Publié par Jean-Patrick Grumberg le 23 août 2017

Le Parisien rapporte qu’un homme de 50 ans dont le nom n’est pas indiqué, a attaqué, mardi soir à Lyon, des militaires de l’opération Sentinelle.

Vers 22 heures, place d’Arsonval, un individu s’est jeté sur une femme soldat et a tenté de l’étrangler. La militaire a heureusement réussi à se défendre, et l’a neutralisé assez longtemps pour laisser à la police le temps de l’arrêter.

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Les médias disent que “des ordonnances médicales ont été trouvées dans ses poches”.

Vous avez remarqué ? Cela fait deux fois en 48 heures que des ordonnances sont trouvées dans les poches de gens qui commettent des attaques qui ressemblent à des attentats. Je vous explique plus bas pourquoi.

Faisons quelques constats qui dérangent :

  • Les psychiatres sont unanimes à expliquer qu’une personne traitée psychiatriquement n’est pas continuellement irresponsable de ses actes – sans quoi elle ne serait pas en liberté – et qu’elle peut tout à fait commettre des agressions sans être sous l’effet de sa maladie. Les médias n’en disent rien.
  • Il semble que les journalistes ont trouvé une nouvelle parade pour jeter de l’eau sur les braises qui grondent et abriter l’islam de toute critique en pensant qu’Internet ne laissera pas s’exprimer les gens qui doutent et pensent être pris pour des imbéciles.
  • On se souvient que les médias s’étaient pendant un temps essayés à nommer les terroristes Vladimir pour cacher qu’ils étaient musulmans. Ils ont été tellement ridiculisés qu’ils ont arrêté cette farce.
  • Avant cela, ils ont abusé du terme “jeunes” au point qu’étaient “jeunes” des délinquants de 35 ans, et le point d’orgue fut atteint lorsqu’un altercation impliquant des musulmans et des “blancs” qui avaient rossé leurs agresseurs, avait été décrite comme des “jeunes” (les musulmans avaient entre 18 et 22 ans) et des “hommes” (les blancs avaient de 22 à 27 ans, de mémoire)
  • Chaque fois qu’un fait divers ressemble à un attentat, ou si l’agression porte la signature de celles que commettent les musulmans (attaque au couteau par exemple) le nom de l’auteur est très vite publié s’il s’appelle Jean Paul. C’est fait pour protéger l’islam. Cela ne veut évidemment pas dire que lorsque le nom n’est pas indiqué, qu’il s’agit forcément d’un agresseur musulman.
  • La nouvelle mode : les médias parlent d’agresseurs atteints de maladies psychiatriques.
  • Comme il leur a été fait remarqué par la “fichue sphère” qu’il est étrange qu’ils sachent si vite que le suspect est traité pour psychiatrie, ne serait-ce que parce que son nom n’est pas publié, et que secret médical oblige, le dossier médical des gens n’est pas accessible, ils sont passés à la dernière mode : le suspect a son dossier médical dans la poche !

Attendez-vous à ce qu’ils découvrent beaucoup d’ordonnances et de dossiers médicaux dans les poches des agresseurs, avant de se rendre compte que cette ficelle-là aussi est usée.

Donc le dossier du suspect de Lyon ferait état de nombreux antécédents psychiatriques, mais il est inconnu des services de police.

Comme les médias mentent presque tout le temps, on ne peut même pas savoir si cette fois, il s’agit vraiment d’un fou ou si tout est inventé. Car il faudrait être franchement abruti pour continuer à croire ceux qui mentent ou transforment la réalité pour lui faire dire autre chose que la vérité.

En supposant que le suspect soit, cette fois, vraiment zinzin, une chose est absolument certaine, c’est que ni les soldats de la force Sentinelle, ni les policiers, et encore moins les journalistes, ne peuvent savoir à ce stade de l’enquête si le suspect a agi sous l’emprise de sa maladie mentale ou en pleine possession de ses moyens – et dans ce cas il s’agit d’un attentat terroriste.

Avant l’immigration de millions de musulmans, les fous se promenaient dans la rue avec un entonnoir sur la tête, pas avec un couteau.

Et les journalistes étaient moins schizophrènes.

Ils ont un type de trouble d’un genre intéressant : ils sont capables d’avoir simultanément des pensées contradictoires sur le même sujet.

Ils peuvent exiger que la présomption d’innocence soit accordée aux suspects lorsque les faits accablent ceux qu’ils soutiennent, et condamner instantanément ceux du camp opposé. Et s’imaginer que vous ne verrez rien.

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Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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