opérations de propagande et de subversion.

Les manifestations de la “marche des femmes” le 21 janvier n’ont été qu’un hors d’oeuvre, et les obscénités haineuses proférées ou montrées ce jour-là seront suivies sans doute de bien pire. Des actions telle celle menée ces derniers jours en faveur de l’entrée sans contrôle aux Etats-Unis de Musulmans venus de pays où le terrorisme islamique est très implanté seront suivies d’autres actions.

Derrière ce qui se met en place, il y a Barack Obama, qui ne va pas tarder à réapparaître. Il y a le maléfique milliardaire George Soros. Rien n’est spontané.

L’objectif est que Donald Trump soit paralysé ou, pour le moins, très entravé.

L’objectif est que l’islamo-gauchisme reprenne le pouvoir dans les plus brefs délais, quitte à ce que cela passe par des émeutes.

Ce qui se passe est extrêmement grave.

Les islamo-gauchistes ont avancé vers le pouvoir jusqu’en 2008. Ils sont arrivés au pouvoir avec Barack Obama. Contre toute attente et contre leurs propres anticipations, ils ont perdu le pouvoir en novembre 2016. Ils ne peuvent l’admettre. Ils veulent que la destruction de la civilisation occidentale qu’ils ont enclenché devienne irréversible.

Ils pensaient avoir atteint le stade de l’irréversibilité. Ils sont prêts à tout pour parvenir à leurs fins.

Donald Trump pensait qu’il n’aurait pas la tâche facile. Il ne pensait peut-être pas que ce serait aussi difficile, non.

Il est présentement tout ce qui sépare le monde occidental de sa destruction.

Sous Obama, les Etats-Unis sont quasiment tombés. Hillary Clinton devait parachever la chute.

Si les Etats-Unis tombent, le reste du monde occidental tombera. Malgré le Brexit, même si Geert Wilders l’emporte prochainement aux Pays Bas, l’Europe est très atteinte et agonisante.

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Si les Etats-Unis tombent, Israël résistera, mais combien de temps ?

Je parlais de tout cela à Los Angeles avec David Horowitz. Il n’était pas optimiste.

Je parlais de cela à Malibu plus récemment avec Nonie Darwish, l’une des femmes les plus courageuses que je connaisse. Elle n’était pas optimiste non plus.

David vient de publier un livre sur lequel je reviendrai, Big Agenda: President Trump’s Plan to Save America*, et il y traite de ce à quoi Donald Trump fait face et de ce que Trump va faire et a commencé à faire. C’est un livre essentiel et salubre.

Nonie va publier un livre sur l’islam et son incompatibilité totale avec la civilisation occidentale: Wholly Different: Why I Chose Biblical Values over Islamic Values*. Elle était musulmane. Elle est chrétienne, et risque sa vie à chaque instant. Elle m’a dit prier chaque jour pour Donald Trump.

Nous sommes arrivés à la même conclusion. La gauche qui tient les médias, le parti démocrate, Hollywood et tant d’organisations planétaires s’allie avec l’islam pour détruire l’Occident et utilise l’islam comme un outil. La gauche pense pouvoir ensuite se débarrasser de l’islam. Les militants de l’islam, eux, voient le jeu de la gauche et pensent pouvoir le moment venu se débarrasser d’elle. Dans cette course folle vers le néant, l’avantage final devrait revenir a l’islam.

Si Trump réussit, la course folle s’interrompra peut-être. S’il ne réussit pas, des années très sombres se préparent.

Pour l’heure, Trump agit. Sans fléchir. Il inscrit sa place dans l’histoire.

© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.

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