Publié par Jean-Patrick Grumberg le 6 février 2017
Je n’arrive pas à croire qu’un juge puisse faire courir un tel risque à notre pays. Si quelque chose arrive, il en porte la faute ainsi que le système judiciaire. Les gens affluent, c’est très mauvais !

Vendredi 3 février, un juge fédéral a bloqué temporairement le décret signé par le Président Trump, afin d’interdire pendant 90 jours l’entrée aux Etats Unis depuis 7 pays pour des raisons de sécurité.

Les médias font leur gorge chaude du fait que ce juge ait été nommé par Bush. A leur habitude, ils vous cachent certains des éléments afin que vous ne puissiez pas comprendre la réalité.

Vous n’apprendrez pas par eux par exemple qu’avant d’être nommé par George W. Bush, il défendait les réfugiés et les personnes désavantagées.

Ils ne vous disent pas que ce juge, militant de gauche, en dehors de son travail de juge, défend gratuitement les réfugiés. Parlez-moi de conflit d’intérêts…

Et vous ne saurez pas qu’il a déclaré lors d’un procès que « les vies noires valent [plus que les vies blanches] », en fournissant de fausses statistiques pour faire croire que les policiers ciblaient particulièrement les noirs.

La liste de ces pays a été établie par le président sortant. La raison est que certains n’ont plus de gouvernements effectifs, d’autres sont des bases de recrutement et d’entraînement des terroristes d’al-Qaïda, de l’Etat islamique et d’autres groupes terroristes qui ont annoncé que leurs combattants se glisseraient parmi les réfugiés, et certains ont même pris le contrôle des imprimeries qui fabriquent les documents officiels, y compris les passeports, ce qui rend impossibles les vérifications de l’identité réelle des demandeurs d’asile.

Malgré la présence de ce danger bien réel – l’Europe a été tout au long des années 2015 et 2016 mortellement frappée par des « réfugiés » – jusqu’à la semaine passée en France par un touriste porteur d’un visa égyptien, un juge fédéral a bloqué le décret présidentiel.

J’ai été frappé par l’un des arguments retenus par le juge pour prendre sa décision :

« L’administration Trump n’a pas pu citer un seul cas d’attentat terroriste perpétré sur le sol américain par des ressortissants des 7 pays concernés. »

Donald Trump a promis de protéger le peuple américain contre les attentats terroristes. Son décret est une action préventive, et le juge n’accepte pas l’idée de prévention ? Il n’accepte pas la légitimité du port de la ceinture de sécurité ?

Il apparaît clairement que la gauche a définitivement tourné le dos au principe de précaution, fer de lance de son argumentaire.

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En rejetant le décret pour défaut de preuve, ce juge a tout bonnement dit à l’administration Trump qu’il demande qu’un attentat terroriste se produise pour considérer comme légale l’interdiction d’entrée.

J’en ai des frissons.

Le politiquement correct a pris le dessus sur la préservation de la vie humaine.

La haine anti-Trump justifie, pour la gauche tolérante et inclusive, de prendre le risque de sacrifier des êtres humains en cas d’attentat perpétré par un terroriste qui profitera de la fenêtre ouverte par ce juge pour se rendre aux Etats-Unis.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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