Publié par Hélios d'Alexandrie le 20 août 2017

Voici un bel article d’Hélios d’Alexandrie, qui remet la réalité au centre de la folie destinée à protéger l’islam

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La série noire se poursuit en Europe, plusieurs attentats musulmans simultanés, les plus meurtriers sont à Barcelone où un combattant du califat islamique a lancé son véhicule sur la foule des passants.

Les fauves ont prélevé leurs proies, ils auront l’air d’être rassasiés, du moins pour une semaine ou deux

Réaction prévisible à ces “faits divers”: les musulmans expriment leur satisfaction sur les réseaux sociaux, les victimes allument des bougies et disent aux musulmans: “vous n’aurez pas ma haine”.

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Les fauves ont prélevé leurs proies, ils auront l’air d’être rassasiés, du moins pour une semaine ou deux. Le troupeau “rassuré” recommencera à brouter comme avant, il a payé son tribut à la bête, tout ira bien jusqu’à la prochaine attaque.

C’est le retour à la jungle, l’Europe tarde à le réaliser bien qu’elle semble s’y résigner. Étrange paradoxe que celui de cette Europe civilisée qui se soumet d’aussi bonne grâce aux lois de la jungle.

  • La première de ces lois reconnaît aux prédateurs le droit de partager avec les proies éventuelles le même territoire.
  • La seconde loi stipule que le droit des proies à la vie est subordonné à la volonté des prédateurs.
  • La troisième permet à la proie de se défendre en fuyant mais non en attaquant les prédateurs.

Dans le contexte de la jungle européenne, le principe de précaution qui s’applique à l’usage de l’énergie nucléaire et des OGM est suspendu ou rendu caduque. C’est compréhensible car son maintien impliquerait l’élimination des prédateurs.

Mais il existe des différences entre la jungle européenne et la vraie. En Europe, proies et prédateurs sont des humains, et en ce qui concerne la vraie jungle il n’y a pas de gouvernement.

À la lueur de ce qui précède nous pouvons affirmer que les gouvernements européens ont entériné tacitement les lois de la jungle. Un bémol toutefois, bien que ces lois créent une nouvelle réalité et une nouvelle “normalité” admises officiellement, les autorités ont pris des dispositions pour en “limiter les excès”. En effet il est hors de question de mettre fin à la prédation car cela impliquerait des mesures drastiques visant à éliminer les prédateurs. Les décideurs craignent à cette occasion d’arracher les tiges de “bon grain” avec “l’ivraie”, d’autant plus qu’il est pratiquement impossible de les différencier.

priver les musulmans de rapts de viols et de rapines durant plus d’un siècle constitue un crime contre l’humanité

Des pays comme la Pologne et la Hongrie qui refusent d’accueillir des musulmans souffrent d’une carence grave de prédateurs. Ils se font vertement semoncer du fait que l’Europe à cause d’eux n’est pas homogène, la jungle s’arrête abruptement à leurs frontières ce qui est contraire à l’esprit de l’Union. Mais il y a pire, leur attitude scandaleuse sert de mauvais exemple à certains pays membres tentés de les imiter. Pour satisfaire à l’esprit européen, les Polonais et les Hongrois ne doivent pas se soustraire à leur devoir d’assouvir les fauves.

Pour l’islam l’application des lois de la jungle en Europe signale le retour des beaux jours. C’est l’impérialisme français qui, au dix-neuvième siècle, a mis fin au millénaire d’invasions de raids et de razzias. Parenthèse déplorable qui a pris fin heureusement suite aux innombrables mea culpa et actes de contrition prononcés à Tunis, Alger et Rabbat. L’heure de l’expiation a sonné, car priver les musulmans de rapts de viols et de rapines durant plus d’un siècle constitue un crime contre l’humanité, c’est ce qu’a déclaré le président actuel de la France, et qui lui a valu d’être élu triomphalement.

Mais serait-on étonné de découvrir des complicités entre les proies et les prédateurs? Tous deux cherchent à donner un sens à leurs rôles. Les prédateurs musulmans ne se contentent pas de s’attaquer par surprise à des civils sans défense, ils les attaquent avec l’intention de tuer et mutiler le plus grand nombre d’entre eux. Allah leur dit dans le coran: “Ce n’est pas vous qui les avez tués, c’est Allah qui les a tués” (sourate VIII, verset 17). Privilège insigne que celui de servir d’instrument à Allah, et quelle fierté à remporter une victoire pour l’islam! Les “détails” du carnage importent peu, les souffrances infligées n’ébranlent aucunement la conviction du prédateur et de son public musulman, seul compte le “succès” de l’opération et celui-ci se mesure à l’ampleur du traumatisme infligé aux incroyants.

“vous n’aurez pas ma haine” sert principalement à embellir le statut de victime et par conséquent à le perpétuer

Les proies elles, ont d’emblée intériorisé les lois de la jungle. Nul n’exprime sa révolte ou sa colère suite à un accident d’avion qui fait des dizaines ou même des centaines de victimes. C’est dans l’ordre des choses, les accidents sont rares mais le risque zéro n’existe pas, et ce n’est pas un désastre aérien qui dissuadera les gens de prendre l’avion. Il en va de même pour les attaques des prédateurs musulmans, la jungle est la nouvelle réalité et les gens composent avec elle. Les proies assument leur statut et leur rôle, elles ne se révoltent pas, n’expriment pas leur colère, ne demandent pas de mettre fin à la jungle et à leur statut de proies potentielles. La jungle est désormais synonyme de fatalité.

Impuissantes devant cette “fatalité” il ne reste aux victimes et à leurs proches ainsi qu’à toutes les proies potentielles, que le choix de donner un sens à leur malheur. Bouquet de fleurs, chandelles, minutes de silence, étreintes, larmes et les fameux “imagine” et “vous n’aurez pas ma haine” servent principalement à embellir le statut de victime et par conséquent à le perpétuer. Ces réactions n’ont pas pour but de prévenir d’autres carnages, après tout n’est-il pas noble et beau de servir de proie aux prédateurs?

Pour les bien-pensants et les médias, la jungle et les prédateurs n’existent pas, il y a uniquement des victimes. Les prédateurs sont victimes autant sinon plus que leurs proies. Victimes de préjugés, d’exclusion, de racisme et d’islamophobie, ils sont littéralement poussés dans les bras des terroristes. S’ils commettent des attentats c’est par “échec” et “dépit,” l’islam n’a rien à voir là-dedans. À bien y penser les prédateurs sont les principales victimes, tandis que les proies, de par leur origine européenne, doivent en toute justice porter un lourd fardeau en terme de culpabilité envers les prédateurs.

Dans un siècle ou deux les historiens se creuseront la tête longtemps pour déterminer la part de veulerie, et de traîtrise dans le comportement de nos élites aujourd’hui. Mais ils s’interrogeront aussi sur le virus de défaitisme et de soumission qui infecte les citoyens ordinaires.

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Pourquoi et comment en sommes-nous rendus là? Et cette question lancinante: c’est pour quand le sursaut d’énergie?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Hélios d’Alexandrie pour Dreuz.info.

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