Publié par Gaia - Dreuz le 24 juillet 2017

Dans son nouveau livre, « Deir Yassin: la fin du mythe » le Prof. Eliezer Tauber, responsable de l’Institut pour l’étude des organisations secrètes de l’Université Bar-Ilan et ancien doyen de la Faculté des études juives de l’Université, examine les événements de ce jour d’avril 1948, lorsque le village de Deir Yassin a été attaqué par des combattants du Lehi et du Etsel (Irgun).

Il révèle, étape par étape, l’origine du mythe selon lequel un massacre a été commis contre les villageois.

« Fondamentalement, il n’y a pas eu de massacre à Deir Yassin » écrit ce professeur émérite.

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« Il n’est pas possible de tirer des conclusions sur un massacre, en n’enquêtant qu’auprès d’un seul côté de la population, comme ce qui a été fait dans toutes les enquêtes précédentes… » décrit le chercheur.

Pour écrire son livre, Tauber s’est ainsi tourné vers les sources juives et arabes, des combattants du Etsel (Irgun) et du Lehi… Mais il a aussi interrogé des Arabes. Et « les témoignages se ressemblent et ont la même conclusion: il n’y a pas eu de massacre à Deir Yassin ! »

Selon Tauber, les entretiens avec des réfugiés arabes montrent une image étonnante qui réfute le massacre supposé attribué aux combattants.

Le professeur Tauber a déclaré que, au début de son travail, il a entrepris une mission qui a été considérée par beaucoup comme impossible: localiser tous les Arabes présents lors de l’incident ou qui sont morts pendant cette période. « Il fallait des noms précis, et comprendre quelle est la raison exacte de la mort de chacun d’entre eux. »

« Lorsque vous comprenez comment chacun est mort, vous pouvez comprendre ce qui s’est passé là-bas »… Et comprendre comment la rumeur du massacre s’est propagée… »

Dans ce contexte, il a mentionné la description du Haaretz selon laquelle l’incident impliquait « quelques villageois sans défense ».

« Ils ne savaient rien sur le village parce que les journalistes n’étaient pas sur place. D’ailleurs, le village était fortifié. J’ai obtenu une liste de soldats, d’armes, de livreurs d’armes venus d’Egypte 5 jours avant l’attaque… J’ai aussi des documents des renseignements égyptiens qui prouvent ce que j’avance. »

Le professeur Tauber a ensuite présenté un certain nombre d’exemples montrant le niveau d’enquête intensive qu’il a menée. Entre autres choses, il a raconté un moment où les hommes de l’Irgun ont frappé à la porte d’une maison avec une femme et cinq hommes, dont l’un tenait un fusil.

La femme est sortie, et c’est elle qui a survécu et a raconté l’incident. Ensuite, l’homme avec le fusil est sorti, et lorsque les combattants juifs ont remarqué le fusil, ils ont jeté une grenade et les cinq hommes ont été tués.

Le professeur Tauber soutient que, basé sur la familiarité avec la mentalité arabe, l’homme avec le fusil est sorti pour se rendre, mais le choix de sortir avec le fusil au lieu de le jeter a induit en erreur les combattants. La signification est que, bien qu’il n’y ait pas de danger réel pour les combattants d’Etsel, au moment où il était impossible de le savoir, leur réponse était appropriée à la lumière de ce qu’ils percevaient devant eux.

« Si quelqu’un définit cela comme un « massacre », je n’ai rien à lui dire», a déclaré Tauber, ajoutant: « mon livre n’est pas un livre d’éthique mais un sujet de vérité historique. »

Alors, comment l’histoire d’un massacre a-t-elle continué de croître? Le professeur Tauber a répondu: « L’histoire du massacre est née de deux éléments: il y a eu un cas –rapporté par l’Etsel, dans lequel un groupe d’Arabes a quitté une maison pour se rendre mais un combattant à tiré dans le tas. C’est la seule exception. Le deuxième élément, c’est « Hussein al-Khalid » le secrétaire général de la Ligue arabe, qui expliquait déjà à l’époque: « il faut grossir les faits pour attirer l’attention internationale. »

La suite, on la connaît…

Par Dan Birenbaum– JSSNews

Source : Jssnews.com

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