Gilles-William Goldnadel revient sur le traitement médiatique qui a été réservé aux victimes de l’attentat de Barcelone. Il déplore la domination de cette idéologie qui « allume des bougies pour protester contre le massacre des islamistes et des bûchers pour exorciser les diables blancs ».
Contrairement aux premiers espoirs, Julian le petit australien recherché par son grand-père est mort à Barcelone assassiné par des criminels islamistes.
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Ne croyez pas ceux qui vous soutiendront le contraire contre l’évidence la plus aveuglante, l’image de ce petit garçon souriant aux yeux malicieux ne connaîtra pas l’immortalité d’autres victimes infiniment plus médiatisées. Quelques jours avant, la photographie de Heather Heyer, la jeune victime de Charlottesville a fait le tour de la planète. Sa mère également a fait l’objet d’innombrables interviews. Quelques mois auparavant, la photographie d’un jeune enfant kurde, nommé Aylan, dont le petit corps s’était échoué sur une plage de Turquie a été reproduite à l’infini, son malheureux père s’est exprimé également à de très nombreuses reprises. Personne de bonne foi ne peut prétendre que le petit Jullian a été aussi mondialement célébré. La cause, au demeurant, était entendue avant même que la terrible nouvelle ne soit connue. Un journal espagnol avait cru devoir s’excuser pour avoir exposé à la vue du public le corps des suppliciés. Au prétexte de la décence alléguée. Les autres ont suivi docilement . Étrange principe à géométrie variable dont l’idéologie médiatique est coutumière. Dans le drame du petit kurde, au contraire, les supports médiatiques avaient expressément justifié l’infraction éventuelle à la pudeur au nom du devoir d’informer du sort tragique des migrants en Méditerranée. Visiblement, le sort des martyrs de l’islamisme ne mérite pas la même entorse, et les corps des victimes demeureront invisibles.
Mais trêve d’hypocrisie, la vérité , toujours impudique, est celle-là: les victimes ne se valent pas devant les caméras. Tout dépend de qui les aura suppliciées.
L’idéologie médiatique dominante ne pense pas, elle ressent. Elle n’aime pas l’islamisme radical, elle abomine viscéralement les suprématistes blancs. Réprobation morale contre détestation névrotique. L’idéologie médiatique dominante maudit Trump lorsqu’il n’incrimine pas expressément les suprématistes blancs après la mort d’Heather, vingt-quatre heures plus tard elle n’a pas un mot contre les édiles de Barcelone, Emmanuel Macron ou Barack Obama lorsqu’ils ne citent pas le coupable islamiste après la mort de Julian et des treize autres victimes et se perdent en platitudes confondantes.
L’idéologie allume des bougies pour protester contre le massacre des islamistes. Elle allume des bûchers pour exorciser les diables blancs.
Dans le creux de ce déni se niche un mépris refoulé depuis la deuxième guerre mondiale et le pire massacre commis par des blancs: le pire des musulmans ne peut pas être aussi mauvais que le pire des blancs.
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Les victimes des salauds sont égales dedans la terre froide. Les parents qui les pleurent aussi dans leur chagrin. Pardonnez ce qu’ils font aux mass media idéologisés, ils ne savent même pas pourquoi ils le font.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Gilles-William Goldnadel. Publié avec l’aimable autorisation du Figaro Vox.
Le plus bel hommage que j’ai vu adressé aux victimes, non seulement à cause d’une certaine poésie qui affleure sous l’indignation, mais aussi parce qu’il appelle une victime une victime et réclame justice.
Selon que vous serez khouffar ou musulman
les juges de la presse vous feront noir ou blanc…..
La Fontaine n’aurait pas dit mieux… Bravo !
En revanche, voilà qui se présente comme victime : http://www.francetvinfo.fr/monde/espagne/barcelone/attentats-en-catalogne-l-imam-de-bordeaux-ne-veut-pas-que-les-musulmans-subissent-un-crime-quils-n-ont-pas-commis_2335851.html#
Le très modéré Tareq Oubrou selon les médias trop fainéants pour vérifier son parcours, ce gars prêchait l’obligation du califat… Bien sûr, l’Etat islamique étant passé par là, plus question pour Oubrou de mentionner encore son voeu…
Et même à supposer qu’il ne souhaite pas le genre de califat que veut l’EI, il s’agit tout de même d’un pouvoir religieux transnational. Donc comment peut-il ensuite insister sur l’appartenance française quand “En même temps” il considère que seule compte l’appartenance à l’Oumma, au califat ?
https://www.youtube.com/watch?v=oQNkNTmTefI
Tareq Obrou est le grand copain d’Ali Juppé, le plus islamophile des ex-candidats “de droite” à la présidence : voilà ce à quoi nous avons heureusement échappé… bien que nous n’ayons aucune certitude concernant Macron !
Là, mes hauts le coeur dus au stress m’assaillent de plus belle :
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2017/08/23/97001-20170823FILWWW00056-le-foll-conteste-la-une-de-charlie-hebdo.php
Extrait :
“« Là, dans ce moment, (…) les amalgames sont très dangereux. Dire que l’islam n’est pas une religion de paix, et (sous-entendre) que c’est une religion de mort, est extrêmement dangereux. Quand on est journaliste, il faut de la responsabilité, car certains peuvent s’en servir. Je ne peux pas dire que je partage (cette une), je la conteste même », a dit l’ancien porte-parole du gouvernement.”
Honte sur vous M. Le Foll, vraiment vous me dégoûtez.
Les collabos dans son genre sont malheureusement légion en France occupée…
C’est quand même dingue que c’est la Une de Charlie (Islam religion de paix… ETERNELLE) qui indigne Le Foll et ceux, qui comme lui, pensent “bien” et “juste”, et pas le Coran qui inspire les massacres d’innocents.
“(sous-entendre) que c’est une religion de mort, est extrêmement dangereux”
L’islam est en effet une religion de mort, ce qui est extrêmement dangereux c’est de le nier.
“Quand on est journaliste, il faut de la responsabilité, car certains peuvent s’en servir.”
Ce qu’il voulait vraiment dire : “Quand on est journaliste, il faut être responsable, il ne faut pas contredire le récit de la gauche régressive.”
Heuh oui, ils vont très loin dans l’absurdité.
ESPN pulls Asian-American sportscaster Robert Lee from University of Virginia football game because he shares same name as controversial Confederate general
ESPN sportscaster Robert Lee pulled from September 2 UVA football broadcast
Virginia Cavaliers will be playing their home opener in Charlottesville
Decision came after violence at rally protesting removal of Robert E. Lee statue
Network felt ‘coincidence of name’ made it appropriate to switch his assignment
Read more: http://www.dailymail.co.uk/news/article-4815052/ESPN-pulls-sportscaster-Robert-Lee-UVA-game-name.html#ixzz4qZsLeJJs
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Un émouvant hommage aux victimes sous une plume sensible et indignée.
Je vous livre ce texte écrit par un musulman marocain. Si nos dirigeants pouvaient en dire autant.
“JUSQU’À QUAND ?
Hamid Zarougui
JE FAIS PARTIE DE CE PEUPLE FIER, SCHIZOPHRÈNE ET HYPOCRITE!
Je fais partie de ce pays où la religion occupe toutes les sphères de la vie mais où la foi n’est nulle part.
Je fais partie de ce peuple plein de pharisaïsmes qui désire « ressembler » au Prophète et à ses compagnons en apparence en laissant pousser la barbe ou en portant le voile mais où personne ne cherche à lui ressembler dans les actes et le fond.
Je fais partie de ce peuple où les hommes se scarifient le front par des callosités pour montrer qu’ils se cognent la tête contre le sol cinq fois par jour.
Je fais partie de ce peuple où l’habit fait encore le moine, où un homme qui n’a pas le bac mais qui porte un qamis et tient dans sa main un chapelet se croit exégète et fait la misère à tous ceux qui le croisent en leur disant ceci est « makruh », cela est « haram ». Mais ce même individu n’est même pas soucieux de prendre soin de son hygiène corporelle ou de son haleine (car le parfum ou le dentifrice pour lui sont déconseillés, surtout durant Ramadan…) alors que le Coran exhorte à prendre soin de son corps, car « Dieu est beau et aime la beauté », n’est-ce pas?
Je fais partie de ce peuple où l’on te sort des hadiths dont l’authenticité n’est même pas avérée par des historiens mais que tous substituent au Coran et érigent en 6e pilier de l’Islam. Des hadiths dont la plupart ignorent l’origine, l’auteur ou le contexte politique et idéologique de leur rédaction.
Je fais partie de ce peuple qui débat encore de ce qui est “halal” ou “haram” alors que les grandes nations sont à la conquête de l’espace et font évoluer la médecine à un rythme impressionnant.
Je fais partie de ce peuple qui organise des concours d’apprentissage du Coran par cœur mais où il n’y a aucun concours de compréhension, d’analyse et d’explication du Coran.
Je fais partie de ce pays où l’« éducation islamique » est une matière à l’école où l’on apprend aux élèves à être calculateurs et égoïstes. On leur apprend à faire des calculs d’épicier, à calculer les « hassanat » (les bienfaits) comme des points, à calculer l’héritage, à calculer le nombre de prières obligatoires, facultatives et surérogatoires, à calculer le nombre d’ablutions, à calculer ceci ou cela… On leur apprend à travailler pour des notes pour réussir l’examen final mais pas à travailler pour son prochain et sans contrepartie. On ne leur apprend pas les fondamentaux et l’essence véritable de la foi. On ne leur apprend pas qu’un bon croyant s’accomplit d’abord en tant que bon citoyen. On ne leur apprend pas à être utiles pour le pays, à œuvrer pour l’intérêt collectif de l’ « oumma »… Non, on leur apprend à être obéissants et soumis. On leur apprend que l’esprit critique en Islam, le questionnement ou le doute sont des actes blasphématoires. Dans nos écoles Ibn Taymiyya et Sayid Qutb remplacent peu à peu Ibn Tufayl et Averroès. On ne leur apprend plus les lumières et la philosophie islamique, mais on les gave de liturgie et de superficialités. On leur apprend la religion, mais pas la foi.
Je fais partie de ce pays qui n’a pas réussi à construire un système éducatif potable 60 ans depuis son accès à l’indépendance.
Je fais partie de ce peuple appauvri et tenu en ignorance. Je fais partie de ce peuple qui ignore son histoire et ses grands hommes et dont la mémoire a été confisquée, ce peuple dont le patrimoine et les monuments se dérobent.
Je fais partie de ce peuple où l’on apprend davantage à craindre Dieu qu’à l’aimer, où toutes les bonnes actions sont motivées par la crainte et le désir de récompense.
Je fais partie de ce peuple qui veut être vu à la mosquée mais qui est incapable de pratiquer sa foi discrètement.
Je fais partie de ce pays où l’on prie beaucoup, mais où le mensonge, la calomnie, l’hypocrisie et la corruption sévissent le plus. C’est à se demander si l’on prie autant parce qu’on a trop de péchés à faire pardonner !
Je fais partie de ce peuple où le concept de virginité et de vertu n’est applicable qu’aux femmes. Je fais partie de ce peuple où les fils de bonne famille ont le droit de « s’amuser » avec toutes les filles, de butiner ici et là, mais on leur dit que pour le mariage il faut une fille de bonne famille et vierge de préférence.
Je fais partie de ce peuple où les relations hors mariage sont pénalement répréhensibles mais où la loi ne s’applique que pour les miséreux qui n’ont pas les « contacts » pour la contourner.
Je fais partie de ce pays où une femme qui s’assoit dans un café est une fille facile. Si elle fume, alors c’est une catin.
Je fais partie de ce peuple frustré qui ne peut pas passer près d’une fille en mini jupe sans la vilipender mais où la pornographie est massivement consommée.
Je fais partie de ce peuple où l’on demande à la femme de se faire discrète et de cacher ses charmes car on ne sait pas maîtriser ses désirs et ses pulsions sexuelles.
Je fais partie de ce pays où l’alcool est interdit mais où il est vendu et que beaucoup consomme en cachette.
Je fais partie de ce peuple superstitieux où même dans les grandes villes on continue à aller voir le « fqih » et d’autres charlatans, à se ruer sur les tombes des « saints » et à offrir des animaux en sacrifice aux marabouts thaumaturges pour chercher la guérison, la réussite ou la fertilité. Je fais partie de ce peuple où même les gens « éduqués » croient encore à la sorcellerie et la pratiquent. Je fais partie de ce peuple qui enrobe le « chirk » et le paganisme dans des versets du Coran.
Je fais partie de ce pays où l’on n’arrête pas de construire des mosquées pour gagner une place au paradis mais où personne ne veut construire des écoles ou des hôpitaux car « ça ne rapporte » pas beaucoup dans l’au-delà…
Je fais partie de ce peuple qui se rue dans les mosquées à chaque prière du vendredi en abandonnant ses responsabilités professionnelles et préfère laisser attendre le citoyen devant son bureau vide au sein de l’administration pendant qu’il accomplit ses « obligations de croyant ». Je fais partie de ce peuple qui ignore la notion de “service public”.
Je fais partie de ce peuple qui refuse le débat, qui refuse et récuse les avis qui sont différents des siens.
Je fais partie de ce peuple qui trouve que l’Occident est perdu dans trop de liberté et est imparfait parce qu’il n’a pas la bonne foi, mais est incapable d’expliquer pourquoi les nations musulmanes sont incapables de sortir du sous développement avec autant de « bons croyants » et de mosquées pleines à craquer.
Je fais partie de ce pays où les partis politiques utilisent toujours la religion à des fins populistes et démagogiques. Je fais partie de ce peuple qui refuse la laïcité, qui refuse que la religion n’ait pour espace d’expression que la sphère privée.
Je fais partie de ce peuple qui défend un violeur parce qu’il est célèbre mais où l’on réclame la peine de mort pour des enfants de la rue qui commettent un viol dans un bus.
Je fais partie de ce peuple où la zoophilie est encore pratiquée dans les villages, où une jeunesse sacrifiée git sans avoir accès à l’éducation, à des lieux de divertissement.
Je fais partie de ce peuple où le chômage croissant, le manque d’opportunités pour la jeunesse et l’oisiveté conduisent à la criminalité.
Je fais partie de ce pays où la prostitution existe, mais que nul ne veut voir ni chercher à comprendre.
Je fais partie de ce peuple où le modèle de réussite ne se trouve pas dans l’accomplissement de soi, dans la maîtrise des sciences, dans l’art et la connaissance, mais dans les richesses matérielles que l’on est capable d’amasser et exposer, dans la villa ou la dernière voiture de luxe que l’on peut s’offrir.
Je fais partie de ce peuple qui s’endette pour claquer des sommes immenses lors de mariages pour impressionner ses invités et son entourage.
Je fais partie de ce pays où beaucoup d’interdits existent et que tous veulent transgresser. Faute d’apprendre aux gens à être responsables tout en étant libres, on a préféré leur confisquer leur liberté car on ne leur a pas appris à être responsables.
Je fais partie de ce peuple où l’on te dit fais ce que je dis mais ne fait pas ce que je fais.
Je fais partie de ce peuple… où les apparences comptent beaucoup mais dont le fond est creux et pourri.
Je suis marocain et musulman et j’ai honte de ces aspects de mon pays.”
On s’en doute depuis toujours, merci; et l’on ne comprend pas pourquoi et comment le Commandeur des croyants pouvait rester silencieux après des attaques militairement préparées pour assassiner des Européens anonymes, sans passé, à coup de bombes, kalachnikovs, de voiture bélier; comment le Commandeur des croyants pouvait laisser sortir de son royaume les tonnes de cannabis que l’on retrouva aujourd’hui dans toutes les banlieues dégradées d’Europe, transportées par ses propres troupes de trafiquants!
Mystère insondable, que même les chefs d’Etat d’Europe ne cherchent pas à éclairer, autre mystère abyssal!