Vendredi 3 février, un juge fédéral a bloqué temporairement le décret signé par le Président Trump, afin d’interdire pendant 90 jours l’entrée aux Etats Unis depuis 7 pays pour des raisons de sécurité.
Les médias font leur gorge chaude du fait que ce juge ait été nommé par Bush. A leur habitude, ils vous cachent certains des éléments afin que vous ne puissiez pas comprendre la réalité.
Vous n’apprendrez pas par eux par exemple qu’avant d’être nommé par George W. Bush, il défendait les réfugiés et les personnes désavantagées.
Ils ne vous disent pas que ce juge, militant de gauche, en dehors de son travail de juge, défend gratuitement les réfugiés. Parlez-moi de conflit d’intérêts…
Et vous ne saurez pas qu’il a déclaré lors d’un procès que « les vies noires valent [plus que les vies blanches] », en fournissant de fausses statistiques pour faire croire que les policiers ciblaient particulièrement les noirs.
La liste de ces pays a été établie par le président sortant. La raison est que certains n’ont plus de gouvernements effectifs, d’autres sont des bases de recrutement et d’entraînement des terroristes d’al-Qaïda, de l’Etat islamique et d’autres groupes terroristes qui ont annoncé que leurs combattants se glisseraient parmi les réfugiés, et certains ont même pris le contrôle des imprimeries qui fabriquent les documents officiels, y compris les passeports, ce qui rend impossibles les vérifications de l’identité réelle des demandeurs d’asile.
Malgré la présence de ce danger bien réel – l’Europe a été tout au long des années 2015 et 2016 mortellement frappée par des « réfugiés » – jusqu’à la semaine passée en France par un touriste porteur d’un visa égyptien, un juge fédéral a bloqué le décret présidentiel.
J’ai été frappé par l’un des arguments retenus par le juge pour prendre sa décision :
« L’administration Trump n’a pas pu citer un seul cas d’attentat terroriste perpétré sur le sol américain par des ressortissants des 7 pays concernés. »
Donald Trump a promis de protéger le peuple américain contre les attentats terroristes. Son décret est une action préventive, et le juge n’accepte pas l’idée de prévention ? Il n’accepte pas la légitimité du port de la ceinture de sécurité ?
Il apparaît clairement que la gauche a définitivement tourné le dos au principe de précaution, fer de lance de son argumentaire.
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En rejetant le décret pour défaut de preuve, ce juge a tout bonnement dit à l’administration Trump qu’il demande qu’un attentat terroriste se produise pour considérer comme légale l’interdiction d’entrée.
J’en ai des frissons.
Le politiquement correct a pris le dessus sur la préservation de la vie humaine.
La haine anti-Trump justifie, pour la gauche tolérante et inclusive, de prendre le risque de sacrifier des êtres humains en cas d’attentat perpétré par un terroriste qui profitera de la fenêtre ouverte par ce juge pour se rendre aux Etats-Unis.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Ce n’est pas la logique, typiquement US qui en découle, c’est le marketing des idées, financée par qui et suivie par qui ? Le juge a peut être besoin de notoriété ? ou la trouille ? Qui vivra verra bientôt.
donc si je comprend bien le president Tremp n’a aucun pouvoir
n’importe quel con peut foutre en l’air ses decisions
alors pourquoi avoir un president si un connard de juge du fin font de l’Amerique peut arreter toutes les decisions du gouvernement
@J-P GRUNBERG , les juges américains appliquent la loi sinon les avocats peuvent engager une procédure de révocation à leur encontre.
La loi ayant été spécialement aménagée par un musulman( OBAMA) en faveur d’autres musulmans, Trump ne peut que la compléter par mesures sécuritaires drastiques pour empêcher le terrorisme en portant à leur minimum les effectifs de migrants.
Ensuite, il fera voter une nouvelle loi constitutionnelle car il dispose de la majorité à la Chambre des Représentants, au Sénat et à la Cour Supprême.
Je reste optimiste, les pays dans le collimateur seront tôt ou tard interdits !
Ce juge fait une ” interprétation personnelle de la loi “. De plus, comment est-ce possible que ce juge puisse intervenir dans ce dossier étant donné que lui même intervient dans la défense d’étrangers ???? Un proche des Clinton et Hussein Obama
Le juge a menti! Vous voulez des exemples, vous lisez l’anglais:
http://www.wnd.com/2017/02/that-travel-ban-lifting-judge-said-what/
une dizaine d’exemplaires comportements de ces gens!
Et encore, comme c’est bien précisé dans l’article, toutes les agressions commises par des réfugiés ne sont pas forcément enregistrées comme telles: donc ce chiffre doit être largement sous évalué.
comme en france !
Le politiquement correct a plus de valeur que la vie humaine.
C’est plus que désolant, c’est révoltant.
Et quelle bêtise : comment peut-on faire croire qu’il n’y a pas de risque alors que l’on sait que les mollahs iraniens envoient dans les pays dans lesquels ils le souhaitent des faux opposants à leur régime ?
L’on sait très bien qu’ils envoient notamment des cinéastes, qui se présentent comme des défenseurs de la liberté, alors qu’ils voyagent en Europe pour faire la promotion de leurs films munis d’un passeport…qui n’a pu leur être délivré que par les mollahs.
Il va falloir encore beaucoup de morts pour qu’enfin la Raison revienne, si elle revient, ce qui, compte tenu de la complexité des problématiques en jeu, ne se fera peut-être pas dans un proche avenir.
C’est assez dur à comprendre
qu’un juge lamba nommé bloque le décret d’un président élu ! Ou est la démocratie ? La volonté du peuple n’est-elle pas bafouée ?
En principe, le Judiciaire ne peut pas s’immiscer dans les affaires de l’Exécutif et vice et versa.
Mais dans un état de droit, chacun doit respecter la règle de Droit.
Les décisions prises par le Président des USA doivent l’être dans le respect des règles de Droit existantes.
Il faudrait que nous disposions de la décision in extenso rendue par le Juge en question et que nous sachions quel est ce Juge.
De quelle procédure s’agit-il et en vertu de quels textes un tel contrôle est-il possible ?
Peut-être M. GRUMBERG nous en fera-t-il savoir un peu plus.
Un juge défenseur des noirs “opprimés” (Black Lives Matter), un libéral activiste que le brilliant George Bush a nommé!
Jean-Patrick Grumberg ,
une erreur de distraction dans votre sous-titre : “… vendredi 3 janvier …” .
En fait : vendredi 3 février .
Cordialement .
Nous étions partis aux USA pendant 4 mois pour assister à la victoire de Mr.Trump, lors de notre arrivée, sous administration Obama, nous avons passé plus de 2 heures aux formalités d’entrée.
Moi-même ayant eu la bonne idée d’emmener quelques charcuteries sous-vide, achetées dans notre pays de résidence, chez Walmart(une chaîne de supermarché Américaine, installée dans de nombreux pays…), passage à la douane, confiscation, produit ne pouvant pas être très frais…Donc Walmart vend à l’étranger, des produits pas frais, qui ne peuvent être consommés aux USA…
Alors des dépenses extraordinaires, pour faire des passeports spéciaux, trouver le magasin hors de prix, qui fait les bonnes photos, se rendre dans une grande ville où un consulat pourra contre beaucoup d’argent, réaliser ces passeports…
Et pendant ce temps là, les réfugiés, passent d’un pays à l’autre, sans passeport, sans contrôle, l’Allemagne dit même avoir perdu la trace de 400 000 d’entre eux ???!!!
“plus de 2 heures aux formalités d’entrée”
Vous avez monopolisé combien de personnes pendant 2 h?
Voici un extrait d’un article sur le même sujet du chroniqueur judiciaire Yves Boisvert, paru dans le quotidien montréalais La Presse le 6 février.
“Le président des États-Unis n’a pas digéré qu’un «soi-disant juge» suspende son décret bloquant l’entrée de ressortissants de sept pays majoritairement musulmans pour 90 jours, ainsi que l’arrivée de réfugiés en général pour 120 jours.
À 15h48 hier, il écrivait encore sur Twitter : «Je ne peux pas croire qu’un juge soumettrait notre pays à un tel péril. Si quelque chose arrive, blâmez-le et le système judiciaire. Les gens arrivent en masse. Mauvais!»
Il va jusqu’à suggérer que si jamais un attentat terroriste est commis aux États-Unis, ce sera la faute de ce juge et de tout le système!
Pourtant, ce juge, choisi par un président républicain, confirmé à l’unanimité au Sénat, n’a fait qu’appliquer la loi… L’État de Washington avait déposé la semaine dernière une demande d’injonction pour faire déclarer nul le décret présidentiel.
L’État allègue que son économie serait grandement touchée si l’on empêchait l’arrivée de citoyens des sept pays. Actuellement, 7280 personnes dans cet État bénéficient d’un visa «H-1B», qui permet à des employés hautement qualifiés de venir travailler aux États-Unis. C’est dans cet État que se trouve notamment le siège social de Microsoft, qui emploie des milliers d’immigrants.
L’injonction sera débattue plus tard, mais vu l’urgence, le procureur de l’État de Washington a demandé une suspension du décret présidentiel immédiatement. Ce que le juge James Robart a accordé vendredi, dans un jugement très bref.
Le juge a rappelé que les trois branches du gouvernement sont égales, qu’aucune n’est supérieure aux autres. Que le rôle des juges n’est pas de faire des lois ni de juger de la sagesse des décisions politiques. Seulement leur conformité avec les lois et la Constitution.
Vu les conséquences personnelles et économiques, le juge a estimé que des «dommages irréparables» seraient causés si on ne suspendait pas ce décret en attendant la décision finale sur sa validité. D’où la suspension temporaire.
Les fonctionnaires américains ont obtempéré et les détenteurs de visa de ces pays ont pu recommencer à arriver aux États-Unis. Un appel sera entendu demain.”
Que serait la Silicon Valley sans les migrants yéménites?
Exactement la même?
Ah désolé.
Voici un article de La Presse qui complète le précédent concernant les conséquences du décret:
“Les entreprises technologiques se mettent en ordre de bataille face au décret anti-immigration du président américain Donald Trump, inquiètes autant des conséquences immédiates que du précédent qu’il pourrait créer pour un secteur reposant énormément sur des talents étrangers.
Dans la première initiative d’envergure du monde des affaires contre le nouveau président, près de 130 entreprises, basées en majorité dans la Silicon Valley, ont apporté leur soutien devant une cour fédérale à la procédure visant à contrecarrer l’application du décret.
Ce dernier, signé le 27 janvier et suspendu depuis vendredi par la justice, interdit l’entrée des ressortissants de sept pays (Iran, Irak, Libye, Somalie, Soudan, Syrie, Yémen) et gèle l’accueil de réfugiés.
La lettre des entreprises dénonce une rupture avec «les principes d’équité et de prédictibilité qui ont régi le système de l’immigration aux États-Unis depuis plus de 50 ans», et les «dommages importants pour le commerce américain, l’innovation et la croissance» qui en découlent.
À part quelques signataires comme les jeans Levi’s ou les yogourts Chobani, la liste réunit le gratin de la high-tech.
Sa première version dans la nuit de dimanche à lundi rassemblait une centaine de noms et la plupart des poids lourds en vue: Apple, Facebook, Google, Intel, Microsoft, Netflix, Twitter, eBay, PayPal, Uber, Pinterest, Dropbox…
Une trentaine d’autres les ont rejoint lundi après-midi, dont SpaceX et Tesla, les deux entreprises du milliardaire Elon Musk. IBM, dont la patronne participe au même forum, n’a en revanche pas signé. D’autres absents notables sont Oracle et Amazon.
«Toutes ces entreprises dépendent lourdement de scientifiques et ingénieurs étrangers», souligne Darrell West, directeur du Centre pour l’innovation technologique de la Brookings Institution. Roger Kay, analyste chez Endpoint Technologies, rappelle que les meilleures entreprises du secteur sont allées chercher des ingénieurs ainsi que beaucoup de fondateurs et de patrons en Asie, en Russie… Ce sont ces gens, venus souvent au départ avec des visas, qui ont «alimenté l’essor de la hi-tech».
Au-delà des conséquences directes du texte présidentiel, l’inquiétude concerne surtout «ce que le décret annonce», avec l’idée que pour l’instant Donald Trump «tire seulement des coups de semonce», selon lui.
Un avis partagé par Vivek Wadhwa, professeur à la Carnegie Mellon University Engineering dans la Silicon Valley. L’Iran et l’Irak ont fourni beaucoup de «mathématiciens et de scientifiques brillants» à la Silicon Valley, explique-t-il, mais «Donald Trump a montré qu’il pouvait, selon son bon vouloir, viser n’importe quel groupe» en bannissant même provisoirement des résidents légaux détenteurs d’une carte verte.
Les spéculations circulent déjà sur une refonte du système de visas, notamment des H1-B pour travailleurs spécialisés dont le secteur est très friand. L’un des arguments des entreprises, c’est bien d’ailleurs l’application arbitraire de mesures déjà jugées d’une ampleur sans précédent et «déraisonnables», frappant «des millions d’individus» et susceptibles d’être étendues sans préavis.
Pourquoi les entreprises et leurs potentiels employés étrangers se donneraient-ils la peine d’enclencher les procédures d’obtention pour un visa ou une carte verte s’ils risquent du jour au lendemain d’être révoqués?
Leur lettre prévient que cela va peser sur le recrutement et la compétitivité des entreprises américaines, nuire à leurs activités, voire encourager des multinationales à investir et à embaucher ailleurs qu’aux États-Unis.
En optant pour le conflit ouvert, le secteur technologique risque toutefois de se retrouver isolé. «Oui, ils ont beaucoup d’argent, et oui, ils créent des emplois, mais les alliés politiques de Trump sont enracinés dans les vieux secteurs industriels» qui ont les moyens de contrebalancer l’influence de la Silicon Valley, prévient Roger Kay.”
Quand on est mort ou estropié à vie, les conséquences sont irrémédiables, alors que l’interdiction est pour 90 jours, le temps d’affiner les procédures de contrôle.
Professeur de psy? Tout est dit!
2heures 10 exactement, l’accumulation des contrôles faisant augmenter l’attente de chacun. J’ai mobilisé une machine automatique, un agent de type asiatique et un douanier de type hispanique. Le plus long fut la queue interminable, et l’agent Asiatique….
De nouveaux détails d’importance sont en train d’émerger sur ce fameux décret… à savoir, il n’a pas été (temporairement) suspendu en entier. Certaines portions du décret sont toujours valides, tel le nombre de réfugiés pour l’année 2017 “ne peuvent dépasser 50,000”. En effet le président a (suite à un acte de 1980) l’autorité de déterminer ce chiffre, et Trump en a profité pour le réduire. Quelques 33,000 réfugiées on déjà été admis cette année. Autrement dit et d’ici fin septembre, seulement 17,000 réfugiés seront admis aux E.U. (the year starts oct. 1st of every year).
http://www.breitbart.com/big-government/2017/02/06/seattle-judge-not-stop-50000-limit-refugees/
Ben chez nous en France, même avec des morts, les politiques ne considèrent pas cette mesure comme légale. Pourcentage de victimes trop faible, sans doute.