Je suis enseignante (prof d’histoire-géo-éducation civique) depuis plus de 20 ans. J’ai exercé dans 5 collèges de banlieue, dont deux Zep et un établissement classé zone violence.

J’ai donc vu passer dans mes classes (de la 6ème à la 3ème) plus de 4000 jeunes de banlieues, que j’ai eu à charge d’instruire, d’encourager et d’accompagner, avec une bienveillance et une abnégation qui ne m’ont jamais fait défaut.
Vous prétendez que les populations des banlieues sont « mises au garage dès le collège et le lycée » ?
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Que « le socle d’une société épanouie est l’éducation » et, de ce fait, vous insinuez que les minorités ne reçoivent aucune instruction dans notre pays ?
Quelle vaste blague ! Non : quelle aberration, quelle mauvaise foi, quelle vision erronée et mensongère de la réalité !
Mes élèves des cités reçoivent la même instruction que tous les petits français de souche. Leur instruction est gratuite (sans compter les aides et prestations diverses censées aider ces familles mais qui sont systématiquement dépensées pour tout autre chose que l’école…)
Si, au terme d’un parcours scolaire la plupart du temps désastreux, le corps enseignant se voit contraint de leur proposer une orientation professionnelle en fin de 3ème, c’est qu’on ne peut pas raisonnablement proposer à un adolescent de 15 ans d’envisager de poursuivre des études de médecine alors qu’il n’a toujours pas daigné apprendre à compter (et à parler correctement le français). Ignorez-vous l’importance de la résistance à l’apprentissage du français dans nos écoles ?
Le français est pour eux une « langue étrangère », la langue des « mécréants » comme ils aiment à me le répéter.
Voici le fruit de ma réflexion, après 20 années d’expérience au contact de votre soi-disant « génération sacrifiée » :
Je suis en première ligne pour témoigner des moyens financiers, humains et techniques mis à dispositions de ces jeunes depuis des décennies (oui, des millions dépensés dans les collèges et lycées pour ces populations).
Je vous signale, à titre d’exemple, que le collège où je travaille actuellement met à leur disposition permanente 14 TNI d’une valeur totale de 100 000 euros -un dans chaque classe-, deux salles informatiques contenant 50 PC avec connexion internet, une bibliothèque magnifique sur deux étages, des dizaines d’heures de soutien hebdomadaires et tutorats en tous genres (qui coûtent beaucoup d’argent à l’Etat car payés en heures supplémentaires), un service de restauration quasi gratuit, des voyages scolaires (musées, voyages en Espagne, en Italie, en Angleterre et en Allemagne, pris en charge par le foyer socio-éducatif) etc, etc, etc… Je continue ?
Les autres enfants de la commune (qui ne vivent pas dans la cité) sont loin d’avoir ce genre de privilèges.
Malgré tout, ces jeunes des banlieues (comme vous les appelez) n’ont que la haine de la France à la bouche. Leur seule référence est « le bled ». Leur seul désir : imposer leur culture en remplacement de notre culture nationale. Ils ne s’en cachent même plus : ils le revendiquent comme une fierté.
Je n’ose même plus prononcer le mot « laïcité » en classe, de peur de les voir me vomir dessus ou pire
Leur communautarisme rend inopérant toute tentative d’instruction et d’intégration.
Quel que soit le sujet que j’aborde, en Histoire, en géographie ou en éducation civique, je ne rencontre de leur part que mépris et hostilité vis-à-vis de notre passé, de nos valeurs, de notre vision de la démocratie. Je n’ose même plus prononcer le mot « laïcité » en classe, de peur de les voir me vomir dessus ou pire, m’insulter.
La plupart des collègues ont abdiqué depuis longtemps.
Hélas, j’ai cru un temps, comme vous, qu’il était possible de leur transmettre connaissances, sagesse et foi en l’avenir de notre communauté nationale.
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J’ai renoncé. Je suis tous les jours confrontée aux discours les plus intolérants qui m’aient été donnés d’entendre : propos haineux à l’égard des français, des juifs, des femmes, des homosexuels… L’évocation du terrorisme fondamentaliste les fait sourire (dans le meilleur des cas) quand ils ne font pas ouvertement, en classe, l’apologie de l’Etat islamique et de la charia.
Notre Histoire ne les intéresse pas. Ils ne sentent aucun passé, ni aucun point commun avec les « sous-chiens » et les « faces de craie » comme ils nous appellent.
Retournez donc à l’école ne serait-ce que pour un petit stage d’une journée… vous seriez mortifié.
Source : Louroumegaireblog.wordpress.com
et la discipline alors ?pourquoi pas de punitions et de ton dominateur? pourquoi n’a-t-on pas commencé à leur apprendre le respect quand ils étaient en maternelle? Ce que vous décrivez c’est du temps perdu depuis des années. pourquoi ne pas changer la façon d’éduquer, commencer par vous diriger au ministère, c’est votre devoir d’enseignant et d’éducateur et..de démocrate
@ Zahn ! En maternelle ? A ce stade-là, leurs gamins sont déjà conditionnés et lobotomisés par le milieu familial ! Ils leur apprennent qu’il n’y a de respect que pour leur dogme et ses adeptes ! Vouloir les amener dans le giron national est un coup d’épée dans l’eau, une perte de temps et d’argent ! Il y a déjà des enfants de 4 et 5 ans qui témoignent de leur incapacité à s’intégrer dans notre société !
Fanatisme religieux : le coup de gueule d’un principal de collège
Parce qu’il n’est plus soumis au devoir de réserve des fonctionnaires, Bernard Ravet s’est décidé à raconter sa vie de principal dans trois collèges difficiles de Marseille. Il décrit la violence, la montée de l’islamisme, la solitude des chefs d’établissements et des enseignants.
Retraité depuis 2015, Bernard Ravet, principal pendant quinze ans dans «trois des collèges marseillais les plus difficiles» livre un témoignage de première main (1) sur la montée progressive du fanatisme religieux musulman dans certains établissements scolaires. Et sur la réponse peu efficace voire fuyante de l’institution:
«Il faut en finir avec la loi du silence qui pèse sur l’impact du religieux dans certains établissements», écrit cet ex-principal. Le fanatisme «frappe à la porte de dizaines d’établissements, (…)imposant ses signes et ses normes dans l’espace scolaire, dans les cours de récréation, les cantines, les piscines. Longtemps, je me suis tu. Par respect du devoir de réserve. Par crainte de stigmatiser les établissements que je dirigeais et d’en aggraver la réputation peu flatteuse (…).
Par souci de protéger les élèves et les familles alors majoritaires qui résistaient aux coups de boutoir du fanatisme. Par peur d’être accusé d’islamophobie ou de racisme rampant». Essentiellement confronté à des problèmes de violence dans son collège des quartiers nord de Marseille, il doit vite faire face à un autre adversaire au début des années 2000: Dieu.
Lieu d’observation idéale, la cantine
Cela commence avec ces enseignantes et ces élèves qui, à la sortie du collège, se font bombarder de canettes de coca aux cris de «p****! s******!». Leur point commun? Elles avaient mis une jupe. Ce sont ces jeunes dealers, des barbus en sweat et tee-shirt qui viennent lui expliquer que le fait de vendre de la drogue ne pose pas de problème en dépit de leur croyance religieuse car «les consommateurs ne sont pas musulmans. Si la drogue tue, elle ne tue que des mécréants. Ce n’est pas contraire à notre religion».
Emplacement d’observation idéal, la cantine se situe «à l’exact point d’intersection entre ma fonction de directeur d’ONG pédagogique et cette fonction que je devine alors sans me la formuler, imam de la République». Pour beaucoup d’enfants, le repas de midi est le seul de la journée. Il était hors de question de proposer de la viande halal mais «nous composions nos menus en fonction de cette contrainte. (…) Lorsque nous servions de la viande, nous prévoyions donc des œufs, du poisson, un deuxième légume ou des féculents… De quoi composer une assiette nourrissante qui n’allait pas finir à la poubelle». Marginal en 2000, lorsqu’il prend son premier poste dans les quartiers nord, «le refus de manger de la viande qui n’était pas halal était devenu la norme en 2013, lorsque j’ai quitté le collège Izzo». De même que la pratique du ramadan. Si en 2000, la moitié de ses élèves le respectaient, «en 2013 nous étions à 90% ou 95%».
Fracture grandissante entre garçons et filles
La fracture entre garçons et filles est quant à elle grandissante: ils se mélangent «très peu» en cours de sport. Les activités sportives et les sorties sont distinctes, les relations amoureuses et amicales très rares. Les garçons ne s’assoient pas à côté des filles et sont un peu moqueurs. Les garçons trouvent normal de prendre part à l’éducation de leurs sœurs, de vouloir se marier avec une jeune fille chaste tandis qu’eux-mêmes ne consentent pas au même sacrifice. «Certains élèves que j’ai eus avaient du mal à accepter les remarques d’un professeur femme», note le principal.
Il énumère aussi le cas de ces élèves, qui, le matin sont soudain plus nombreuses à arriver voilées devant l’établissement. «La plupart se découvrent avant d’arriver à la porte. Mais certaines tentent de forcer le passage, de retarder au maximum le moment d’enlever leur voile, de pénétrer d’un mètre, de deux mètres, dans l’enceinte du collège. Toujours grignoter du territoire. C’est une bataille pied à pied». Comme avec cette petite Djamila, dont les parents sont injoignables. Bernard Ravet finit par coincer la mère, à l’heure de la Prière du vendredi grâce à une assistante sociale. Le père finira par lâcher du lest après un entretien au forceps.
«Il est normal de lapider une femme adultère»
Un jour, une jeune professeure d’histoire-géographie déboule dans son bureau, fébrile.
«Monsieur le Principal, pardon de vous déranger, je viens de vivre quelque chose de grave.
C’était pendant le cours d’instruction civique des cinquièmes. Le cours sur les droits de l’homme.
Mustapha a pris la parole. . . – Mustapha. Celui qui est plutôt bon? – Oui. Et là, il explique, soutient et argumente que l’homme et la femme ne sont pas égaux, qu’il est normal de lapider une femme adultère, tout comme de couper la main d’un voleur. – J’imagine que vous avez réagi. – Bien sûr! Il a continué.
«Mais si, c’est vrai, c’est comme ça qu’on fait, c’est dans le petit livre qu’on m’a donné à la mosquée.» – Quel petit livre? – Je l’ignore.»
Quelques jours plus tard, Bernard Ravet récupère ce livret d’une vingtaine de pages qui détaille les crimes des «mécréants»: croire que «les régimes et les législations établies par les hommes sont mieux que la législation de l’islam» ; dire que «l’application de la législation islamique concernant les peines légales, telles que l’amputation de la main du voleur ou la lapidation de l’adultère mariée, n’est pas conforme aux mœurs actuelles modernes».
Il apprend que ce livre vient de la mosquée d’Abdel, un surveillant du collège. «Abdel. Toujours propre sur lui. Habillé à l’occidentale. Physique sec. Petite barbiche bien taillée. Extrêmement poli. Je n’ai qu’à m’en féliciter. Bien que d’un tempérament solitaire, il s’est imposé parmi le petit groupe de surveillants sur lesquels je m’appuie dans les circonstances les plus délicates.
Il sait «tenir» une permanence avec 50 élèves sans que cela bronche. Est toujours partant pour remplacer un collègue absent. Pour tout dire, c’est mon meilleur surveillant.» À cet instant, jaillit néanmoins de sa mémoire qu’il n’embrassait pas ses collègues de sexe féminin…
«Merci de nous avoir informés, répondra le rectorat après un rapport circonstancié du principal, mais ce monsieur a signé un contrat pour six ans on ne peut rien faire».
Les RG, eux, lui révéleront que l’individu est sous surveillance depuis six mois, «classé S en quelque sorte». Méfiant, le surveillant finira par partir de lui-même grâce à la débrouillardise du principal. Une fois de plus.
Ses seuls vrais soutiens, pendant toutes ces années, se résument aux commissariats avec lesquels il entretient d’excellents rapports, à ses collègues dirigeants d’établissements locaux et à Jean-Pierre Obin, son ami inspecteur général, auteur d’un rapport détonnant en 2004 sur «les signes et manifestations d’appartenance religieuse dans les établissements scolaires» qui décrivait la progression du fanatisme religieux dans les établissements.
«C’est lui, qui en couchant sur le papier une réalité sur laquelle je n’avais plus prise, m’a donné l’espoir qu’il restait un peu de lumière dans la maison, qu’on ne pouvait pas ne pas désespérer complètement de l’institution».
(1) «Principal de collège ou Imam de la République?». Bernard Ravet avec Emmanuel Davidenkoff. Éditions Kero. Parution le 23 août 2017.
Hamon: Le texte du proviseur que vous citez, compléte bien le témoignage bouleversant de cette enseignante .
Merci.
et les parents
Les « parents » ne sont en fait que des géniteurs qui n’en ont absolument rien à secouer du pays qu’ils ne respectent pas, n’aiment pas mais dont ils tirent tous les avantages et négligent les obligations qui vont avec ; les géniteurs ont apporté dans leurs bagages des us et coutumes d’un autre âge qui les a confortés dans leur « primitivité » où qu’ils se trouvent, là où justement des faibles ne défendent plus rien ni personne, où des traîtres ont vendu par pans entiers la civilisation européenne, à leur seul et unique profit. Il ne reste plus que l’affrontement généralisé qui pourrait nous libérer de ces sauvages, mais, est-ce vraiment ce que l’on veut ?
Zahn. J’aimerais bien vous voir à sa place.
@ Zahn : D’où « Retournez donc à l’école ne serait-ce que pour un petit stage d’une journée… vous seriez mortifié. »
Le Ministère n’en a cure, il est complice même. On ne se préoccupe absolument pas du sort de ses enseignants. L’Etat cherche rigoureusement à ce qu’on en arrive là où nous en sommes. Ne croyez pas que le Ministère réagira.
Quant à la discipline, si c’était quelque chose qui fonctionnait avec eux, ça se serait.
… ça se saurait.
C’est bien de constater et encore mieux de le dire….. Mais que faites vous (vous, vos collègues et l’administration pléthorique à laquelle vous appartenez) pour renverser la vapeur ????
« Je n’ose même plus prononcer le mot « laïcité » en classe, de peur de les voir me vomir dessus ou pire ». C’est bien parce que vous n’osez plus que le problème est là !!!!!
C’est l’autorité qu’il faut restaurer pas l’instruction !!!!!
Vous avez raison, cependant une femme seule sans le Soutien du reste ne peut pas faire grand chose et sera rapidement mise à l’index et sacrifiee sur l’autel du très bien vivre ensemble. Moi aussi en lisant je me suis dit la même chose que vous, par contre avec le recul, si personne ne la soutient, que peut elle reellement faire?
Oliange , j’ai envie d’hurler , 99% de ses collègues attendent la retraite avec impatience pour se tirer dans le Morbihan ou dans le Lubéron , tout en conservant leur bonne parole de bobos !
Je suis un ancien de l’EN dans cette dénonciation , considéré comme facho par des pourritures syndiquées et resyndiquées ! Après avoir été agressé dans la rue pour refus de soumission , j’ai encore été considéré comme facho !
J’ai déjà témoigné de cette mherde orientale et j’ai même été publié sur dreuz ! Dîtes moi ce que nous pouvons faire quand un Manuel Valls lui-même déclare les banlieues en état d’ Apartheid ?
Je suis entièrement d’accord avec vous » Jecriej’écris » et ça ne va pas en s’améliorant
! Je souhaite bon courage aux enseignants qui font tout leur possible pour l’éducation des enfants ! Que fait le rectorat , car il doit bien avoir des retours ?????
Tout comme nos politichiens s’enrichissent via le prétendu service rendu à la Cité, et se casseront quand ça sera intenable en France…
Mon sentiment est que la réponse n’est pas éducative mais répressive (passé professionnel probablement…).
Tant que l’exécutif n’aura pas remis de l’ordre (au sens de Massu…) dans les banlieues, renvoyé 50 000 personnes dans leur(s) pays d’origine en plus des clandestins, restauré une peine incompressible de perpétuité pour les terroristes (voire la peine de mort pour éviter les évasions et les idolâtries), déclaré illégal l’islam politique, détruit toutes les mosquées salafistes, interdit le port du voile aux femmes dans l’espace public (mais ni la croix ni la kippa qui ne posent aucun problème) on ne pourra pas enseigner sereinement dans ce pays.
Et je ne suis même pas certain qu’on se fâchera avec les pays arabes car, eux, la force, ils connaissent et ils comprennent !!!!
Vous révez !
En choisissant la marocaine musulmane Belkacem comme ministre de l’E.N., Hollande a volontairement encouragé l’islamisation du pays. La gauche est bien la principale responsable de cette situation catastrophique. Les syndicats de l’EN sont de gauche, ils en sont aussi les complices. De quoi se plaignent donc les profs formés à l’école de mai 68 ? C’est bien le résultat de leur laxisme dés la plus grande enfance des enfants des quartiers islamisés perdus de la République.
En ayant comme slogan largement diffusé dans les manifs et gréves des profs, sans aucune discipline, tout a été permis.
J’accuse l’E.N. d’avoir organisé cette situation.
pour Oliange :
https://www.dreuz.info/2016/08/20/un-prof-parle-pourquoi-jemmerde-sos-racisme/
Je vous avais « félicité » pour ce brillant papier !!!! Je le refais encore plus volontiers !!!!
Dans une solution « répression » , signature d’une Charte d’intégration pour tous les candidats à la nationalité française , cette Charte précise naturellement que les racines de la France comme celles de l’Europe sont judéo-chrétiennes .
Si refus de signature , direction Marseille , il y a toujours un bâteau prêt à partir .
Pour les musulmans déjà naturalisés , s’ils se tiennent bien , pas de problème , s’ils déconnent pour cause coranique , 2 options :
1 – vous signez la Charte d’Intégration
2 – vous refusez de signer , direction Marseille etc etc etc
Après signature de la Charte ,pour tout contrevenant pour cause coranique , direction Marseille etc etc etc !
Mais ils y sont déjà à Marseille !!!!! 😀
Une charte d’intégration est, malheureusement, insuffisante. Il est nécessaire d’y adjoindre une période d’essai — disons cinq ans (cela est débattable). Si, une fois ladite période terminée les candidats à la nationalité française ne remplissent pas un certains nombres de prérequis, alors c’est « à la porte ».
Ces critères doivent être au minimum :
*Parler et écrire un français correct ;
*Connaître à minima l’Histoire de la France ;
*Avoir un travail qui permet de vivre sans — et j’insiste — avoir besoin d’aides sociales
*Avoir un casier judiciaire plus blanc que neige. Et j’inclus-là les plus petits méfaits qui ne débouchent pas forcément sur une condamnation : violence ou dégradation par exemple. Si tel est le cas, c’est bye-bye sans attendre la fin de la période d’essai
*Bonus : peut-être pourrions-nous exiger qu’ils deviennent réserviste de l’armée ?
Ce n’est qu’en établissant de réelles exigences et en demandant des preuves sur une période assez longues que nous pourrons nous assurer que les nouveaux français seront de réelles « chances pour la France » et non des boulets économiques et sociaux que nos enfants et petits enfants auront à trainer le restant de leur vie.
Vous voulez rire, j’espère!vous voulez culpabiliser les enseignants?
Plus facile à dire qu’à faire. La Bible dit qu’il ne faut jamais critiquer quelqu’un avant d’avoir pris sa place. C’est courageux de la part de cette prof d’avoir témoigné.
@Oliange, vous ne connaissez visiblement pas le métier d’enseignant.
Restaurer l’autorité ne veut rien dire quand un enseignant est face à une classe hostile et que ses supérieurs ne le soutiennent pas, ce que confirme l’article cité par @C.Hamon
Savez-vous qu’il suffit d’avoir dans une classe seulement deux ou trois élèves perturbateurs, pour que l’ambiance de la classe soit détériorée et même complètement pourrie ?
Le drame des enseignants est qu’ils ne doivent montrer qu’une autorité souriante et beaucoup de compréhension. Or ce genre d’élèves ne comprend pas cette attitude et l’interprète comme de la faiblesse, particulièrement venant d’une femme.
Les ESPE (anciennement IUFM) qui forment les enseignants sont des structures d’idéologie gauchisante où l’on casse les enseignants en leur inculquant qu’ils sont éternellement coupables devant leurs élèves. S’ils ne rentrent pas dans le moule, ils n’obtiennent pas le diplôme, pire, ils ne peuvent même plus aller dans le privé comme autrefois.
Alors, restaurer l’autorité dans ces conditions …
Ah ah,laissez-moi rire avec l’AUTORITÉ !!!
Si la hiérarchie nous soutenait ,cela se pourrait.
Mais aucune sanction possible pour les élèves perturbateurs car tout est toujours remis en cause par le principal……ou bien la famille qui sait prendre un avocat et être « conseillée » dans le seul but que son rejeton n’ait pas par exemple de conseil de discipline ou que ce dernier lui laisse une chance car c’est bien connu, rien n’est de leur faute à ces jeunes-là !
Par contre, le professeur , lui, est sans doute RESPONSABLE, il n’a pas su proposer au jeune un aménagement….
Allez, ne venez plus parler de discipline ni d’autorité vous qui n’êtes pas des enseignants, et qui ne savaient nullement le B,A -BA de ce qui fut un noble métier !!!
L’islam au quotidien. Que faire ? …
« Bernard Ravet a dû faire face à une guerre de position menée par les islamistes au sein de son établissement : « Le regard des professeurs a changé quand nos collègues en jupe ont dû, le soir, être raccompagnées durant cinq mois par la Bac jusqu’au métro pour leur sécurité ». »
La suite : http://www.laprovence.com/article/societe/4592162/menaces-de-radicalisation-au-college-la-colere-dun-ancien-proviseur-de-marseille.html
Principal de collège ou imam de la République?, par Bernard Ravet
Egalement ces extraits ici
http://www.tribunejuive.info/livres/principal-de-college-ou-imam-de-la-republique
Une seule question à cette enseignante: vous votez à droite ou à gauche ? Car si vous votez à gauche , c’est bien fait pour votre gueule !
Il faut bien dire que la gauche a eu toute l’attitude pendant des années pour ni culer leur s opinions politiques. Ils en recueillent les fruits.
Je me souviens de monfils de 11 ans, â l’époque,, sortant de l’école qui me dit un jour: tu as vu , maman, çe qu’Israel fait â Hebron?
Les bras m’en tombent encore. Bravo les syndicats de l’EN.
Absolument
Mais c’est Giscard d’Estaing qui a ouvre les portes a l’immigration en masse des Musulmans maghrebins par son accord a l’unification de familles dans les annees soizante-dix tardives
Cet article est une honte! je suis moi-même enseignante et j’exerce dans les banlieues parisiennes. Que ce soit au collège ou au lycée je n’ai jamais été confrontée à ces idioties. Cet article n’est qu’un tissu de mensonge qui vise à stigmatiser les étrangers et plus particulièrement les français issus de familles musulmanes!
Bah voyons ! C’est qui qui va passer prendre sa petite enveloppe ?
+ 1
Madame, je ne sais si vous êtes enseignante ni quelle matière vous êtes chargée de transmettre mais lorsqu’on parle d’un « tissu de mensonges » c’est qu’il y en a plusieurs…. et on met donc un « S » à mensonges…
Par ailleurs, considérer, comme vous le faites, « les français issus de familles musulmanes » comme des « étrangers » ne me parait pas de nature à éviter les conflits communautaristes… bien au contraire !!!!!
Curieuse façon d’aborder la république une et indivisible et l’égalité des citoyens devant la loi… J’aurais donc tendance à donner du crédit au témoignage de votre collègue même si je ne suis absolument pas d’accord avec son point de vue.
Bravo Oliange , je crois que notre amie est rhabillée pour l’hiver avec un tissu de vérités …
chère madame, je vis dans une commune rurale dotée d’un collège où mon petit fils était scolarisé. Le vendredi après midi, les élèves de confession musulmane étaient absents pour cause de Mosquée, (à 17 km) pendant Ramadan, l’absentéisme en 4ème et 3ème pour cause de fatigue et manque de sommeil était quotidien, pour eux, la rentrée scolaire se faisait toujours entre le 15/9 et le 1er/10 car ils étaient encore au bled, les filles en jupe étaient qualifiées de « putes » et mon petit fils n’a jamais été appelé par son prénom mais interpelé par « eh,toi, la face de craie ! »et autres « joyeusetés » et ces « dérives » ont commencé il y a une dizaine d’années. Et je ne parle pas de banlieue difficile mais d’une commune rurale de 3500 âmes où il y a 10 ans on ne voyait pas une femme voilée et où elles ne sortent maintenant plus qu’en djileb, les hommes sont en djellaba ou en khami , le « religieux de service » nous inflige les prières via son smarphone en mode haut parleur,. La communauté musulmane est peu nombreuse mais elle se fait entendre chaque jour un peu plus et pas pour le meilleur. Et personne ne moufte par trouille (excusez la vulgarité) de ces gens qui ne daignent même pas voter bien que Français et inscrits sur les listes électorales au prétexte que la loi des mécréants ne s’applique pas à eux. Que vous défendiez votre communauté, je le conçois, mais ne dites pas que ce ne sont là que mensonges.
Secotine : encore heureux qu’ils ne votent pas tous sinon nous aurions l’extrême gauche au pouvoir pour tout horizon …. les musulmans + l’extrême gauche aux manettes …. quelle horreur !
Essayez au moins une fois dans votre pauvre vie d’esclave de vos idées et de votre tribu d’être honnête. Vous êtes probablement musulmane, alors tout ça pour vous c’est la normale de votre demi-vie. Que ce soit au Moyen-Orient, où je travaille souvent, ou en France, l’état d’infériorité de vos consœurs me plait bien car il en amène beaucoup dans mon lit qui essayent de vivre quelques instants libérés et orgasmiques et pour une fois d’être traitées en égales d’un vrai homme et pas d’un grand enfant barbare inculte.
Êtes vous des quartiers nord de Marseille? Un plus long témoignage de votre part serait intéressant.
Ah takkya quand.tu nous tiens
Encore une copine à Belkacem !!!
Il faut se rendre à l’évidence : nous ne pouvons pas faire Société avec ces populations. Que ce soit au niveau culturel, économique, éducationnel, social, sociétal, historique, civique, métaphysique — bref, la liste est longue —, etc… il n’y a pas de compatibilité possible.
Pour faire Société, il est nécessaire d’avoir un socle commun auquel tous les membres de ladite société adhèrent, et ce quel qu’il soit ; comme par exemple les mythes fondateurs dans les société antique (cf. Remus et Romulus pour Rome). Alors, comment pouvons nous caresser l’idée de faire Société avec des populations qui méprisent les fondements du « socle commun », à savoir notre langue et notre Histoire ?
À cette situation, une seule issue est envisageable. Dans un premier temps une cohabitation sur un même territoire de deux sociétés, en parallèle. C’est ce qui se passe aujourd’hui. Puis, mettez le feu au contacte de l’eau et inexorablement l’un d’eux disparaitra. Inutile de vous faire un dessin ~
Cela fait un demi-siècle que ces populations ont débarqué sur notre territoire, ce qui constitue en soi un temps assez long pour tirer des conclusions — et quelles sont-elles ? Que la greffe est un échec total (déliquescence, criminalité, incivilité, terrorisme, gouffre financier, dégradations des villes) et que cela s’empire de jour en jour.
Lorsque vous entrez dans une entreprise, vous avez une période d’essai au cours de laquelle vous devez faire vos preuves. Si, une fois celle-ci arrivée à terme, les preuves ne sont pas convaincantes, alors votre contrat ne sera pas reconduit. La période d’essai du « multikulti » étant un fiasco, nous savons à quoi nous en tenir — la réelle question est de savoir comment terminer le CDI qui leur a été attribué par erreur…
ah quel regret les profs des années 60/70
l’ordre et le respect obligatoire aussi bien en classe que dans la cour de récréation.la cantine tout le monde bouffer la même chose.
les coup de règle, les baffes, les punitions ! et je suis encore là ! pas de traumatise pas de cellule psychologique au moindre bobo
divers religions mélanger ! aucun propos raciste a l’époque
et surtout on avait les 12 mois de service militaire ou certain récalcitrant était rappeler à l’ordre de divers façon….
a l »heure actuelle les prof et le gouvernement ! je préfère ne pas m’exprimer, trop de noms d’oiseaux me vienne a l’esprit pour définir le laxiste de la bobocratie
Ce n’est que le début …. Un élevage de « crotales » qui nous mordront le moment venu ! L' »EdNat » n’est pas capable ( je ne parle même pas des syndicats ) de redresser la barre sans parler de nos politiques , béas , soumis , complices collabos ….! Il sera IMPOSSIBLE de revenir en arrière , des générations perdues qui nous haïssent , nous le font savoir tous les jours , partout ! 50 ans d’immigration , regroupement familial , accueil ( vous accueillez des sauvages chez vous ? ) !!! Merci Giscard , Fabius , et toutes les racailles de « gôche » ……………!!! Un jour viendra peut être où vous paierez , au centuple , et j’espère le voir ! ! !
Non PEULET ce ne seront pas les politiciens véreux qui paieront au centuple quoi que ce soit mais ….. nous et nous le payons déjà depuis longtemps ! On est foutus car on a laissé faire en ne votant pas pour les bonnes personnes, on a cru aux belles paroles de Sarkosy, on a eu tort, voila le résultat ….. j’aimerais quitter ce pays mais pour aller où ? Je n’ai plus d’espoir, mais j’ai encore plus peur pour mes enfants et petits enfants, EUX, paieront le prix fort etnil sera trop tard pour faire machine arrière TROP TARD !!!!!
Oui.
Quand il sera trop tard, les politichiens enrichis grâce au prétendu service rendu à la Nation foutront le camp…
Quand on sait que hollande a évoqué la partition de la France…
J’ai toujours été pour que les élus passent devant un tribunal militaire, avec rétablissement de la peine de mort. Nul doute que certains se retrouveraient rapidement ad patres. Quand il s’agit de haute trahison, la peine doit être proportionnelle. Comment Merkel ne serait-elle pas coupable des viols commis à Cologne, et d’avoir dissimulé tous les viols qui se produisaient jusque là et commis par ses chers clandestins ? Comment nos élus ne seraient pas coupables d’avoir jeté la France en échange de cadeaux, avec pour conséquence des zones où l’on pratique des tournantes sur des Françaises de souche ?
Pourquoi n’invite t elle pas monsieur Macron à assister en cachette, à l’un de ses cours ?
Macron venir salir son beau costard et son très cher maquillage au milieu des gens de la banlieue, vous rêvez @Gisou !
Lui, c’est le Touquet, les beaux quartiers, le sélect lycée Henri IV où il a été élève. Le reste il connaît pas
Touch’ pas à mon pote ! …………d’il y a 20 ans ! et plus …
Voilà ! le résultat recherché, c’est maintenant !
On peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps, disait Abraham Lincoln. Ces Messieurs qui prétendent nous gouverner devraient méditer sur cette belle citation. Faire croire au peuple que le terrorisme est le fait de déséquilibrés et que ceux-ci sont d’origines suédoise ne fonctionnera pas éternellement.
La vérité fait mal ? C’est bien pour ça que les traîtres et les collabos font tout pour la dissimuler en cherchant à culpabiliser les français.
La France est le pays le moins raciste et le plus accueillant au monde pour les étrangers désirant sincèrement faire partie de cette grande nation et ça marche, regardez les asiatiques…
Non, les musulmans nous ont déclaré la guerre et n’auront de cesse que de la gagner, par tous les moyens, même légaux !
Des vieux, des cons, des abrutis : Il ne se passera strictement rien à part la mort qui arrive justement quand il ne se passe rien.
C’est le monde musulman qui est comme çà et c’est quelque chose qui a été organisé par les occidentales qui ne sont pas faites pour la liberté.
Les nations les plus féministes comme la catalogne, la suède sont aujourd’hui en pointe de l’islamisme occidental.
Les plus résistantes, la tchéquie, la hongrie, la pologne rigolent depuis longtemps face à ces délires de bourgeois décadents qui ont laissé les clefs à bobonne dont Merkel est la meilleure image.
Allah est-un dieu raciste et sexiste, il tient l’homme supérieur à la femme – CRAB
La politique et le mode de « penser » de confort
https://laicite-moderne.blogspot.fr/2017/08/allah-est-un-dieu-raciste.html
Allah n’est pas un dieu !
Vu la situation actuelle et les développements prévisibles, malheureusement je ne vois plus qu’une solution pour le sauvetage du pays : l’Armée pour remettre de l’ordre, réintroduire la discipline partout, faire le « grand ménage » avec les moyens techniques (avions-navires) qui sont les leurs pour gentiment reconduire dans leurs pays respectifs les envahisseurs ayant déclaré la guerre à notre Société et à notre pays, pour sécuriser nos frontières, pour remettre le pays « au travail » en limitant les charges financières indues (suivez mon regard), pour assurer une bonne gestion financière des comptes de l’Etat et redonner du pouvoir d’achat, pour quitter l’UE actuelle et se rapprocher des nations amies, etc… etc…
Notre ennemi (largement identifié) ne reconnait « que la force », alors utilisons-là à tous les niveaux et pas que sur les centres d’opérations extérieurs. Ensuite et alors seulement, le pays étant remis sur les rails « normaux » qu’il n’aurait jamais dû quitter, les politiques (pas les professionnellement pourris que nous avons depuis des lustres) pourront reprendre la main.
Mais ce n’est qu’un rêve bien sûr… (pour échapper au cauchemar qui s’en vient)
@Marulu
Quelle armée , celle qui se fait agresser sans pouvoir se défendre ?
Alors défendre les civils …
@Hentoine : bien sûr que non ! Croyez-vous que la situation générale du pays plait et convient aux militaires (à ceux qui ont une vraie vocation pour servir la Nation et qui acceptent d’y laisser leur peau à la place de civils irresponsables, décervelés, poltrons qui ont placé à leur tête des incapables), bien sûr que non ! Alors ? Sont-ils réellement soutenus y compris contre un président et un gouvernement nuls qui de toutes façons n’hésiteront pas à les trahir comme cela s’est déjà fait dans le passé ? Donc on accepte la situation, on ne fait rien, personne ne bouge ni chez les militaires ni chez les civils. Autant dire qu’il vaut mieux changer de pays avant les désastres annoncés.
Vous avez voté pour de faux gentils escrocs ou de vrais cretins incapables ces 40 dernieres années vous recoltez la peste et le choléra c’est d’une logique simplissime….
comment soignait on ces épidémies mortelles autrefois..?? La sagesse et la sauvegarde des temps anciens sont bannies de nos préceptes libéraux modernes d’aujourd’hui..Persistons…
Persistez dans cette voie..Le saut dans le vide n’en sera que plus efficace…
@ Marulu :
En effet les perspectives d’avenir sont bien sombres. De deux choses l’une :
– Soit nous poursuivons la dynamique actuelle — i.e. le laissez-faire — et nous finirons inéluctablement comme les coptes en Égypte, les grecs et arméniens en « Turquie », et de manière générale, comme toutes les populations « indigènes » qui ont eu le grand bonheur de se faire envahir par les musulmans (je pense en particulier aux juifs et aux chrétiens, mais pas que).
– Soit nous disons stop et invitons expressément et vivement ces populations étrangères* à retourner dans leurs pays d’origine. En théorie ils devraient être réjouis puisqu’à chaque fois qu’ils parlent desdits pays ils utilisent des termes tels que « chez nous là-bas » ; ou abordent avec fierté des drapeaux/maillots de l’Algérie ou du Maroc. Mais dans les faits, dans leurs pays ils n’ont pas des crétins de blancs qui se tuent au travail pour les entretenir, donc ils ne seront certes pas très contents, je crois… Mais bon, après tout en 60 les algériens ne se sont pas mis des gants, alors bon !
Quoi qu’il en soit et quelle que soit la voie que nous empruntons, au plus nous attendons et au plus notre avenir sera écarlate.
Je reviens de quelques jours à Lyon et je suis toujours sous le choc… Pourtant je vie à Paris et connais assez bien Marseille, mais la situation là-bas est sidérante. L’arabisation et l’islamisation de la ville/région est dans un stade très avancé et c’est assez hallucinant ! La Croix-Rousse par exemple ressemble à s’y méprendre à une ville d’Afrique du Nord (je parle d’expérience). Mais en même, pourquoi suis-je étonné ? Vu la concentration de bobo au mètre carré, ce n’est pas très étonnant… Je crois d’ailleurs qui nous pourrions établir une formule mathématique liant la concentration de bobo au pourcentage du musulmans dans la population.
*Pour ceux qui voudraient me faire remarquer que de les dénommer comme des « populations étrangères » n’arrange pas les choses, je répondrai que :
(i) arrêtons de nous voiler la face, la grande majorité de ces gens-là — qu’ils soient riches ou pauvres (et encore une fois je parle d’expérience) — nous méprisent, nous et notre Histoire, et n’en ont cure de la France.
(ii) il est nécessaire de faire le distinguo entre « français d’origine étrangère » et « étranger vivant en France ». S’il existe en effet un certain nombre de personnes correspondant à la première qualification, l’écrasante majorité appartient à la seconde… Être né en France est avoir un vulgaire bout de papier où il est marqué « France » ne suffit pas à être français. Pour cela, il faut adhérer à un ensemble de conventions communes qui englobent l’Histoire, la langue, les prénoms (!!!!), la culture, etc… et ce, que l’on aime ces conventions ou non.
Un de mes collègues se plaignant de l’aspect brouillon et négligé des cahiers d’un petit musulman est tombé un jour sur le cahier du « mercredi » de celui-ci ! Il en pleurait presque , désarmé qu’il était !
Ce cahier du mercredi était un modèle de calligraphie , de soin et de propreté !
Devinez de quoi traitait ce cahier exemplaire ?
J’ai connu l’immigration arménienne , espagnole , portugaise , italienne , polonaise ( mes enfants le sont à moitié ), je ne me souviens pas avoir été emmerdé comme nous le sommes aujourd’hui !
J’ai passé mon enfance dans la Petite Italie bergamasque de Charonne , nous réveillonnions tous ensemble , belote , jeux de rues , etc etc etc …
Passant par Bergame en 2005 , je suis allé sur les traces historiques de mes copains d’enfance parisiens .
La France est le pays le moins raciste du monde , en même temps ( comme dirait Macron ) ,
l’islam ( qui n’est pas une race ) pour moi … c’est NON !
Basta le nazisme , basta l’islamisme !
Ah , j’allais oublier : … et j’emmerde SOS Racisme !
Et basta le gaucho-islamisme !
islam no passaran !
:)) :)) :))
Le serpent se dévoile un peu tous les jours …
Vite ! aidons le à se mordre la queue !
Le vrai problème de la France, pas l’économie mais l’immigration et tous les problèmes qui en découlent, ainsi que les associations de gauche..
Seule MLP avait promis de s’ occuper des 2, grace à la loi–hélas 66% ont dit non..dans 5 ans il sera trop tard..
Pédagogie de bazar -A mon époque les prof se faisaient déjà déglingués par de grands Gaillards venant d’Algérie–Ils restaient 3 mois à 5 mois et remplacement…Les Femmes Prof..fuyaient en courant : les attouchements et les miroirs pour voir sous leur jupe, l’humiliation de devoir baisser les yeux quand elles s’adressaient à un élève muzz garçon.. Etc.. Je ne peux croire que cela n’existe plus…Des caméras cachées dans les salles de classes à problèmes(et ne laissez Ministre Schiappa, les installer)..nous enseigneraient l’horreur que vivent de nombreux profs. Chaque jour… Vallat-Najat leur a mis un numéro vert où appeler en cas de problèmes…et se confier !!???