Publié par Rosaly le 21 août 2017

Le dernier Soldat sudiste a été exécuté à Durham (Caroline du Nord). Il ne s’était pas terré dans un bunker, il ne se cachait pas dans la jungle, comme le dernier soldat japonais, il se tenait tout simplement debout, sur une place publique au-dessus d’un parterre de fleurs. Le dernier Sudiste était armé d’un vieux fusil Enfield calibre 58, qu’il a tenu dans ses mains jusqu’à la fin.

Un tribunal populaire a décidé de l’exécuter en public, le condamnant à mort sans procès pour un délit commis il y a 157 ans. Mais quel fut son délit ? Celui d’avoir été un soldat sudiste.

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Le dernier Soldat sudiste n’était pas un soldat de chair et d’os, mais de bronze. Une statue, érigée en 1924 « en mémoire des Jeunes soldats confédérés, qui avaient revêtu l’uniforme gris » selon la légende sous la plaque.

La statue ne représentait pas un général à cheval ou un politicien, mais un simple soldat, l’un de ceux qui partirent en guerre par devoir, idéal, courage, folie ou par amour. La statue de ce soldat confédéré était avant tout un symbole et ce symbole faisait peur, car les armes du symbole sont plus puissantes que les armes de la destruction.

Et ainsi, une foule hystérique, aux ordres du démon des progressistes démocrates a attaché une corde autour du cou du soldat et l’a abattu. Elle s’est ensuite déchaînée contre lui à coups de poings et de pieds, lui a craché dessus. Triste spectacle donné par une foule gauchiste manipulée par les Soros & Co, rendue hystérique par sa détestation profonde du Président Donald Trump.

Leur rage était soi-disant motivée par la mort deux jours plus tôt d’une activiste de gauche, Heather Heye, victime d’un suprématiste blanc, qui lança sa voiture sur une foule de racistes anti-blancs et de gauchistes à Charlottesville.

Les amis de la jeune femme avaient écrit sur Twitter :

« Pourquoi vous nous critiquez. Eux tuent des personnes, nous nous abattons des statues. »

Les images de ces Américains s’acharnant contre une statue font réfléchir sur ce qui est en train de se passer en Amérique, car leur folie destructrice ressemble furieusement à la folie iconoclaste de l’EI, quand il détruit les symboles d’une civilisation chrétienne orientale plus ancienne , dont il lui est impossible d’imaginer la grandeur et la splendeur passées.

Ces images rappellent aussi celles des statues des dictateurs abattues après les révolutions avec toutefois une différence de taille : l’Amérique est une démocratie et non une dictature et la statue du Sudiste de Durham, à l’instar de centaines d’autres à travers les USA, n’avait pas été érigée par un tyran ou un régime dictatorial, mais par la volonté profonde d’une nation, qui voulait se réconcilier dans la valeur de la liberté d’être différents, tout en appartenant à un seul et même destin.

L’Amérique de 1924, celle qui érigea la statue, était une démocratie jeune et dynamique, qui faisait face à son histoire et à son avenir avec l’optimisme de son exceptionnalité.

La statue du dernier Sudiste ne fut pas demandée par des confédérés nostalgiques, des idiots suprématistes blancs ou les nazis de l’Illinois de John Belushi, mais par toute une communauté, afin de rendre honneur à ces Jeunes, qui au cours de la guerre civile combattirent de l’autre côté, celui des vaincus. Et ce, dans le but de rappeler à tous que la force d’une démocratie réside dans la capacité à inclure et non à exclure, dans la capacité à savoir vivre le passé dans la compréhension, non dans la peur.

Les « justiciers de la statue du dernier Sudiste» ne connaissent probablement pas grand-chose de la guerre civile américaine et s’ils étaient interrogés, ils confondraient le Général Lee avec le personnage d’un western de Tarantino, pour qui « le drapeau sudiste est une svastika américaine.

Nombreux parmi eux, démocrates et progressistes, ignorent sans doute que les anti-esclavagistes étaient les Républicains, qui eurent en Abraham Lincoln le grand champion de l’émancipation des Noirs et que les esclavagistes étaient les démocrates.

Et c’est peut-être à cause de ces sentiments de culpabilité que les gouverneurs et leaders démocrates veulent abattre les statues sudistes dans tout le pays. Les incidents de Charlottesville sont nés de cette volonté du maire (démocrate) d’enlever la statue du Général Lee du parc de la ville.

La Caroline du Nord avait adopté en 2015 une loi pour protéger les statues historiques. Aujourd’hui, le gouverneur démocrate Roy Cooper souhaite faire annuler cette loi.

Il a demandé à l’Assemblée législative de l’Etat d’octroyer le droit aux comtés, aux municipalités et à l’Etat d’enlever les statues, afin d’éviter que les manifestants ne se blessent en les renversant.(sic)

Sur Facebook, Cooper rappela la manière dont les esclaves étaient autrefois enchaînés dans le Sud et critiqua l’existence des monuments confédérés, sans toutefois mentionner que les propriétaires d’esclaves sudistes étaient des démocrates et que la Confédération était une nation démocrate. Il ajouta:

« l’histoire de notre Guerre civile est importante, mais elle appartient aux livres d’histoire et aux musées. »

« Un peuple qui oublie son passé se condamne à le revivre » a dit un jour un sage nommé Winston Churchill.

Réécrire l’histoire de son pays semble être devenu la nouvelle tendance islamo-progresisste-gauchiste: soit pour la réécrire à la « lumière radieuse « de l’islam, soit pour suivre les délires des progressistes, gauchistes et globalistes, dont la haine à l’égard de leur pays, de leur histoire, de leurs valeurs n’a rien à envier à la haine coranique des musulmans envers les koufars, soit les deux.

Et peut-être quelqu’un pourrait expliquer à ces gauchistes anti-blancs, anti-Trump, anti-patrie, que G. Washington faisait travailler sur sa propriété de 8000 acres en Virginie 300 esclaves, ce qui lui garantissait un revenu équivalant à 2% du PIB de la jeune nation américaine.

S’ils veulent être cohérents avec eux-mêmes, ce dont je doute, ils devraient exiger que les statues de l’un des Pères fondateurs de l’Amérique soient également abattues et que son effigie n’apparaisse plus sur le symbole du pouvoir américain : le dollar.

Le Président Trump a dénoncé avec fermeté l’attaque terroriste raciste, ayant entraîné la mort de la jeune femme, mais il a aussi justement condamné les violences émanant des deux côtés, scandalisant ainsi les âmes hypocrites de l’angélisme politiquement correct.

Depuis des mois, l’Amérique est en proie à des violences de rues, des agressions, des manifestations sanglantes déclenchées par les « petits neveux » très nerveux de l’infâme Soros et du diabolique Obama, afin de contester l’élection de Trump, pire encore, le faire destituer, selon la règle de la gauche internationale pour laquelle « la démocratie ne vaut que si c’est moi qui gagne. »

Et c’est ce climat d’intolérance, généré par les progressistes et les gauchistes, qui offre une excuse aux racistes blancs pour descendre dans les rues et donner libre cours à leur violence et à leur identité tordue.

L’information selon laquelle Jason Kessler, le leader de « Unite the Right » – le mouvement d’extrême-droite, organisateur de la manifestation raciste de Charlottesville – puisse être un ex-activiste de la gauche radicale, ayant participé au mouvement « Occupy Wall street » financé par G. Soros, augmente ce climat des suspicion et de complot, qui enflamme le pays.

En fait, les suprématistes blancs et les antifas semblent être des poissons surgelés et décongelés sortis du frigo-bar de l’histoire, que certains rejettent dans le fleuve de cette nouvelle Amérique de Trump, pour voir s’ils savent encore nager et créer des remous.

Ils ressemblent à des pantins à ressort, dotés d’un mécanisme parfait, créés exprès pour donner à la nouvelle Amérique de Trump une image obscure de violence et de haine, comparée à l’ Amérique « lumineuse » de l’ère Obama, « prospère et pacifique ». Ils espèrent par là occulter le désastre Obama.

Aucun être humain ne mérite de vivre enchaîné. L’esclavage est une abomination. Dommage qu’il ait fallu une guerre civile aussi atroce pour l’abolir.

Que le souvenir de la guerre de Sécession, qui ensanglanta les Etats-Unis, fasse réfléchir tous ceux qui aspirent à déclencher une nouvelle guerre fratricide.

The Yellow Rose of Texas

When Johnny Comes Marching Home

Cette chanson exprimait le souhait des familles de voir revenir au plus vite à la maison leurs frères, leurs pères, leurs amis, partis se battre contre d’autres frères et amis. C’est là toute l’absurdité d’une guerre civile.

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Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Sources :

. “L’ultimo sudista e l’America di fine statgione” (Giampaolo Rossi – Il Giornale)

.” NC Gov: Allow Removal of Confederate Statues Lest Protesters get Hurt Pulling Them Down”( Breitbart)

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