Publié par Yoann Saby le 9 mars 2017

Une manifestation pour la liberté d’expression organisée par la Canadian Coalition of Concerned Citizens et l’association Pegida Québec a été perturbée par des fascistes.

Le 4 mars dernier avait lieu une marche organisée par le groupe de droite alternative Canadian Coalition of Concerned Citizens. La marche a eu lieu dans plusieurs provinces canadiennes, notamment au Québec. Au sein de la Belle Province, tous les groupes de droite ont répondu à l’appel, entre autres PEGIDA Québec, Soldiers of Odin, etc. La manifestation a eu lieu dans toutes les grandes villes du Québec, dont Montréal, Québec, Drummondville et Trois-Rivières.

L’événement visait à dénoncer la motion M-103 amenée par le gouvernement libéral qui prône de brider la liberté d’expression en faisant condamner l’islamophobie.

Voulant ainsi criminaliser la critique de l’islam comme le veut la Charia, cette loi a été amenée sur la table des négociations par un Afghan musulman du parti Libéral ayant des liens avec le groupe terroriste des Frères musulmans. Coïncidence déplaisante, la motion M-103 tire son nom d’un char d’assaut à se demander si la métaphore dissimulée derrière cette supercherie est intentionnelle : la motion M-103 écrase le peuple, voilà la définition de cette loi.

Bref. Dans toutes les villes du Québec où il y a eu une manifestation, l’événement s’est très bien déroulé, avec la participation d’environ 600 à 700 personnes appartenant à des groupes différents.

Une seule ville a essuyé des altercations avec le groupe fasciste d’extrême gauche Action antifasciste (n’oublions pas la mise en garde attribuée à Churchill : “Les fascistes de demain s’appelleront eux-mêmes antifascistes“). Il s’agit évidemment de Montréal, le dernier bastion du groupe fasciste Antifa au Québec. Très violent (puisque fasciste), le groupe anarchiste, fidèle à ses habitudes, ne s’est pas dispensé de perturber la manifestation pacifique. Ses soldats ont lancé des fumigènes colorés sur les forces de l’ordre en les insultant, violenté des manifestants, vandalisé des commerces et véhicules, et ont lancé des projectiles au milieu de la foule.

Et dire que ces extrémistes tentent de justifier leurs agissements inexcusables au sein des réseaux sociaux.

Ils ne cessent de se dire pour la paix, pour la démocratie et pour le vivre-ensemble, mais sont, sans équivoque possible, les plus despotiques, violents et fermés d’esprit de tous les activistes occidentaux, droite et gauche confondues.

Les antifas sont violents au nom de la paix, ils entravent la liberté de manifester et empêchent par la violence la liberté d’expression au nom de la démocratie, et font taire ceux qui ne pensent pas comme eux au nom de la diversité et du vivre-ensemble. Heureusement, les policiers ont fait un excellent travail de protection, et peu de civils ont été blessés.

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Cependant, les médias, en majorité, se sont plu à rapporter les faits avec une ambiguïté délibérée parce que bien que modérés, ils se sentent plus proches de la dictature totalitaire de la gauche que des libertés défendues par la droite.

Les informations volontairement nébuleuses des médias de gauche ont laissé planer un doute sur la provenance des perturbations, en accusant implicitement ou explicitement les manifestants de droite de manifester en faveur du racisme, les faisant ainsi passer pour les ‘’méchants’’ dans le but que le lecteur moyen ne puisse savoir ce qu’il s’est réellement passé. Pourtant, la marche ne visait qu’à défendre un élément essentiel des droits de la personne en Occident – probablement celui que combat le plus la gauche : la liberté d’expression.

Conclusion

Malgré quelques perturbations dans la capitale économique de la province de Québec, les citoyens se sont montrés d’une solidarité exemplaire.

Le 4 mars couronnait une deuxième victoire de la lucidité sur l’influence trompeuse de la gauche. En effet, le 15 octobre 2016, les groupes de droite québécois avaient déjà remporté une victoire lors d’une manifestation massive contre ce groupe fasciste. La victoire du 4 mars était encore plus prononcée, et la prochaine sera sans équivoque une victoire totale sur l’opinion publique malgré la désinformation des médias.

Le peuple doit rester uni et solidaire, ainsi nous redeviendrons maîtres chez nous !

PEGIDA Québec, nous sommes le peuple !

Sébastien Poirier, délégué politique de PEGIDA Québec

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Propos recueillis par Yoann Saby pour Dreuz.info.

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