Gilles-William Goldnadel revient sur les événements de Charlottesville aux Etats-Unis. Pour lui, si on ne peut bien sûr renvoyer à dos le camp des victimes et celui des meurtriers, on ne peut pas faire l’économie d’une critique du racialisme américain.
Comme toujours lorsque l’idéologie médiatique s’empare d’un sujet parmi cent autres qui mériteraient un traitement au moins aussi important et lui réserve une médecine planétaire et hystérique, la liberté de penser rationnellement suspend son vol. Le traitement réservé au drame de Charlottesville ne déroge pas à cette triste mais résignée observation. Quelques jours après les faits, il est peut-être permis enfin d’émettre quelques dures vérités.
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- Le fait que l’actuel président des États-Unis soit balourd, grossier, vulgaire et maladroit politiquement n’autorise pas qu’il soit traité plus mal que les dictateurs turc, syrien ou iranien sous prétexte qu’il gouverne la plus grande démocratie du monde.
- Il était stupide moralement et politiquement de renvoyer dos à dos les deux extrémités du spectre politique américain alors même qu’il y avait le camp des victimes et celui des meurtriers. De même, lors de sa première intervention, Donald Trump aurait dû expressément incriminer les suprématistes dont l’un des membres, fanatisé, venait de donner la mort à une jeune contre-manifestante qui ne demandait qu’à vivre.
Mais on aurait aimé, pour leur cohérence intellectuelle et morale, que ses contempteurs les plus acharnés montrent la même sévérité dans des circonstances précédentes.
S’agissant du renvoi dos à dos choquant, il n’y a pas 10 jours une bonne partie de la presse internationale y procédait sans état d’âme entre le président des États-Unis et le chef nord-coréen de la pire dictature communiste du monde. Et les mêmes qui poussent des cris d’orfraie aujourd’hui n’étaient en rien choqués de voir vouer aux mêmes gémonies pendant l’affaire de Gaza, l’État d’Israël et les terroristes du Hamas.
Quant à ne pas prononcer le nom de l’idéologie coupable, j’aurais passé mes trois dernières années éditoriales, avec un succès très relatif, à morigéner les chefs d’État français, en ce compris le dernier, pour avoir un problème de vocabulaire avec le mot «islamiste» au lendemain de chaque attentat.
J’observe au lendemain de l’attentat terrible de Barcelone que la plupart des responsables politiques ou des personnalités, Barack Obama compris, n’ont pas cru devoir citer le terrorisme islamiste sans que personne n’ose le leur reprocher.
S’agissant de l’ancien président américain, j’ai publié dans ces mêmes colonnes il y a plus d’un an (11 juillet 2016) un article intitulé «après Dallas, la consternante absence du mot «raciste»» J’écrivais:
«Après le carnage cruel de Dallas, un mot manquait cruellement au discours du premier américain: «raciste». Un noir, adepte du suprématisme noir, déclarait avoir massacré des policiers blancs pour venger des crimes commis par d’autres policiers blancs. Mais le mot qui serait venu naturellement aux lèvres de n’importe qui si, par exemple improbable, un Français voulait tuer un musulman intégriste pour venger le 13 novembre, manquait». Je n’ai pas entendu qu’on ait instruit un procès à Barak Obama pour autant.
- On ne sera jamais assez sévère envers les suprématistes. Au demeurant, j’avoue les confondre avec les nazislamistes dans une même détestation. Les uns comme les autres communiant dans le même racisme, le même antisémitisme, le même antisionisme et, dernièrement, le même usage de la voiture bélier. Ayant écrit cela d’une main ferme, je dois poursuivre de la même main: ayant observé la flagrante différence de traitement médiatique entre les criminels blancs et les autres, j’accepte difficilement que l’idéologie gauchisante en majesté médiatique profite d’un crime médiatisé à l’extrême pour tenter de relaxer l’extrême gauche américaine coupable de pathologie anti-blanche et par voie de conséquence d’indulgence criminelle envers l’islamisme. Elle n’a pas pipé mot lorsque le 21 juillet l’imam américain Ammar Shahin délivrait son sermon au Centre Islamique de Davis en Californie et réclamait l’annihilation du méchant peuple juif: «Oh Allah détruit les, et ne les épargne pas, ni leurs enfants ni leurs aïeux!»
Je n’ai pas constaté non plus dans la presse progressiste de levées de boucliers lorsque l’americano-palestinienne Linda Sarsour a pris la tête de la marche des femmes anti-Trump lors de l’intronisation de ce dernier tout en soutenant publiquement la terroriste condamnée Rasmea Odeh (Jérusalem Post 17 août).
Sur le fond enfin, et ainsi que l’écrivait excellemment la correspondante du Figaro aux États-Unis, Laure Mandeville (17aout) «Pour beaucoup de conservateurs qui partagent ses idées sur la responsabilité de l’extrême gauche dans la spirale de division qui souffle sur le pays, l’incapacité de Trump à tuer dans l’oeuf le poison de l’extrême droite après Charlottesville est une très mauvaise nouvelle. Car elle rend inaudible son discours sur l’existence d’une radicalisation à gauche, qui mériterait d’être entendue.… Des intellectuels, comme l’historien de l’Antiquité Victor Davis Hanson, estiment que «Trump n’est pas la cause» mais «le reflet» de la division. Ils dénoncent les excès du politiquement correct qui déferle sur les universités, racialisant le débat en faisant des privilèges de l’homme blanc le centre de toute discussion.
«En affirmant que le langage de la race et de l’identité est le seul acceptable, la gauche ne laisse d’autres choix aux blancs que d’utiliser ce même langage», note George Mitchell, professeur de théorie politique à l’université de Georgetown qui craint un nouveau temps de troubles tragiques.
Peter Simi, spécialiste des mouvements suprématistes blancs à l’université de Californie, qui juge leur essor «extrêmement inquiétant», en déduit «qu’une conversation honnête est nécessaire en Amérique» sur ces sujets.
«Une grande partie des gens qui ont voté Trump n’est pas raciste mais partagent l’idée selon laquelle le procès incessant fait à l’homme blanc au nom du passé doit cesser».
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Malheureusement la polémique hystérique de Charlottesville n’avait rien d’une conversation honnête.
Refuser de comprendre qu’il existe un pseudo antiracisme névrotique anti blanc tout aussi méprisable et criminel que le racisme blanc, ce n’est pas seulement faire montre de racisme stupide mais c’est surtout nous préparer des lendemains qui pleurent.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Gilles-William Goldnadel. Publié avec l’aimable autorisation du Figaro Vox.
Cher William Goldnadel,
Permettez-moi de ne pas partager votre jugement sur DJT: balourd, grossier, maladroit etc… Nous sommes nombreux à percevoir dans ses jugements la santé de ceux qui firent nos pays et qui ne sont ni les politiciens (eux-même mal embouchés) ni les “diplomates qui, afin de ne “peiner” personne, finissent par ne rien dire.
Ensuite, le “camp” des meurtriers comprend le gouverneur Mac Auliff qui donna les ordres de ne pas séparer les “protestataires” c’est à dire les anti-fa violents et qui ont comme objectif de détruire NOS pays, d’avec ceux qui voulaient défendre l’héritage du Sud contre les iconoclastes de gauche. Le meurtrier présumé (vous êtes avocat) est “peut-être” entré volontairement dans la foule mais rien ne le prouve encore, surtout quand on sait qu’il fuyait peut-être un blocage dangereux par ses opposants. Nous verrons. Dire que les deux cotés ont une responsabilité et qu’ils sont équivalent est une vérité, tant parce que les gauchistes sont arrivés armés de club de golf dont ils se sont servis contre des femmes, que parce que leur but est la destruction du souvenir de la guerre de Sécession que le gouvernement fédéral américain a fait sien depuis 1898. Il s’agit d’une atteinte à l’honneur de 750.000 soldats qui donnèrent leurs vies (Même pauvres) pour leurs patries, et que les minables traine-savates qui servent de nervis politiques aux traîtres qui peuplent la politique américaine veulent éradiquer en les criminalisant. Cela rappelle les autodafés nazis et les destructions d’églises et de bâtiments tsaristes par les communistes.
Voilà, les peuples n’en peuvent plus des “élites qui critiquent l’homme président quand eux-même, dans les studios de radio ou télévision qu’ils fréquentent, usent de grossièretés pour “faire peuple”.
Moi non plus je ne suis pas ok avec ces propos, même si je ne suis pas toujours d’accord avec Trump.
Quand on a autant de bâtons dans les roues, faire ce que fait Trump est un exploit, et il arrive qu’il y ait des maladresses, surtout quand on n’a aucune expérience politique, mais cela ne fait pas de lui quelqu’un de généralement maladroit. Après, “balourd”, “grossier”, c’est à l’appréciation de chacun selon son éducation…
Je le soutiens dans ses propos renvoyant les deux camps dos à dos, il a justement fait montre d’une pensée nuancée et non manichéenne. Que la jeune femme soit morte n’excuse nullement les gauchistes d’être venus armés pour se battre avec des gens dont une bonne partie n’étaient probablement ni suprémacistes blancs ni néo-nazis, mais de simples sudistes défendant leur histoire, ce qui était jusqu’à il y a peu reconnu comme juste.
D’ailleurs, une majorité d’Américains sont pour le maintien des statues, et même davantage de Noirs sont pour que contre.
@ Clément et Caramba
Je n’ai pas remarqué que le président américain serait “balourd, grossier, vulgaire ou maladroit”, et rassurez-vous, G.W.Goldnadel n’est pas de cet avis non plus.
C’est sa façon d’écrire que malgré tout ce que la racaille journalistique de France puisse penser et dire de Donald Trump, il est très malvenu de leur part de le traiter inférieurement aux vrais zombies malfaisants tels que Erdogan, El Assad, les mollah de Téhéran et les autres.
@Rico
C’est la première pensée qui m’est venue et que c’est bien dans “sa façon d’écrire..”
Il n’en demeure pas moins qu’il a très mal amené son entrée en matière, non ?
Le problème avec notre GWG est qu’il faut parfois s’y reprendre pour comprendre sa mécanique intellectuelle ; l’avocat en lui est indélébile 😉
Reconnaissons toutefois que D. Trump est plutôt “rustique”, non ? Cela n’empêche pas d’apprécier le personnage…
La rhétorique, je la comprends, j’agis aussi de cette manière quand je dois faire passer un message que je veux voir un minimum accepté par ceux qui ne sont pas de mon mort : sembler concéder. Cependant, je trouve que là, c’est un peu fort de café… On peut par exemple dire ne pas aimer ses goûts, sans aller jusqu’à lui prêter toutes sortes de défauts qu’il n’a pas…
Je pense que Trump a eu raison de critiquer la haine des deux côtés. C’est d’ailleurs parfaitement subtil de sa part. Pourquoi ? La liberté de manifester est constitutionnelle aux Etas-Unis. Donc la partie suprémaciste blanc manifeste avec ses slogans, etc … Que cela nous plaise ou non. La partie du Nouveau Mouvement Fasciste (autoproclamé Antifas) fait une contre manifestation. La contre manifestation au jour et lieu de l’autre manif est un acte de haine, d’agression, de provocation de l’autre. Point. Ce jeu est parfaitement utilisé en France et vous m^mes ici vous avez dénoncé “la bienveillance des autorités à l’égard de l’extrême gauche ( ceci est ma phrase). Cela fait 30 ans , je dis bien 30 ans que cette comédie , qui devient tragique dure. Au lieu de critiquer le FN, ses idées on ferait mieux d’étudier ce cas stratégique d’école pour riposter à la gauche. Vous l’avez bien dit pourtant avec Zemmour, le problème de l’antisémitisme n’est plus l’extrême droite, mais l’islamisme et ses alliés de gauche. Alors faut passer à la riposte maintenant. Nos amis américains ont en besoin. Prenons le cas global de la gauche en France, de ses médias et surtout faire de l’histoire du FN un cas d’école. Combien de bourricots à l’UMP (LR) comme NKM et tant d’autres sont entrés dans la souricière. Suivez mon regard maintenant avec les déclarations de certains bourricots de Républicains US.
La lutte contre le terrorisme, l’islamisme et l’extr^me gauche exige maintenant des scénarios comme une guerre classique. Il ne faut plus dénoncer et analyser. COMMENT LES BATTRE !!! Et vous verrez que la préparation à un scénario de guerre civile devient une exigence malheureusement. Faut s’y préparer.
D’ailleurs le général Robert Lee a été réhabilité par Gérald Ford en 1975. Des rues portent son nom.
Détruire sa statue c’est nier l’histoire du sud américain.
On pourrait alors en France détruire toute trace de Napoléon 1er qui avait rétabli l’esclavage en 1802….
effectivement on pourrait, on devrait même enlever les statues de napoléon et pas seulement pour avoir rétabli l’esclavage.
juste ou pas lee défendait une cause en soldat, nap lui voulait avaler l’europe entière, être le maître du monde par une politique brutale et agressive, c’était un psychopathe.
Quand on parle de Napoléon encore faut-il ne pas tomber dans l’approximatif. Il n’a jamais voulu “avaler” l’europe entière car les coalitions se sont succédées à l’instigation de l’Angleterre auxquelles il a répondu. Une exception: la Russie: il savait par ses services que le tsar allait rompre la paix de Tilsit et a préféré prendre les devants pour l’empêcher de reprendre l’alliance avec l’Autriche et la Prusse qui étaient dans son armée dans cette campagne. Ce fut une erreur stratégique, mais comme le disait Jean Tulard, il nous est facile, à nous qui connaissons la fin de l’histoire, de critiquer des décisions après coup! Je rappelle que les plus grands philosophes de son temps (Hegel, Nietzsche) en font l’éloge des années après, et de grands écrivains furent avec lui dans cette épopée: Goethe, Stendhal, etc…
Cette histoire qui est la nôtre fut trop grande pour des esprits simples et il conviendrait de modérer des jugements hâtifs sur une histoire complexe et fabuleuse.
Non monsieur, un psychopathe n’aurait pas donné le code civil et tout le reste
Si vous voulez vous intéresser à la psychopathie ne cherchez pas nous avons un très beau spécimen depuis peu
Cet article est decevant:
•Le fait que l’actuel président des États-Unis soit balourd, grossier, vulgaire et maladroit politiquement.
Il est honnete car il dit ce que la majorite pense.
•Il était stupide moralement et politiquement de renvoyer dos à dos les deux extrémités du spectre politique américain alors même qu’il y avait le camp des victimes et celui des meurtriers. De même, lors de sa première intervention, Donald Trump aurait dû expressément incriminer les suprématistes dont l’un des membres, fanatisé, venait de donner la mort à une jeune contre-manifestante qui ne demandait qu’à vivre.
NON. Les deux camps se valent bien.
Poids et mesures au Québec également, pas mal non plus dans le genre :
http://www.journaldequebec.com/2017/08/14/le-racisme-dont-on-ne-parle-jamais
” Comme vous le savez, des affrontements violents entre des groupes de jeunes ont perturbé (le mot est faible) la première édition du Festival marocain de Laval, un événement qui devait permettre aux « Québécois d’origine marocaine de partager leur culture avec l’ensemble de la société ».
Selon Fatima Maarouf, la présidente du Festival, des jeunes Algériens ont profité de ce festival pour aller se battre avec de jeunes Marocains.
« Ils s’affrontent lorsqu’ils se rencontrent, a-t-elle déclaré à l’Agence QMI. Ils sont à tous les festivals. »
Ah ouais, sans déc ?
https://www.tdg.ch/monde/americains-tiennent-statues/story/23580831
62 % des Américains sont pour le maintien des statues, et ça dépasse les seuls sudistes.
Parmi eux, 44 % de Noirs veulent le maintien des statues, contre 40 % de la communauté.
44 % des démocrates veulent les garder, 47 % non.
Les motivations ne sont pas identiques parmi les partisans du maintien, mais ça montre que la réalité est loin de ce que donne le matraquage médiatique.
Puisque le clash est venu d’une statue de Lee, des gens ont essayé de rappeler qu’il s’était déclaré contre l’esclavage, “fléau moral et politique” selon lui, avant même la guerre, comme d’autres généraux sudistes de premier plan (Cleburne, Ewell… on trouve certes l’équivalent au Nord, Howard par exemple, mais pas chez Grant, Sherman ou McClellan). Mais sa famille avait des esclaves, et a pesé plus lourd dans son choix initial (il n’était alors que colonel).
Je ne cherche surtout pas à défendre le Sud, je rappelle une complexité que les accros à la diabolisation ne veulent surtout pas voir.
Il est curieux de constater que l’acte de déposition de peluches, d’allumages de bougies et de déclarations “vous-n’aurez-pas-ma-haine”, vivement encouragé et assidûment pratiqué par la gauche toxique hystérique lorsqu’il s’agit des massacres autrement plus systématiques et autrement plus dévastateurs commis par les suprématistes corano-mahométaniques, n’a pas eu lieu à Charlottesville.
14 morts, 130 blessés dont 16 grièvement à Barcelone. Un vrai acte de guerre.
1 mort, 8 blessés le jour suivant à Turku, en Finlande.
1 mort, plusieurs blessés dont 1 grièvement le jour suivant à Wuppertal, en Allemagne.
Commis par des “terroristes présumés”. Les mots “islam” ou “musulman” n’ont pas été prononcés.
Je n’ai pas entendu le terme “terroriste présumé” lors de l’incident à Charlottesville (la presse parle, au sujet du Finland, d'”incidents”).
Il y a une chose dont il faut vivement s’inquiéter et contre laquelle les autorités devraient prendre toutes les mesures qui s’imposent, avec la plus grande fermeté : la monté de l’islamophobie.
On est en train de se battre entre Occidentaux à cause de l’avènement de l’islam rampant dans nos sociétés! Et le tumulte va grandissant…
Si c’est le gouverneur Mac Auliff qui donna les ordres de ne pas séparer les deux manifestations, c’est le gouverneur Mac Auliff que Donald Trump aurait dû interpellé.
Ceci étant, je ne crois pas un instant que Trump sois ce maladroit que vous décrivez. Ce gars-là sait exactement ce qu’il fait mais il oublie jusqu’à quel point ses adversaires sont ESSENTIELLEMENT MALHONNÊTES : PEU IMPORTE CE QU’IL AURAIT FAIT OU DIT SUR CHARLOTTESVILLE COMME SUR TOUT AUTRE CHOSE, LES HYÈNES DES MÉDIA L’AURAIENT ÉCHARPÉ AUTREMENT.
Que le Dieu d’Israël et de Jésus veille sur lui. Il faut qu’il tienne. Je crois qu’il gère plutôt bien l’adversité.
“ses adversaires sont ESSENTIELLEMENT MALHONNÊTES : PEU IMPORTE CE QU’IL AURAIT FAIT OU DIT SUR CHARLOTTESVILLE COMME SUR TOUT AUTRE CHOSE, LES HYÈNES DES MÉDIA L’AURAIENT ÉCHARPÉ AUTREMENT.”
Exactement. A observer ce qui se passe actuellement aux États-Unis, on se demande quel sens peut-on encore donner au terme “démocratie” dans ce pays. En tout cas, elle n’en ressortira pas grandie, ni suscitant une admiration inconditionnelle.
Alain Finie: Une enquête fédérale est en cours sur ce point (afin d’évaluer les actions du gouverneur McAuliff & maire Mike Signer). Il semblerait que ces deux démocrates aient freiné la protection policière qui devait affronter les antifas (+de 1000 personnes) et protéger les white-suprématistes dont le nombre s’élevait seulement a une trentaine ou cinquantaine de personnes.
Cher GWG,
J’ai la nette impression que vous avez tout fait pour vous attirer les foudres de guerre!
– “Le fait que l’actuel président des États-Unis soit balourd, grossier, vulgaire et maladroit politiquement…”.
A “balourd, grossier, vulgaire”, qui sont des synonymes, j’eusse préféré “rustique” voire “rustre” et tout était dit sans choquer. Quant à “maladroit politiquement”, ses prédécesseurs l’ont été maintes fois et cela ne les empêchaient pas d’être politiquement correct.
– Vous continuez, “n’autorise pas qu’il soit traité plus mal que les dictateurs turc, syrien ou iranien.”, vous le considérez donc comme un dictateur, me trompè-je ?
Cela dit, bien évidemment, et pour reprendre votre phrase, qu’il “était stupide moralement et politiquement de renvoyer dos à dos les deux extrémités du spectre politique américain…”, mais vous savez, aussi bien que moi, Cher GWG, que l’on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs et notre D. Trump est un constructeur avant tout. Et qui dit construire dit aussi détruire….
D’un côté, on se plaint d’un trop grand laxisme qui a perduré jusqu’à nous amener ce conflit actuel mondial, et de l’autre, dès qu’il y a un changement à l’extrême, on s’étonne !
Les troubles en Amérique étaient déjà là depuis des décennies, elles couvaient et les prédécesseurs de D. Trump avaient bien su les minimiser au détriment du peuple américain. N’en est-il pas de même pour la France et une grande partie de l’Europe ?
En dehors de l’islamisation que nous avons subie directe et programmée, ce qui n’a pas été le cas des USA.
Mis à part cela, les problèmes économiques, démographiques et géopolitiques sont là et nous ne devons pas nous voiler la face, l’antiracisme à tout va est bien ancré, il a même fini par amener le racisme anti-blanc. Alors ne nous étonnons pas de voir surgir les vieilles extrêmes droites pures et dures.
Pensez-vous, Cher GWG, que ce sont des pensées comme celles d’un grand Raymond Aron qui peuvent aujourd’hui faire revenir à la raison des générations de décérébrés ? Non, je ne pense pas. J’ai bien peur qu’il faille, avant cela et malheureusement, passer par une dictature républicaine ou une révolution.
Bien à vous, même si je sais que vous ne répondez pas 😉
Je persiste à dire que Trump a eu raison de renvoyer dos à dos les 2 parties. Vous entrez dans le jeu des gauchistes en disant ce que vous dites. On est libre aux US de manifester. Donc chacun peut faire sa manif mais pas une contre manif. La contre manif est une agression. C’est le début aux US de la FrontNationalisation de la politique. Or nous avons en France suffisamment d’avance (30 ans) pour comprendre la tactique d ela Gauche et surtout le désastre de la droite.
Pour m’exprimer sur le plan général et non pas sur votrre position personnelle , je dirai que l’on n’a pas besoin de sortir de Polytechnique pour le comprendre. Les dirigeants US ont 6 mois pour réagir en étudiant bien le phénomène FN et surtout comment la droite s’est détruite.
@Pourtrump
Je n’ai pas dit que Trump avait eu raison ou déraison, l’avenir seul le dira, mais c’est marcher sur un fil très mince tendu au milieu du vide. Je ne sors pas de Polytechnique mais je sais que l’on ne peut être certain à 100% des réactions à venir, à moins d’être devin.
Vous comparez un fait établi sur le sol français à un autre fait en devenir sur le sol américain ; deux peuples, deux entités différentes. Non, désolée, mais le risque est trop grand et, en ce qui concerne les USA, je pense pas nécessaire.
@Patricia
Je ne suis pas d’ accord. Si les peuples sont très différents, il n’ en reste pas moins qu’ il y a un internationalisation (surtout au sein des pays occidentaux) des thèmes (racisme, immigration, écologie politique. Et j’ en passe) de la Gauche. Ensuite sur le plan pratique c’ est kif kif : contre manifs, violence, drapeaux brûlés et j’ en passe.
Ensuite sur le plan Com et culture c’ est kif kif. Suivez Hollywood, regardez la main mise de la gauche sur les médias.
Etc, etc …
Depuis 2007 en suivant les campagnes d’ Obama j’ ai compris qu’ il apprenait Bcp de la France et qu’ il mettait en oeuvre.
Pour l’ avenir c’est clair et translucide un politicien averti c’ Est ce qu’il doit faire.
Lire un politicien de droite ou Republicain averti sait ce qu’il doit faire.
@ Patricia
Si la France est en déclin et mauvaise en économie, elle est championne du monde des vices politiques. 1917 La révolution bolchevique est fille logique de 1789. Les massacres de masse pour raison idéologique sont dans la révolution Française.
@PourTrump
Il est vrai que nous avons été le premier pays civilisé à couper la tête de notre Roi ; il fallait le faire.
Mon dernier mot, la France est morte en 1789 et le français à la guerre de 14/18.
Ces “salauds” auront mis deux siècles pour détruire la France et les français.
A moins que l’Angleterre n’eut pas été “civilisée” au XVII sème siècle, le roi Charles 1ier fut le premier a avoir cet honneur…
@Clément
Ah oui ! Celui-là, je l’ai complètement oublié ! Vous m’avez cloué le bec. Reconnaissons, toutefois, qu’il eut la tête coupée pour de bonnes raisons, non ? 😉
“– Vous continuez, « n’autorise pas qu’il soit traité plus mal que les dictateurs turc, syrien ou iranien. », vous le considérez donc comme un dictateur, me trompè-je ?”
Je ne pense pas qu’il ait voulu dire ça, sinon il aurait écrit “les autres dictateurs”… Il veut juste dire qu’on traite plus mal un président partisan de la démocratie qu’un dictateur…
@Caramba
C’était une boutade 😉
Je partage la surprise à travers les commentaires et la déception lorsque vous affirmez que D.Trump est balourd, (est-ce un trait de caractère?), grossier, (je n’ai entendu ce qualificatif très négatif que de la part des médias viscéralement anti-Trump, jamais de mots vulgaires de la bouche du Président lui même au contraire), maladroit politiquement: a-t-il été plus maladroit que le très célèbre Obama précédemment? a-t-il été très maladroit et très vulgaire avec Kim Jung alors qu’il a évité le pire en utilisant en privé le même langage que ce dernier par pure finesse psychologique! Personne n’aurait osé , le politiquement correct étant l’art de plaire à tous les médias hypocrites , bien qu’ils sachent parfaitement que cela n’aurait servi à rien comme avec Obama!
Chacun a le droit de penser comme il veut, mais on ne peut affirmer des choses qui disqualifient D.Trump sans reconnaître tout ce qu’il a déja réalisé et même s’il était “tout” ce que vous dites, au regard des difficultés immenses auxquelles il est confronté, je dis qu’il réussit, que c’est un gagnant, et ce gain, il le veut pour son pays, pour son peuple avec conviction et acharnement pacifique!
“Le fait que l’actuel président des États-Unis soit balourd, grossier, vulgaire et maladroit politiquement” m’indiffere. D’ailleurs, j’aime assez cela parce que ca me fait rire et rire fait du bien. En plus, cela nous change des cranes d’oeuf et de leurs “balais dans le Q”. Voyez-vous, Donald J. Trump a ete elu pour remplir certaines taches: liquider cette saloperie d’Obamacare et reduire les impots de maniere a relancer l’economie americaine. S’il y parvient, l’enjeu est de taille: la vieille pute (l’UE) et ses etats membres (mais pas tres membres) ne pourront plus justifier le fameux modele (???) social a 6 millions de chomeurs (en France par exemple) monopolise par l’etat socialo-fasciste. Et ca, ca m’intetesse. Le reste, mais monsieur Goldnadel, je m’en contrefous! Le systeme me casse tellement les pieds en pillant mon compte en banque et les fruits de mon travail en permanence que meme si Jean-Marie Bigard (que j’adore mais qui dans le genre grossier bat DJT a plate couture) nous promettait la meme chose, je serais partant. Avec lui, par lui et en lui, comme dirait l’autre. Que Dieu me pardonne!
J’ai regardé la conférence de presse donnée par Donald Trump sur Charlottesville à la Trump Tower de NY. J’y ai vu un homme en pleine possession de ses moyens, sûr de lui, convaincant et aucunement sur la défensive.
Trump a la couenne dure et ses huit mois mouvementés à la Maison Blanche l’ont passablement aguerri.
Il y a un côté rafraîchissant chez lui, sa spontanéité, son style direct, son énergie, son optimisme, son endurance, sa résilience… Tout cela montre à quel point il est à l’aise dans sa fonction de président. Les coups bas et les volées de bois vert qui constituent son menu quotidien, n’ont pas entamé son moral et n’ont pas réussi à le dévier de sa trajectoire. Ses ennemis ne se rendent pas compte qu’il sont en train de tisser sa légende; en effet seul un être possédant une résilience hors du commun, est à même de résister à autant d’attaques vicieuses.
Trump est doté d’un instinct politique qui lui donne plusieurs longueurs d’avance sur ses contempteurs. Cet instinct lui permet de ressentir et de traduire le sentiment de ses électeurs, qui en retour s’identifient de plus en plus à lui. Car de la même façon qu’il est vilipendé pour ce qu’il est et ce qu’il dit, eux aussi sont méprisés par les élites pour ce qu’ils sont et pour ce qu’ils pensent et n’osent exprimer.
@Helios D’Alexandrie: voila, exactement. Tout est dit.
Merci à GWG, pour son article…
Juste une remarque de forme : Est-ce l’auteur, ou est-ce le modérateur du site ? …qui a cru bon de titrer : “on ne peut pas faire l’économie d’une critique du racialisme américain”…. = Confusion regrettable avec le terme utilisé ! Le racisme est une doctrine basée sur la supériorité d’une race, quelle qu’elle soit et nous serons d’accord pour dire que ce n’est pas une approche à retenir… pour toutes les raisons du monde ! En revanche, le racialisme est une approche très différente, qui se contente de définir les personnes par leur origine, mais sans établir de hiérarchie. Et c’est une approche qui est tout à fait respectable, puisqu’elle se contente de décrire une situation naturelle… Se contentant de recommander de ne pas obliger des populations trop différentes à “vivre ensemble”, juste pour éviter toutes les difficultés que nous constatons tous les jours… Bref, qui est basée sur une sorte de “common sense”, dans l’intérêt de tous… Merci de rectifier le titre en remplaçant “racialiste” par “raciste”, ce qui, je crois, correspond mieux à l’esprit de l’article…
Cordialement, FW.
Si un auteur de Dreuz ajoutait un chapeau à l’article d’un autre auteur, il le signerait. Tout ce que vous lisez a été écrit par Goldnadel.
Donald Trump est le président de TOUS les américains. C’est donc à juste titre qu’il a critiqué la violence de quelque côté qu’elle vienne pour préserver la paix civile.
Son erreur ensuite a été de céder à la bien-pensance et au politiquement correct par une déclaration partisane, la deuxième étant d’essayer de rectifier, maladroitement, la première…
Exact. C’était une mauvaise tactique. Ce qu’il a voulu rectifier allait dans le sens OBLIGATOIRE décidé par les médias, la politique de l’EXCUSE. (on connait très bien en France et cela est une des raisons de la destruction d ela droite)
Trump aurait du maintenir ses propos mais appuyer avec des arguments et demander une enquête sur le déroulement des manifs, mettre en accusation le maire et le Gouverneur et recommander l’étude de l’interdiction des contre manifs.
@PourTrump
Il est vrai que nous avons été le premier pays civilisé à couper la tête de notre Roi ; il fallait le faire.
Mon dernier mot, la France est morte en 1789 et le français à la guerre de 14/18.
Ces “salauds” auront mis deux siècles pour détruire la France et les français.
@Haggar Dunor
CQFD. Merci à vous.
M. Goldnagel,
Votre comparaison avec d’autres événements permet effectivement de constater un deux poids-deux mesures affligeant, donc la profonde malhonnêteté des gros médias et des politiciens. C’est facile de se faire une vertu sur le dos de ceux que personne ne défend, tant ils sont bêtes et méchants (mais à débattre de ce qui l’emporte des deux, chez les kkk et autres…)
Quant à Trump, je vous accorde qu’il a l’air balourd et un rien grossier. En revanche, sur la question de l’horreur morale que constituerait son « renvoi dos à dos » des soi-disant antifas, et des clowns du KKK etc. je pense que vous faites erreur.
En fait de quoi s’agit-il ? Pas de la valeur morale des idéologies en présence, mais bien de l’usage de la violence en politique. C’est donc d’abord une question de fait : qui a été violent, apparemment les deux. Qui a commencé ? Là c’est plus difficile, mais il semble bien que ce soient les fanatiques antifas.
Par conséquent, si un groupe de salaud-nauséabonds (comme on dit) manifeste, que sous les provocations et la violence des opposants à ce groupe, cela dégénère, n’y a-t-il pas injustice et par là, danger, à n’accuser que les KKK ? Réfléchissez bien aux conséquences d’une telle position de la part d’un président des USA : la violence est donc légitimée pourvu qu’elle soit infligée à ceux qui sont indéfendable.
Plus : ensuite à ceux qu’on accusera d’être indéfendable.
Enfin, à ceux qui sont assez cons pour être encore de droite.
Science-fiction ? Mais non ! Depuis l’élection de Trump, comment se conduisent les « antifas » ? Ils bloquent le trafic lorsqu’il y a des rassemblements des partisans de Trump, les intimident, vont jusqu’à la violence, pur finalement obtenir l’interdiction des rassemblements de ceux qu’ils combattent.
Trump a été bien plus sage et digne de sa fonction que tous ces médias et politiciens suiveurs, incapables de voir le danger réel pour le débat politique que représentent ces « antifas ». Sous prétexte que des KKK ou néo-nazis sont dans le coup, cela n’autorise pas à justifier la violence contre eux, puis la banalisation de la violence politique.
Un dernier mot sur la valeur morale de ces antifas : leurs méthodes rappellent celles des nazis d’avant-guerre, qui pratiquaient l’intimidation et la violence bien avant d’arriver au pouvoir. Leur fanatisme drapé dans la vertu du bon combat anti-faciste rappelle la folie meurtrière de Robespierre, de St-Just, et leurs complices dans la terreur. Même mentalité. On se rappelle aussi en France l’attaque contre la police, où ils ont mis le feu à une voiture alors que les policiers étaient à l’intérieur.
Il reste qu’il y a eu mort d’homme. Un néo-nazi est rentré dans la foule. Avant de voir les vidéos je croyais aussi à un meurtre délibéré, mais rien n’est moins sûr. Il ne roulait d’abord pas vite, derrière une foule (le passage n’était pas fermé aux véhicules, il y en avait devant lui). Certains ont-ils été agressifs ? Ce n’est pas clair, mais on ne peut exclure qu’il ait accéléré dans un accès de panique. Mais alors que la voiture était immobilisée, il a immédiatement été rejoint par des tueurs armés de battes de base-ball qui frappèrent violemment la voiture. Il s’est dégagé en marche arrière à pleine vitesse. Est-ce à ce moment qu’il a tué la jeune femme ?
Bref, si le président Obama refuse de condamner un Black Justice Warrior qui vient de tuer de sang-froid un policier, car « on ne connait pas encore ses motifs » (août 2016 si je me souviens de la vidéo reparue depuis), comment peut-on imputer la volonté de tuer à ce gars lorsque les circonstances sont loin d’être claires ? Parce-que c’est un salaud qui adhère à une idéologie indéfendable ? Mais qu’est-ce que ce qu’on appelle la justice et un procès équitable, sinon de rechercher les faits et ne pas condamner d’avance, par préjugé racial ou idéologique ?
Dernier point : l’ensemble de la manifestation, son annulation une demi-heure avant son début et le refoulement des participants vers les antifas, pose la question des motivations des autorités locales, des démocrates par ailleurs. Et qui profitent des effets de ces drames. A se demander si ce n’était pas recherché. Cela mérite une sérieuse enquête fédérale, mais aussi de la presse –mais quant à compter sur elle… Ces autorités ne l’ont certes pas voulu, mais leurs actions ont conduit à la mort de la jeune femme.
Oups, pardon, je voulais écrire “M. Goldnadel”, pardon.
Gilles-William Goldnadel se trompe lourdement !
En parlant de Heather HEYER, 32 ans comme d’une jeune contre-manifestante qui ne demandait qu’à vivre.
Informez vous avant de dire n’importe quoi !
Heather HEYER, 32 ans est une “activiste acharnée” venue tout spécialement pour en découdre !, …….. Elle était armée.
Regardez cette vidéo, elle en dit long !
Car Attack in Charlottesville Analysis (warning graphic)
https://www.youtube.com/watch?v=qCRTtuQyGgE
Celle là même qui a déboulonné le “Général Sudiste – Lee”
Etats-Unis : le général Lee, une icône sudiste déboulonnée
http://www.leparisien.fr/international/etats-unis-le-general-lee-une-icone-sudiste-deboulonnee-17-08-2017-7197087.php
Depuis le week-end dernier, de nombreux monuments construits en mémoire à des Etats confédérés sont retirés aux Etats-Unis. Comme à Charlottesville, certains représentent Robert E. Lee, héros militaire du camp sudiste.
La situation à Charlottesville n’a rien d’un cas isolé. Depuis près d’une semaine, les exemples de monuments mis à terre se multiplient, comme l’a recensé Le New York Times.
Les événements de Charlottesville l’ont rappelé bien tragiquement le week-end dernier avec la mort d’une femme de 32 ans. Dans cette petite ville des Etats-Unis, tout est parti d’un rassemblement de suprémacistes blancs venus protester contre le retrait d’une statue du général Robert E. Lee, l’une des figures les plus emblématiques des Etats confédérés des Etats-Unis qui ont combattu les Etats de l’Union entre 1861 et 1865.
https://www.youtube.com/watch?v=qCRTtuQyGgE
Sur cette vidéo, nous voyons Heather HEYER, 32 ans « activiste », arriver la dernière, pour attaquer à l’arrière de la voiture. Malheureusement pour elle, la voiture s’est mise à reculer et l’a foudroyée. Elle s’est retrouvée prise au piège.
Heather HEYER est en tenue de combat et armée.
Je ne cherche pas à minimiser ce crime, ni à l’excuser. Il faut simplement savoir de quoi nous parlons.
Elle a été écrasée sur le retour du véhicule APRES qu’armée elle ait attaqué le véhicule. Ce n’est pas un crime. Si vous vous jetez sur une voiture avec les risques que vous connaissez est ce un crime de la part du conducteur ? Ecrasée à l’avant du véhicule dans une première phase c’est un crime.
Pour Trump: Je me demandais pourquoi le conducteur était accusé de meurtre au 2nd degré, plutôt qu’au premier degré. Et cette vidéo procurée par Hamond répond a ma question (thanks Hamond!). Néanmoins PourTrump, pourquoi pensez-vous qu’il n’y a pas de crime ? Il y a crime, puisqu’une personne est morte, mais ce meurtre n’était pas planifié. Don’t you agree? Avec un peu de chance il s’en sortirait avec ‘manslaughter’ (homicide involontaire), et pour ça il faudrait un jury impartial.
Bonjour C. Hamon, c’est difficile de reconnaître des gens sur la video. On voit clairement des gens armés de batte de base-ball se précipiter contre la voiture et frapper avec violence, mais laquelle de ces personnes est H. Heyer ? Pouvez-vous préciser le minutage et la décrire ?
Je l’ai dit, ……….. C’est la dernière personne arrivée à l’arrière de la voiture.
C’est la seule a avoir été massacrée lorsque la voiture a reculée.
C’est la seule à être restée à terre.
Dans une autre vidéo, …….. Nous voyons bien sa tête à 1:14″ /8:54″.
https://www.youtube.com/watch?v=Weg3fP0lZmE
Merci, je vois. Elle a une casquette et un bas noir, tee-shirt plutôt blanc et un sac à dos noir bien rempli. Mais elle ne semble pas armée, à part ce qui est manifestement un piquet de bois enroulé de ce qui doit être une banderole. Certes, elle est clairement venue porter main forte aux gars avec les battes. On comprend aussi qu’il n’y aurait eu aucun mort si la voiture n’avait pas ainsi été attaquée à ce moment. Mais sait-on pourquoi le gars qui venait d’abord lentement, a accéléré dans la foule ? Dans une video de loin on voit quelqu’un qui frappe l’arrière de la voiture avec un drapeau. Quelqu’un a-t-il pu voir plus précis ?
Paix à son âme.
En regardant la vidéo on s’aperçoit que les Nouveaux Mouvements Fascistes (Antifas) n’ont pas de peluches dans les mains mais sont armés. Bref Trump a fait l’erreur de revenir sur sa première proposition et se séparer de Bannon maintenant après Charlottesville (on dit démission le 7 août…Mais quand va t-on arrêter les CONNERIES)
À qui la faute ? À ceux qui ont déboulonné la statue.
C’était une provocation.
Les ” premiers ” sont tombés dans le piège qui leur était tendu par le maire de Charlottesville et ils ont manifesté. C’est alors que les “seconds” sont intervenus pour provoquer les premiers, selon un schéma bien rodé et qui fait partie du plan . Le piège a fonctionné un cerveau faible est tombé dans la violence qui lui était tendue.
Ainsi les médias peuvent matraquer ce qu’ils veulent et faire oublier ce que D. Trump essaie de rappeler, et qui est évident : la haine et le racisme sont des deux côtés.
Mais malheur à ceux par qui le scandale arrive, ainsi que le dit Jésus, ils méritent l’Enfer.
Malgré son talent et l’acuité de ses analyses, G.W. GOLNADEL devient agaçant. En effet, je ne crois pas que les lecteurs de son camp, dont je suis, donnent nombreux, dans la scatologie. Or c’est précisément ce qu’il fait en décortiquant chaque jour les merdia. Les merdia, ignorons les, tant que nous n’avons ni la force, ni le courage de les détruire.
L’article est bon même si je ne suis pas d’accord avec tout. Bonne apm, Gilles-William.
Cher GWG,
Je venais vous dire qu’en dehors de mes petites taquineries votre article était bon et que j’avais pris intérêt à le relire.