Publié par Rosaly le 15 février 2017

Vendredi dernier à Budapest, lors de son 19e discours sur l’état de la nation, le Premier ministre hongrois Viktor Orban a déclaré devant une assemblée enthousiaste que son pays ouvrira les bras aux Européens occidentaux fuyant l’immigration de masse et les « seigneurs des politiques mondialistes ».

 

« Nous laisserons entrer les vrais réfugiés : les Allemands, les Néerlandais, les Français, les Italiens, les politiciens terrifiés et les journalistes qui veulent retrouver en Hongrie ce qu’ils ont perdu dans leur patrie. »

ViKtor Orban est la figure de proue des pays d’Europe centrale et orientale qui ont résisté à la politique suicidaire migratoire mise en place par l’UE.

Des gens ordinaires, bâillonnés, réduits au silence depuis trop longtemps au nom du politiquement correct se sont enfin insurgés

Il soutient que les politiciens mondialistes essayent de balayer la « démocratie de débat » pour lui substituer « la démocratie du politiquement correct », où le véritable pouvoir, les décisions et l’influence ne sont pas détenus par les gouvernements élus, mais par des réseaux mondialistes non élus, des gourous médiatiques et des organisations internationales.

ViKtor Orban voit le Brexit, l’échec du référendum de Matteo Renzi en Italie, le succès du référendum hongrois sur le quota de migrants et l’élection de Donald Trump comme les prémices d’une révolte populaire plus large à l’encontre de l’arrogance et de la condescendance des élites mondialistes, qui veulent imposer leurs idéaux utopiques. Au cours de l’année écoulée, des gens ordinaires, bâillonnés, réduits au silence depuis trop longtemps au nom du politiquement correct se sont enfin insurgés.

Ces évènements marquants de l’année 2016 résonnent comme une claque cinglante dans la face des prophètes des politiques d’ouverture aux migrants majoritairement musulmans.

Mais «les Seigneurs des politiques mondialistes” n’ont pas abandonné leur lutte. Ils ont osé affirmer que si dans un pays, les élections n’étaient pas emportées par les partis mondialistes, partageant “leurs idéaux”, “leurs valeurs », alors la démocratie n’existait plus dans cette nation et les citoyens devenaient un danger pour la démocratie.

Ainsi naquit la coalition la plus bizarre au monde entre les trafiquants d’êtres humains et les activistes des droits de l’homme

Et soudainement, ceux qui autrefois craignaient pour la liberté de la presse, demandent aujourd’hui que les médias et réseaux internet politiquement incorrects soient placés sous surveillance, voire censurés.

Et c’est ainsi, affirma ViKtor Orban, que naquit la coalition la plus bizarre au monde, entre les trafiquants d’êtres humains, les activistes des droits de l’homme et les élites politiques européennes, dans le but spécifique d’amener délibérément des millions de migrants en Europe.

Pour Mr Orban, l’avenir jette une ombre inquiétante sur le présent de l’UE et ce en dépit de sa prospérité.

D’un point de vue économique, il décrit « la société ouverte » comme suit :

« On permet aux renards d’entrer dans le poulailler et personne ne peut les empêcher de gagner, jour après jour, au jeu de la libre concurrence. Et si à la fin, les pauvres citoyens qui se réveillent lentement résistent, ils sont inondés de millions de migrants, dont la religion, les traditions et les valeurs s’opposent diamétralement aux nôtres. »

Selon le leader du Fidesz, 2017 sera une autre année de conflit avec l’UE, car Bruxelles essaye de s’attribuer des pouvoirs supplémentaires, notamment sur l’immigration et la fiscalité. Il a également mis en garde contre les activités d’organisations non gouvernementales financées par l’étranger cherchant à exercer une influence sur les politiques locales.

« Nous pouvons retrouver ici les grands prédateurs, nageant en eaux troubles, faisant partie de l’empire transnational de G. Soros.

Il est clair que Soros aimerait que ce gouvernement échoue, qu’il soit incendié, car il n’aime pas notre approche, nos politiques, mais ce n’est pas G. Soros qui décide, c’est le peuple hongrois. Les manœuvres de Soros pour faire chuter le gouvernement sont les plus anti-démocratiques.

 

L’ancienne administration américaine, Bruxelles et même Berlin avaient décidé que le flux de migrants ne devait pas s’interrompre, le gouvernement hongrois a résisté, construit une clôture et stoppé les migrants, protégeant ainsi la Hongrie et aussi l’Europe.

Evidemment, nous laisserons entrer les vrais réfugiés : les Allemands, les Néerlandais, les Français, les Italiens, les politiciens terrifiés et les journalistes, qui veulent retrouver en Hongrie ce qu’ils ont perdu dans leur patrie.

Le Premier ministre a également déclaré “qu’il était important de maintenir une stabilité politique, car la perdre serait un luxe que nous ne pouvons nous permettre. Mais cela n’arrivera pas aussi longtemps que nous serons à la barre.”

“La Hongrie doit être capable de se suffire à elle-même” a souligné le Premier ministre. Il parla de la chute démographique de la population hongroise, assurant qu’elle n’avait pas encore atteint le point de rupture. Et pour l’éviter, le Gouvernement apporte toute l’aide possible aux citoyens, qui décident d’avoir des enfants.

Il appela aussi à enseigner aux enfants en classe le patriotisme, les sentiments patriotiques et à avoir une mentalité patriotique.

 

Il exprima sa satisfaction de voir que la Hongrie était passée d’une culture d’auto-compassion à une culture d’action.

Il rappela que la règle d’or de la politique hongroise est incorporée dans une citation de Sándor Márai : “Nous ne connaissons pas le sens du mot médiocrité”.

“L’avenir des Hongrois est assuré, le pays se développe et gagne en force. “Demain ne doit pas projeter une ombre sur aujourd’hui. Nous étions les moutons noirs, mais aujourd’hui nous sommes une success story.

Que 2017 soit une année à la fin de laquelle nous dirons : nous avons l’impression qu’elle s’est déroulée comme un charme.”

ViKtor Orban termina son discours par son exhortation habituelle :

“En avant la Hongrie ! En avant les Hongrois !”

 

Le Premier ministre hongrois s’est réjoui de l’élection de Donald Trump, contrairement à ses homologues occidentaux.

L’ère du politiquement correct est sur le point de se terminer aux Etats-Unis, mais il reste encore beaucoup à faire en Europe”, a-t-il déclaré lors de la réunion du Conseil de la diaspora hongroise.

En référence à sa récente conversation téléphonique avec le président des États-Unis Donald Trump, ViKtor Orbán a déclaré : “nous pouvons enfin revenir à l’âge du libre discours, quand on n’a plus à avoir peur d’être exclu pour des pensées conservatrices … Quand nous parlions de l’existence humaine, nous étions étiquetés médiévaux et cléricaux ; quand nous parlions de famille, nous étions étiquetés sexistes et homophobes. Alors qu’auparavant nous étions obligés de nous engager dans un discours des droits de l’homme, à l’avenir nous pourrons enfin nous concentrer sur les humains, pas sur les droits. Nous revenons maintenant de la non-démocratie libérale à la liberté. (VPost)

Le Premier ministre hongrois et le Président Donald Trump ont d’ores et déjà convenu de se rencontrer dans le courant de l’année. L’Administration Obama n’avait jamais daigné inviter Monsieur Orban.

Le ministre hongrois des Affaires étrangères, Mr Szijjártó, a également applaudi l’élection de Donald Trump et a appelé à une normalisation des relations avec la Russie, tout en demandant un arrêt de l’immigration de masse, perçue comme un danger pour l’Europe.

En réponse à l’assertion du journal allemand Die Welt, selon laquelle la Hongrie a été l’un des pays les plus enthousiastes à l’égard de l’élection de Donald Trump à la présidence, Mr Szijjártó répondit :

“Nous pensons que la direction suivie par la politique étrangère et migratoire de Donald Trump est de loin plus favorable pour l’Europe que celle des Démocrates.

Selon moi, l’Administration Trump participera à la création d’un monde meilleur.”

Mais pour un Viktor Orban, combien de ‘Mutti* Merkel’ ?

Merkel et ses homologues mondialistes font venir des millions de gens en Europe, en provenance de pays affirmant jouir d’un modèle de société de loin supérieur au nôtre. Que diable viennent-ils donc faire dans une société aussi imparfaite que la nôtre ? De nombreux ‘réfugiés’ arrivent en Occident fermement déterminés à remplacer nos systèmes juridiques et nos structures sociétales par celles de la charia. Le conflit entre ces gens et les Européens, fervents soutiens des systèmes démocratiques actuels, est inévitable. Les mondialistes ont conduit l’Europe au bord de la guerre civile, car de plus en plus de citoyens européens refusent de vivre dans ce futur paradis socialiste multiculturel répressif régi par la charia.

L’Occident refuse de comprendre que l’islam est avant tout politique, et que le contrôle du gouvernement par l’islam est au cœur de cette idéologie, dès lors les musulmans en Occident exigeront tôt ou tard de vivre sous un gouvernement islamique.

L’administration Trump est sous le feu des critiques des médias américains et internationaux, tout simplement car elle ose parler de ‘djihad islamique’, et qu’elle préfère voir une Amérique forte et prospère comme leader du monde, plutôt qu’une dictature laïque ou théocratique musulmane.

L’islam se prétend une religion abrahamique, mais en fait, l’islam fut inventé 600 ans après Jésus Christ, non pas pour affirmer la Bible, mais pour la discréditer, non pas pour coexister avec les Juifs et les Chrétiens, mais pour les remplacer, après les avoir faussement accusés d’avoir falsifié la Bible.

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Et Geert Wilder a eu raison de déclarer dimanche dernier, lors de sa première intervention télévisée de campagne :

“L’idéologie islamique est beaucoup plus dangereuse que le nazisme.”

 

Il a, à nouveau, exigé l’interdiction du coran et la fermeture des mosquées. Il a parlé des menaces qui pèsent sur le pays suite à son islamisation et à l’immigration de masse.

“Notre pays est piraté et nous devons le reprendre.”

Il a comparé le coran au Mein Kampf et les mosquées aux temples nazis dans lesquels, quotidiennement, des appels à la haine et à violence contre les kouffars étaient lancés.

“Nous rendrons une faveur à notre état constitutionnel, si nous nous opposons à cela”.

Geert Wilders et son programme anti-islam, anti-immigration, anti-Europe caracole en tête des sondages. Mais en cas de victoire, son parti, le PVV, devra nouer des alliances pour gouverner et là réside le problème.

Wilders est persuadé qu’il y parviendra, mais les grands partis ne semblent pas enthousiastes, à commencer par celui du Premier ministre conservateur, qui a twitté : ‘‘Zéro pour cent de chance, Geert. Zéro pour cent. Cela ne se produira pas”.

Cela n’a pas empêché Geert de déclarer que les promesses faites par les autres partis de ne pas nouer d’alliance avec lui seraient vite oubliées s’il remportait le scrutin. Espérons-le !

Car comme l’a affirmé le lieutenant général Michael Flynn (démissionnaire) :

“L’islam est une idéologie politique qui se cache derrière une religion. L’islam est comme un cancer, une tumeur maligne, qui s’est métastasée.”

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Sources :

  • Hungary Will Welcome European Refugees Fleeing Multicultural West – Breitbart
  • Website of the Hungarian Government (extraits traduits et adaptés par
  • Geert Wilders fordert den Verbot des Koran (PI.News)

* Merkel a reçu le surnom de ‘Mutti’ (un mot allemand familier pour maman), par Der Spiegel en référence à la figure de la mère idéale des années 50 et 60.

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