Parlant devant une audience réunie par vidéo à Sydney, en Australie, Julian Assange s’en est pris vertement aux constantes Fake News des grands médias.
“Ce qui est spécial avec WikiLeaks, c’est que ce n’est pas une autre foutue histoire, ce n’est pas un autre foutu journaliste qui colle sa foutue signature, et qui se fait mousser et fait sa propagande concernant un foutu événement” expliquait Julian Assange, le fondateur de WikiLeaks à Sydney ce week-end (via vidéo link) lors d’une conférence sur l’écroulement des médias, le pouvoir des fuites d’information, et pourquoi WikiLeaks est heureux de déclencher des scandales.
WikiLeaks, qui soufflait ses 10 bougies en octobre dernier, ne s’est jamais écarté d’un millimètre de son objectif, qui est de publier “les magouilles des gouvernements et des milieux d’affaires.”
L’organisation s’est retrouvée dans l’œil du cyclone récemment parce que ses publications ont atteint le camp qui a l’habitude de se servir d’elle, notamment pendant l’élection présidentielle 2016.
S’adressant à l’audience de Sydney, Assange a soutenu que WikiLeaks est “une formidable encyclopédie en qui l’on peut avoir confiance” [une pique évidente contre Wikipedia qui est devenue une plateforme de propagande de gauche gardée par une armée d’activistes qui retouchent tout ce qui ne suit la pas ligne préétablie] et une source “d’informations pures.”
Quand vous lisez WikiLeaks, “vous ne lisez pas du savoir chargé de munitions comme une arme. Quand vous lisez l’article d’un journal, vous lisez du texte écrit comme une arme et qui est destiné à affecter un lecteur comme vous.”
[…]
“Je pense que c’est la vraie beauté de WikiLeaks… c’est un océan d’information, c’est un trésor, un trésor intellectuel, c’est la bibliothèque rebelle d’Alexandrie que vous pouvez visiter.”
Les commentaires d’Assange durant la conférence, qui a duré deux heures, se sont concentrés sur la comparaison entre cette masse d’archives non filtrées avec ce qu’il a appelé “la très très inexacte presse” et les “snipers opportunistes” qui travaillent en tant que journalistes.
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Le dédain d’Assange pour les Fake News des grands médias ne s’arrête pas là.
“Quand la dénonciation des Fake News est sortie, et qu’elle a commencé à entrer dans l’esprit des gens, j’ai compris où cela allait, et j’étais plutôt satisfait, car WikiLeaks est très heureux qu’on parle des Fake News des grands médias, puisque nous possédons l’historique irréprochable de ne jamais nous être trompé en matière d’authentification.”
Récemment, Assange a dénoncé la manipulation de l’information par les médias à qu’il l’a faisait passer, notamment le Monde, le New York Times et The Guardian.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Alain Leger pour Dreuz.info.
Source : truthfeed.com
Assange est génial mais surtout courageux de dévoiler des infos reçu par des sonneurs d’alarme qui veulent une justice contre des acts qui causent des guerres …. et cela est vrai que la vérité choc car les lobby et les gouvernements ne peuvent pas controler la manipulation
Seules les populations des états démocratiques ont accès aux dépêches Wikileaks, et encore il faut parler anglais ou lire Dreuz ;)..rien ne devrait réellement changer si moins d’ 1/4 de la population mondiale est (enfin) re-informée.
Presse francaise qui n’arrete pas de faire du Trump bashing, ca deviens lourd
Fig,le monde, n.obs,
Lepoint etc…pas un seul ne l’épargne bandes de fdp.
C’est vrai Jackblack, moi-même je suis abasourdie par ce Trump bashing de la presse
française.
C’est tout simplement ahurissant pour le pays des Grandes Libertés.
Aucune information objective sur le Président Trump ne vient de ce côté là.
Quelle déception !!!
Nous n’avons plus le choix….tous les merdias ou presque sont au même diapason ! Ce sont quasi des messages subliminaux, toujours les mêmes, que nous entendons au quotidien et parfois à notre insu ! Les télés, les journaux, les radios nous dégueulent les mêmes slogans ! Pas plus tard que ce matin, le porte-parole de Amnesty International mettait en garde contre la politique de Trump, d’Orban, d’Erdo le turc et de Lepen (il les met sur le même pied d’égalité !!!) . Toujours à géométrie variable ! Si nous, Européens blancs, débarquions sans papier dans un pays muzz ou au Mexique afin d’y faire des affaires ou de travailler au noir, nous serions immédiatement expulsés manu-militari ! Je sais de quoi je parle…j’ai vécu au Maghreb ! Sur place, ça ne rigole pas avec les étrangers en situation illégale !