Les scientifiques qui sont sceptiques sur le réchauffement climatique sont appelés “climato-sceptiques”. Les scientifiques qui sont scientifiquement sceptiques sur le lien de causalité VIH/SIDA sont décrétés “dissidents” et “homophobes”.
“Les scientifiques qui sont “sceptiques sur le réchauffement climatique“ à travers le monde sont appelés “climato-sceptiques”, c’est-à-dire sceptiques sur la réalité d’un réchauffement climatique exceptionnel, sur son origine humaine ou sur le fait qu’il ait des conséquences négatives. Ils sont Prix Nobel, Ph.D., lauréats de nombreux prix, et auteurs d’articles majeurs“. (De Wikiberal)
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Les scientifiques qui sont scientifiquement sceptiques sur le lien de causalité VIH/SIDA sont décrétés “dissidents” et “homophobes“, c’est-à-dire sceptiques sur la soi-disant réalité d’un lien de causalité VIH/SIDA et sur la justification de la masse énorme des financements de plusieurs milliards de dollars pour la “lutte contre le virus“. Ils sont pourtant Prix Nobel, Ph.D., lauréats de nombreux prix, et auteurs d’articles majeurs.
- Le Monde.fr avec AFP : “Paris devient, dimanche 23 juillet, la capitale (médiatique) de la lutte contre le SIDA. Les organisateurs ont appelé les États-Unis à rester engagés financièrement, alors que le président Trump a “menacé de coupes budgétaires“. “Les Américains représentent un financement essentiel dans ce domaine et nous avons besoin qu’ils restent engagés“, a interpelé Linda-Gail Bekker, présidente de la Société internationale du SIDA. : “Pas de fin du VIH sans la recherche et pas de recherche sans des investissements.
“Les États-Unis sont le plus gros contributeur. Ils représentent plus des deux tiers des financements gouvernementaux. En 2016, ils ont consacré 4,9 milliards de dollars à des programmes de lutte contre le virus et 19,1 milliards ont été réunis par des donateurs pour la “lutte contre le virus“. Il en faudrait 26,2 “pour être sûr“ d’atteindre en 2020 le but fixé par l’ONU : que 90 % des personnes vivant avec le VIH connaissent leur statut, que 90 % soient sous traitement et que parmi elles, 90 % aient “une charge virale indétectable.”
“La conspiration scientifique du SIDA : En 2015, Plasmodioum citait l’article de Steven Novella sur le SIDA. “En 2000, la section San Franciso d’ACT UP a écrit une lettre à chaque membre du Congrès américain demandant d’arrêter la recherche sur le VIH. La AIDS Coalition to Unleash Power (ACT UP) a été durant des années en première ligne sur la prévention et la sensibilisation. La section San Franciso d’ACT UP a rejoint le mouvement de négation dans les années 2000, arguant que “le VIH ne cause pas le SIDA […] les tests de dépistage du VIH sont inefficaces et dangereux […] les médicaments contre le SIDA sont des poisons“.
- Wikipédia : “La contestation de la responsabilité du VIH dans le SIDA est un mouvement dissident qui doute de l’origine virale du SIDA. Ces dissidents soutiennent que le consensus de la communauté scientifique sur le “lien de cause à effet entre le VIH et le SIDA” a provoqué des diagnostics inexacts, une peur collective, des traitements toxiques et un gaspillage des fonds publics , (avec) un mésusage sans précédent des normes et méthodes scientifiques. Kary Mullis, lauréat du prix Nobel de chimie en 1993, le virologue Peter Duesberg et (d’autres) affirment qu’il n’existe pas de preuve formelle du “lien entre le VIH et le SIDA“. (On conçoit que l’escroquerie scientifique du SIDA fait que) la majorité de la communauté scientifique rejette ces théories “négationnistes de la causalité ($ officielle) VIH-SIDA qui sont, selon elle, basées sur des arguments “pseudo-scientifiques”. (Elle met en cause la) théorie du complot (contre ses financements usurpés $).”
Sur le réel scandale de l’imposture climatique, John Christi, professeur de sciences de l’atmosphère et directeur du centre des sciences de la terre à l’université de l’Alabama, ancien rédacteur des rapports du GIEC, a écrit : “Je ne vois venir ni la catastrophe qu’on nous annonce, ni la preuve évidente que l’activité humaine doive être mise en cause dans le réchauffement que l’on peut observer. Je vois plutôt l’utilisation aveugle de modèles climatiques (utiles mais qui ne sont jamais des “preuves”) et la coïncidence entre augmentation de la concentration en CO2 et réchauffement qui fonctionne de moins en moins avec le temps“.
Sur l’arnaque scientifique du siècle et l’imposture du lobby VIH-SIDA, le docteur Luc Montagnier, le découvreur français du virus, a indiqué lors d’un symposium à Amsterdam en 1996 : “Nous pensions que ce seul virus était responsable de toute cette destruction. Maintenant nous pensons qu’il est bénin et pacifique et qu’il ne devient dangereux qu’en présence d’autres organismes (?), ce que j’appelle des “cofacteurs” (liés au terrain, aux comportements, aux conduites à risques, et surtout au mode de vie des personnes atteintes).
Le docteur Peter Duesberg, professeur de biologie moléculaire à l’Université de Berkeley Californie, a crée avec 50 autres scientifiques, le “Groupe pour la Réévaluation Scientifique de l’Hypothèse HIV/SIDA”. Le docteur Harvey Bialy a écrit dans “Rethinking AIDS” (Repenser le SIDA) :
“La plupart des médias ainsi que la majorité des scientifiques impliqués dans la recherche biomédicale ont souscrit sans discrimination à l’hypothèse selon laquelle un virus appelé HIV est la cause du SIDA. Cette hypothèse, qui n’a rien à voir avec la science, viole tout ce que nous savions jusqu’ici concernant les maladies infectieuses, autorisant n’importe quelle thérapie, n’importe quelle recherche, pour faire du fric selon des raisons sont non-scientifiques”.
La croyance que le HIV est la cause du SIDA est devenue un dogme scientifique et la plupart des médecins considèrent toute suggestion contraire comme étant un comportement dangereux et irresponsable.
Le docteur Kary Mullis a inventé de la technique PCR (Polymerase Chain Reaction) mondialement utilisée dans la recherche génétique. Elle a écrit :
“Je ne parviens pas à trouver un seul virologue qui puisse me donner des références qui démontrent scientifiquement que le HIV est la cause probable du SIDA“.
Le petit livre de Claude Allègre, L’imposture climatique*, © Plon, 2010, a fait sensation. Il évoque “une conspiration, mêlant (fausse) science et politique, qui s’est imposée aux médias“. De notre point de vue, c’est au contraire la propagande de la ploutocratie médiatique qui manipule les esprits pour influencer l’opinion.
La 4 ème de couverture indique que Claude Allègre nous révèle “comment des ambitions (faussement) scientifiques et politiques se sont appuyées sur des intérêts financiers et sur une (république des médias) en manque de légitimation pour alimenter (un climat ! de) peur et de culpabilité…”
Et si la propagande politico-scientifique de la ploutocratie médiatique n’était qu’un mensonge ? Il s’agit encore et toujours d’une misérable ambition commerciale : il faut vendre du vent et faire toujours du fric !
Les inventeurs des mystifications médiatiques sont pour la plupart des journaleux pseudo-intellectuels médiocres. Ils sont ceux, dont on peut dire, sans prendre le risque de se tromper, qu’ils sont encouragés par la paresse, une paresse mentale indécrottable, et une propension naturelle au parasitisme. (J. F. Revel)
N’importe quel journaleux, au service des mystifications médiatiques, écrit des articles mensongers. Il écrit sur ce qu’il ne comprend pas, généralement dans un langage pseudo-scientifique obscur. Il se livre à une tâche de propagande facile. Ensuite, une quantité de bavards insignifiants vont commenter en boucle à la télé ce que le journaleux aurait voulu écrire. C’est l’occasion pour ces pseudo-intellectuels médiocres de gagner leur vie en vendant du vide. Tous ces gens insignifiants n’ont aucune chance d’approcher jamais la vérité.
Etienne de Harven, Prof. Agrégé de l’Université Libre de Bruxelles, Prof. Émérite de l’Université de Toronto, Canada, Ancien président de Rethinking AIDS, a co-écrit Les dix plus gros mensonges sur le sida* :
“Pour le grand public, (le mensonge de) “l’unanimité de la communauté scientifique” sur la cause VIH du SIDA ne fait aucun doute. Il faut le reconnaître, aussi bien le corps médical que les chercheurs sont sincèrement persuadés qu’un virus “VIH” est la cause de l’immunodéficience acquise. Le battage intensif (et très coûteux) réalisé au profit exclusif de l’hypothèse virale, qu’il provienne des médias, des laboratoires pharmaceutiques ou des publications professionnelles, a tout fait pour anesthésier les consciences et étouffer toute recherche alternative. Malgré cela, des centaines de chercheurs scientifiques n’ont pu accepter “les mensonges et les incohérences distillés par les instances officielles“. (“Les 10 plus gros mensonges sur le SIDA“, par le Dr Étienne De Harven et Jean-Claude Roussez, éditions Dangles, © 2005.) (Jean-Claude Roussez, journaliste scientifique, a publié un livre en 2004 sous le titre : “SIDA : supercherie scientifique et arnaque humanitaire*“).
Rebecca Culshaw a écrit “Théorie VIH du sida, incohérence scientifique !“* :
“Les tests du VIH ne sont pas fiables. L’utilisation des tests VIH en tant qu’outil de diagnostic doit être reconsidérée. Le plus urgent serait que la validité de ces tests soit rigoureusement confirmée par la présence effective du VIH lui-même. Or ceci n’a jamais été jusqu’ici réalisé ! Le résultat des tests ne devraient jamais constituer un motif de discrimination à l’égard de qui que ce soit, surtout quand il s’agit de tests aussi peu fiables… La persistance dans l’esprit du public de cette théorie intellectuellement en faillite est due à la campagne de crainte, de discrimination et de terreur menée par un groupe puissant composé de personnes dont la seule motivation est le contrôle des comportements.”
On ordonna à Galilée d’abjurer ses convictions sinon il serait excommunié. C’est la même chose pour ceux qui refusent d’accepter l’autorité de l’orthodoxie VIH-SIDA
Certes, l’argent et les intérêts gigantesques de l’industrie pharmaceutique et des chercheurs subventionnés par le gouvernement ont un rôle important, mais l’élément qui a permis à l’hypothèse VIH/SIDA de germer n’est rien d’autre que la peur… Si la peur finissait, le mythe finirait.
La recherche sur le SIDA a toujours souffert de cet absolutisme moral, de discrimination pure et simple et de refus du débat. Comme l’écrit Kary Mullis dans son livre Dancing Naked in the Mind Field* : “Ce que les gens appellent aujourd’hui la science est similaire à ce qu’on appelait la science en 1634. On ordonna à Galilée d’abjurer ses convictions sinon il serait excommunié. C’est la même chose pour ceux qui refusent d’accepter l’autorité de l’orthodoxie VIH-SIDA”.
La théorie VIH-SIDA n’a rien à voir avec la science, mais avec le contrôle du comportement et surtout avec l’argent , le pouvoir et le prestige. Le langage entourant le VIH et le SIDA est imprégné d’une sorte de moralisme inapproprié au domaine scientifique. (C’est pourquoi) Mark Wainberg n’hésite pas à traiter de “criminels” les chercheurs dissidents (anti-$) de la théorie VIH = SIDA.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Thierry-Ferjeux Michaud-Nérard pour Dreuz.info.
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Je suis désolé que l’auteur, dont j’ai eu l’occasion d’apprécier la pertinence et la lucidité, et en particulier la connaissance de la vraie psychologie ( anti DSM..) se laisse entraîner dans des analogies sans fondements : on ne peut comparer la supercherie climatiste et la causalité ou co-causalité HIV -Sida.
Personne ne conteste la réalité du SIDA et ses conséquences désastreuses. Ce qui est contesté par les chercheurs, c’est seulement le lien de causalité “VIH=SIDA”
Exact, mais l’article aurait gagné à ne pas mêler les deux thèmes…
La malaria tue des millions d’Africains chaque année et personne n’en parle !
Oui, et on a inventé un “grave danger avec le DDT” pour mettre fin à son utilisation.
Pourquoi ? A qui le DDT nuisait-il ? Quel autre produit pour le remplacer et à qui profitait-il ?
Et surtout il s’agit semble-t-il de la seule maladie mortelle évitable …
@protagoras Mais si! on ne compare pas l’incomparable, l’auteur compare 2 SUPERCHERIES montées avec les mêmes similitudes et les mêmes buts. Il a raison. Pour ma part, j’ai toujours douté des affirmations énormes qui viennent du corps médical, des lobbies, et surtout au final, de l’industrie pharmaceutique, un lobby extrêmement pervers puisqu’il manipule doublement: l’opinion publique d’un côté et les dollars pour son fonds de commerce de l’autre côté!
Souvenez vous du scandale de la recherche sur le cancer, même tabac: l’escroquerie immorale et géante, l’argent d’abord! Que ce soit le climat, le sida, la grippe “mortelle”, les médicaments, les vaccinations obligatoires pour empoisonner les bébés, les antalgiques qui s’avèrent dangereux voire mortels, les fake news de toutes sortes, tout converge vers le “contrôle des comportements humains” , l’argent est plus fort que la santé mentale et physique des gens de nos générations: “conditionnez, conditionnez”, comme avec la publicité et les mensonges, il en restera toujours quelque chose, un acte d’achat non souhaité, des achats d’impulsion…. Tout, absolument tout conduit à la main mise sur nos vies, nous ne sommes pas libres de nos choix. D’ailleurs on nous chante pour nous affoler qu’on a plus de chances dans une vie d’être malade que d’être en bonne santé, c’est peu dire! On maintien les gens dans la peur et le conditionnement , c’est une réalité: “Les scientifiques qui sont sceptiques sur le réchauffement climatique sont appelés « climato-sceptiques ». Les scientifiques qui sont scientifiquement sceptiques sur le lien de causalité VIH/SIDA sont décrétés « dissidents » et « homophobes ». Dissidents de quoi? Pourquoi? On ne le dit pas !
On en revient toujours à la même spirale, la boucle n’est jamais bouclée, il se révélera encore des arnaques monstrueuses, immorales qui seront traitées de la même façon, histoire d’entretenir les comptes bancaires des intéressés, les mensonges qui détruisent la confiance et les croyances des peuples et qui peuvent les rendent malades certaines populations!
“Tout, absolument tout conduit à la main mise sur nos vies, nous ne sommes pas libres de nos choix. ”
FAUX, chacun d’entre nous a le choix, toujours, à moins d’être vraiment totalement faible d’esprit. Et puis ça m’énerve, cette façon de penser que c’est toujours la faute des autres, d’un prétendu conditionnement ou autre chose encore ! alors que c’est juste une affaire de responsabilité individuelle.
Excusez: il faut lire “qui peuvent RENDRENT malades certaines populations ..”
rendre…
En tant que médecin généraliste, j’ai pu constater la chose suivante : tous mes patients ayant contracté le virus du sida entre le fin des années 80 et le début des années 90 sont morts, tous ceux qui ont bénéficié, ces dernières années, d’une trithérapie ou quadriethérapie moderne contre le virus du sida sont en vie et relativement bien portants, avec une charge virale devenue rapidement indétectable sous traitement ! Donc, oui, le virus du sida est bien la cause du sida, maladie qui est le plus souvent mortelle en l’absence de traitement, et tous ceux qui prétendent le contraire sont des menteurs et des imposteurs, il n’y a pas d’autres mots pour les qualifier !
Il y a toujours eu des médecins marrons, qui, tels de modernes Diafoirus, ont contesté les nouveautés scientifiques même lorsqu’elles étaient amplement prouvées, cf l’acte II scène 5 du “médecin malgré lui ” de Molière. Thomas Diafoirus y déclare ceci :
“J’ai, contre les circulateurs, soutenu une thèse, qu’avec la permission de monsieur, j’ose présenter à mademoiselle, comme un hommage que je lui dois des prémices de mon esprit.”
Désolé de contredire l’auteur néo-diafoirien de cet article, mais, pour rester crédible, il faut que dreuz garde son sérieux et évite de publier des âneries aussi énormes !
Monsieur, j’adhère totalement à votre réponse.
Suite à une transfusion sanguine, je fus malheureusement contaminé par ce virus. En l’espace de quelques semaines je maigris de plus de 25 kg, je n’eus plus aucunes forces, de nombreuses lésions cutanées ainsi que des abcès apparurent, je ne pouvais conserver aucun aliments. Sans l’intervention des médecins du service virologique de l’Hôpital Pitié Salpêtrière et la prescription de la trithérapie, il est probable que je serai mort aujourd’hui. Je rends hommage à ces nombreux chercheurs, médecins et au personnel médical, infirmiers, infirmières, psychologues qui par leur dévouement quotidien et sans pré jugés d’aucunes sortes soignent et contribuent ainsi à sauver des vies fort utiles, et qui permettent à des personnes comme moi d’apporter leur contribution à la société. Je suis chef d’entreprise, et ce traitement m’a permis de poursuivre mes activités, de préserver ma famille ( je suis papa de deux petites filles). Je suis consterné de voir autant d’inepties et de “conneries” abordées dans cet article. Certes la liberté d’expression est vitale, mais pas au prix de contribuer à répandre de dangereuses idées, sous des prétextes de “conspirationnisme”.
Néanmoins, je constate qu’une grande majorité des lecteurs réagissent avec discernement et sagesse. Quelques soient les causes de cette prolifération du virus, mode de vie, orientation sexuelles ou accidents, ce sont de vies humaines dont on parle et de leur survie et nous n’avons aucun droit à juger et décréter que des “lobby” dont la seule motivation serait le “fric” auraient inventé la causalité entre VIH et Sida uniquement pour spéculer sur la misère de cette maladie. Ce serait aussi accepter que finalement monsieur Fabius et son gouvernement n’avaient aucune responsabilité et culpabilité lors du scandale du sang contaminé et là aujourd’hui ce n’est pas une invention.
Mon opinion est qu’un tel article est INDIGNE de Dreuz : Supposer qu’il n y a pas de lien entre VIH et SIDA sous prétexte que les labos s’en mettent plein les poches et du même niveau que les vaccins sont inutiles et dangereux.
OUI, il n y a un lien entre VIH/SIDA. Vous en doutez ? Allez contredire les centaines de chercheurs de haut niveau qui travaillent sur le sujet. Avec des arguments scientifiques bien sûr.
OUI, les labos s’enrichissent avec les traitements antirétroviraux. A l’apparition du SIDA en Occident, il a fallu rapidement trouver un médicament pour prolonger la vie des personnes atteintes, trouver un vaccin étant extrêmement difficile.
Les antirétroviraux ont été développé par les laboratoires; ils permettent de prolonger la vie, certains patients ont une qualité de vie similaires aux non atteints par le virus. On ne peut que reprocher aux laboratoires de vouloir que ces médicaments, très couteux donc rentables, ne soient pas concurrencés par un vaccin ou un médicaments moins cher. En effet le Dr Erwan Loret était sur le point de trouver un vaccin; il a été sommé par l’État d’arrêter ses recherches.
http://www.laprovence.com/article/papier/4351346/vaccin-du-sida-a-marseille-un-scandale-ou-un-scandale.html
Comme il m’est arrivé de l’écrire plusieurs fois sur divers forums, “laissez faire les pros !” Je reste un lecteur assidu de Dreuz pour la géopolitique, tout particulièrement pour le Proche Orient où les autres médias font du mensonge une règle, mais pour ce qui est de la santé, abstenez vous et restez humble, à moins d’avoir un professionnel de santé parmi les rédacteurs.
Bien à vous.
Il y a justement des “pros” cités dans l’article.
Avez-vous bien lu ?
@ Ayin Beothy
Andreas Lubitz, le sinistre responsable du crash volontaire de l’avion de la German wings, était un “pro” du pilotage d’avion… avant de devenir, aux commandes de son avion l’auteur de 150 assassinats !
Etre pro n’a jamais empêché qui que ce soit de devenir dangereux, dingue ou simplement con (ou con-spirationnistes comme les “pros ” mentionnés dans l’article ! ).
Je ne suis pas médecin, mais ayant vécu au Zaïre et RDC pendant plus de 40 ans, durant les années 80 / 90 j’ai vu disparaître des dizaines d’amis et connaissances du SIDA, Au début des années 80 nous ne savions pas pourquoi ils mourraient, ensuite le VIH a été suspecté et les séropositifs détectés mais sans les médicaments appropriés ont continué à mourir. Et les médias se sont emparés de cette situation, des artistes de renom, souvent homosexuels sont morts du SIDA (pour faire simple)
Les nouveaux traitements permettent de retarder l’échéance, mais c’est scandaleux de comparer l’arnaque du climat et celle du VIH qui ne serait pas responsable de cette hécatombe.
haaaa, si vous saviez ce que je sais des laboratoire belges installés au Congo, puis démantelé a la hâte quand des expériences sur des singes ont mal tourné….
Vous semblez en savoir beaucoup, mais vous n’apportez aucune preuve sur ces soit-disant labos belges et leurs expériences sur les singes.
Je suis entièrement d’accord avec vous. Nié le fait que le SIDA et le VIH ne sont pas liés est scandaleux !
VIH/SIDA
Je suis pour le choix précis des mots et la connaissance de tout ce qu’ils impliquent.
Beaucoup de gens font la confusion VIH et SIDA. Ce sont pourtant deux étapes qui ne se succèdent pas forcément. Une personne porteuse du VIH peut, grâce aux traitements, ne jamais développer le SIDA, mais une personne qui a le SIDA a forcément eu le VIH.
Evidemment, on ne peut rien comprendre si l’on pense, comme beaucoup, que VIH et SIDA, c’est la même chose…
C’est c pourquoi il est fondamental de comprendre la différence entre les deux termes et de savoir quand utiliser l’un et quand utiliser l’autre.
Ce qui me choque aussi et me scandalise, c’est l’analogie un peu trop rapide faite fréquemment entre homosexualité et VIH/SIDA !
Cet article en est un exemple : Le passage “Les scientifiques qui sont scientifiquement sceptiques sur le lien de causalité VIH/SIDA sont décrétés “dissidents” et “homophobes””, la simple présence du mot “homophobe” pour parler d’une maladie qui menace tout le monde, autant les hétéros que les homos.
Parler d’homophobie, c’est parler d’homosexuels.
Parler de VIH/SIDA, ce n’est pas parler spécifiquement des homosexuels.
Le VIH et le SIDA ne sont pas le “cancer gay” comme les gens le pensaient au début de son apparition parce que les premières personnes connues à l’avoir développées étaient homosexuelles.
Les homosexuels sont un groupe, or le VIH et SIDA ne ciblent pas un groupe mais des pratiques. En d’autres termes, il n’existe pas de groupe à risque, mais des pratiques à risques. Ces pratiques peuvent être aussi dangereuses pratiquées par un couple hétéro que par un couple homo.
Avoir des relations sexuelles avec un nombre important de partenaires (en même temps ou séparément) augmente les risques de tomber sur un(e) partenaire qui a le VIH et, donc, nous expose à des risques de contracter le SIDA.
Mettre en contact (volontairement ou non) des plaies dont l’une d’elles appartient au corps d’une personne qui se révèle être porteuse du VIH/SIDA ou être transfusé avec du sang contaminé, nous expose à des risques de contracter le SIDA.
Il est donc faux et assez grave d’introduire une notion d’homosexualité pour évoquer le VIH/SIDA. Cela révèle au mieux un manque de connaissance de ce qu’est le VIH et ce qu’est le SIDA et de leurs moyens de propagation et, au pire, d’une malveillance intentionnelle envers les homosexuels.
RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE :
Il est idiot de refuser de croire au réchauffement climatique, les données scientifiques sont trop nombreuses et parlantes pour nous permettre de jouer la mauvaise foi en en contestant la réalité bien visible par toutes les personnes qui ont plus de 30 ans.
La question n’est pas (ou en tous cas, ne devrait pas être) si le réchauffement climatique existe ou non, mais bien s’il est généré ou non par l’activité humaine, s’il est cyclique dans l’Histoire de la nature, ou s’il est inédit.
Tout d’abord, il faut savoir que la communauté scientifique est beaucoup plus divisée sur la question que ce que n’en laissent paraître les médias.
Pour ma part, je suis convaincu que le bouleversement climatique est un processus naturel et cyclique. Il n’est pas engendré par l’activité humaine. Cette dernière occasionne toutefois de nombreux autres dégâts non négligeables mais pas le bouleversement climatique.
Le bouleversement climatique est donc naturel et cyclique. Il va dans le sens d’un réchauffement climatique et ensuite d’un refroidissement climatique, suivant un mouvement, en quelque sorte, similaire à celui d’une respiration.
Lorsque les Vikings ont découvert le Groenland, en l’an 1 000, ils l’ont appelé “Groenland” (“le pays vert” en néerlandais. “Groen” a la d’ailleurs même racine que “green”) parce qu’ils ont vu un pays qui se caractérisait par un paysage vert. Et d’ailleurs en anglais, on l’appelle “Greenland”. Pourtant nous ne connaissons, nous, le Groenland essentiellement comme pays blanc (regardez sur Google image, si vous le souhaitez). Le pays est recouvert de neige et de glace. Il existe, bien sûr, quelques zones vertes, mais pas suffisamment pour qu’un pays puisse être qualifié de “pays vert” ! Et pensez qu’il était donc beaucoup plus vert quand les Vikings l’ont découvert.
La simple existence du Groenland démontre à elle seule l’existence d’un passé au climat beaucoup plus chaud qu’aujourd’hui, le monde a donc ensuite connu une ère glacière qui a recouvert des régions entières de neige, de givre et de glace, dont le Groenland et qui en a fait ce que l’on connaît jusqu’aujourd’hui, où le climat commence à se réchauffer à nouveau.
Les cycles sont longs, très longs, mais pas inexistants.
Il semble seulement que nous manquons de recul pour les prendre en compte quand nous parlons de réchauffement climatique.
Le point positif est que nous ne sommes pas à l’origine de cette révolution climatique.
Le point négatif, c’est que, n’ayant aucune incidence sur ce phénomène naturel, nous pouvons tout faire, rien n’inversera la tendance inéluctable de ce bouleversement climatique dont nous sommes actuellement les témoins. Et nous sommes donc directement exposés à la fonte des glace, à l’élévation du niveau de la mer, à la réapparition de maladies dont nous n’avons même pas entendu parler, etc.
Il se pose, en outre, une autre question : si nous ne sommes pas responsable du réchauffement climatique, sommes-nous, de par nos activités et les émissions de gaz à effet de serre, capables d’en accélérer le processus ?
Si c’est le cas, cela veut dire que nous pouvons, par les mesures que nous prendrons, réduire, voire arrêter, cette accélération, mais pas le processus global qui ne dépend pas de nous.
Devons-nous, pour autant, nous foutre de l’écologie ? Non, car la pollution à des effets dévastateurs sur la faune et la flore ainsi que sur notre santé elle-même et, donc, sur notre espérance de vie. Cependant, la pollution n’est sans doute pas en mesure de provoquer un processus qui, de toutes façons, a débuté bien longtemps avant l’ère industrielle et qui fait partie de l’ordre naturel des choses.
Reste une question intéressante : pourquoi une minorité infime du corps médical soutient, contre toute évidence, que le virus VIH n’est pas responsable du sida ?
La réponse pourrait être la suivante : il n’y a plus aucune notoriété ni reconnaissance officielle à faire de la recherche sur le sida. Les découvreurs du virus ( Françoise Barré Sinoussi et Luc Montagner ) ont été les co-lauréats du prix Nobel. Il n’y a plus aucun prix Nobel à attendre, sauf pour celui ou celle qui mettra au point, si cela est possible, un vaccin . Les recherches actuelles sur des nouveaux médicaments sont des recherches multi-disciplinaires concernant un grand nombre d’acteurs ( généticiens, spécialistes de la structure tri-dimensionnelle des protéines virales, spécialistes de la conception de formes de molécules susceptible d’inactiver des protéines virales, pharmacologues, etc…). Aucun de ces acteurs ne deviendra célèbre, tous resteront anonymes.
Il est donc tentant, pour quelqu’un de vaniteux ou ayant l’appât du gain, de voir sa tête dans les journaux ou de voir un de ses livres publiés. On sort de l’anonymat, on passe à la télé, où l’on est interviewé par des journalistes dont les connaissances scientifiques sont proches la plupart du temps du zéro absolu, et qui seront incapables de ce fait de démasquer les escrocs.
La vente d’un livre, si elle est bonne, peut rapporter bien plus que le salaire faiblard des chercheurs de base ! Or, il existe une grande quantité d’adeptes du complotisme, sur le sujet du sida, des vaccins, ou bien d’autres sujets, qui se délectent d’avance d’acheter un livre qui corrobore leurs lubies…
Aie aie aie, vous ne devriez pas publier d’article comme celui ci. Ça entache votre crédibilité alors que la plupart de vos articles sont tellement pertinents.
Sabrina : vous ne comprenez pas bien le bénéfice de la liberté d’expression, et la remarque s’applique aussi à Phenix qui écrit :
“Certes la liberté d’expression est vitale, mais pas au prix de contribuer à répandre de dangereuses idées, sous des prétextes de « conspirationnisme ».”
La liberté d’expression ne répand pas de dangereuses idées, elle les combat. C’est la censure et la police de la pensée qui répandent des dangereuses idées en interdisant le débat.
D’ailleurs Phenix le dit lui-même ensuite :
“Néanmoins, je constate qu’une grande majorité des lecteurs réagissent avec discernement et sagesse. ”
Comprenez. On parle constamment de liberté d’expression, en France, mais seulement sous l’angle légal et moral de ce qu’on a le droit de dire, et de ne pas dire.
On le fait sans comprendre son intérêt.
Voyez la liberté d’expression comme un marché de libre échange où chacun dit ce qu’il a à dire, chacun entend, répond, et se fait sa propre idée. C’est de l’intelligence des propos et des réponses que nait l’intelligence de l’opinion.
Comme dit Phenix, “une grande majorité des lecteurs réagissent avec discernement et sagesse”. Cela veut dire, à rebours de ce qu’il affirme, que la majorité des lecteurs n’a pas laissé “de dangereuses idées être répandues”.
L’auteur publie régulièrement sur Dreuz, et à partir de là, il ne nous viendrait pas à l’idée de lui dire ce qu’il ne peut pas publier, alors qu’il est médecin.
Mea culpea ! Votre commentaire est très pertinent ! Il ne me viendrait pas à l’idée de censurer qui que soit vous avez raison.
Où, docteur généraliste, avez-vous pu observer personnellement au microscope le virus du sida ? La médecine est une activité, pas une science. Adressez-vous alors aux vrais chercheurs pour en savoir un peu plus que “Donc, oui, le virus du sida est bien la cause du sida… tous mes patients ayant contracté le virus du sida”…
@ Dreuz-info
J’admet jusqu’à un certain point la pertinence de votre argument sur la liberté d’expression.
N’importe qui a le droit constitutionnel d’ affirmer sans vergogne que la terre est plate, qu’une bille tombe moins vite du sommet de la tour de Pise qu’un boulet de canon, que la théorie de l’évolution est fausse, que le monde est apparu il y a 6000 ans, que ( comme Diafoirus le disait chez Molière) le sang ne circule pas, que le virus VIH n’est pas responsable du sida, que les tremblements de terre sont provoqués par le non-respect des injonctions coraniques, et qu’il existe des variables cachées contredisant le principe d’incertitude de Heisenberg.
Néanmoins, les gens qui professent ces opinions ridicules encourent une double peine : celle de ne jamais être publiés dans des journaux sérieux, et par ailleurs celle de ne jamais voir leurs “idées” enseignées dans des établissements d’enseignement dignes de ce nom.
Il y a donc un certain risque à faire un mélange des genres, et chaque organe de presse a sa propre spécialisation. On imagine mal par exemple la revue ” Sciences et vie” donner son opinion sur tel ou tel évènement de politique internationale ou intérieure, sauf s’il comporte des conséquences scientifiques ou technologiques. Le lecteur qui achète ” Sciences et vie” ne l’achète pas dans ce but.
De même, le lecteur de la revue “dreuz-infos” ( qui peut tout à fait être considérée comme une revue bien qu’elle ne comporte pas de support papier ) lit dreuz-infos pour avoir des renseignements non biaisés par le “politiquement correct” sur la politique internationale ou nationale, ou sur des évènements qui sont soigneusement passé sous silence ou sciemment déformés dans les médias habituels, et non pas pour lire des élucubrations pseudo-scientifiques.
Beaucoup de lecteurs de dreuz-info, et j’en fais partie, sont des rationalistes qui en ont assez de la montée de l’obscurantisme dans tous les domaines.
Or, le domaine scientifique est un domaine dans lequel l’opinion se base sur des faits établis grâce à l’observation selon une méthode scientifique indiscutable. Il n’y a d’ailleurs pas de vérité scientifique absolue, par exemple, la théorie newtonienne de la gravitation a du être remplacée par la théorie de la relativité, parce qu’elle ne rendait pas compte de certaines observations, telles que le décalage du périhélie de Mercure.
Les idées scientifiques sont en général publiées dans des revues scientifiques disposant d’un comité de lecture, qui vérifie en principe que l’article ne dit pas n’importe quoi, et que ses auteurs ont observé une méthodologie rigoureuse.
Ces comités de lecture ne sont nullement attentatoires à la liberté d’expression de ceux qui voudraient publier des articles scientifiques ( les articles vraiment scientifiques trouveront toujours une revue pour les publier ), et sont une garantie, pour les lecteurs desdites revues, de ne pas perdre leur temps à lire des absurdités.
Même les revues scientifiques de vulgarisation, telles “Science et vie” ont un comité de lecture, bien que ces revues ne peuvent parfois pas s’empêcher de tomber dans le sensationnalisme.
Le problème de dreuz-infos est qu’il ne comporte pas de comité capable de juger de la pertinence ou non d’allégations pseudo-scientifiques extravagantes telles que celles qui figurent dans cet article.
La prudence serait donc pour dreuz-infos de s’abstenir de publier ce genre d’articles, afin de ne pas se déconsidérer auprès de ses adversaires, qui ne manqueront pas de se baser sur de tels écrits au contenu aussi manifestement erroné, pour déconsidérer par extension l’ensemble du contenu éditorial de dreuz-info.
PS : j’aimerais éventuellement publier certains de mes articles sur dreuz-infos, y a t-il un moyen de le faire, et, si oui, selon quelle procédure, ou est-ce réservé aux rédacteurs habituels ?
Votre remarque est excellente, et nous la prenons en considération. Merci.
Pour publier sur Dreuz, il faut nous contacter par le site.
Je ne connais rien au sujet, mais étant donné ce que semble être la “qualité” de l’article, il serait sûrement bien de rajouter (1)…
L’imposture du lobby VIH-SIDA : Mensonges et Manipulations (1)
et puis un autre article (2).
Et le fait de “s’abriter” derrière le pb du réchauffement climatique pour donner de la crédibilité à son propos pour les néophytes sur le sujet, est plutôt malhonnête. En plus de rendre l’article illisible par amalgames divers.
L’abandon du caractère saint des relations de reproduction encadrées par les lois de la torah, circoncision, mariage entre un homme et une femme, période de pureté et d’impureté, uniquement dans la chambre. Des millénaires qu’on vous dit que ce qui donne la vie peut engendrer la mort sans le respect des ordres de D.ieu.
Je suis étudiant en médecine et j’ai vu au cours de virologie le mode d’action du VIH.
Le processus est connu, donc affirmer que l’on ne peut donner la preuve de causalité entre VIH et le SIDA, c’est dénigrer le travail de milliers de chercheurs.
Les traitements fonctionnent (pas de guérison mais un frein de la maladie), il suffit de comparer un sidéen actuel (traité précocement) avec un cas bien connu qui est celui de Freddie Mercury par exemple! S’il avait pu bénéficier de ces traitements, j’aurais pu le voir en concert…
“les médicaments contre le sida sont des poisons”: oui, et? Tout médicament est un poison, le tout est de doser le bénéfice par rapport aux effets néfastes.
Les médicaments de chimiothérapie sont des poisons, il serait impensable d’en donner à une personne saine. Mais à un cancéreux en phase terminale qu’une chirurgie ne peut sauver?
C’est pareil pour un sidéen pour qui une pharyngite se transformera presque à tous les coups en pneumonie.
Ensuite, cet article manque cruellement de sources: quelle source vous permet d’affirmer que les tests ne sont pas fiables? Est-ce un livre écrit par un seul médecin ou une large étude reconnue?