Emmanuel Macron affirme tout et son contraire. Il clame «Je suis socialiste !» et «Je ne suis pas socialiste ! ».
Ses déclarations incohérentes, ses excuses et retours en arrière s’enchaînent dans un tourbillon verbal qui ne s’astreint à aucune continuité rigoureuse de pensée et qui s’avère en définitive dénué de sens. Comment expliquer alors l’estime dont il bénéficie –selon les sondages– auprès d’une partie importante de l’électorat ?
Produit de François Hollande, de Jacques Attali, de Terra Nova et de la banque d’affaires, l’enfant gâté du système qui a le culot de se profiler comme le candidat antisystème doit surtout sa popularité au profond dégoût de nos concitoyens pour le Parti Socialiste et Les Républicains, co-responsables de la situation de crise permanente dans laquelle se trouve la France depuis plusieurs décennies.
Plus fondamentalement, nous voyons tout d’abord en Macron le candidat de la fin de l’histoire politique.
En promettant de surmonter les oppositions entre la gauche et la droite dans une synthèse ne gardant que le meilleur des deux camps, l’ex-ministre répond aux aspirations de ceux qui voient l’origine des malheurs de la France dans les incessants affrontements dialectiques de ses forces politiques antagonistes.
Macron ne prétend d’ailleurs pas seulement dépasser les conflits entre les vieux ennemis de l’échiquier politique. Incarnation emblématique de l’idéologie «libérale-libertaire» qui vise «l’émancipation» intégrale et tous azimuts, il nous invite à transcender toutes les oppositions qui, de mémoire d’homme, ont façonné notre modèle politique et social.
Notre passé maudit et notre futur radieux fusionneront dans un éternel présent expiatoire
Mondialiste mystique, Macron veut annihiler les frontières qu’il perçoit comme des accidents de l’histoire et des obstacles à la fraternité universelle. Il prophétise que la distinction entre l’intérieur et l’extérieur de notre pays disparaîtra dans le «village global» qui efface les appartenances territoriales pour se réorganiser autour du transnational en termes d’affinités, de réseaux et de mouvements d’informations, de services, de biens et de personnes. Le fondateur d’En marche nous demande d’embrasser avec enthousiasme et sans réserve ce qu’il nomme la «civilisation des flux», autre nom de la globalisation qui s’impose progressivement à nous depuis quelques décennies. De toute façon, pour Macron, «la culture française n’existe pas». Et la nation française n’est déjà plus qu’un lointain souvenir si tant est qu’elle ait vraiment existé. Notre pays n’est désormais qu’un des espaces géographiques et administratifs de l’UE, et celle-ci une partie de l’État universel dont elle prépare l’arrivée.
Selon lui, notre passé, entaché à jamais de son impardonnable «crime contre l’humanité» que fut la colonisation, ne doit en aucun cas être utilisé comme socle à partir duquel peuvent se concevoir la volonté de vivre ensemble et l’avenir des Français. De ce passé honteux ne doit subsister que son reniement, qui est la condition nécessaire de notre possibilité d’avenir. Ainsi, notre passé maudit et notre futur radieux fusionneront dans un éternel présent expiatoire où toute velléité d’échapper à la résipiscence d’Etat sera considérée comme comportement fascisant, et lourdement sanctionnée.
Au-delà du discours politique, la personne de l’énarque constitue un système de signification annonciateur d’un avenir débarrassé des oppositions et déterminismes biologiques dénoncés par le libéralisme illimité.
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Macron porte en lui l’espoir fou de la fin de l’opposition entre masculin et féminin, si chère aux idéologues de la libération transgenre
L’extrême jeunesse– pour un candidat aux plus hautes fonctions de l’Etat– de l’ex-golden boy, accentuée par son visage poupin, son regard bleu ingénu et ses incontrôlables zozotements, ainsi que l’étonnant attachement sentimental entre lui et Brigitte Trogneux, grand-mère confirmée de 23 ans son aînée, ne manquent pas de nous interpeller. Nous y voyons une invitation à rendre caduques les différences entre l’expérience et l’inexpérience ainsi qu’entre l’âge mûr et la jeunesse, autre chimère des tenants de l’affranchissement libertaire des contraintes que la nature nous impose.
Par ailleurs, le sexe biologique de Macron nous est signifié comme résolument masculin par les médias qui font tout pour essayer de rehausser l’incertaine virilité du prétendant à l’Elysée. Cependant, sa gestuelle et son langage délicat véhiculé par une voix à la gravité mal assurée nous évoquent plus l’inquiétante grâce d’un(e) Conchita Wurst que le rude entrain d’un Lino Ventura. Macron porte en lui l’espoir fou de la fin de l’opposition entre masculin et féminin, si chère aux idéologues de la libération transgenre.
Son avènement présagerait un avenir radicalement différent pour le peuple et l’individu français. Chantre d’une utopie malsaine qui affaiblit notre nation depuis des décennies, serment d’un arasement de notre modèle politique, social et anthropologique, et de son remplacement par une fusion stérile des contraires produisant un absolu non-être, il est la mort qui nous parle depuis une vie humaine.
Macron n’est peut-être pas l’amant de «jeune et joli»– sobriquet de Mathieu Gallet– le directeur de Radio France.
Car il est «jeune et jauni».
Il représente le masque juvénile mais usé des vieilles lunes soixante-huitardes qui nous pourrissent l’existence depuis trop longtemps.
Choisir Macron, c’est renoncer à exister au sens imparfait mais fort où nous avons collectivement existé depuis des siècles. C’est précipiter l’ultime avachissement de la civilisation française vers une post-histoire où les conseillers du Prince nous féliciteront de ne plus ressembler à rien. Et c’est finalement exaucer les vœux des innombrables activistes de l’islam qui préparent au grand jour la relève culturelle et morale dont ils ne cessent de répéter que notre pays a tant besoin.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Guillaume L. Freinet pour Dreuz.info.
Puisqu’il “rassemble” de Bayrou à Robert Hue, Macron est obligé de dire tout et son contraire, c’est-à-dire n’importe quoi. Pur produit de l’énarchie et du système mondialiste islamo-gauchiste, son marketing réussit à le présenter comme un homme neuf, alors qu’il n’est que le clone de Hollande, en plus joli sur le plan esthétique, mais en pire sur le fond. Il est étonnant qu’après toutes ses déclarations contre la France il veuille se présenter à la présidence d’un pays qu’il hait et dont il nie même l’existence!
Il est encore plus étonnant que des gogos puissent envisager une seconde de voter pour ce produit de marketing parfaitement méprisable. Souhaitons qu’il ne soit pas élu car là, ce serait vraiment la fin de notre pays.
L’avenir de la France et du monde avec des macros et autres du genre serait un cocktail, avec la tour de Babel ,Sodome et Gomore et les invasions barbares comme composants.Est ce qu’on ne tient plus compte des leçons de l’histoire?(pas celle revue et corrigée par la belle kacem)bientôt la notion même d’histoire n’existera même plus!! L’histoire recente devrait pourtant attirer notre attention sur l’état contemporain de délabrement physique et moral de certains pays ou regne l’esclavage le despotisme,l’inegalité,la misere,le racisme,le sexisme,la haine,et qui voudraient par dessus tout imposer ces grandes valeurs au monde avec l’appui de trouducs politiques malades d’ambition et experts en démagogie!!
Il devrait aussi essayer : “Le changement, c’est maintenant”.
On ne sait jamais, il y a tellement de …. que ça devrait marcher.
Macron n’est peut-être pas l’amant de «jeune et joli» – sobriquet de Mathieu Gallet. Car il est «jeune et jauni».
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Haha, excellent !
“Comment expliquer alors l’estime dont il bénéficie –selon les sondages– auprès d’une partie importante de l’électorat ?”
Parce que les gens de cette génération qui “zappe” sans arrêt écoutent d’une oreille distraite et retiennent ce qui les arrange, oubliant ce qu’ils ne comprennent pas.
Parce que Macron symbolise la nouvelle politique, celle qui oppose non plus la gauche à la droite, mais les élites, les nantis, les gens que la crise et l’insécurité épargnent – pour l’instant ; bref, les gens qui sont satisfaits de leur sort actuel, et qui d’instinct rejettent le changement, celui que préconisent, à des degrés divers, tous les rivaux de Macron : MLP (qui veut quitter l’UE), Fillon (qui veut remettre la France au travail, augmenter l’âge du départ à la retraite, tailler dans la fonction publique), Hamon et Mélenchon (qui ont pour cible les “privilégiés” et autres “bourgeois” et qui inquiètent avec leur passion pour les causes perdues).
Bref, il reste Macron, jeune, beau, souriant, qui promet des lendemains qui chantent dans la paix, la prospérité et l’amour mutuel.
Il reste que Macron, s’il devait par malheur être élu, apparaîtrait assez rapidement pour ce qu’il est : le représentant des élites et des nantis qui méprisent les sans-dents et tous ceux que l’inféodation à Bruxelles, la politique marxisante délirante, l’ouverture irresponsable des frontières, l’insécurité encouragée par l’impunité des voyous (car comment de tels dirigeants condamneraient-ils des gens qui au fond, sont comme eux ?) et l’islamisation auront transformés en laissés-pour-compte et en sous-citoyens.
Avec un tel individu au pouvoir, attendons-nous à voir nos libertés reculer encore, car les gens qu’il représente ne voudront à aucun prix perdre le pouvoir.
Macron, c’est un pas de plus vers la dictature.
On ne peut, si on est normal, qu’approuver votre article. Tout ce que je pense de Macron y est ! Cet homme qui fascine les mémés par sa “séduction”, cet homme volubile qui se noie dans son torrent de verbiage,(j’ai dit ailleurs sa logorrhée !), cet homme qui avec sa fonction au gouvernement Hollande a contribué à abaisser notre pays à un rang jamais connu auparavant, et qui vient maintenant chanter ses propres louanges et sa haine de certains français (qu’il veut chasser de leur pays !). Cet homme est un fléau qui va finir de dévaster notre pays au profit de qui ? Je vous laisse la réponse !
“Une société qui remplace la méritocratie par la médiocratie sociale et instaure un système où les catégories ethno-raciales et sexuelles se partagent le gâteau, se met en péril et menace gravement la paix civile” M. Le Pourhiet
citée par A. Finkielkraut dans Le Figaro du 2 avril
Si ce mutant, à peine démoulé des grosses banques, se considère “anti-système”, alors moi j’habite sur Neptune et mon chaton c’est Elvis Presley.
Non, ce Minus-Micron n’est pas “mondialiste mystique”, il profère ces âneries de “frontières-accidents de l’Histoire”, “obstacles à la fraternité universelle”, et prophétise son “village global” – village probablement peuplé de ses potes banquiers et de livreurs de pizza, apatrides et asexués – juste pour plaire (aussi !) à la secte des ‘No Borders’ (vous savez, ces fumeurs de pétards qui ont pourri la ville de Calais en s’opposant entre les CRS et les clandestins illégaux).
Ces militants ‘No Borders’ sont une bande d’allumés qui se sont inventé un slogan:
“Les frontières sont les cicatrices de l’Histoire”.
Faudrait juste que quelqu’un leur explique que les cicatrices sont de loin préférables aux cercueils…
Macron est donc bien une pièce essentielle du Grand Remplacement.
En 2001, toutes nos figures historiques avaient été retirées des billets de banques lors du passage à l’euro. À l’époque, on ne parlait pas encore du Grand Remplacement, mais on se doutait bien du but de cette honteuse manœuvre.
Dans l’Histoire de l’humanité, ce n’est pas la première fois qu’une civilisation disparaît. Mais c’est bien la première fois qu’une civilisation organise sa propre disparition.
J’aime bien quand Monsieur explique que sa femme et lui ont fait le choix de ne pas avoir d’enfants, alors que lorsqu’ils ont débuté leur relation, l’âge de Brigitte posait des risques en termes périnataux si elle pouvait encore enfanter… Ne le dit-il pas pour éviter de souligner la grande différence d’âge ?
Personnellement, c’est leur vie et ça ne me gêne pas, mais qu’il arrête de raconter ce qui aurait été un propos plus crédible chez un jeune couple…
J’ai tout de même l’impression que, à côté de ça, il en joue pour donner l’impression de la maturité.
Ce qui est désolant, ce sont toutes ces femmes d’un certain âge qui l’aiment à cause de sa relation avec une sexagénaire comme si elles essayaient de retrouver leur jeunesse par procuration.
Crédible ? Avez-vous déjà vu un socialaud crédible ??
Son pote Hollande -4% avait aussi débarqué avec une super “première dame”.
On a vu la suite………
J’ai cherché a faire des contrepets avec Macron car le nom de ce canard boiteux avec une patte dans la politique et une autre dans la banque devait pouvoir s’y prêter; J’ai échoué a trouver quelque chose de croustillant; D’autres trouveront surement….
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Donnez lui de la coke et le maqereau fera des ronds.
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Mais qu’est ce qu’elle a dans la bouche? un morceau qui lui reste?