Drapé dans les couleurs de la France après sa victoire en boxe Muay thai, l’athlète Patrice Quarteron s’est attiré les foudres d’une partie des réseaux sociaux, qui l’ont qualifié de « traître » et de « bounty». Pour Fatiah Boudjahlat, cela révèle la haine de la France d’une partie des enfants d’immigrés.
Patrice Quarteron a remporté une victoire importante dans la discipline de boxe Muay thai. Il a exprimé une joie légitime, en se revêtant du drapeau français. Mais selon ses détracteurs qui se sont déchaînés sur les réseaux sociaux, il a eu le tort de mêler les couleurs nationales à sa victoire, il a eu le tort d’afficher et de verbaliser son patriotisme. Il leur a répondu par un post des plus intéressants: «Quand vous portez un drapeau d’un pays où vous ne vivez pas, on vous dit «bravo, j’adore, c’est courageux, c’est un signe d’ouverture. Quand on porte le drapeau du pays dans lequel vous vivez, où vous payez vos impôts, avec lequel vous souffrez, aimez, combattez, on vous dit: «t’es un chien, un putain de facho». Je porte mon drapeau fièrement. Et j’emmerde les fils de putes qui préfèrent se sentir américains, marocains, russes etc tout ça parce qu’ils vont en vacances une semaine dans un autre pays et reviennent en se sentant étrangers à leur propre pays. Soyez patriotes et reconnaissant. Vous devez tout à la France.» Le ton virulent est propre aux réseaux sociaux, il est aussi dû au caractère de ce sportif, ainsi qu’à la nature et à la véhémence des insultes essuyées.
Afficher les couleurs nationales, aimer son pays, assumer sa fierté d’être français ont valu à Patrice Quarteron de se faire traiter de facho, mais aussi, et il y a plus à en dire, de «bounty» et de traître. Ces insultes sont devenues classiques quand il s’agit de désigner les enfants d’immigrés bien dans leurs baskets françaises et aimant la France. Elles sont complétées par celles de «harki», de «collabeur», de «nègre de maison», termes dont j’ai été moi-même gratifiée. Elles renvoient à une trahison supposée: celle de son vrai pays, celui des origines, au bénéfice de son faux pays, celui où l’on vit. Elles sont les manifestations des métastases indigénistes et gauchistes de l’identité qui n’ont rien à leurs symétriques identitaires.
Un bon noir, un vrai noir digne, qui s’assume, ou un bon arabe n’est pas censé aimer la France sauf à avoir une mentalité d’esclave.
La violence se déchaîne parce qu’il est noir. Et un bon noir, un vrai noir digne, qui s’assume, ou un bon arabe n’est pas censé aimer la France sauf à avoir une mentalité d’esclave. Il est question d’authenticité. On est un vrai arabe, un vrai musulman, un vrai enfant d’immigré etc quand on vante le bled et que l’on cultive l’indifférence voire le mépris à l’endroit de la France. Puisqu’eux brandissent l’accusation de trahison, il faut convenir que le vrai sujet est celui de I’allégeance, ce terme désuet qui désigne la fidélité que l’on doit au souverain. Et en République, c’est le peuple qui est souverain. Refuser l’allégeance au pays dans lequel on est né, dans lequel on vit et dans le même temps la réserver à celui dans lequel on ne va qu’en vacances, avec un pouvoir d’achat européen, c’est faire de la France un simple guichet de services.
Dreuz a besoin de votre soutien financier. Cliquez sur : Paypal.Dreuz, et indiquez le montant de votre contribution.
Patrice Quarteron a raison de dénoncer l’hypocrisie de ses détracteurs.
Le patriotisme est brocardé, dénoncé, moqué, criminalisé quand il concerne la France, mais il est respecté, vanté, normalisé quand il concerne le pays d’origine. Houria Bouteldja, égérie du Parti des Indigènes de la République, écrit ainsi dans son ouvrage Les Blancs, les Juifs et Nous: «J’ai laissé mon pays libre, comme une étoile scintillante. Je suis allé au pays des impies, le pays de l’obscurité» , et plus loin, avec un talent poétique certain: «Ô mes frères, mes soeurs, Ô mes frères mes soeurs, des Français je suis dégoutée. J’accepte de ne porter qu’un tricot mais je ne veux pas qu’on m’appelle «bicot». O mon Dieu, ma foi est meilleure que la leur. Celui qui critique le pays [l’Algérie], que la rivière l’emporte.» Que n’entendrait-on pas si ces mêmes propos avaient été tenus à l’endroit de ceux qui critiquent la France! Et il faut être honnête, je n’ai jamais vu un élève asiatique afficher le drapeau du pays de ses parents, alors que tant de mes élèves affichent sur les écrans des ordinateurs du collège, sur leurs carnets de correspondance les drapeaux des pays du bled, Afrique du Nord et Afrique noire.
La nostalgie entretenue par les parents et par les pairs se vit sur le mode du combat, du conflit de loyauté.
La nostalgie entretenue par les parents et par les pairs se vit sur le mode du combat, du conflit de loyauté. Cette volonté obsessionnelle de déraciner ces enfants est pourtant «la plus dangereuse maladie des sociétés humaines.» . Ce n’est pas anecdotique, c’est politique et c’est donc emblématique. Ceux là-mêmes qui voient du nationalisme quand il s’agit du drapeau français ne sont en rien gênés par l’esprit cocardier de ces jeunes, pourvu qu’il se fasse au bénéfice d’un pays autre que la France. Ce n’est donc pas le patriotisme en lui-même qui est rejeté, c’est la France. J’ai pris l’habitude d’exiger de ces élèves qu’ils dessinent ou affichent un drapeau français de la même dimension que celui dessiné. Autant il est difficile de leur faire verbaliser le fait qu’ils sont français et que la France mérite tout autant d’être respectée et aimée que les pays du bled, autant ils réalisent combien leur attitude pose problème quand on inverse les pays: si une personne née et vivant en Algérie d’origine Française n’affichait que le drapeau français, clamait qu’elle n’était pas Algérienne, ne cessait de critiquer l’Algérie, tout cela en y vivant, comment régiraient les Algériens? Mal, les élèves en conviennent.
Patrice Quarteron a raison: c’est le drapeau Français qui est honni, quand ceux du bled ou de la Palestine fleurissent dans les manifestations festives, sportives ou politiques. Ce n’est pas le drapeau qui gène, c’est la France.
Quand c’est un autre pays, c’est un patriotisme sain et juste. Quand c’est la France, c’est l’expression d’un nationalisme destructeur d’altérité.
Quand c’est un autre pays, c’est un patriotisme sain et juste. Quand c’est la France, c’est l’expression d’un nationalisme destructeur d’altérité. Un élu de Saint-Denis, Madjid Messaoudène, a fait la promotion sur son compte twitter de boîtes de mouchoir aux couleurs de l’Algérie. Jamais il ne lui serait venu à l’esprit d’avoir le même esprit cocardier vis-à-vis de la France. Il se dit binational comme une immunité diplomatique, mais ne dit jamais de bien de la France, n’affiche jamais ses couleurs, au contraire de l’Algérie. La binationalité consiste dans son cas et dans le cas de beaucoup de ceux qui ont insulté Patrice Quarteron à lier une nationalité de raison, la nationalité française, celle que l’on subit, à une nationalité de cœur, celle du pays des parents, qui suscite tendresse et nostalgie. L’allégeance ou le patriotisme ne se vit pas sur le mode de l’alternative pourtant: on peut aimer les deux pays et on ne trahit pas l’un en aimant la France.
Les contempteurs de Patrice Quarteron se dépêchent de préciser qu’ils sont Français, comme une bravade. Qu’ils sont donc ici chez eux. Chiche. Qu’ils en tirent toutes les conséquences: être ici chez eux implique un sentiment d’appartenance, pas une rente viagère. Mais ils ajoutent qu’ils n’ont pas choisi d’être français, qu’ils n’ont pas choisi de naitre et de vivre en France. Ont-ils plus choisi d’avoir des parents algériens ou marocains? Cela ne les empêche pas d’afficher les couleurs de ces pays. Ils présentent le fait de vivre en France comme une fatalité, une souffrance. Mais il y a pourtant un opting out, un droit de sortie de la France: les frontières sont ouvertes. Pourquoi ne pas l’exercer, puisque la vision de Français d’origine étrangère et aimant la France les insupportent à ce point? Houria Bouteldja répond dans le même livre, à la page 109: «Ce sera notre éternel dilemme: rester et subir l’humiliation, partir et crever la dalle». Mais alors, leur patriotisme, leur amour de leur pays tient à peu de choses: au pouvoir d’achat et au standing. Il est vénal. Eux construisent le dilemme, l’alternative. Eux construisent un conflit de loyautés qui empoisonne la vie des jeunes.
Ne ratez aucun des articles de Dreuz, inscrivez-vous gratuitement à notre Newsletter.
C’est à eux de questionner leurs sentiments patriotiques à l’égard du pays de leurs parents, ce n’est pas à nous de remettre en cause ceux que nous éprouvons vis-à-vis de la France. Dans notre République, ce n’est pas la souche, l’ancienneté de la présence qui compte, c’est l’enracinement permis par le consentement. La communauté nationale repose sur deux éléments selon Renan: «L’une est la possession en commun d’un riche leg de souvenirs ; l’autre est le consentement actuel, le désir de vivre ensemble, la volonté de continuer à faire valoir l’héritage que l’on à reçu indivis.» Indivis: le noble et l’ignoble, le glorieux et le honteux. C’est en se tenant sur ces deux pieds que naît le sentiment d’appartenance. On ne l’attend pas d’immigrés de travail, mais comment ne pas l’attendre de leurs enfants nés et vivant en France? Comment trouver normal l’appartenance à une communauté internationale comme l’oumma, ou à celle au pays de ses parents et rejeter l’appartenance à la communauté dans laquelle on vit?
Laissons le french bashing aux ennemis de la France, assumons d’aimer la France.
La République n’est pas qu’un cadre juridique, axiologiquement neutre. Il convient de nous interroger tous. Pourquoi n’afficher nos couleurs que lors des victoires sportives? Pourquoi ne tolérer et ne goûter l’hymne nationale que lors des rencontres sportives? Pourquoi a-t-il fallu attendre la série d’attentats meurtriers pour oser, timidement, pavoiser les façades de nos logements de nos couleurs? La République est aussi un contenu en termes de valeurs qu’une catégorie de l’imaginaire qui se nourrit de symboles. Il faut, comme l’écrit JP Salazar, convenir que «la République est une forme forte de politique, une violence même faite au vivre-ensemble». La République ne peut plus être le lieu neutre du «venez comme vous êtes».
L’État a trop mis en avant sa neutralité. Au point de ne plus offrir de contenu éthique, de chemin vers la vie bonne. Au point de ne plus offrir de vie collective riche, de ne plus constituer une transcendance. Celle là même qui permet de se dépasser et d’être meilleur. Il faut enseigner et assumer la vertu civique, dont Vauvenargues écrit qu’elle se confond avec «la préférence de l’intérêt général au particulier.» C’est l’exemple que nous offre la joie de Patrice Quarteron. La joie de faire gagner son pays. Mais il est vrai que l’État Français a été trop laïque vis-à-vis de lui-même, autorisant et protégeant tous les cultes sauf celui de l’État, et que, réduit à un guichet de prestations et à un ensemble de procédures, il ne peut susciter affection et allégeance. Laissons le french bashing aux ennemis de la France, assumons d’aimer la France. Le patriotisme républicain s’apprend, s’il s’enseigne. Associons-le à la bravoure, à la victoire.
Il faut redonner le goût d’aimer la France, ailleurs que lors des veillées funéraires. Apprenons à servir plutôt qu’à se servir, au sens de Bernanos, c’est-à-dire en «gardant vis-à-vis de ce qu’on sert une indépendance d’esprit absolue. C’est la règle des fidélités sans conformisme, c’est-à-dire des fidélités vivantes.» Dans le même ordre d’idée, Mark Twain définissait le patriotisme comme le fait de «défendre son pays en toute circonstance, et son gouvernement, seulement quand il a raison.» Au final, soyons humbles. Contentons nous de demander pour la France ce que Houria Bouteldja ressent et exige pour l’Algérie.
Fatiha Boudjahlat
Fatiha Boudjahlat est cofondatrice avec Céline Pina du mouvement Viv(r)e la République. Elle est aussi l’auteur de l’essai à paraître aux éditions du Cerf: Féminisme, tolérance, culture: Le grand détournement.
Source : Lefigaro.fr
En s’en prenant frontalement à un sportif Noir, ils exacerbent
ouvertement le racisme anti-Blancs (ce racisme anti-Blancs dont
les gauchistes continuent de nier l’existence, tiens, tiens…) !
Ils ne veulent pas voir de drapeau Français !
Ils ne veulent que les Allocs !…
Lorsqu’on est content de recevoir des avantages d’un pays où l’on émigre, mais qu’on
dénigre ce pays, qu’on rentre chez soi où ‘”l’on est mieux”…..Maintenant, certains migrants exigent un tas de choses que même certains les natifs de ce pays ne peuvent
se permettre, qu’attend-on pour les remettre sur leurs bateaux et les renvoyer d’où ils
viennent…. ?
Il faut vraiment que nos politiciens se fichent éperdument de nos Européens qui votent pour eux, paient leurs impôts, et sont surtout respectueux de nos lois. Ce qui n’est pas le cas de la majorité des migrants qui se permettent de faire tout ce qui leur
est interdit chez “eux” sinon c’est la prison….. et pire.
On peut ne pas aimer l’Europe, ses pays civilisés mais alors pourquoi ces va-nu-pieds viennent nous embêter et souvent tuer les nôtres ? Au nom de quoi ? d’un dieu qui n’existe pas qui a été inventé pour des gens ignorants et dangereux…
je ne dirais pas (embêter),mais casser les couilles et je suis poli,qu ils aillent dans les pays de leur …dieu,mais lui ne leur donne pas de fric ni d allocs et en même temps qu ils embarquent tous les pseudos Français qui les soutiennent
HENRIETTE IRENE, il ne faut pas seulement les remettre sur leurs bateaux, il faut à ces organisations pourries et largement rétribuées de les empecher d’accoster sur NOS rives .
en france, je ne me souviens pas avoir entendu des paroles patriotiques et positives a l ecole sur le pays. les enfants francais d immigres venant des regions du magrheb preferent le pays d origine de leurs parents, sans jamais y aller construire quelque chose pour le bien de ce pays. parce qu ils n ont aucun courage aucune ambition, leur desir est de profiter d un pays sans avoir le sentiment de lui devoir un attachement que l on peut ressentir pour quelqu un qui nous fait du bien. en france on ne sait pas dire merci. je constate la difference en Israel ou nous nous sommes installes. nos enfants aiment leur pays. ils apprennent a l ecole a faire du benevolat, ensuite a 18 ans il y a 3 ans de service militaire, les jeunes filles peuvent choisir le service civile de 1 ou 2 ans. c est un service tres serieux ou les jeunes filles sont tres encadrees et travaillent a plein temps. aimer un pays ce n est pas seulement recevoir mais c est aussi donner. malheureusement en france je n ai jamais ressentie cette dynamique.
Vous voulez vous debarassez d’eux? Enlevez toutes les aides sociales. Ils partiront!
Où alors, faites croire au Chinois que les muzz ont des vertus aphrodisiaques, dans dix ans, t’en a plus.
Tous ces immigrés qui détestent la France n’y restent que pour les avantages qu’ils peuvent en tirer. Comment l’expliquer autrement ?
Est ce qu’il vous viendrait à l’idée à d’aller habiter chez quelqu’un que vous haissez?
Si ces abrutis ne nous aiment pas, qu’ils aillent voir ailleurs, ce serait pour eux plus coherant.
Il faut vraiment qu’ils aient un cerveau de blatte pour se plaire de vivre en parasite. C’est ce genre de message qu’il faut leur faire entendre.
ça ne suffira pas chez eux il n’y a rien à manger même pour ceux qui on de l’argent de plus la loi islamique ne leur convient pas ici ils en parlent uniquement par défis pour nous em*****der
dan, comme au Portugal !!!
Félicitations Madame.
bravo Mec !
Dans quel pays on vit ???
un pays de faux culs qui ne pensent qu a faire des courbettes aux envahisseurs et qui n aiment pas la France ni les cathos
Les enfants immigrés des pays d’Europe de l’est et du sud se sont intégrés immédiatement à la première génération née en France. Ils se sentent entièrement français et aiment la France dans leur âme et dans leur cœur. Leurs parents leur ont appris à aimer le pays qui les a accueillis à bras ouverts. Quand ils vont dans le pays de naissance de leurs parents ils y vont en touristes français et sont heureux de revenir dans leur pays, la France.
Pourquoi n’est-ce pas le cas de tous les immigrés ? Qu’est-ce qui fait que des parents apprennent à leurs enfants à regretter leur pays d’origine et à détester le pays qui les a accueillis ?
Tout est une question d’éducation et tout vient de l’attitude des parents.
De la pression du voisinage aussi mais dans une moindre mesure.
Faire honte à ceux qui se sentent fiers d’être français est une manière de dire “vous n’êtes plus chez vous”, “cachez ce drapeau que je ne saurais voir”
Le drapeau français est l’apanage de TOUS les français, d’origine (y-en a-t-il encore ?)ou immigrés de toutes générations, de gauche ou de droite quelle que soient leur religion ou leur couleur.
La France est une et indivisible dans toutes ses composantes.
Il n’y a aucune honte à aimer son pays, en revanche, la honte est de le détester
@Ulyse75010, j’espère que vous ne découvrez pas la raison de l’attitude de ces immigrés musulmans.
Depuis 1968 notre Education Nationale a décrété de ne plus se charger de l’éducation des enfants scolarisés, seulement les instruire. C’est le rôle des parents, disent-ils. Effectivement les parents sont normalement chargés d’éduquer leurs enfants, c’est naturel même chez les animaux. Mais c’est oublier que les parents maghrebins sont arrives en France analphabètes, igorants, musulmans et eux même sans éducation. C’est dans tous ces cas tout l’inverse des migrations des pays de l’Est, de l’Italie, du Portugal ou de l’Espagne tous chrétiens à la base et bien éduqués .
L’Éducation Nationale gauchisante a voulu ignorer les difficultés pour ces enfants d’Afrique d’assimiler une autre culture. Quand ils rentrent chez eux, ils en vivent une autre, une autre langue, aucune aide pour faire leurs devoirs, une autre religion avec des rites complètement décalés par rapport aux nôtres, pas même une semaine identique. De plus ces maghrebins vivent en communauté sans vouloir se mêler autres autres, parce que justement ils sont différents, notre vie et nos moeurs sont différents et parfois incompatibles avec leur religion.
En conclusion, ces immigrés maghrebins se sentent d’éternels étrangers en entrainant leur enfants dans les differences. Nos dirigeants politiques n’ont jamais voulu traiter ce problème et nous en sommes dans cette situation terrible où se côtoient deux communautés hostiles l’une par rapport à l’autre. Tout serait a refaire, mais avec plus de 10 millions de musulmans, c’est maintenant trop tard.
Comment ne pas etre d’accord avec elle, surtout quand elle dit que la France n’est pas juste “un guichet de prestations”.
Aujourd’hui, en paraphrasant. H.Bouteldja, je dis : o mes freres et soeurs juifs de Marseille je suis degoute.
C’est inimaginable que des juifs aient cede aux conditions des arabes dans une synagogue pour le bashing de juifs persecutes par les arabes . Et cela le samedi matin la ou il y a le plus de monde. Bien evidemment les arabes pavoisent sur leur victoire, a Marseille c’est pas la premiere sur les juifs. Ils leur ont donne des ordres et les manipulent jusque dans une synagogue, endroit cense apporter paix et reconfort a ceux qui voudraient venir pour etre dans la communaute .
Donc au bashing arabe il y a maintenant dans une synagogue un bashing juif ignoble. Ces juifs /quartier du Prado/ ont prete allegeance aux arabes. Ils ne sont pas entre deux nationalites mais dans la trahison la plus servile, pour faire souffrir une femme et ses enfants des juifs je le rappelle. Pour moi, ce dont des ordures et je comprends le mepris des arabes a leur egard. Pire que la shoah,
ils s’en fichent de ce qu’une femme et ses enfants subissent ou subiront.
Mon degout est trop grand face a une abjection pareille dans une synagogue je precise.
Ce lieu de culte peut etre ferme et remplace par une mosquee, car l’objectif des arabes est “la colonisation” du quartier.
Des juifs-arabes a gerber y participent ce qui est incomprehensible sauf pour les arabes.
Les arabes preparent 2020 tout le monde connait leur objectif pour les municipales.
Les juifs marseillais c’est le degout et la honte .
Ce dont je parle est la nouvelle du jour : avec les arabes de Marseille, a chaque jour suffit son bashing anti-boucs. Des juifs francais y participent qui plus est dans une synagogue, c’est du sadisme arabe
(= un pleonasme ).
Il y a urgence a le faire savoir
dont acte.
Ps. Dreuz le comprend tres bien, j’ai deja dit pourquoi, c’est pas demain la veille qu’un juif marseillais en parlera sur le site.
La democratie n’existe pas pour les juifs marseillais : ils sont volontaires pour etre lobotomises.
Durant notre Histoire, ce n’est pas la première fois que les juifs pactisent avec leurs ennemis. Il faut les comprendre et naturel dans son contexte. En dehors d’Israel et des juifs assiégés de toute part par des arabes musulmans ayant juré de les faire disparaître, à Marseille c’est une question de quiétude de leur communauté en cohabitation avec l’islam.
Marseille s’islamise chaque jour un peu plus avec la bénédiction des autorités politiques. Que faire quand on est juif ou chrétien quand on côtoie à chaque instant une quantité invraisemblable de musulmans ? Chercher la baguarre ?
Je ne suis pas d’accord sur le fait qu’a Marseille, au Prado, cest une question de quietude en cohabitation avec l’islam. C’est un tres bon quartier ou on ne cotoie pas une quantite invraisemblable de musulmans (D… Merci ). C’est pas la Canebiere ni Belsunce.
Sauf que de lachete en lachete ils en sont arrives , jusque dans une synagogue je le rappelle, a faire ce que les arabes leur ont demande cad basher et rejeter une femme juive qui vit dans la detresse et la souffrance a cause des arabes. Elle a besoin du soutien de la communaute et non pas d’etre le bouc des arabes en passant par les juifs. Les arabes pour “federer” les gens se servent des boucs. Un antisemitisme aussi ignoble , dont les juifs bien sur, connaissent la propagande arabe : pire que la shoah.
Cad ostracisme, misere, persecutions, discriminations, insultes non stop quand on parle des boucs JUSQUA CE QUE MORT S’ENSUIVE bref le ghetto de Varsovie en pire, en France en 2017, car des juifs se comportent en arabes pour rejeter une femme juive persecutee par les arabes .
La tsedaka, la mitsva sont passees ici par la moulinette arabe pour ne pas exister, alors que dans ce cas il est necessaire de s’en souvenir.
Les arabes se vantent de tenir les juifs tout comme le quartier. Cela correspond je le rappelle, a leur objectif de “colonisation” .
Que des juifs ne fassent rien, alors qu’ils peuvent, qu’ils participent au hallali pour les arabes c’est intolerable.
Ils seraient tout aussi tranquilles s’ils etaient courageux, or il n’y a aucune resistance pour livrer une femme et ses enfants aux arabes. Qu’ils le fassent caches dans une synagogue, les arabes se sont depeches de le faire savoir pour leur propagande. L’ordre vient d’eux comment tolerer une abjection pareille ? Ils veulent eloigner cette femme de la synagogue en plus de la manipulation de ceux qui s’y rendent ? Ils commandent la synagogue maintenant ?!
Les criminels en prison ne sont pas persecutes comme cette femme et ses enfants innocents et nickel, les arabes sont acharnes apres eux. Les arabes passent leur temps a manipuler les marseillais pour faire admettre l’intolerable .
C’est monstrueux et intolerable en France : les droits de l’homme c’est pas le hallali de juifs. Des juifs et des non juifs doivent le dire et le redire aux arabes comme a ceux qui planent .
Dreuz est l’endroit ou justement on peut le dire.
Je le dirai tant que cette abomination durera. Les arabes persecutent jour et nuit . Les marseillais le savent .
Il a du cran, cet athlète!
Toutes mes félicitations, avec mon respect.
Merci, Madame, pour votre article.
Le patriotisme se transmet au sein des familles, nulle part ailleurs.
Le patriotisme doit se transmettre aussi par l’école, le lieu de transmission de notre culture.
L’islamo-gauchiste ne garde pas sa langue dans sa poche, Fabrice Quarteron ne gardera pas son poing dans la sienne…
Merci à ce sportif, merci à cette journaliste. Mais quel dommage que le patriotisme doive passer par ces immigrés pour retrouver sa force, sa légitimité…
traitre pour certain mais un réel patriote pour moi , bravo jeune homme
Que tous ceux qui crachent sur quarteron aillent se faire e……..r chez les grècs.
Dans les faits ce sont les médias qui montent en épingle ces commentaires. Tous les français qui vivent dans l’Outre Mer se sentent francais sans aucun a priori.
C’est seulement la “nouvelle France” celle issue d’Afrique qui pose problème.
J’appréhende l’avenir avec cette population de remplacement, devenue majoritaire dans quelques années, qui crie sa haine du pays dans lequel elle vit.
Ce que je trouve dramatique, c’est que notre gouvernement ( comme les précédents ) n’a aucun programme sur ce sujet explosif.
C”est bien gentil tous ces commentaires. Mais la réalité demeure que c’est la bêtise qui l’emporte dans les moments décisifs. C’est là que l’on voit que De Gaulle avait raison de dire que les Français sont des veaux. Moi je rajouterais qu’ils sont des moutons de Panurge. La preuve, c’est l’élection présidentielle dernière. Ils ont été tellement effrayés et terrorisés par les cris d’un petit caniche qu’ils ont été se réfugier dans la niche d’un Pitbull.
BRAVO à ce garçon – Ce patriotisme fait plaisir à voir ! – Je lui souhaite plein de beaux succès… afin qu’il puisse encore et encore exhiber notre drapeau – N’en déplaise à tous ceux à qui cela a déplut – Je suis domicilié à Marseille depuis 2 ans 1/2, et ai déjà subit 2 agressions – l’une de la part d’un noir qui voulait me tuer après m’avoir fait une queue de poisson qui aurait pu se terminer dramatiquement ; le second un maghrébin de 3ème ou 4ème génération, avec un vrai accent Marseillais, qui devant une dizaine de témoins me menaçait de “m’égorger”, il y a quelques jours en arrière, je vous rassure, aucune des personnes présentes n’a bougé le petit doigt ! – J’ai 70 ans dans quelques mois, et au cours de mon activité, l’une des personnes que j’ai le plus aidé à évoluer socialement se prénommait “Youssef” – Je n’ai donc pas grand chose à voir avec le racisme primaire – Mais voyez-vous je ne supporte pas l’irrespect, alors… il vaut mieux que je m’installe ailleurs, ce que je vais faire dès ce début octobre, sinon cela va mal finir ! – Combien sommes-nous dans ce type de cas ????….. – Les politiques qui vivent dans leurs tours d’ivoire s’en foutent et ne croient pas un seul instant que cela existe…
Bravo et merci pour ce que vous êtes. Que votre ange gardien veille sur vous !
À propos de ces fameuses tours d’ivoire… Les “migrants” ne sont sans doute pas supposés avoir dans leur collimateur ces cavernes d’Ali Baba…