Publié par Thierry Ferjeux Michaud-Nérard le 2 août 2017

Les scientifiques qui sont sceptiques sur le réchauffement climatique sont appelés “climato-sceptiques”. Les scientifiques qui sont scientifiquement sceptiques sur le lien de causalité VIH/SIDA sont décrétés “dissidents” et “homophobes”.

 

Les scientifiques qui sont sceptiques sur le réchauffement climatique à travers le monde sont appelés “climato-sceptiques”, c’est-à-dire sceptiques sur la réalité d’un réchauffement climatique exceptionnel, sur son origine humaine ou sur le fait qu’il ait des conséquences négatives. Ils sont Prix Nobel, Ph.D., lauréats de nombreux prix, et auteurs d’articles majeurs“. (De Wikiberal)

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Les scientifiques qui sont scientifiquement sceptiques sur le lien de causalité VIH/SIDA sont décrétés “dissidents” et “homophobes“, c’est-à-dire sceptiques sur la soi-disant réalité d’un lien de causalité VIH/SIDA et sur la justification de la masse énorme des financements de plusieurs milliards de dollars pour la “lutte contre le virus“. Ils sont pourtant Prix Nobel, Ph.D., lauréats de nombreux prix, et auteurs d’articles majeurs.

  • Le Monde.fr avec AFP : “Paris devient, dimanche 23 juillet, la capitale (médiatique) de la lutte contre le SIDA. Les organisateurs ont appelé les États-Unis à rester engagés financièrement, alors que le président Trump a menacé de coupes budgétaires. Les Américains représentent un financement essentiel dans ce domaine et nous avons besoin qu’ils restent engagés, a interpelé Linda-Gail Bekker, présidente de la Société internationale du SIDA. : “Pas de fin du VIH sans la recherche et pas de recherche sans des investissements.

Les États-Unis sont le plus gros contributeur. Ils représentent plus des deux tiers des financements gouvernementaux. En 2016, ils ont consacré 4,9 milliards de dollars à des programmes de lutte contre le virus et 19,1 milliards ont été réunis par des donateurs pour la lutte contre le virus. Il en faudrait 26,2 pour être sûr d’atteindre en 2020 le but fixé par l’ONU : que 90 % des personnes vivant avec le VIH connaissent leur statut, que 90 % soient sous traitement et que parmi elles, 90 % aient une charge virale indétectable.

La conspiration scientifique du SIDA : En 2015, Plasmodioum citait l’article de Steven Novella sur le SIDA. “En 2000, la section San Franciso d’ACT UP a écrit une lettre à chaque membre du Congrès américain demandant d’arrêter la recherche sur le VIH. La AIDS Coalition to Unleash Power (ACT UP) a été durant des années en première ligne sur la prévention et la sensibilisation. La section San Franciso d’ACT UP a rejoint le mouvement de négation dans les années 2000, arguant que “le VIH ne cause pas le SIDA […] les tests de dépistage du VIH sont inefficaces et dangereux […] les médicaments contre le SIDA sont des poisons“.

  • Wikipédia : “La contestation de la responsabilité du VIH dans le SIDA est un mouvement dissident qui doute de l’origine virale du SIDA. Ces dissidents soutiennent que le consensus de la communauté scientifique sur le “lien de cause à effet entre le VIH et le SIDAa provoqué des diagnostics inexacts, une peur collective, des traitements toxiques et un gaspillage des fonds publics , (avec) un mésusage sans précédent des normes et méthodes scientifiques. Kary Mullis, lauréat du prix Nobel de chimie en 1993, le virologue Peter Duesberg et (d’autres) affirment qu’il n’existe pas de preuve formelle du “lien entre le VIH et le SIDA“. (On conçoit que l’escroquerie scientifique du SIDA fait que) la majorité de la communauté scientifique rejette ces théories “négationnistes de la causalité ($ officielle) VIH-SIDA qui sont, selon elle, basées sur des arguments “pseudo-scientifiques”. (Elle met en cause la) théorie du complot (contre ses financements usurpés $).”

Sur le réel scandale de l’imposture climatique, John Christi, professeur de sciences de l’atmosphère et directeur du centre des sciences de la terre à l’université de l’Alabama, ancien rédacteur des rapports du GIEC, a écrit : “Je ne vois venir ni la catastrophe qu’on nous annonce, ni la preuve évidente que l’activité humaine doive être mise en cause dans le réchauffement que l’on peut observer. Je vois plutôt l’utilisation aveugle de modèles climatiques (utiles mais qui ne sont jamais des “preuves”) et la coïncidence entre augmentation de la concentration en CO2 et réchauffement qui fonctionne de moins en moins avec le temps“.

Sur l’arnaque scientifique du siècle et l’imposture du lobby VIH-SIDA, le docteur Luc Montagnier, le découvreur français du virus, a indiqué lors d’un symposium à Amsterdam en 1996 : “Nous pensions que ce seul virus était responsable de toute cette destruction. Maintenant nous pensons qu’il est bénin et pacifique et qu’il ne devient dangereux qu’en présence d’autres organismes (?), ce que j’appelle des “cofacteurs” (liés au terrain, aux comportements, aux conduites à risques, et surtout au mode de vie des personnes atteintes).

Le docteur Peter Duesberg, professeur de biologie moléculaire à l’Université de Berkeley Californie, a crée avec 50 autres scientifiques, le “Groupe pour la Réévaluation Scientifique de l’Hypothèse HIV/SIDA”. Le docteur Harvey Bialy a écrit dans “Rethinking AIDS” (Repenser le SIDA) :

“La plupart des médias ainsi que la majorité des scientifiques impliqués dans la recherche biomédicale ont souscrit sans discrimination à l’hypothèse selon laquelle un virus appelé HIV est la cause du SIDA. Cette hypothèse, qui n’a rien à voir avec la science, viole tout ce que nous savions jusqu’ici concernant les maladies infectieuses, autorisant n’importe quelle thérapie, n’importe quelle recherche, pour faire du fric selon des raisons sont non-scientifiques”.

La croyance que le HIV est la cause du SIDA est devenue un dogme scientifique et la plupart des médecins considèrent toute suggestion contraire comme étant un comportement dangereux et irresponsable.

Le docteur Kary Mullis a inventé de la technique PCR (Polymerase Chain Reaction) mondialement utilisée dans la recherche génétique. Elle a écrit :

Je ne parviens pas à trouver un seul virologue qui puisse me donner des références qui démontrent scientifiquement que le HIV est la cause probable du SIDA“.

Le petit livre de Claude Allègre, L’imposture climatique*, © Plon, 2010, a fait sensation. Il évoque “une conspiration, mêlant (fausse) science et politique, qui s’est imposée aux médias“. De notre point de vue, c’est au contraire la propagande de la ploutocratie médiatique qui manipule les esprits pour influencer l’opinion.

La 4 ème de couverture indique que Claude Allègre nous révèle “comment des ambitions (faussement) scientifiques et politiques se sont appuyées sur des intérêts financiers et sur une (république des médias) en manque de légitimation pour alimenter (un climat ! de) peur et de culpabilité…”

Et si la propagande politico-scientifique de la ploutocratie médiatique n’était qu’un mensonge ? Il s’agit encore et toujours d’une misérable ambition commerciale : il faut vendre du vent et faire toujours du fric !

Les inventeurs des mystifications médiatiques sont pour la plupart des journaleux pseudo-intellectuels médiocres. Ils sont ceux, dont on peut dire, sans prendre le risque de se tromper, qu’ils sont encouragés par la paresse, une paresse mentale indécrottable, et une propension naturelle au parasitisme. (J. F. Revel)

N’importe quel journaleux, au service des mystifications médiatiques, écrit des articles mensongers. Il écrit sur ce qu’il ne comprend pas, généralement dans un langage pseudo-scientifique obscur. Il se livre à une tâche de propagande facile. Ensuite, une quantité de bavards insignifiants vont commenter en boucle à la télé ce que le journaleux aurait voulu écrire. C’est l’occasion pour ces pseudo-intellectuels médiocres de gagner leur vie en vendant du vide. Tous ces gens insignifiants n’ont aucune chance d’approcher jamais la vérité.

Etienne de Harven, Prof. Agrégé de l’Université Libre de Bruxelles, Prof. Émérite de l’Université de Toronto, Canada, Ancien président de Rethinking AIDS, a co-écrit Les dix plus gros mensonges sur le sida* :

“Pour le grand public, (le mensonge de) “l’unanimité de la communauté scientifique” sur la cause VIH du SIDA ne fait aucun doute. Il faut le reconnaître, aussi bien le corps médical que les chercheurs sont sincèrement persuadés qu’un virus “VIH” est la cause de l’immunodéficience acquise. Le battage intensif (et très coûteux) réalisé au profit exclusif de l’hypothèse virale, qu’il provienne des médias, des laboratoires pharmaceutiques ou des publications professionnelles, a tout fait pour anesthésier les consciences et étouffer toute recherche alternative. Malgré cela, des centaines de chercheurs scientifiques n’ont pu accepter “les mensonges et les incohérences distillés par les instances officielles“. (“Les 10 plus gros mensonges sur le SIDA“, par le Dr Étienne De Harven et Jean-Claude Roussez, éditions Dangles, © 2005.) (Jean-Claude Roussez, journaliste scientifique, a publié un livre en 2004 sous le titre : “SIDA : supercherie scientifique et arnaque humanitaire*“).

Rebecca Culshaw a écrit “Théorie VIH du sida, incohérence scientifique !* :

Les tests du VIH ne sont pas fiables. L’utilisation des tests VIH en tant qu’outil de diagnostic doit être reconsidérée. Le plus urgent serait que la validité de ces tests soit rigoureusement confirmée par la présence effective du VIH lui-même. Or ceci n’a jamais été jusqu’ici réalisé ! Le résultat des tests ne devraient jamais constituer un motif de discrimination à l’égard de qui que ce soit, surtout quand il s’agit de tests aussi peu fiables… La persistance dans l’esprit du public de cette théorie intellectuellement en faillite est due à la campagne de crainte, de discrimination et de terreur menée par un groupe puissant composé de personnes dont la seule motivation est le contrôle des comportements.”

On ordonna à Galilée d’abjurer ses convictions sinon il serait excommunié. C’est la même chose pour ceux qui refusent d’accepter l’autorité de l’orthodoxie VIH-SIDA

Certes, l’argent et les intérêts gigantesques de l’industrie pharmaceutique et des chercheurs subventionnés par le gouvernement ont un rôle important, mais l’élément qui a permis à l’hypothèse VIH/SIDA de germer n’est rien d’autre que la peur… Si la peur finissait, le mythe finirait.

La recherche sur le SIDA a toujours souffert de cet absolutisme moral, de discrimination pure et simple et de refus du débat. Comme l’écrit Kary Mullis dans son livre Dancing Naked in the Mind Field* : “Ce que les gens appellent aujourd’hui la science est similaire à ce qu’on appelait la science en 1634. On ordonna à Galilée d’abjurer ses convictions sinon il serait excommunié. C’est la même chose pour ceux qui refusent d’accepter l’autorité de l’orthodoxie VIH-SIDA”.

La théorie VIH-SIDA n’a rien à voir avec la science, mais avec le contrôle du comportement et surtout avec l’argent , le pouvoir et le prestige. Le langage entourant le VIH et le SIDA est imprégné d’une sorte de moralisme inapproprié au domaine scientifique. (C’est pourquoi) Mark Wainberg n’hésite pas à traiter de “criminels” les chercheurs dissidents (anti-$) de la théorie VIH = SIDA.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Thierry-Ferjeux Michaud-Nérard pour Dreuz.info.

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