Remarque : certaines positions de cet article, notamment sur “un revenu de base universel” sont en opposition totale avec la ligne éditoriale de Dreuz, qui est un site conservateur, et rejette toute option collectiviste et socialiste, contraires à la nature de l’homme et qui mènent à sa destruction.
Lorsqu’une horde de loups polluant la Terre se lamente comme des moutons conduits à l’abattoir à cause des émissions de CO2, il faut chercher leur motif ultérieur.
La semaine dernière, le président Trump a mis fin à la participation des États-Unis à l’une des plus mauvaises ententes jamais conclues : l’Accord de Paris sur le Climat. Le protocole oblige les États-Unis à réduire leurs émissions de CO2 de 26 à 28 % d’ici l’an 2025. En outre, l’accord stipule que les États-Unis transféreront 3 milliards de dollars américains au Fonds des Nations Unies pour le climat vert d’ici la même année, dont 1 milliard a déjà été transféré.
Il ne fait aucun doute que le réchauffement climatique se produit, et il ne fait aucun doute que cela peut avoir de graves conséquences sur l’humanité. Cependant, il n’existe aucune preuve concluante selon laquelle le CO2 est le principal coupable du réchauffement climatique. De temps en temps, un nouvel « élément préjudiciable » est découvert, et d’énormes ressources sont versées pour le supprimer, mais seulement pour découvrir quelques années plus tard que les preuves scientifiques à l’origine de cette assertion étaient incorrectes. Les seuls gagnants à la fin de la campagne sont les actionnaires des entreprises qui ont fait fortune en luttant contre une guerre inutile.
Jusqu’à dernièrement, par exemple, le cannabis était illégal. L’argument était qu’il pouvait éventuellement conduire à la consommation de drogues plus dures, et que l’utilisation prolongée de cannabis endommage le cerveau. En 2011, les Instituts américains de la Santé (NIH) ont publié une étude faisant valoir que l’utilisation du cannabis a des effets aigus et à long terme sur le cerveau.
Mais en quelques années, l’opinion sur le cannabis a été inversée. Aujourd’hui, en 2017, personne ne clame que le cannabis pourrait conduire à l’utilisation de drogues dures, et presque personne ne mentionne de possibles lésions cérébrales. Au contraire, le cannabis est salué non seulement comme un analgésique, mais aussi comme un remède puissant à part entière. L’American Cancer Society (ACS), par exemple, affirme que la marijuana « peut aider à soulager la douleur et la nausée, à réduire l’inflammation et à agir comme antioxydant ». Quant au risque de lésions cérébrales, l’ACS fait valoir qu’en réalité, le cannabis « peut aider à traiter des convulsions et à réduire l’anxiété et la paranoïa ». L’ACS affirme même que le cannabis peut « tuer certains types de cellules cancéreuses en croissance ».
Le Daily Mail et une recherche israélienne ont été même plus loin que l’ACS et ont signalé que l’huile de cannabis guérit le cancer du cerveau et du poumon. À titre de preuve, ils ont présenté les témoignages de patients qui ont été guéris en utilisant la « drogue magique » qui, jusqu’à récemment, était considérée comme maléfique. Comment la science pourrait-elle avoir tort pendant tant d’années et changer d’avis si rapidement ? De toute évidence, quelqu’un tire profit de ces révélations « scientifiques ».
Selon toute vraisemblance, il en va de même pour l’argument selon lequel les émissions de CO2 sont la principale cause du réchauffement climatique. Les Accords de Paris sur le Climat exigent que l’Amérique renonce à des millions d’emplois et paie des milliards de dollars. Il est évident que quelqu’un va créer des emplois ailleurs et bénéficier des fonds versés par l’Amérique.
Comme si cela ne suffisait pas, l’amélioration que l’accord vise à atteindre est minime, soit un refroidissement d’un cinquième de degré Celsius (0,36 °F), à condition que les quelque 200 pays qui ont signé l’accord l’honorent, et que la science visant à blâmer le CO2 pour le réchauffement global soit correcte. Qu’Obama ait signé cet accord ridicule me dépasse.
Que faire d’une planète qui se réchauffe ?
Il y a quelques années, un court métrage décrivait l’impact de la réintroduction des loups dans le parc national de Yellowstone après qu’ils aient été chassés jusqu’à leur extinction 70 ans plus tôt, sous la pression des éleveurs de bétail et de cheptel. Les scientifiques qui étudiaient les effets du retour des loups ont été stupéfaits d’apprendre que l’introduction des loups régénérait l’ensemble de l’écosystème à Yellowstone. Quelques années après leur retour, la terre infertile a reverdi lorsque les cerfs ont été forcés de s’éloigner des loups. Les arbres ont repris leur croissance et quintuplé leur hauteur, ce qui a permis aux oiseaux de croître en nombre et en diversité. La végétation luxuriante a également permis à d’autres populations de mammifères de se multiplier. En outre, la croissance des arbres a renforcé le sol des rivages, réduisant les canaux et formant des bassins qui favorisent la reproduction des amphibiens presque disparus à Yellowstone. Il s’est avéré que la réapparition des loups à Yellowstone a non seulement affecté la population animale et la végétation dans la région, mais elle a même changé la géographie physique du parc. Aujourd’hui, la régénération de Yellowstone est un exemple typique de l’égocentrisme humain qui nous rend ignorants de la complexité de la nature, et du fait que chacun de ses niveaux a un impact sur tous les autres, de façon telle que nous ne pouvons pas la comprendre.
Il en va de même avec les émissions de CO2. Nous maltraitons tellement la nature qu’en nous concentrant sur une des causes, cela créera seulement plus de problèmes ailleurs. La seule façon de sauver notre planète est de changer notre nature égoïste. Et la manière de nous changer ne commence pas avec notre façon de traiter notre planète, mais bien de la façon dont nous traitons nos semblables.
La nature humaine a un impact sur le reste de la nature, impact à deux niveaux. Le niveau superficiel qui a trait à notre comportement d’exploitant. Nous exploitons tout et tous, et nous approchons donc chaque personne, animal, plante ou minéral de cette planète dans ce but. Aucune autre créature de la planète ne se comporte ainsi. Quand les loups tuent des cerfs, ils ne le font pas pour leur faire de mal, mais parce qu’ils ont faim. Par contre, lorsque nous faisons du mal aux gens, c’est intentionnel. Quant au reste de la nature, nous ne lui faisons peut-être pas du mal intentionnellement, mais nous l’exploitons jusqu’au bout tout comme ces éleveurs de bétail l’ont fait à Yellowstone. Et quand la nature est déséquilibrée, nous en souffrons les conséquences.
Le deuxième niveau, plus profond celui-là, de notre impact sur la nature, a trait au fait que toute la nature est connectée. Par conséquent, notre négativité se répand dans la nature, même si ce n’est pas par des actions directes. Il y a quelques années, Nicholas Christakis et James Fowler ont publié le livre le plus important de notre temps, intitulé : « Connected: The Surprinsing Power of Our Social Networks and How they Shaped our Lives- How your Friend’s Friend’s Friend Affects Everything You Feel, Think and Do. » Dans leur livre, Christakis et Fowler ont documenté l’impact d’une personne sur une autre, même sans lien entre elles, mais simplement à travers des amis communs. Si nous considérons qu’il y a à peine six degrés de séparation (ou moins) entre chacun de nous et chaque personne dans le monde, alors nous prenons conscience que nous nous influençons mutuellement les uns les autres sans nous connaître.
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Dans une conférence célèbre de TED intitulée : « The Hidden influence of social networks », Christakis soutient que « les êtres humains s’assemblent et forment une espèce de super organisme ». En effet, nous sommes un super organisme où non seulement les humains sont admis, mais tout l’écosystème au grand complet en fait partie. Quoi que nous fassions, disions ou pensions, influence chaque iota de la réalité et se transforme en ondes que nous ne pouvons même pas imaginer. Lorsque nos actions, mots ou pensées sont négatifs, nous répandons la négativité partout.
Puisqu’aucune autre créature sur Terre ne répand la négativité, sauf les humains, nulle autre créature n’est responsable du phénomène négatif qui influence notre monde. Si nous changeons notre comportement (comme en diminuant les émissions de CO2), mais ne changeons pas notre nature, nous nous égarerons en pensant que nous avons amélioré les choses, ce qui à son tour retardera la transformation que nous devons effectuer sur notre nature, et les phénomènes négatifs empireront.
Changer
Dans un de mes articles précédents, j’ai souligné un programme de développement que le chroniqueur du New York Times Thomas Friedman a appelé : « une toute nouvelle série d’emplois et d’industries tournés vers le cœur, connectant les gens entre eux. » Ce programme utilise des ateliers spécialisés qui aident les gens à transformer leur attitude abusive en une attitude collaboratrice.
Dans les années à venir, alors que les robots nous remplaceront de plus en plus, et qu’un revenu de base universel deviendra une réalité nécessaire, les gens auront amplement le temps de participer à des programmes visant à nous améliorer et à améliorer nos relations. La formation et les ateliers, que j’ai réunis dans le livre « Completing the Circle: an empirically proven method for finding peace and harmony in life », sont destinés à nourrir le désir de changer notre nature. De cette façon, en nous concentrant sur la guérison de notre société, nous diminuerons aussi nos empreintes négatives sur la nature.
Ce n’est pas en arrêtant la surconsommation et la pollution que cette transformation s’effectuera. Elle se produira d’abord parce que nous cesserons de répandre les « vibrations négatives » à travers le super organisme qu’est notre planète. Par conséquent, nous traiterons la nature dans une optique plus durable que nous ne le faisons maintenant, et nous saurons ce que nous devons changer dans notre comportement et comment effectuer le changement afin d’obtenir les meilleurs résultats. Ce n’est qu’en nous connectant à toute la nature, en établissant des liens positifs entre nous, que nous obtiendrons le savoir-faire du travail intérieur de la nature et comment nous y relier.
Le fait qu’autant de crises apparaissent en même temps sur tant de fronts devrait nous faire réaliser que ce ne sont pas seulement des problèmes, mais les symptômes d’une crise beaucoup plus profonde. Ce problème c’est notre égoïsme. Si nous le réparons, nous aurons tout réparé, des émissions du CO2 jusqu’aux relations internationales et jusqu’à nos connexions personnelles.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Michaël Laitmann pour Dreuz.info.
J’aurais aimé lire l’article jusqu’au bout mais votre loghorrée verbale sur le cannabis a eu raison de moi. Quelle ineptie !!!
@ Une résistante:
L’auteur de cet article ne cautionne absolument pas ici la consommation de cannabis : il ne fait que purement décrire la situation actuelle de la nouvelle LÉGISLATION américaine, sans pour autant l’approuver, dans le SEUL but de faire un parallèle avec les théories “scientifiques” butées des climato-fanatistes.
C’est pourquoi il prend bien soin de terminer par : *Comment la science pourrait-elle avoir tort pendant tant d’années et changer d’avis si rapidement ? De toute évidence, quelqu’un tire profit de ces révélations « scientifiques ».*
Est-ce plus clair pour vous ?
[de la nouvelle législation américaine – mise en place sous l’ère Obama – concernant l’usage du canabis.]
Une LOGOrhée,en général c’est VERBAL (LOGOS=parole,discours).
L’auteur se limite à un exposé factuel de la situation actuelle concernant le cannabis, et insiste sur le retournement de la science en très peu de temps. Il ne porte aucun jugement de valeur.
Excellent, votre premier paragraphe en rouge !
Permettez-moi d’ajouter le commentaire suivant :
Tout espoir de changer la nature humaine me semble relever d’une mission impossible. Toutes les religions, tous les prophètes, toutes les écoles philosophiques l’ont essayée en vain : chassez le naturel, il revient au galop.
Pour ce qui est du “revenu universel”, je connais un personnellement un bon économiste qui m’a un jour dit :
“Redistribuons toutes les richesses de façon égale à tous les habitants du monde. Une heure plus tard ce sera un gigantesque bain de sang, et le lendemain matin on aura à nouveau la même proportion de riches et de pauvres partout, exactement comme avant la redistribution.”
(Je cite) “Comme si cela ne suffisait pas, l’amélioration que l’accord vise à atteindre est minime, soit un refroidissement d’un cinquième de degré Celsius (0,36 °F), à condition que les quelque 200 pays qui ont signé l’accord l’honorent, et que la science visant à blâmer le CO² pour le réchauffement global soit correcte.”
Ça, ça fait partie intégrale de l’idolâtrie des climato-réchauffistes:
Réduire le CO² ferait refroidir le thermomètre. Et ils sont même parvenus à ancrer cette guignolerie dans l’inconscient collectif.
1: N’oublions jamais que les variations de la température terrestre sont directement liées à l’activité de l’astre solaire (pas si éloigné que ça) qui régule nos saisons et qui brûle environ 600 millions de tonnes d’hydrogène par seconde. (Bientôt les gauchos feront certainement signer des papiers pour faire baisser la température du soleil, vous allez voir, faut s’y attendre…)
2: Pour valider des hypothétiques résultats des accords de Kyoto, de Paris et du cirque de la COP21, il faut faire des relevés de température sur à peu près 10.000 points différents autour du monde. Or le monde, c’est le Sahara (50°C le jour, 5°C la nuit), l’Antarctique (-45°C), Conflans-Ste-Honorine (18°C) et Marseille (32°C l’été dont le coefficient varie selon la vitesse du Mistral et la consommation de Pastis).
Pendant que le Californien bronze à Beverly Hills, il y a des Éthiopiens et des Péruviens qui se les gèlent. Tous ces paramètres impliquent donc d’établir une moyenne “mondiale” des températures et une “officialisation” des chiffre annoncés, qui, par définition, n’engagent que ceux qui veulent bien y croire.
En résumé, même si on ferme toutes les usines et qu’on envoie tous les camions et toutes les voitures à la casse, le soleil, lui, continue de bosser.
Je ne suis pas d’accord avec vous “Une résistante”. Certes le texte est un peu long mais personnellement je l’ai trouvé très intéressant.
Bien que je ne crois pas aux résolutions faciles de l’egoïsme propre à notre nature humaine, je salue le progrès de Laitman pour nous proposer ce premier texte moins naïfs que les précédents du même auteur.
concernant les loups dans le parc Yellowstone …. ce n’est que logique car il faut toujours un équilibre dans la nature et lorsque cette équilibre est destabilisé alors c’est un joyeux bordel ….. comme l’accord de Paris qui exigeait uniquement que les pays fassent des sacrifices …. même au détriment de perte d’emploi massif
Le sujet le plus controversant jamais écrit sur Dreuz, hummm! Mais qu’est ce qu’un humain peu bien en penser, sauf s’il a foi dans une direction…ou une autre?
La solution serait une nouvelle conscience humaine, mais en vain car le soleil des Inkas finalement décidera!
Bon! L’idée d’une nouvelle conscience collective amenant l’interaction entre humain et nature est bien le fun, mais 1000 ans trop tôt (çà c’est négatif ). D’ici là, On verra si le soleil nous pardonne.
Le sujet le plus controversant jamais écrit sur Dreuz, hummm! Mais qu’est ce qu’un humain peu bien en penser, sauf s’il a foi dans une direction…ou une autre?
La solution serait une nouvelle conscience humaine, mais en vain car le soleil des Inkas finalement décidera!
Bon! L’idée d’une nouvelle conscience collective amenant l’interaction entre humain et nature est bien le fun, mais 1000 ans trop tôt (çà c’est négatif ). D’ici là, On verra si le soleil nous pardonne…si les musulmans ne nous ont pas égorgés…si…(reencore du négatif, pardon)?
“Dans les années à venir, alors que les robots nous remplaceront de plus en plus, et qu’un revenu de base universel deviendra une réalité nécessaire…”
Mais oui… bien sûr… Ça c’est le genre d’argument de campagne électorale qui doit dater d’à peu près l’époque des Romains, et peut-être même celle des Pyramides, voire même celle de la Tour de Babel.
Complètement loufoque, mais ça marche à tous les coups. 🙂
La très grosse révolution industrielle s’est faite (à cheval 🙂 si j’ose dire) sur le 19° et le 20° siècle, et elle fut gigantesque, bien plus conséquente qu’à n’importe quelle autre époque : Mécanisation, électricité puis électronique, usage du pétrole, moteurs à combustion puis à réaction, énergie nucléaire, imprimerie de masse, stérilisation des produits alimentaires, etc. Toute cette modernité a bien abouti, et nous en sommes passé aux phases d’amélioration de ces systèmes. Basta.
Mais pour le tapis volant, la pizza en comprimés, et faire Paris-Tokyo en 10 minutes pour 5€, il ne faut pas rêver : Il y a toujours eu, et il y aura toujours, des animateurs de foire qui aiment vendre du futur bidon.
Alors les “robots qui nous remplaceront” et ce “revenu de base universel” (qui consiste en gros à être payé à rien foutre, donc que les Etats fassent tourner leurs planches à billets à plein tube pour payer tout le monde, et là ce serait 1 milliard de % d’inflation tous les 2 jours) c’est juste pas possible.
@ Nicolas Carras
Je suis bien d’accord avec vous.
Peut-être que ce Mr Laitman regarde un peu trop Arte ?…
Je suis d’accord avec Rico et Nicolas Carras. Mr Laitman me fait l’effet d’un utopiste, un brin dogmatique.
L’idée d’établir des « liens positifs entre nous» me rappelle ce qu’a dit Hillary Clinton récemment en Californie.
Hier soir, Obama à prononcé un beau discours à Montréal disant que «La peur doit être remplacée par l’espoir» et autres niaiseries qui ne coûtent rien mais que 6 000
abrutis ont trouvé inspirantes.
On le paye 400 000 $ pour débiter ses salades et tout le monde applaudit.
Beaucoup d’imbéciles ont beaucoup d’argent. Heureusement que Trump est arrivé.
«La peur doit être remplacée par l’espoir» ?
Hussein Obama se prend pour Jean-Paul II (“N’ayez pas peur”) ?
Le problème majeur non abordé ici est celui de la surpopulation que la terre ne peut pas nourrir, que les états ne peuvent pas entretenir, que les démocraties ne pourront pas tolérer. Tout cela fera que les perturbations climatiques seront de la gnognotte à coté des guerres civiles qui s’annoncent
@ tor
“que les états ne peuvent pas entretenir” ?…
Est-ce vraiment le job d’un Etat d’entretenir tout le monde ??
Dans ma conception des choses, il y a les productifs d’un côté, et les parasites de l’autre côté. Et quand un gouvernement ne sait pas réguler entre les deux, il doit être viré.
je me demandais si les multiples guerres interminables, l’industrie militaire, les milliers de bombes qui sont larguées au 4 coins de la planète, le transport de materiel militaire qui traversent la planète sans discontinuer, la deforestation pour permettre de vendre des meubles en kit garanti 5 ans, le défrichage qui lui, permet de produire des millier de tonnes d’aliments….que l’on jette ou brule afin de stabiliser le marché a des prix où l’on doit faire des heures supplémentaires si on veux bouffer normalement, la retention de brevets sur le moteur à hydrogène, la saisie et la non-divulgation par le FBI de documents saisi chez Mr Tesla le lendemain de sa mort, les hyper multiples applications du chanvre indien (pardonnez moi “la résistante”)….je me demandais donc si tout cela ne favorisait pas le réchauffement climatique et s’ il ne valait pas mieux s’attarder sur ces sujet plutôt qu’instaurer une taxe carbone qui nous permet de + polluer à condition de payer?
Excellent. J’ajouterais les millions de trajets de camions de 40 tonnes qui rabotent les 5 continents du nord au sud et d’est en ouest, et le J.O. et les matchs de foot dont les bilans carbone (faire déplacer 50.000 ou 100.000 spectateurs + les millions de merguez à griller) équivalent à 20 x l’Etna quand il s’énerve…
En tout cas, il y en a un qui a tout compris concernant l’équilibre général de la nature et il l’a résumé en une phrase lourde de sens multiple et fondamental: “Tu aimeras ton prochain comme toi-même”.
Le coupable: le pétrole des monarchies chamellifères!!!
Une question en opposition avec l’en-tête de Dreuz et les remarques de Rico :
imaginons que le revenu de base soit tout petit, et donné sans aucune vérification, à charge pour tous de bosser pour tous les suppléments désirés, obligeant chacun à se soigner à ses frais par ex : bcp moins de fonctionnaires occupés à tous nous surveiller et payés pour ça (cf le site du Dr Marc Girard http://www.rolandsimion.fr/spip.php?article222), plus de sécurité sociale, etc, etc, et les dépenses citées par nrv2000 qui diminueraient sans socialisme ni collectivisme, permettant d’augmenter le revenu universel de départ… c’est ma vision d’un avenir vivable.
C’est qui “tous” ?
Cela me semble une idée intéressante, mais si “tous”, c’est tous ceux qui en font 5 fois la demande dans 5 régions différentes , la population française va vite atteindre les 250 millions d’habitants ! Un contrôle léger sera tout de même utile.
Sinon l’idée est intéressante. Utiliser l’argent qui sert à contrôler et à fliquer, pour le réinjecter dans l’économie me semble une bonne piste, encore faut-il définir qui est “tous” et ne faire attention à l’inflation et à la tentation patronale de tirer les salaires vers le bas. L’équation n’est pas simple ! C’est aussi complexe que le climat !
Comme quoi les gens parlant climat et quelque soit leur bord ne sont pas des gens sain d’esprit ,quel ramassis de stupidité !
Pendant des années, les médecins disaient que les bébés devaient dormir sur le ventre. Beaucoup de bébés sont ainsi décédés, étouffés…
Quel pot pourri de vérités, de semi-vérités et de supposés vérités. par un gourou savant – ou un savant gourou – qui puise ses références et son discours dans la science mais tout autant dans les phénomènes para-normaux et des notions douteuses et floues sans contenu précis où chacun peut mettre son affect et les interpréter comme il l’entend.
Quant au réchauffement qu’il tient pour incontestable, c’est une fausse information. Depuis 1998, les mesures montrent que la température terrestre globale est stable.
Ce qui ne veut pas encore dire qu’il n’y ait pas de réchauffement ou si il y en a un, celui-ci est durable ou passager, car le consensus sur les protocoles de mesures ne fait pas l’unanimité scientifique et on ne sait pas vraiment ce qu’il faut mesurer et où il faut le mesurer. Les mesures qu’on a décidé de faire sont stables. Ni plus, ni moins.
Il en va de même pour l’élévation des eaux des océans.
Pour la même période, les mesures faites – de la manière dont elles sont faites – ne montrent pas d’élévation des eaux, soit + 0.7 cm (7 mm), ce qui est inférieur à la marge de précision supposée de la mesure.
Ce qui est incontestable est que toutes les prévisions annoncées par les grands savants du réchauffement et scientifiques du GIEC (sous tutelle de leur mandants politiques) sont démenties par les mesures faites à posteriori années après années. Elles sont systématiquement fausses depuis des années ! Le film d’al Gore aujourd’hui ferait rire au larmes tant ces prédictions étaient erronées et délirantes ! On devrait patauger dans l’eau à Manhattan comme sur la place St Marc de Venise un jour de grande marée et de tempête pluvieuse !
Pourtant il a reçu un prix Nobel ! Personne n’a jamais encore entendu un mea culpa de tous ces gens qui se trompent en permanence… sans conséquence sur les décisions politiques prises par nos “Grands Dirigeants” éclairés.
Mais Trump – avec un Z, comme Zoro – est arrivé !
@ Barakat
Je suis bien d’accord, et j’ajoute que l’article de Michael Laitman ci-dessus ne ressemble pas à ses précédents articles, et c’est ce qui le rend troublant.
“Depuis 1998, les mesures montrent que la température terrestre globale est stable.”
Non.
Très amusant ce genre de discours, j’ai raison car les autres se trompent souvent !
Même s’il y a des idées intéressantes.
Sinon oui le soleil est notre principale source d’énergie et les changements des cycles solaires modifient notre climat, mais cela ne démontre pas que l’action de l’homme est étrangère au phénomène qui a de multiples causes.
L’action de l’homme sur la température ambiante est indéniable, une centrale nucléaire réputée neutre pour les émissions de CO2, élève de 5 degrés la température d’une rivière ce qui n’est pas rien ! Une centrale étant conçue (en partie) non pas pour élever la température des rivières mais pour fournir de l’énergie ailleurs, elle réchauffe aussi nos villes !
Ajoutons les autres sources d’énergie nous avons de bonnes sources de chaleur géantes réparties un peu partout.
Alors oui le CO2 ne fait pas tout, il y a aussi tous les autres gaz à effet de serre CH4, la vapeur d’eau produite à chaque kw ‘énergie électrique consommée ….etc…
Non le problème n’est pas simple et non les mauvais accords de Paris ne sont pas la solution.
Petit revue chiffrée.
Le CO2 représente 0.035% de l’atmosphère (source : http://eduscol.education.fr/obter/appliped/circula/theme/atmos22.htm)
La totalité des émissions nettes de CO2 représentent environ 0.00019% de l’atmosphère par an. (http://cycleducarbone.ipsl.jussieu.fr/images/cyclecarbone/visiteurs/derniersfaits/monteeco2.gif)
Sur la totalité des émissions annuelles de CO2, 4.6% viennent de l’homme (source : https://www.facebook.com/ClimatoRealistes/posts/609107919295279) soit 0.000087% de l’atmosphère.
Sur ces 4,6%, admettons que la moitié soit liée au simple fait d’exister (respiration notamment) en dehors de notre mode de vie. Il resterait donc 2.3% de marge de manœuvre annuelle sauf à arrêter de vivre. Soit 0.000044% de l’atmosphère.
En admettant que l’homme soit en mesure de réduire de 30% ses émissions on aurait donc un impact sur l’atmosphère de 0.000013%.
En résumé, ce serait donc une absence de variation de l’atmosphère de 0.000013% qui nous empêcherait de griller en enfer.
Et pour cette variation de 0.000013% de l’atmosphère, on nous concocte un plan à 90 000 milliards de $. (https://www.contrepoints.org/2017/06/02/268206-cop21-coutera-90-000-milliards-de-dollars)
Et vous, vous y croyez ?
Tout ce que les verts veulent nous faire avaler c’est du pipeau.
Descartes disait « il ne faut admettre que ce qui est prouvé par la raison et par l’expérience » Or en l’occurrence malgré toutes les études biaisée du GIEC qui est payé pour cela, les questions que l’on peut légitimement se poser sont les suivantes :
1. Sur quelles bases expérimentales peut-on affirmer qu’il y a « réchauffement climatique » ?
2. Si ce réchauffement peut être prouvé qu’elles en sont les causes ?
3. Si les causes sont bien identifiées, l’activité humaine en est-elle responsable ?
Or force est d’admettre que les réponses à ces 3 questions sont loin d’être évidentes.
En ce qui concerne la mesure du réchauffement comment peut-on affirmer quoi que ce soit quand on sait que l’on fait des mesures sur à peine plus de 100 ans.
Or nous savons que la terre a plusieurs millions d’années d’existence et qu’elle est passée par des phases de glaciations et de réchauffement successives mais que ces phases ont duré des MILLIERS D’ANNÉES.
Comment dans ces conditions affirmer quoi que ce soit sur une période aussi courte que 100 ans. C’est comme si on décrivait l’entière existence d’un homme en se basant sur la connaissance d’une seconde de sa vie !
A la question 2 les « spécialistes du climat » affirment que le « réchauffement climatique » est dû aux émissions de CO2 et à l’effet de serre.
Mais sait-on que sans le CO2 dans l’atmosphère et sans l’effet de serre, la Terre serait un immense glacier et que les températures tomberaient tellement bas qu’aucun être vivant ne pourrait survivre !
Là oui la Terre serait un désert de glace comme les autres planètes du système solaire qui n’ont pas d’atmosphère.
Enfin, les phases glacières et chaudes de la terre ont eu lieu bien avant l’apparition de l’homme sur Terre!
Donc aller soutenir mordicus que le réchauffement (qui ne peut être prouvé) est dû à l’activité humaine est une contre vérité du même tonneau que la croyance des anciens qui pensaient que l’homme était responsable du solstice d’hiver et qu’il fallait allumer des feux pour faire repartir le soleil !
En fait toute cette affaire est une affaire de gros sous :
Le GIEC multiplie les études alarmistes pour justifier son existence
Les verts racontent n’importe quoi pour compter dans le paysage politique (ils ne sont pas à une contradiction près puisqu’ils combattent le Nucléaire qui ne produit pas de CO2 et le réchauffement climatique dû au CO2 (or le remplacement du Nucléaire par le charbon ou le pétrole en Allemagne ne peut que produire PLUS de CO2 !)
Les politiques qui n’y comprennent rien et qui font une confiance aveugle aux scientifiques en font leur cheval de bataille, car là aussi il y a prébendes et électeurs à la clé !
Mais la pensée UNIQUE et terroriste appuyée par une MEUTE de journalistes aux ordres ne PERMET PAS une réflexion approfondie et CONTRADICTOIRE de cette question. Ils y vont tous de leurs commentaires outrés les Fabius et autres censeurs, dès que le Président Trump prétend qu’il vaut mieux donner du travail aux américains que foutre leur argent en l’air !
à son époque Pasteur avait déclaré que la boisson la plus seine du monde est le vin les parents désinfectaient l’eau que les enfants buvaient avec quelques gouttes de vin rouge ce qui a généré des générations de poivrots que l’on ne peut pas résoudre ce n’est pas la faute de Pasteur maintenant si c’est pour avoir des toxicos à tout les coins de rue non merci
le réchauffement permet surtout de lever de nouveaux impôts avec la bénédiction des payeurs enfin pas la mienne
http://www.pensee-unique.eu/
Et aussi : esobservateurs.ch/2017/06/08/climatocratie-larnaque-du-climat-tramee-a-paris-percee-a-jour-une-bonne-chose/
Je ne suis plus convaincu que le libéralisme peut développer l’économie. Un peu, oui, il peut libérer des forces bloquées. Mais la situation générale est une crise non seulement économique, mais aussi sur bien d’autres aspects.
Les couples ne tiennent plus, les familles se disloquent, les riches deviennent tellement riches et les pauvres tellement pauvres. Les gens sentent que leur vie est vide de sens. Les relations deviennent si pauvres , du fait de la croissance ahurissante du narcissisme…
Quelque chose qui a toujours existé saute aux yeux désormais : nous vivons comme si nous étions un numéro en terme de valeur et chacun veut être le numéro un, et que tous les autres soient derrière. Et la vie tourne autour de cela, et c’est si naturel mais si pauvre aussi.
Et puis il y a tous ces délires antisémites, cela semble une maladie de l’esprit. ..
J’ai longtemps été influencé par Dreuz pour croire que les égoïsmes libérés amenaient à l’équilibre naturel mais je n’y crois plus désormais.
Je crois que l’équilibre auquel nous devons arriver est une reconstruction de nos relations que nous devons bâtir. Apprendre à sentir l’égalité comme source de jouissance, la chaleur humaine, le fait que les différences sont une richesse et non pas un argument de ma supériorité. . .
Ces choses là sont à l’opposé de nos penchants naturels mais sont aussi très satisfaisants à expérimenter.
De plus, c’est l’unique voie que je perçois pour sortir du chaos grandissant annoncé.
Je pense que la plupart des gens auraient un goût immédiat à intégrer un tel environnement s’il existait. Comme une résolution profonde de l’epuisante lutte pour sa propre supériorité et une connexion à l’état profond de la nature, ou tout est harmonieux.
Je crois qu’il n’y a rien à annuler dans la nature. Aucun égoïsme. En cela, je me sensà l’aise dans un environnement libéral. Comme Dreuz, qui promeut des opinions contraires aux siennes par conviction du bienfait de la liberté. Cela est une belle chose que je partage avec le libéralisme.
L’interview de pologny par Jpg était exemplaire en cela.
Au fond, je suis resté presque libéral, sauf que je crois, tout comme Laitman, que l’harmonie entre tous les égoïsmes libérés au maximum ne peut pas se faire sans la création de relations plus riches par un processus d’apprentissage artificiel de l’amour. Je crois que sans cela, nous courons à notre perte.
Cela peut sembler naïf, utopiste, dirigiste etc mais je crois que si on s’attache vraiment à apprendre comment construire de bonnes relations, c’est plutôt une impression de bon sens qui s’en dégagera.
Je partage avec vous cette vision car vraiment je ne vois pas d’alternative entre cette vision et l’effondrement. J’y ai pensé vraiment beaucoup ces dernières années et c’est ma conclusion.