SAMEDI 24 JUIN, L’ÉCRIVAIN RENAUD CAMUS ÉTAIT L’INVITÉ D’ALAIN FINKIELKRAUT SUR FRANCE CULTURE. POUR CETTE RADIO, PEU HABITUÉE À LA DIVERSITÉ DES OPINIONS, CETTE INVITATION FAISAIT FIGURE D’EXCEPTION. MAIS POUR CERTAINS, C’ÉTAIT DÉJÀ TROP…
Lors de cette émission, Renaud Camus, connu et présenté comme« le théoricien du Grand remplacement », avait pourtant un contradicteur : Hervé Le Bras, démographe, chroniqueur et favorable à l’immigration de masse. Au sommaire, cette question : le remplacement de la population française par des populations étrangères est-il une impression ou une réalité ? Un débat ô combien intéressant donc, avec des intervenants radicalement opposés sur les conclusions. Mais cela n’aura pas suffit.
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Dans la foulée, le médiateur de France Culture assure avoir reçu des centaines de messages de mécontentement. Certains auditeurs de la radio étaient, semble-t-il, outrés qu’une station publique laisse s’exprimer ainsi un personnage « condamné pour des propos racistes » et « adepte d’une France blanche, chrétienne et refermée sur elle-même ». Quelques jours plus tard, Alain Finkiekraut a répondu à ces messages, lors de l’émission « Le point de vue du médiateur ». Pour lui, cette invitation, « ce n’est pas pour choquer. C’était pour mettre fin à une anomalie. Renaud Camus qu’on ne voit nul part a fondé une expression qu’on entend partout : « le grand remplacement ». Il s’agissait de le mettre face à un contradicteur. »
De son côté, le médiateur a précisé : « Réclamer la censure m’étonne toujours dans une démocratie.
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D’accord ou pas d’accord avec certaines opinions, toutes doivent pouvoir s’exprimer dès l’instant qu’elles ne contreviennent pas à la loi et à la dignité humaine. Il faut d’ailleurs les connaître si on veut les combattre. »
Du bon sens, qui n’a pourtant pas empêché l’équipe de « Quotidien » sur TMC de s’en émouvoir. Dans cette émission animée par Yann Barthès, une chroniqueuse revient sur cette affaire « incroyable », qualifiant Renaud Camus d’« intellectuel d’extrême-droite » et n’hésitant pas à caricaturer ses propos.
Pire, cette dernière s’interroge, très sérieusement : « Faut-il donner la parole à des personnes qui tiennent ce genre de propos ? Faut-il censurer ceux avec qui ont n’est pas d’accord ? »
© Gaïa pour www.Dreuz.info
Source : Ojim.fr
Faut-il donner la parole à certe croniqueuse raciste et d’extrême droite?
Cela devient banal de le dire:
1-la gauche et ses thuriferaires ont créé un système basé sur l’axiome : “les autre on tort parce que nous avons raison” . Un axiome ne se demontre pas mais sert à batir tout un système de raisonnement ou de demonstration.
Ils ont rajouté :
2-la liberté d’expression doit être totale sauf pour ceux qui ont tort.
Ce système régit la pensée (si on peut appeler cela pensée) de tout un microcosme notamment des medias et des guignols qui les font vivre et bloque toute raisonnement ou demonstration qui vise à mettre en cause leur vision du monde.
Didier Super, rêve d’un monde :
“et tous ceux qui pensent pas qu’j’ai raison, je les bute”
normal
“Non” si vous êtes gauchiste, islamo-gauchiste, et atteint du syndrome intellectuel déficitaire acquis.
“Oui” si vous ne faites pas partie de la première catégorie parce que curieux des questions sociétales fondamentales.
Quelle honte ces bobosocialoslamistes qui vivent loin des zones islamisées. Eux ils auraient le droit de ne pas reconnaître ce qui se passe chez nous et en Europe, mais si quelqu’un émet une opinion contraire et veut leur mettre le nez dans leurs contradictions, il faut le faire taire c’est un extrémiste de droite, il n’a pas le droit de s’exprimer. Ces personnes n’ont jamais lu le coran, n’ont aucune idée sur le danger de l’islamisation d’un pays. Ce qui ne veulent pas savoir; c’est que leurs actions pro-changement, ils seront les premières victimes de l’islam.
seule la vérité dérange
et puis il ne fut pas alarmer les gens
il faut mieux les endormir
L’avantage de tout cela c’est qu’ils sont devenus incapables de cacher leur imbécilité, leur médiocrité, leurs mensonges, leur idéologie malsaine, leur intolérance.
L’émission de Finkie’ a été honnête, il a confronté deux points de vue pour lesquels chacun a pu s’exprimer. Manifestement cela a déplu aux endoctrinés.
Quelle con!
Mais la question de savoir s’il faut censurer ceux avec qui “on” n’est pas d’accord ne se pose pas… La censure veille déjà et seules les exceptions à la censure interpellent l’opinion publique, c’est dire si elles sont rares… La censure est en effet aujourd’hui la norme et (presque) plus personne ne s’avise à “déplaire” en s’exprimant librement… Et c’est bien là la triste réalité de ce qui se passe dans notre pays.
Est-ce encore nécessaire de se poser des questions sur le fait que nous soyons ou pas en démocratie lorsqu’on voit des petits Fouquier Thinville du genre de cette chroniqueuse à la noix qui s’arroge le droit de dire qui doit parler ou non ? Qui est dangereux ? Renaud Camus ou Hervé Le Bras ou la chroniqueuse à la petite semaine ? Celui qui alerte ou celui qui ment pour endormir les populations ? “Celui qui ne sait pas est un ignorant, celui qui sait ET SE TAIT est un malfaiteur” – Extrait de Galilée de Berthold Brecht. Monsieur Camus n’est pas un malfaiteur il alerte, d’autres le font aussi mais les Torquemada et les accusateurs publics genre Le Bras et la c….sse de TMC seraient en d’autres temps (temps révolus heureusement pour eux) pendus sur la place publique pour trahison à la patrie… et font absolument tout pour faire taire les lanceurs d’alerte… Vont-ils s’en prendre à Bill Gates qui ose aussi dire que l’immigration est un danger pour l’Europe ?
Faut-il laisser la parole à ceux qui ont mis la main sur le son et l’image et peuvent sans contradiction faire passer le message qui leur plaît ? À ces journalistes arrogants, menteurs, moqueurs et sectaires qui décident entre eux et devant nous qui on doit exclure et condamner ?