Publié par Rosaly le 13 août 2017

Ci-après, le récit édifiant d’un responsable de la sécurité à bord d’un navire de l’ONG « Save the Children : il lui était interdit de recueillir des éléments, qui auraient permis d’identifier les trafiquants.

Lucio M. était chargé de la sécurité privée du navire « Vos Hestia « appartenant à l’ONG “Save the children”, il est à l’origine de l’enquête du Parquet de Trapani sur l’ONG allemande « Jugend Rettet »

Fort d’une longue expérience dans la police, Lucio M. et son équipe s’embarquèrent sur le navire le 5 septembre 2016, au début de la mission de l’ONG, et restèrent à bord jusqu’au 10 octobre.

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Il put ainsi constater de visu la collusion entre l’ONG et les passeurs et dénonça cette dernière aux Autorités. L’ONG protégeait en fait les trafiquants et interdisait à l’équipe de sécurité de recueillir tout élément, qui aurait pu les identifier..

. Quelles furent les anomalies et les collusions observées lors des secours apportés par les ONG aux migrants, que vous eûtes l’occasion d’ observer ?

« Au cours des 40 jours passés sur le navire, nous avons récupéré par trois fois des migrants de la « Juventa » (mise depuis sous séquestre par le Parquet de Trapani pour aide à l’immigration illégale). Une fois, ils affirmèrent avoir secouru 300-400 migrants, mais autour du navire, il n’y avait ni embarcations ni canots pneumatiques. Les trafiquants, qui avaient escorté les migrants depuis la Libye, étaient repartis avec les bateaux, afin de les réutiliser.

En octobre, les personnes à bord du navire « Vos Hestia » de l’ONG « Save the children » virent tout comme moi, qu’une vedette avec 2 individus à bord s’éloignait à toute vitesse vers la côte libyenne. Il s’agissait de trafiquants qui venaient de conclure un accord pour l’embarquement d’environ 140 migrants. »

. Les membres de “Save the children” étaient-ils conscients de ce qui se passait ?

« Oui, ils l’étaient par l’intermédiaire du chef de l’équipe à bord du Vos Hestia qui, je le suppose, informait les responsables de « Save the children ».

Puis il y eut un cas étrange avec des Erythréens.

Ils venaient de remplacer le médiateur à bord du navire par un jeune italo-érythréen, qui ne parlait pas arabe, mais le tigrinya. Et comme par hasard, deux jours plus tard, nous « secourions » une grosse embarcation remplie d’Erythréens. Et ce fut le responsable de « Save the children » qui donna la position au capitaine du « Vos Hestia » Aucun migrant n’était en danger de mort, mais nous les avons tous récupérés. »

. Existe-t-il un chat parallèle grâce auquel sont transmises les informations relatives aux positions des embarcations ?

« Je sais que les chefs des équipes du “Save the children” reçoivent sur leurs portables personnels les coordonnées des positions des embarcations ou des canots des migrants. «

. Quelles ONG sont impliquées?

« A mon avis la “Jugend Rettet” et probablement toutes les ONG qui reçoivent les signalisations comme “Save the children”. »

. Et qui donnait ces informations ?

« Elles étaient très certainement transmises soit du territoire libyen, soit par les téléphones satellitaires donnés aux trafiquants. Il s’agissait en fait de véritables rendez-vous. »

. Les opérations en mer avaient-elles pour but de sauver des vies ou dissimulaient-elles d’autres objectifs plus obscurs ?

« Pendant ces quarante jours, on a jamais sauvé une personne en train de mourir. »

. Les migrants débarqués en Italie étaient-ils des réfugiés ou des clandestins ?

“Les vrais réfugiés représentaient 20%, les autres étaient des gens, qui voulaient revenir en Italie, après avoir été expulsés, surtout des Magrébins. Certains me disaient : « j’étais en prison dans ton pays, puis ils m’ont expulsé et ceci est la seule possibilité de revenir en Italie. »

. Pourquoi les membres de « Save the children » ont-ils refusé de remettre les photos et les vidéos des secours à la police ?

« Il y avait à bord un professionnel qui photographiait toutes les opérations.

Selon moi, par crainte que la police ne reçoive des images compromettantes, ils préféraient déclarer ne pas en avoir. «

. On vous a aussi enjoint de ne pas le faire ?

« Il me fut ordonné, ainsi qu’à toute mon équipe de ne pas prendre des photos, de n’avoir aucun contact avec la police et la garde-côtière et d’omettre tout signalement, susceptible d’ aider à l’identification des trafiquants ou de toute personne, qui détiendrait quelque chose d’illégal. »

. Pourtant, ils ont publié sur leur site quelques-unes de vos photos.

« Oui, c’est vrai. Par exemple, celle où je tenais une petite fille syrienne dans les bras, l’une des rares, qui devait être secourue. Cette photo a été postée sur tous les sites de « Save the children » afin d’émouvoir et d’obtenir des donations. »

. Il y avait-il beaucoup d’argent en circulation ?

« L’affrètement d’un navire coûte annuellement plusieurs millions d’Euros. Le Vos Hestia fut loué auprès de la Vroon Italia à Gênes, après des mois d’inactivité en Egypte, mais ce n’est pas le plus important. J’aimerais connaître les montants donnés par le gouvernement et diverses institutions à « Save the children ». L’un des membres à bord de l’ONG a déclaré : « Vous ne pouvez imaginer la pluie d’argent qui s’est abattue sur nous de la part de l’administration publique. »

. « Les volontaires sont-il rétribués ? »

« Il y avait des rapports tendus parmi les membres italiens de « Save the children » et les autres. Dans ce climat de tension, l’un deux a craqué un jour en disant qu’il n’était pas possible que l’un des membres puisse recevoir 10.000 Euros/mois … »

. Il y a-t-il eu des protections politiques, qui permirent aux ONG d’agir impunément ?

« Oui, je le pense. »

. « Pourquoi vous et quelques autres avez-vous décidé de parler et de lever ainsi le voile sur le rôle des ONG face à la Libye ? »

« Pour faire le bien, on peut aussi parfois se tromper en toute bonne foi, mais après avoir été témoin, nous ne pouvions plus taire. Ces ONG n’étaient pas de bonne foi. Il s’agissait bien de quelque chose de planifié, donc illégal. »

Aux dernières nouvelles, une nouvelle enquête pourrait ébranler les ONG. Elle émane du Parquet de Catane. D’après le journal « Il Fatto Quotidiano », l’hypothèse d’une accusation de délit d’association criminelle en faveur de l’immigration clandestine pourrait être envisagée à l’encontre des ONG.

Selon cette hypothèse, certains membres des ONG concernées, non seulement sont entrés en contact avec les trafiquants, mais ont planifié ensemble un certain nombre de stratégies pour donner suite aux opérations de sauvetage et aux transbordements des migrants. Les enquêtes du Parquet de Catania sur les contacts entre les ONG et les trafiquants semblent être plus approfondies que celle du Parquet de Trapani. Elles ont révélé une entente probable, qui n’avait rien de sporadique, entre les équipages et les trafiquants pour les sauvetages des migrants.

Après MSF, l’ONG « Sea Eye « suspend momentanément ses activités de sauvetage pour des raisons de sécurité, suite à la prolongation par les Autorités libyennes, pour une durée indéterminée et unilatérale, de l’ interdiction faite aux navires des ONG privées d’entrer dans les eaux territoriales libyennes.

Les enquêtes en cours sur les ONG indignent les grands prêtres de l’immigration et ces derniers n’hésitent pas à traiter de « canailles racistes » ceux qui les approuvent.

Un journaliste et auteur italien, Eugenio Scalfari, un illuminé du métissage, si cher à nos « élites » a déclaré il y a 4 jours au journal l’Espresso :

« Il se profile un phénomène positif, celui du métissage, la tendance à la naissance d’un peuple unique, au sang intégré. C’est le futur qui devra se réaliser d’ici deux ou trois générations et qui va être politiquement effectué par l’Europe ».

C’est le même langage de réductionnisme biologique, qui au XXe siècle prêchait la pureté de la race aryenne du pur nazisme inversé !

Métissage, sang intégré, peuple unique ? N’est-ce pas du racisme contre nous, les Européens de souche, contre notre identité culturelle, ce même racisme que l’on peut retrouver dans le délire fou des technocrates de Bruxelles, quand ils affirment que si les peuples européens ne cèdent pas au métissage, ils vont dégénérer dans la consanguinité ?

L’idéologie immigrationniste de la gauche est la plus hypocrite de notre temps. Elle est pire que ce multiculturalisme suicidaire, qui est en train de transformer nos villes en Eurabia.

Son angélisme et son accueil ne sont que le visage médiatiquement parfait de l’esclavage du nouveau millénaire imposé par les Seigneurs de la globalisation dont ils sont les prêtres dévoués.

Il n’y a aucun destin historique à cette immigration planifiée. Il s’agit seulement d’une grandiose expérience de laboratoire, dont nous sommes les cobayes. Ils ont besoin de nouveaux esclaves, car les esclaves présents en Europe ne suffiront pas, alors ils les importent d’ailleurs. Ils nous traitent de « canailles racistes », mais les canailles ce sont eux, les esclavagistes du XXIe siècle, ces menteurs, qui nous enfument à longueur de journée avec leurs théories abracadabrantes pour nous faire accepter notre propre disparition.

Dans cette vidéo, qui date de 2010, Roy Beck, expert en matière d’immigration, explique en 6 minutes au moyen de 3000 billes colorées pourquoi l’immigration ne pourra jamais être une solution à la pauvreté. Bien au contraire, ce phénomène apportera beaucoup plus de pauvreté pour eux et pour nous. Et avec une désarmante simplicité, Beck fait comprendre pourquoi le seul lieu où ces personnes doivent être aidées est leurs pays, là où elles vivent.

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Mais pourquoi logique et bon sens sont-ils des vertus inconnues chez ces malades qui nous gouvernent?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Sources : Il Giornale.it (articles traduits et adaptés par Rosaly)

.”Segnali e bugie: così le Ong proteggevano i trafficanti”

« Catania : altra accusa delle ONG : E associazione a delinquere ».

. »Canaglia schiavista »

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