l’Occident, s’exprimer un nouvel antisémitisme issu de la culture musulmane, qui trouve une complicité dans la gauche et l’extrême gauche. Les mouvements antiracistes comme le MRAP et SOS Racisme se taisent et fournissent l’alibi de l’islamophobie.
Aujourd’hui, dénoncer l’antisémitisme mène au tribunal correctionnel.
A l’adresse de Vincent Peillon, il s’indigne : «Non, les musulmans ne sont pas les Juifs de 1930». Le politiquement correct fait le jeu de l’antisémitisme et la gauche par son attitude ambiguë, cautionne l’antisionisme. A l’anti-racisme dévoyé s’ajoute le suivisme médiatique.
Et pour clore, il reprend une citation de la Boétie «Ils sont grands parce que nous sommes à genoux».
-
André Bercoff connaît parfaitement les rouages de ce système pervers d’inversion des valeurs. Il est de père russe, de mère espagnole et a vécu 20 ans au Liban
A partir de 1975, un vote de l’ONU assimile le sionisme au racisme. Le nationalisme arabe après la mort de Nasser est remplacé par l’islamisme, une idéologie totalitaire, répandue par la confrérie des Frères musulmans qui voit le jour quelques années après l’abolition du Califat par Mustapha Kemal.
André Malraux disait de l’islamisme qu’il est le communisme du désert. Par une «prostitution sémantique” il devient l’emblème des damnés de la terre, dans une période post-coloniale de repentance et de culpabilité. En France, une partie de la population se sent abandonnée d’où l’émergence du FN.
Les responsables politiques ne voient rien venir jusqu’à Charlie Hebdo et l’Hyper Casher et une certaine presse trouve même des excuses aux terroristes (les journalistes de Charlie Hebdo sont allés trop loin, et pour l’Hyper Casher, c’est le conflit au Proche-Orient).
Ils ont enfin réalisé après le Bataclan. Mais combattre le terrorisme ne sert à rien, si on ne “nettoie” pas en amont l’idéologie qui le nourrit.
-
C‘est Jacques Tarnero qui ferme les débats sur l‘antisémitisme
Il a assisté le 25 janvier au procès de Georges Bensoussan de 13 h 30 à 1 heure du matin.
Il est encore ému, scandalisé et attristé par ce procès, inquiet de ce qui se trame en France, et bouleversé par le dernier mot de Georges Bensoussan : “Madame, pour la première fois, je suis tenté par l’exil”. “C’est un procès symbolique d’une dimension énorme, même si les médias n’en parlent pas” dit Tarnero.
Georges Bensoussan, pour ne pas avoir cité exactement le Verbatim de Smaïn Lacher est assigné en Justice par le MRAP qui retire sa plainte. Mais celle-ci rebondit à la suite d’un signalement du CCIF (Collectif contre l’Islamophobie en France) au procureur de la République qui décide d’assigner l’historien. La LICRA avec Mohamed Sifaoui se joint à la plainte, si bien que Georges Bensoussan se retrouve traqué par cinq associations “antiracistes”. L’une d’elle, “Les indigènes de la République” une organisation particulièrement raciste et anti blancs dont la meneuse, Houria Bouteldja, n’est jamais condamnée pour ses propos infamants envers “les souchiens”, l’accuse de racisme biologique. Le plus grave est que c’est la Procureur de la République elle-même, –donc l’Etat français– qui porte plainte contre Georges Bensoussan. C’est elle qui déclare recevable la plainte du CCIF, elle qui ira jusqu’à dire que “le passage à l’acte est dans le champ lexical”, ce qui pour Tarnero est un moment symbolique dramatique.
Tarnero, connaissant les implications et les conséquences d’un tel procès, cite ensuite Ahmed Ben Bella : “nous ne pourrons être que si l’autre n’est pas” et s’avoue très inquiet de l’évolution du pays. Est-ce la soumission qui gagne le PS ? Le rapport au fait israélien est la ligne de partage entre ceux qui veulent se coucher et ceux qui veulent résister.
Mais Tarnero sait que les forces sont inégales : “Là où il nous faut Churchill on a Hamon et Mélenchon.” Le procès dissèque des phrases, décortique des mots. Pour Tarnero c’est un “drame lexical” avec la “prostitution des mots” dont a parlé Bercoff. Un drame lexical porteur d’une idéologie terrible. “Il nous faut investir toutes nos forces dans ce réarmement moral pour échapper au totalitarisme islamique” dit-il pour conclure.
-
Elisabeth Levy bien qu’ayant partiellement suivi l’ensemble des débats, clôture cette séance par une synthèse décalée et optimiste, compte tenu de ce qui vient d’être dit.
Elle se réjouit de constater que depuis la sortie du livre “Les territoires perdus de la République*” de Georges Bensoussan, qui avait reçu un accueil glacial, il y a une évolution de la prise de conscience des questions identitaires, sociologiques et culturelles des milieux d’immigrés, et qu’en France après tout, “les Juifs ne sont pas attaqués à tous les coins de rue”.
Pour ma part, ce tout dernier constat ne me satisfait pas.
Je me suis toujours demandée quel serait l’évènement qui me donnerait le signal du départ, et je pense que le procès Bensoussan et ses implications pourraient bien être le déclencheur. Les seules sources d’espoir et d’optimisme nous viennent actuellement des USA et d’Israël, avec notamment le développement de la Judée-Samarie.
La population française, après 230 morts, s’attend à ce qu’il y en ait d’autres. Selon les lieux de résidence, il y a des attaques mortelles dans les rues, ou devant les lycées. Les juifs désertent le 93. Des gens s’arment en prévision de ce qu’ils pressentent. Qu’ils soient juifs ou non, depuis le Bataclan, Nice, et les décapitations, la vie des citoyens français n’est plus la même. On est passé du crime antisémite, ciblé, aux assassinats et attaques aléatoires.
Mais il y a plus.
Un œil sournois et pervers se prend à guetter les citoyens, des armées de délateurs sont prêtes à contrôler vos dires, faits et gestes. Un gouvernement inexistant a choisi de laisser s’installer l’Islam et la “diversité”, et cède progressivement devant une sorte de dictature sociale. La ville de Paris multiplie les lois liberticides et les contraintes, tout en jouant sur la visibilité des militaires, des policiers, des contrôles aux entrées.
Des juges et des procureurs s’arrogent le droit de traduire en justice un intellectuel juif dans une procédure perverse et inédite digne d’une dictature.
Le procès Bensoussan est symptomatique d’un mal plus profond.
NB : D’autres orateurs ont animé ces débats : Mrs. Joël Mergui (président du Consistoire de Paris), Bruno Tertrais (politologue), Claude Aziza (professeur émérite), Olivier Méron (éditeur), Frère Louis Coudray et M. Toronian (Pasteur protestant arménien)
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Nancy Verdier pour Dreuz.info.
* En achetant le livre avec ce lien, vous soutenez Dreuz qui reçoit une commission de 5%. Cette information est fournie pour assurer une parfaite transparence des conséquences de votre action, conformément à la recommandation 16 CFR § 255.5 de la Federal Trade Commission.
Jérusalem est a Israel , Jérusalem est au Peuple Juif et Unesco ou pas …….. cela sera toujours ainsi tel est la volonté de l’Éternel
Amen !
Les résolutions de l’UNESCO de même que celles de l’ONU n’ont aucune valeur juridique faisant partie du “Droit International” puisque non contraignantes.
L’ONU n’est pas générateur de “Droit International”
Ces décisions ne sont pas des éléments du “Droit International” , … Puisque ni l’ONU ni l’UNESCO n’ont d’autorité pour les faire appliquer.
Vous allez le comprendre :
Toutes décisions gouvernementales ont “Force de Loi”, … Puisqu’elles peuvent être appliquées par la force. Un Tribunal use de la force militaire ou de la force civile pour faire appliquer ses décisions. Regardez ce qu’il se passe en Israël à Amona.
Lorsqu’un Tribunal prend une décision, … Pour la faire appliquer, le Tribunal se sert de la “Force Publique” ne serait-ce que pour activer l’intervention d’un huissier ou le Contrôleur des Impôts en recouvrement d’une dette ou d’une amende. Nous le voyons bien, a chaque prise de décision, le Tribunal assorti celle-ci par l’utilisation de la force publique.
Or en ce qui concerne l’ONU et l’UNESCO, ces organismes ne peuvent pas utiliser la force. C’est contraire et même interdit par leur charte.
Les premières lignes de la Charte de l’ONU disent clairement que l’ONU a « interdiction d’user de la force »
… « La Charte des Nations Unies
Convention internationale, la Charte des Nations Unies codifie les grands principes des relations internationales, depuis l’égalité souveraine des États jusqu’à l’interdiction d’employer la force dans ces relations.
La Charte a été signée à San Francisco le 26 juin 1945, à la fin de la Conférence des Nations Unies pour l’Organisation internationale, et est entrée en vigueur le 24 octobre 1945. Le Statut de la Cour internationale de Justice fait partie intégrante de la Charte. »
Par contre la signature de la Charte des Nation Unies par chacun des Gouvernements fait partie des « Engagements Internationaux » que chaque pays s’oblige à respecter. Alors que nous savons très bien que peu de pays ne respectent la Charte Onusienne
Pour preuve :
Sur 193 Etats membres de l’ONU qui pour être acceptés en tant que « Membres » qui ont eu l’obligation de signer et faire la leur, la « Déclaration Universelle des Droits de l’Homme » … Sauf que sur 193 Etats Membres, 57 Etats ont préféré signer le 5 août 1990 La « Déclaration des Droits de l’Homme en Islam » abondamment imprégnée de « Charia », … Alors que leurs votes respectifs sont pris en compte à l’ONU
… « La Déclaration des droits de l’homme en islam, adoptée au Caire le 5 août 1990 par l’Organisation de la conférence islamique, est une adaptation particulière de la Déclaration universelle des droits de l’homme aux pays musulmans. Cinquante-sept États l’ont ratifiée.
Cette adaptation se traduit notamment par une forte imprégnation religieuse, l’affirmation de la primauté divine, la limitation de la liberté de choisir sa religion et d’en changer et par l’inégalité des droits entre l’homme et la femme.
Ce texte est précédé de la « Déclaration islamique universelle des droits de l’homme de 1981 » proposée par le Conseil islamique d’Europe et promulguée le 19 septembre 1981, lors d’une réunion organisée à Paris par l’Unesco ».
Depuis le 5 Août 1990, les décisions Onusiennes doivent être déclarées caduques, puisque non conformes.
KKL !, …………. Tout le monde connait ?
Le Fonds national juif (FNJ) ou Keren Kayemeth LeIsrael (KKL), en hébreu, littéralement : « fonds pour la création d’Israël », est un fonds qui possède et gère plusieurs centaines de milliers d’hectares de terres en Israël. Fondé en 1901 à Bâle (Suisse) en tant que fonds central du mouvement sioniste, il s’occupa du rachat de terres en Palestine et de la préparation des futurs pionniers sur le terrain. Il est connu pour avoir planté de nombreuses forêts.
Le KKL est créé en 1901, à l’initiative du professeur Tzvi Herman Shapira faisant suite à une décision du 5e Congrès Sioniste à Bâle.
La proposition du professeur Shapira de racheter des terres qui constitueront le territoire de la nation future, avait été faite à la Conférence de Katowice en 1884, ainsi qu’aux premier (1897), troisième et cinquième (1901) Congrès sionistes. En 1903, 800 acres (320 hectares) sont achetées près de Hadera et les premiers arbres, des oliviers sont plantés à Houlda en 1908. Dès la première décennie du xxe siècle, le KKL participe à la fondation de Tel-Aviv et du kibboutz de Degania et à l’achat de terrains pour la forêt de Ben-Shemen. Jusqu’à la fin de la Première Guerre mondiale, le KKL cible ses activités dans l’achat de terrains et dans l’installation des pionniers. Avec la création du Keren Hayesod, le KKL limite ses activités au rachat de terres.
Sans l’Occident qui maintient à coups de centaines de millions d’Euros et de Dollars, et surtout à coups de mensonges ignobles, des populations Arabes sur le sol d’Israël, …
Cela ferait bien longtemps que les Juifs pourraient vivre en Paix dans leur Nation.
Voilà bientôt 70 ans que ce problème existe. La “Solution à Deux Etats” aurait du voir le jour depuis très longtemps.
Il faut se rendre à l’évidence, et constater les dégâts par le nombre de morts aussi bien Arabes que Juifs, qui est immense.
Puisque depuis 70 ans, cette solution n’a pas pu voir le jour. Il faut arrêter de s’entêter. Il est grand temps de faire d’autres propositions. Les Britanniques ont bien proposé aux juifs en 1903, d’aller s’établir en Ouganda !, … Alors que la Palestine fut sous son mandat.
N’ont-ils pas déjà une Reine ?
Histoire éternelle. L’incroyable vie de Rania de Jordanie
Rania Al-Yassin, de son premier nom, n’était pas destinée à monter sur le trône de Jordanie. Rien d’aristocrate chez la jeune femme, fille d’un médecin palestinien qui a dû quitter la Cisjordanie pour échapper à la guerre. Cette même horreur de la guerre rattrapera, quelques années plus tard, Rania et toute sa famille qui devront fuir un Koweït assailli par Saddam Hussein.
Merci Nancy pour ce remarquable compte-rendu.
Par la bouche des participants se sont exprimées la Vérité, la Raison, l’Intelligence. Mais, elles se heurtent au mur du Mensonge, de la Déraison, de l’Aberration, de l’Aveuglement, de la Corruption et de la Haine toute puissante anti-juive.
Cette entité nuisible islamisée, appelée UNESCO, est devenue l’outil de la propagande mensongère au service des nations musulmanes.
La réécriture de l’histoire d’Israël à la lumière de l’islam est l’une des plus grandes escroqueries de ce siècle : celle de l’appropriation du patrimoine historique et culturel de la nation juive par les arabo-musulmans, fidèles à leurs traditions. Le fait nouveau, c’est de voir des pays occidentaux aux racines judéo-chrétiennes cautionner ce mensonge, et approuver ce vol.
Je partage l’avis d’Ivan Rioufol. Elisabeth Levy est une nature optimiste.
L’amitié déclarée de Donald Trump envers Israël va, à mon avis, créer encore plus d’animosité islamique envers les citoyens européens de confession juive. En Allemagne, de terribles insultes et menaces émanent des communautés turques à l’égard des Juifs et d’Israël.
Comme vous l’écrivez, le mal est profond et l’avenir sombre, mais, la fleur de l’espoir reste malgré tout vive.
Amitiés !
Merci Rosaly pour ton commentaire. C’est la première fois que je “palpe” autant de pessimisme dans l’ambiance d’un colloque. Chacun pressent quelque chose de terrible au niveau de la France et de l’Europe.