Une question passionnée. » Depuis la parution d’un article du Parisien sur le harcèlement des femmes dans le quartier de la Chapelle, une chape de plomb s’est levée dans ce coin du nord-est de Paris. Dans cet article, publié le 18 mai, certaines femmes assurent qu’elles ne peuvent plus sortir seules dans les rues, « porter une jupe ou un pantalon trop près du corps » sans se faire insulter et agresser. Deux associations du quartier, SOS La Chapelle et Demain La Chapelle, ont lancé une pétition pour dénoncer la situation de ces femmes, qu’elles décrivent comme « une espèce en voie de disparition au cœur de Paris ». Le 6 juin, la pétition totalisait près de 20 000 soutiens.
Depuis, dans les cafés, les commerces, à la sortie des écoles, sur les panneaux d’affichage, les appels à résister à une description « caricaturale » du quartier font face aux louanges d’une « vérité » que l’article aurait « enfin » exprimée.
Mais le constat est unanime : le quartier de la Chapelle n’est pas comme les autres. De la place centrale saturée et surplombée par le métro aérien à la halle Pajol récemment inaugurée, un condensé de cultures et de misère s’entrecroise. Franceinfo a passé une semaine dans ce quartier de Paris pour rencontrer ceux qui le font vivre. Voici leurs témoignages.
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Je me suis sentie sale »
Lorsqu’elle a lu « Des femmes victimes de harcèlement dans les rues du quartier Chapelle-Pajol » dans le journal, Lucie, 30 ans, s’est sentie soulagée. Enfin, un article mettait le doigt sur un problème qui la travaille depuis longtemps. Contrairement à de nombreux riverains ou associations de quartier, Lucie « n’a pas été choquée par l’article » et a même signé la pétition lancée par SOS La Chapelle et Demain La Chapelle pour alerter les autorités sur la situation des femmes dans ce quartier.
Mais quand elle a vu que les signataires étaient taxés de racisme, que certains les accusaient de lier le sexisme à la présence de migrants, cette habitante de la rue Pajol s’est sentie attaquée. Sur son compte Twitter anonyme, elle écrit : « Si dénoncer ce qui se passe dans un quartier comme la Chapelle dérange, eh bien je continuerai à déranger. »
D’ailleurs, lorsqu’on cherche à la rencontrer, Lucie est plutôt méfiante et tente de savoir si l’on n’est pas du côté de “ceux qui ont manifesté” contre la pétition. Assise sur un banc rouge de la halle Pajol, elle ne cesse de tourner un porte-clé en peluche dans sa main : « Entendre que tout va bien dans ce quartier de manière globale, c’est du mensonge et c’est écœurant pour les femmes, comme moi, qui ne peuvent sortir dans la rue sans se prendre une insulte, une remarque ou autre. »
La #Chapelle, des habitants et associations manifestent pour « une autre vision » que celle de l’article du Parisien sur le #harcelementderue pic.twitter.com/R3Age8rIyZ
— Elise Lambert (@lambert_elise) 25 mai 2017
Lucie est lasse de voir la parole des femmes remise en question. Depuis son installation dans le quartier, il y a deux ans, cette chargée de communication ne compte plus le nombre de fois où elle s’est fait insulter ou siffler. « Ça va de l’interpellation – ‘eh coquine’, ‘t’es charmante’ – à l’insulte – ‘baisse les yeux salope’, raconte-t-elle. Au début, je répondais, je leur disais ‘ta gueule’, ‘espèce de connard’, mais en fait, ça ne servait à rien. Le lendemain, un autre recommençait. » Il y a aussi les gestes, les regards, les souffles dans le cou ou les murmures qu’elle seule peut entendre.
« Les hommes ne crient pas quand ils agressent. Ils font bien en sorte que seule la femme visée puisse entendre, c’est très pervers. Je me suis sentie sale plusieurs fois », décrit-elle.
Depuis un an, Lucie contourne la place de la Chapelle lorsqu’elle rentre chez elle. « C’est une pression psychologique, même mon conjoint ne se sent pas en sécurité là-bas. » Alors, quand certains assimilent son attitude à du racisme déguisé, elle explose : « Le harcèlement, il y en a partout, mais ici, il y en a plus. Ce ne sont pas des communautés particulières qu’on vise, mais les hommes qui font ça. C’est une question de densité de population et de misère sociale. »
C’est choquant de dire que des femmes sont chassées, mais lorsqu’on évite de passer à un endroit parce qu’on ne se sent pas en sécurité, implicitement, on l’est. Lucie
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« On nous traite de fachos, de racistes, mais on est juste impuissants »
Laurence a le regard perdu. « Quatorze ans que je vis ici et c’est la première fois que j’ai peur. J’ai peur qu’on cherche à me faire taire, souffle cette femme frêle aux cheveux blonds. Je suis écœurée par tout ce qui se passe, de voir des affiches qui dénoncent une ‘lepénisation des esprits’. Avec tout ce qu’on vit, c’est insultant. »
Habitante d’un immeuble donnant sur la place de la Chapelle, Laurence prend sur elle, mais sa voix douce tremble entre deux phrases. « On ne peut pas prendre plaisir à se promener ici quand on est une femme. Depuis près de deux ans, notre immeuble est le territoire de bandes de trafiquants. Chaque jour, à partir de 16 heures, des gamins forcent la porte d’entrée et s’installent dans le hall pour dealer. Ils nous menacent, ils fument du shit, ils nous défient. »
Bien sûr, cette situation n’est pas nouvelle. La Chapelle a toujours été le quartier privilégié des trafics en tout genre. Constitué de quelques rues prises en étau entre la gare du Nord et les voies ferrées menant à la gare de l’Est, la Chapelle est un carrefour enclavé. Les restaurants du monde entier côtoient les immeubles haussmanniens. Les arrière-cours abritant des gourbis se cachent derrière des immeubles tout juste rénovés où vient s’installer une nouvelle classe moyenne. Sur ses trottoirs, des migrants venus chercher un document administratif, des vendeurs de cigarettes à la sauvette, et quelques dealers qu’on reconnaît à l’habitude…

A partir de 14 heures, la place se remplit d’hommes, de vendeurs à la sauvette. Puis, à 16 heures, c’est au tour des dealers d’arriver. Les gamins ont parfois 10-12 ans. » Au début, Laurence a essayé de leur parler, de leur dire d’aller ailleurs, mais la situation s’est aggravée. « Un jour, je suis rentrée chez moi, l’un d’entre eux m’a clairement menacée et a voulu me frapper. Maintenant, je ne sors plus chez moi certains jours, ou je m’organise avec mes voisins. »
Puisque la porte d’entrée est défoncée, les habitants se prêtent un boulon spécial pour la fermer. Puisque les pouvoirs publics ne « font rien », ils ont embauché un vigile entre 17 heures et 23 heures pour surveiller leur hall d’entrée. Laurence s’inquiète aussi pour sa fille, scolarisée à l’école Pajol, quelques mètres plus loin. « J’essaye de la rassurer, d’éviter la foule quand je vais la chercher à l’école, mais à son âge, elle comprend très bien que ce qui se passe n’est pas normal. Je vois bien qu’elle s’inquiète. » Laurence se remémore les insultes essuyées un soir où les habitants de l’immeuble avaient organisé un pique-nique pour dénoncer la situation. Des militants proches des « antifa » les ont traités de « fachos ».
Ma fille a vomi à 2 heures du matin, elle n’a pas compris pourquoi des gens nous avaient insultés.
Laurence
« On nous traite de fachos, de racistes, mais on est juste impuissants. » Sur la porte de son immeuble, Laurence a d’ailleurs collé un texte où elle dénonce « ces habitudes ». « On s’habitue à cacher nos formes, à baisser la tête, surtout quand on rentre tard, et puis… tout le temps en fait. » « Le problème, ici, c’est une surpopulation d’hommes et de trafiquants. Quelle femme s’y sentirait bien ? »
Quand l’article du Parisien est sorti, Laurence l’a trouvé caricatural mais salutaire. « La façon dont la droite a récupéré l’affaire est dégueulasse, mais au moins, ça a fait réagir les responsables politiques. » Lorsque la présidente LR de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse, s’est rendue sur place, Laurence lui a parlé parce que c’était une élue, pas pour son étiquette politique. « On nous a reproché d’être de droite, mais on aurait fait pareil avec Anne Hidalgo, la maire de Paris. Seul problème : elle n’est jamais venue. »

« Je ne me suis jamais interdit de circuler ici »
Gaëlle Krikorian n’a pas été choquée que des femmes dénoncent le harcèlement sexuel qu’elles subissent. « En tant que féministe, je ne remettrai jamais en question ces témoignages », assure-t-elle. En revanche, « implicitement, l’article du Parisien fait le lien entre la présence de migrants dans le quartier et le harcèlement des femmes. Du coup, les habitants du quartier s’écharpent sur ce sujet plutôt que de questionner les racines du sexisme », décrit cette sociologue de 44 ans, habitante de la rue Jacques-Kablé, à 300 mètres de la place de la Chapelle.
« J’habite dans le quartier depuis 1998 et je ne me suis jamais fait insulter ou cracher dessus. Je ne vis pas ce que ces femmes décrivent et je ne me suis jamais interdit de circuler ici, dit-elle d’une voix ferme. Ce qui est sûr, c’est que le harcèlement est un fléau global. » Dans les rues, dans le métro, en entreprise, à l’Assemblée, les femmes se font agresser, argumente-t-elle. Par des hommes de tous âges, de tous milieux sociaux. « Croire que c’est lié à un quartier ou une population est une erreur. »
Alors, pourquoi cette question a-t-elle émergé à la Chapelle ? « Pour moi, c’était une belle accroche pour dénoncer la présence de populations indésirables dans les rues. Ce quartier concentre un paquet de misères et a été totalement abandonné par les pouvoirs publics. Accuser les maillons faibles quand on est même pas capable d’installer ne serait-ce que des toilettes pour permettre aux gens d’être dignes, c’est insupportable », enrage Gaëlle Krikorian. Surtout, depuis la publication de l’article, les polices municipale et nationale patrouillent dans tout le quartier. Des véhicules des forces de l’ordre bordent la place de la Chapelle et un car de CRS occupe la petite place au croisement de la rue Pajol et de la rue Philippe-de-Girard, là où autrefois des habitants distribuaient des repas aux migrants. Les biffins ont déserté et les déchets qui stagnaient dans les caniveaux ont été ramassés.
« Quand je vois qu’on envoie la police pour ‘apaiser’ le quartier mais qu’on délaisse toute politique sociale ou d’aménagement de la place, ça me met en colère, surtout en période électorale, s’indigne Gaëlle Krikorian. Pour elle, le malaise des femmes dans ce quartier pourrait être allégé par des politiques simples, à commencer par rouvrir les espaces communs comme le square Louise-de-Marillac, fermé depuis six mois pour dératisation, ou la promenade sous le métro aérien, grillagée pour éviter que les migrants ne s’y installent. « On nous dit de faire barrage au FN en votant Macron, mais c’est exactement ce genre d’attitudes qui divise et finit par profiter à l’extrême droite. »
La place de la Chapelle est un endroit détestable pour tous ceux qui y passent, enfants, adultes, hommes et femmes.
Gaëlle

« Un traumatisme qu’on garde tout au long de sa vie »
Lorsque Clémence Vazard, 31 ans, a commencé à travailler sur le harcèlement sexuel au centre d’animation de la Chapelle en janvier, elle n’imaginait pas que son action serait au cœur de l’actualité cinq mois plus tard. « Je suis venue ici parce que le centre a bien voulu m’accueillir, c’était par opportunité, pas un choix », raconte-t-elle d’une voix candide. « Je trouve qu’il n’y a pas plus de harcèlement à la Chapelle qu’ailleurs. C’est un sujet qui concerne les quartiers dits ‘populaires’ comme les plus aisés », affirme la jeune femme au carré blond. « En revanche, c’est sur qu’ici on a moins d’espace pour circuler, on se frôle en permanence, on marche sur des trottoirs étroits… Mais cette situation concerne les hommes comme les femmes. »
Depuis plus d’un an, cette habitante du 10e arrondissement récolte des témoignages sonores de femmes victimes de harcèlement sexuel. « En septembre, je les exposerai au centre d’animation avec les portraits des femmes qui ont témoigné, raconte-t-elle. Lorsqu’on rentrera dans la salle, on entendra toutes ces paroles en brouhaha. Je vais essayer de reproduire le sentiment d’oppression qu’elles ressentent dans les lieux et au moment où elles se font agresser. » Pour le moment, Clémence Vazard a recueilli le témoignage de sept femmes âgées de 18 à 53 ans. « C’est très difficile d’en parler et je ne suis pas psychologue, alors je ne veux brusquer personne. Dans de nombreux cas, se remémorer une agression peut être très traumatique », glisse-t-elle.
L’objectif de cette artiste spécialisée dans le collage, dont le travail a toujours tourné autour de la place des femmes dans la société, est de montrer comme le harcèlement sexuel a un impact tout au long de la vie. « Parfois, certaines femmes sont victimes de harcèlement très jeunes. Elles vont ensuite développer des stratégies qu’elles jugent protectrices, comme ne plus mettre de jupe, ne plus se maquiller, ou encore prendre le bus à certains moments précis où il y a moins de monde. Le harcèlement n’est donc jamais anodin. »
S’il est loin d’être anodin, le harcèlement des femmes est aussi « universel et sans frontières », affirme Clémence Vazard. « Ce n’est pas en se focalisant sur la Chapelle qu’on va régler le problème, on va stigmatiser le quartier, l’isoler. Je me suis déjà fait agresser, frapper, et c’était dans le 7e arrondissement de Paris. »
Le harcèlement sexuel est à la fois intime et universel.
Clémence

« Il faut repenser le partage de l’espace public »
A chaque fois, c’est la même histoire, « c’est vraiment typique de la France de transformer en identitaire ce qui ne l’est pas forcément », constate Pedro José Garcia Sanchez, habitant de la rue Caillié, perpendiculaire au boulevard de la Chapelle. Originaire du Venezuela, ce sociologue et ethnographe habite depuis près de six ans dans le quartier et a eu maintes fois l’occasion de l’analyser lors de ses « balades urbaines » avec ses étudiants.
Pour cet universitaire à la silhouette ronde, si l’article du Parisien est « caricatural », il souligne une question essentielle : le partage de l’espace public. « Un partage encore plus délicat dans un quartier comme la Chapelle, largement éprouvé depuis des années », explique-t-il. « Ici se concentrent pauvreté, précarité, deals et vente de rue. En un an, les habitants ont vécu près d’une trentaine d’évacuations violentes de campements, de Stalingrad aux jardins d’Eole. N’importe quel quartier qui aurait à vivre cela serait perturbé. »
Pour éviter que les migrants ne se réinstallent, tous les interstices proches des bouches de métro ont été fermés, « en contradiction totale avec ce qui définit aussi l’espace public, c’est-à-dire le passage, la circulation ». Ajoutez à cela un « cosmopolitisme éprouvé comme n’importe où ailleurs dans Paris », et vous avez tous les éléments pour créer « un sentiment de malaise et de trouble, ajoute le sociologue. Car le propre de la mixité, c’est d’être problématique. Mais ce n’est pas forcément une peine, ça peut aussi être une ressource. »
Assis dans un café iranien flambant neuf du boulevard de la Chapelle, Pedro José Garcia Sanchez sirote un jus de fruits. Il explique qu’il préfère analyser le harcèlement comme la conséquence de « situations » plutôt que d’actes propres à certains hommes. Aux heures de pointe, à 8 heures du matin et à 18 heures, lorsque vendeurs et passants se concentrent sur la petite place de la Chapelle, « si vous êtes une femme parmi beaucoup d’hommes, vous êtes plus vulnérable et fragile, c’est certain, explique-t-il. Vous l’êtes sans doute encore plus si vous paraissez ‘perméable’ à l’extérieur, plutôt que si vous avez des écouteurs sur les oreilles, ou si vous passez en vitesse lors d’un jogging. »
De la même façon, « si tu es une femme et que tu passes à côté de trafiquants en plein travail, tu déranges. On va peut-être t’insulter, te brusquer. Mais c’est difficile d’évaluer si c’est pour ton genre ou pour ta simple présence. Dans certains cas, il faut faire attention aux mots : comment départager les présomptions des menaces ou des agressions ? Le malaise est aussi là. » En tout cas, dans des lieux où la densité est mal encadrée, « c’est une question d’imposition de son corps sur un autre, de domination » dit-il en mimant une confrontation.
Et en termes de domination, hors de question de minorer ce que les femmes subissent. « Ma mère de presque 80 ans contourne souvent la place de la Chapelle pour aller chercher les enfants à l’école, raconte-t-il. Je sais que certaines femmes mettent en place de véritables stratégies épuisantes pour éviter les remarques, regards et contacts déplacés. » Pour le chercheur, il faudrait donc repenser des villes adaptées à toutes les identités, femmes, enfants, personnes âgées… Et si des efforts d’urbanisme sont faits, comme la rédaction d’un premier livret « Genre et ville » à l’initiative de la mairie de Paris fin 2016, Pedro José Garcia Sanchez rappelle qu’ils ne peuvent produire leurs effets sans urbanité : « L’apprentissage par tous du partage de l’espace public. »
Sur le principe, qu’il y ait beaucoup d’hommes dans un endroit, ce n’est pas le problème. C’est ce qu’ils font ou ce qu’on imagine qu’ils peuvent faire qui dérange.
Pedro José Garcia Sanchez

« La Chapelle, c’est la nouvelle frontière »
Il n’y a pas de grille de lecture simple pour un carrefour où se heurtent des trajectoires si variées et des vitesses si contrastées », écrit Anna-Louise Milne sur le site The Conversation, le 24 mai. Depuis vingt ans, cette chercheuse d’origine écossaise habite la rue Marx-Dormoy, perpendiculaire à la place de la Chapelle. Vingt ans qu’elle observe le quartier avec « ses hauts et ses bas ».
Récemment, c’est donc la question du harcèlement des femmes qui a brusquement surgi dans le quartier. D’une voix teintée d’un léger accent, elle explique : « Cette médiatisation a peut-être l’utilité d’avoir déclenché un débat. C’est toujours bien d’entendre des paroles fortes, surtout dans un quartier qui vit des transformations rapides. Mais à condition d’écouter la complexité de ce qui se dit. » Il est vrai qu’Anna-Louise Milne, comme sans doute de nombreuses autres femmes, a déjà dû expliquer à sa fille de 13 ans comment éviter un regard trop insistant, en bas de chez elle comme dans le métro, et comment trouver sa place dans la rue. « Je fais la même chose, je cherche à m’adapter à l’environnement et, oui, j’évite de prendre tel trottoir quand on vend des cigarettes, j’ai rien à gagner à une éventuelle confrontation, donc si je peux, je n’y vais pas », dit-elle en cherchant sa fille du regard, en train de jouer un peu plus loin.
Mais pour cette chercheuse d’une quarantaine d’années, la situation ne peut pas se comprendre sans penser ce quartier au croisement de plusieurs phénomènes nationaux et internationaux, dont l’immigration : « La Chapelle, c’est une nouvelle frontière. C’est très clair depuis un moment. » Depuis deux ans, la densité urbaine s’est amplifiée et la circulation dans le quartier s’est dégradée. « Pas parce que des hommes seuls sont arrivés, mais parce que les misères se sont multipliées, diversifiées. Et on a réduit l’espace de circulation en fermant des squares et l’espace sous le métro. Je refuse l’idée qu’ont certains de voir la situation comme un conflit de civilisation. Les jeunes garçons qui arrivent ici sont tout aussi vulnérables que les femmes. »
Depuis deux ans, sur la route de l’école, il arrive à Anna-Louise Milne de devoir enjamber des couchages, des bouteilles et des barquettes vides de nourriture, et de voir des policiers secouer des hommes endormis pour les faire dégager quelques mètres plus loin. « Dans ce quartier, les migrants sont réduits à être des ‘corps-obstacles’ qu’on force à se déplacer, et des femmes sont parfois réduites aussi à des ‘corps-objets' », décrit-elle par de petits gestes.
Au-delà de ce carrefour de misères propre à la Chapelle, la chercheuse britannique voit aussi les conséquences d’une culture politique propre à la France : « Ce républicanisme qu’ont affiché certains élus pour défendre les femmes alors qu’on n’arrive même pas à évoquer la question du genre, de l’identité sexuelle dans le débat politique… Il est aussi là le nœud du problème. » Elle fait une pause et reprend : « Et c’est une question qui dépasse largement les enjeux de la Chapelle. »
Il faut rattacher ce quartier et sa misère actuelle à des processus nationaux et transnationaux.
Anna-Louise Milne
© Gaïa pour www.Dreuz.info
Source : Francetvinfo.fr
C’est purement SCANDALEUX et que font les politiciens : comme d’habitude RIEN et après cela ils diront encore que nous sommes les racistes.
YAHOUUU MACROOONNN OU EST TU …. TES CITOYENNES SONT ATTAQUEZ DANS LEURS DROITS …. silence total des dirigeants politique … les feministes gauchiste participe aussi a ses injustices car elles sont avec les islamo ……
c’est a rien y comprendre
que de bla bla bla, les sociologues et compagnie evitent de parler des vrais problemes, la culture musulmane ou les hommes ont le droit de vie ou de mort sur leur femme.et ces hommes qui ne font rien de la journee ils ont tout leur temps pour insulter et agresser. il y a beaucoup d indulgence pour les vendeurs de drogue mineurs, rien est fait pour forcer les parents a intervenir,par exemple supprimer les allocations familiales. la situation a change dans ce quartier et pas a cause de la repartition de l espace public. et mettre sur le tapis les dangers de l extreme droite, c est le discours gauchiste pour dire fermez-la bande de femmes .
Je me demande ou tu vis pour croire que les hommes ont le droit de vie ou de mort sur les femmes… Encore une féministe qui ne connaît rien au musulman
les crimes d honneur chez les musulmans existent et c est un fleau en Israel. . et dans les maternites nous avons des contacts avec des femmes musulmanes .visiblement tu n y connais rien et sache que je suis mere d une famille de 8 enfants .
@nana, Combien de jeunes filles musulmanes sont mariées de force et si elles résistent elles sont tuées, un crime d’honneur dit la famille.
La femme musulmane n’a pas le droit de se marier avec un mécréant, un juif ou un chrétien sous peine de mort.
Le coran considère une femme comme un 1/2 homme.
Le coran exige à la femme d’obéir à son mari. Il a le droit de la battre de façon a ne laisser qu’un minimum de trace visible.
La femme adultère est lapidee.
Au paradis musulman les femmes sont des objets sexuels à la disposition permanente des hommes.
Les femmes doivent accepter les assauts sexuels de leur mari sans resister et avoir autant d’enfants que la nature peut lui donner, quitte à y laisser la vie. C’est un champ de labour comme il est écrit dans un des versets du coran.
Je ne vais pas énumérer toutes les horreurs réservées aux femmes musulmanes. Vous les connaissez mieux que moi en lisant votre livre de chevet, le [email protected], Vous faites l’âne pour avoir du foin…
Eh ben… Classes et absconses et donc débilitantes les grandes analyses de ceux qui préfèrent botter en touche sur une question pourtant fondamentale et très (trop?) terre-à-terre: est-ce que c’est vraiment automatique d’agresser des femmes quand on est « lost-in-translation » et touché par la misère? N’importe quel homme le ferait, on en est bien sûr?
Face à une réalité devenue habituelle, je trouve révoltante la sempiternelle ritournelle « discutons / repensons » qui fait figure de réflexion profonde alors qu’elle ne saurait être plus creuse.
Nous voyons les désastres d’une immigration, de son alpha à son oméga. L’alpha étant les portes ouvertes – déjà problématique en soi. L’oméga étant la croyance, affichée par ces mêmes religieux qui exposent leur foi indéfectible dans le partage, en le fait que ledit partage est facile: il suffit d’être là.
La stratégie vendue est, grosso modo, « vas-y, viens en France sans promesse d’embauche, sans parler vraiment le français, sans savoir où tu vas atterrir » et c’est ensuite raciste de dire que c’est du grand n’importe quoi quand on voit les migrants suivre ce beau conseil?
« Venez comme vous êtes » – Pub McDonald
Sans rire…
Ajoutez à cette promesse éhontément creuse une culture d’origine pas toujours respectueuse des femmes et dites-moi que c’est anormal et surprenant qu’ils se saisissent des opportunités qui se présentent?
Tous les botteurs en touche ont en point commun avec le reste des gens de s’être habitués à cette situation extrême et absurde. Là où ils sortent du lot, c’est dans le fait de l’avoir tout bonnement NORMALISÉ dans leur vision SOCIÉTALE!
Et les voilà en train de déblatérer qu’il faut faire des choses – en commençant par y réfléchir! Ben voyons…
Dis-moi, salaud, tu te dis pas des fois qu’on aurait pu réfléchir en avance, comme (frissons) l’ont suggéré les « racistes »? C’est maintenant, au pied du mur, que tu réagis? Et en plus tu oses le faire en moralisant?
Quelle horreur… quelle honte… quelle tristesse!
J’ai connu une époque où les gens pauvres ne manquaient pas d’éducation ni de respect envers le prochain, encore moins envers les femmes. Il est vrai que c’était l’église qui nous apprenait les dix commandements. Nous allions tous au catéchisme, et le jeudi au patronage pour s’occuper intelligemment. Depuis, hélas, l’EN ne veut pas prendre la relève, les instits refusent, ce n’est pas leur rôle, ils sont laïcs.
Mais c’était avant…
Toutes les grandes villes d’Europe de l’Ouest sont touchées par ce phénomène directement lié à l’importation des us et coutumes muzz ! A Bruxelles, ce trou à rats, ce ne sont pas les Polonais, ni les Italiens, ni les Espagnols, etc…qui engendrent ce problème mais UNIQUEMENT les musulmans !
Bruxelles est la Capital de la Musulmanie et la vulgarité crasse qui est leur fer de lance.
Pauvre petit bébé musulman, il faudrait mieux qu’il tette une truie que sa mère, cela lui donnerais plus de chance dans sa vie, car c’est à la première tette qu’il est intoxiqué.
Cet article est très long, c’est dommage car il est nécessaire pour dénoncer une situation qui était improbable il y seulement peu d’années.
C’est celle qui va gagner peu à peu du terrain dans tout le pays, si rien n’est fait.
Malheureusement, à Paris et sa proche banlieue les maires font preuve d’une très grande inertie avant d’agir.
Pendant ce temps les attitudes se normalisent puisque non sanctionnées. Bien au contraire, des manifs autorisées les encouragent à continuer.
Ces migrants sont habitués à des moeurs primaires mais normales dans leur pays d’origine. Il y aurait toute une éducation à donner à ces gens proches de la sauvagerie. Mais c’est bien entendu un rêve. On accueille sans leur donner la moindre notion de notre mode de vie occidental, pas même l’obligation d’apprendre le français. Aucun fascicule n’est distribué, bien entendu : ils ne savent pas lire…
Alors, il faut voter pour celui ou celle qui exigera à ces nouveaux venus non désirés des devoirs, avant de leur donner leurs droits.
Quel laxisme! Je suis abasourdi par cet article, vous n’avez pas de police?
Bonjour Dan,
je vis dans ce type de quartier au nord de France, l’autre nuit, la porte d’entrée d’appart (certes mal fermée) de mon voisin (père de de deux très jeunes enfants) a été forcée avec une carte de crédit, ledit voisin s’est trouvé nez à nez face à deux hommes qui ont déguerpi. Le lendemain matin, mon voisin s’est adressé à une patrouille de police dans le quartier. Hé bien, rien, pas de réaction, pas de visite au domicile, juste un conseil de déposer une main courante, pas même une prise d’empreintes, rien, nada !!!!
Notre police se démobilise, puisque nos politiques empêchent nos policiers de travailler correctement pour des raisons de « maintien de la paix sociale ».
La police a ordre de ne pas intervenir. Les officiers supérieurs reçoivent les ordres du ministre de l’intérieur. Sachez que dans notre pays socialiste, les ordres sont de ne pas empêcher les migrants de vivre leur vie de sauvage. Ce serait politiquement incorrect…
Je suis révolté de lire que certains sociologues biaisent les causes de l’attitude des hommes de ce quartier.
Le drame de la minimisation des faits, c’est que les femmes doivent changer de tenue vestimentaire, d’itinéraire, de baisser les yeux, se laisser insulter, se laisser manquer de respect, etc.
Pourquoi pas changer de quartier et le laisser à cette population? Hidalgo ne se déplace pas, c’est bien significatif sur ses idées : elle laisse faire.
Rien d’étonnant à ça finalement. N’est ce pas ce que nos dirigeants politiques ont laissé faire dans ces quartiers perdus de la République, ces zones de non droit livrés aux délinquants musulmans, ces foyers d’islamistes radicaux, ces terroristes en gestation?
Ce n’est pas toujours evident de demenager. Mais ce qui devrait etre evident, c’est de virer cete vermine, car ils ne sont pas chez eux, et ce sont les Françaises qui devraient demenager a cause de ces ordures. Ces gouvernements composes de lavettes, ne feront rien, tant ils sont pro-islamiste. A vomir.
Je botte en touche pour ne pas ouvrir le coran anti-femmes !
Tu bottes en touche pour ne pas ouvrir le coran anti-femmes !
Il ou elle botte en touche pour ne pas ouvrir le coran anti-femmes !
Nous bottons en touche pour ne pas ouvrir le coran anti-femmes !
Vous bottez en touche pour ne pas ouvrir le coran anti-femmes !
Ils ou elles bottent en touche pour ne pas ouvrir le coran anti-femmes !
et je donne mon avis personnel de rugbyman sur le bottage en touche :
le bottage en touche permet de calmer le jeu ou d’éloigner le danger mais … il rend le ballon à l’adversaire !
Lisez le coran les nanas !
Encore une fois les médias et les dirigeants politiques ainsi que les associations féministes ne veulent pas désigner l’islam responsable de cette attitude des migrants. Un deni habituel.
Les immigrés sont tous devenus célibataires après avoir abandonné femme(s) et enfants pour se faire une nouvelle vie avec une européenne blanche, leur fantasme. Leur religion musulmane leur impose de forcer les femmes du pays conquis (le nôtre ) à engendrer des enfants embrassant automatiquement leur religion (encore dans le coran)
Les femmes européennes sont donc un gibier qu’ils traquent, comme ils traquaient les gazelles dans leur pays.
Comment leur faire comprendre qu’en Europe ce n’est pas comme ça qu’on agit avec les femmes ?
Notre Europe est civilisée depuis 2 millénaires, voire plus si nous comptons notre héritage grec et romain. Mais eux, leur religion les a abruti durant 1400 ans. Pensez vous qu’il vont ratrapper leur retard en quelques années ? D’autant plus qu’à l’époque de Momo, ils gardaient tous des moutons ou des dromadaires. Je doute que ce soit possible.
« Notre Europe est civilisée depuis 2 millénaires », oui et non. Souvenez vous de Napoléon qui avait fait des femmes des mineures à vie !!! de lois consternantes en france contre le port du pantalon pour les femmes, les mariages de raison ou de maintien de rentes ou de propriétés terriennes, ce qui est aussi une forme de mariage forcé. Le vrai mariage libre et d’amour en france n’a même pas 100 ans.
Et comme chez les muzz, il n’y a aucune liberté, c’est bien bien pire, comme chez les muzz c’est l’horreur, nous ne sommes pas « sortis de l’auberge ».
Encore une fois les médias et les dirigeants politiques ainsi que les associations féministes ne veulent pas désigner l’islam responsable de cette attitude des migrants. Un deni devenu habituel.
Les immigrés sont tous devenus célibataires après avoir abandonné femme(s) et enfants pour se faire une nouvelle vie avec une européenne blanche, leur fantasme. Leur religion musulmane leur impose de forcer les femmes du pays conquis (le nôtre ) à engendrer des enfants embrassant automatiquement leur religion (encore dans le coran)
Les femmes européennes sont donc un gibier qu’ils traquent, comme ils traquaient les gazelles dans leur pays.
Comment leur faire comprendre qu’en Europe ce n’est pas comme ça qu’on agit avec les femmes ?
Notre Europe est civilisée depuis 2 millénaires, voire plus si nous comptons notre héritage grec et romain. Mais eux, leur religion les a abruti durant 1400 ans. Pensez vous qu’il vont ratrapper leur retard en quelques années ? D’autant plus qu’à l’époque de Momo, ils gardaient tous des moutons ou des dromadaires. Je doute que ce soit possible.
Tout ce que je peux dire pour ne pas en rajouter :
Cela me fait mal de lire pour ce qu’il advient : « On s’habitue »
Dans ce Pays qui était Fier de sa Révolution en 1789
et du Siècle des Lumières qui s’en est suivi :
Français vous pouvez cracher sur :
Montesquieu, Voltaire, Diderot, Beaumarchais Jean-Jacques Rousseau Spinoza,Condorcet,Marquis de La Fayette,Marquis de Sade, Marivaux,et pas des moindres : Molière
Adieu les Encyclopédies (Diderot et d’Alembert)
Les auteurs et poètes inspirés de ce siècle : Victor Hugo, , Alexandre Dumas, Alfred de Vigny, Alphonse de Lamartine,
Sans oublier Rimbaud, si libre, novateur. Génial et aussi moderne que l’on pourrait le croire prophète
…Et tant d’autres.
Non ! Tout ceci, on doit s’habituer car ils ne représentent plus du tout ceux qui ce sont battus, contre l’esclavage et pour en arriver aux principes des Droits de l’Homme. Les véritables Droits…pas ceux déviés, abimés, endommagés et même avariés – d’aujourd’hui.
Adieu Veaux, Vaches, cochons, couvées… Adieu Mr de La fontaine…Vous seriez embastillé aujourd’hui, vous et les autres…
Il faut vraiment se debarrasser de cette vermine. Mais ce n’est pas avec macron, le garçon a sa maman, que cela arrivera. Ce qui arrivera plutot, ce sont des centaines de milliers de migrants, des attentats a n’en plus finir, bref, que drames et malheurs dans ce beau pays qu’etait la France, avant d’etre islamisee.
Tout mon accord aux commentateurs qui soulignent la responsabilité du coran et des biaisements politico-socio-culs.
Par ailleurs, je reviens ici à un débat sur les tricheries aux présidentielles, à cause d’un post du 7 juin lu sur JSSnews, merci « de plus » :
« à savoir également, lors des dépouillements, les bulletins ne sont pas conservés pour une contre-expertise.
Ils sont jetés le soir même de l’ouverture des urnes, à la poubelle tout simplement.
Lorsque j’ai vu ça lors des 2 tours des présidentielles, j’ai été choqué.
Cela veut dire que les votes peuvent être magouillés comme on veut.
On jette les preuves… et dormez bonnes gens, la démocratie veille, parait-il. »
Je ne sais pas où vous avez-vu les bulletins de vote jetés à la poubelle le soir des élections, car c’est hors la loi. Les bulletins sont « normallement » concervés des années pour un recontage éventuel. Ça c’est plus d’une fois produit.
Autorisez les citoyens et les citoyennes à s’armer et à porter les armes et ce genre de problème n’existera plus en un instant.
Hey, les filles, ne pas baisser les yeux, surtout pas. Continuer de porter des jupes et des talons. Savoir répliquer aux insultes, se munir aussi d’une lacrymo à poivre au cas où. C’est mon cas, je ne baisse jamais les yeux et croyez moi ça fonctionne, je sais aussi insulter en retour, en français, en anglais aussi, et personne ni au masculin ni au féminin ne m’approche plus depuis un bon bout de temps. Cela s’appelle aussi se faire respecter.
Par contre, en pratiquant l’évitement et autres stratégies d’effarouchées, vous n’empêcherez jamais la vermine de faire son trou, c’est tout le contraire car ces salauds là voient votre peur et en profitent encore plus. Mesdames, vous n’êtes pas des petites choses fragiles, alors montrez le. Vous « en avez » ou non ?!
Eh oui, plus les villes sont grandes plus la magouilles sur les votes est massive..
La Chapelle Ma con vous avez prévenu MLP ne peux venir ici, et bien vous aussi…Drapez vous et voilez vous pour survivre.
Et voilà nos belles habitantes de La Chapelle, martyrisées qui votent en masse pour Ma con…leur bourreau, à lié manoeuvre de la haine des femmes et des fillettes depuis 2012—Soit elles sont c.nes, Ou alors les votes ont été magouillés massivement…
Arrêtez de vous laisser endoctriner par les médias. Votez FN.
Surtout pas le FN, qui considère que l’islam est compatible avec la république, faut-il le répéter ???
Qui plus est, économiquement, notre pays serait à genoux 3 mois après un tel résultat d’élection.
En .rance, actuellement, il n’y a PAS, il n’y a AUCUNE option politique vraiment valable, c’est comme ça. Pas de Churchill en .rance, par exemple, que cela plaise ou non.
Nous sommes donc bien dans un pays rance, le PS fichu, des Sens Communs grenouilles de bénitier et totalement has been, des islamo gauchos et des centristes, ce qui ne m’empêche pas de vivre au quotidien, ceci dit.
« Car le propre de la mixité, c’est d’être problématique. Mais ce n’est pas forcément une peine, ça peut aussi être une ressource. » On croit rêver ! Ce monsieur Sanchez sociologue qui fait « des balades urbaines » avec ses étudiants nous invite au vivre ensemble et nous prône un peu plus loin « l’apprentissage par tous du partage de l’espace public ».
Autrement dit, il légitime les traficants qui vendent des substances interdites par la loi, les primates qui harcèlent les femmes et il conclut en citant les « chercheurs » qui disent qu’il faut repenser l’espace public !!! Autrement dit, là encore c’est à la géographie d’une ville de s’adapter (à nos frais) à une population illégale arriérée et non l’inverse. On marche vraiment sur la tête et ce n’est pas avec le beau Macron que ça va changer.
Quand à madame Hidalgo, que fait-elle ? Rien, sinon dépenser de l’argent qu’elle n’a pas et construire des logements sociaux à fonds perdus. Je vous renvoie à ce sujet à l’excellent article de « Capital » du mois de juin, à moins qu’il ne soit accessible sur internet.
Cette maire qui a les poches trouées en est tout de même à 6 milliards de dette.