Publié par Rosaly le 20 août 2017

 

La CIA avait prévenu les services secrets espagnols sur les risques d’attentat à Barcelone. En février déjà, l’EI avait menacé de commettre des actions terroristes dans les zones fréquentées par les touristes et le risque était si élevé, que certains voyagistes avaient recruté en secret plus de 100 ex-membres des troupes spéciales britanniques, afin de surveiller des sites sensibles comme les plages d’Ibiza.

Vu le très haut niveau de risque, aurait-il été si difficile de sécuriser les Ramblas au moyen de protections anti-intrusion ?

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Il est grand temps de débusquer l’oxymore derrière lequel s’abritent les Autorités après de tels actes terroristes. Le refrain est toujours le même : sentiments d’horreur suite aux attaques, mais nous sommes les meilleurs, nous ne devons pas avoir peur, nous devons continuer à maintenir nos frontières ouvertes et à accueillir les migrants musulmans. Paradoxalement, à ce jour, cette approche a été gagnante, mais rationnellement, elle ne tient pas debout. Même le dernier attentat en Finlande a été perpétré au cri d’Allah Akbar.

Et ce faux angélisme conduit à des formes d’autocensure inacceptables.

Regardez ces deux photos :

  • la première, vous la connaissez tous. Les médias n’eurent aucun scrupule à montrer l’image du petit Aylan, mort noyé, suite à l’inconscience de son propre père, car elle servait à culpabiliser l’Occident pour son immense égoïsme et à justifier moralement l’immigration de masse.
  • la seconde, signalée sur twitter, ne deviendra pas un « hit mondial » la plupart des citoyens ne la verront sans doute jamais et pourtant, elle montre un autre enfant de trois ans, assassiné avec sa maman par les terroristes islamistes sur les Ramblas. Photo censurée sur les médias officiels, car si elle avait été publiée, elle aurait suscité une autre vague d’émotion, mais dans le sens contraire à celui souhaité par le « mainstream » multiculturel et globalisant. Il s’agit d’une hypocrisie, mais elle est révélatrice, de la façon dont est gérée l’opinion publique de nos jours par la manipulation des images, la désinformation et la censure des photos et termes politiquement incorrects.

Ce fut aussi le cas pour les photos du Bataclan, massivement occultées, car « indécentes », celles de Londres, de Suède, du Caire, comme si les attentats commis par les islamistes étaient des attentas propres : pas de cadavres, pas de gens estropiés à vie, pas de traces de sang …

 

Cette souriante petite fille suédoise fut démembrée lors de l’attentat terroriste islamiste au camion-bélier qui ensanglanta Stockholm en avril dernier. Elle rentrait de l’école, quand elle fut fauchée par le camion-bélier, conduit par un soldat d’Allah. Elle s’appelait Ebba Akerlund, mais qui publia son nom ? Qui pleura sur elle ? Tout le monde connaissait et connaît encore le nom du petit Aylan. Merkel, Mogherini et autres âmes sensibles versèrent des larmes en voyant la photo, mais pour Ebba, ce fut le silence total de la part des médias officiels et des politiques, comme si cette fillette suédoise, assassinée par un fou d’Allah, n’avait jamais existé.

Pour les manipulateurs médiatiques, la photo du petit Aylan devait être diffusée à des milliers d’exemplaires, culpabilisant de facto l’Europe de ne pas accueillir les « adolescents « musulmans de 30 ans et plus ; celle de la petite Ebba, victime de la haine islamique à l’égard des koufars, devait disparaître dans le néant, car même dans l’horreur, tous les enfants ne se valent pas.

Les images étant plus fortes que n’importe quel mot, celles de nos morts en deviennent “indécentes” et posent problème pour les journalistes et la gauche. Ils ne montrent pas les photos de nos enfants tués par les islamistes, afin d’anesthésier le ressentiment légitime, que nous pourrions éprouver à l’égard d’une « religion » de tolérance, de paix et d’amour, qui prône la mort des non musulmans depuis 14 siècles

Qu’importe le nombre de morts d’attentats terroristes islamistes les médias islamophiles continueront à clamer : “Cela ne prouve rien”. “Ce sont des déséquilibrés”. “L’islam est une religion de paix dévoyée par des gens qui n’y connaissent rien.”

Quant aux mosquées et autres imams qui prêchent explicitement notre soumission ou notre mort en citant les textes et les hadiths, “ce sont des radicaux”. « S’il y a des attentats, c’est la faute à Internet, à l’islamophobie, aux discours de haine des Occidentaux. » Jamais, ces défenseurs de la secte mahométane ne se posent la question de savoir, pourquoi les gens ont peur de l’islam, par crainte sans doute d’entendre la réponse, politiquement incorrecte.

Ces mêmes médias mainstream, non seulement protègent et défendent l’islam, mais prétendent également que l’immigration musulmane enrichit l’Europe, collaborant ainsi à son islamisation.

Faire croire que ces migrants dévoués à Allah vont s’intégrer et respecter nos valeurs est une duperie. Occulter leurs crimes et/ou les minimiser est criminel.

Le sort atroce des Chrétiens en terre d’islam aurait dû être l’étincelle du réveil de nos dirigeants, tant il est explicite sur la grande tolérance de l’islam envers les non musulmans, mais cela les laisse de glace. Pour l’islam, la terre entière appartient à Allah et toute autre religion est à interdire, car impure, mais l’islam prône la paix…

Même Facebook, toujours lent à enlever les contenus obscènes et la propagande de l’EI, s’est empressé de faire précéder les images de l’attentat d’un avertissement « Attention ! Cette vidéo pourrait montrer des contenus graphiques violents ou du sang. » Non cher Facebook ! Ces vidéos montrent les images du cancer, qui est en train d ‘ôter la vie aux Occidentaux. Elles montrent notre sang. Elles ne doivent pas être censurées. Elles ne doivent pas être interdites par les adeptes de l’angélisme. Elles doivent être vues par tous.

« Ce n’est pas notre culture de montrer les images des victimes d’attentats par décence, par respect pour elles » se justifient nos médias. Ils n’eurent pourtant aucune pudeur à publier la photo du petit Aylan gisant sur une plage turque, car elle servait à la cause de l’immigration. Par contre, celle de l’enfant tué à Barcelone par les islamistes a été floutée, obscurcie, dans un seul but, celui d’ éviter de faire prendre conscience aux citoyens européens que nous sommes bel et bien en guerre et que l’ennemi est là dans nos murs. Il est sans pitié et frappe à l’aveugle, hommes, femmes et enfants. Mais chut ! Faites silence ! Ne le dites pas ! Erreur monumentale, car l’horreur doit être vue dans toute sa répugnance afin de pouvoir la combattre.

Tandis que les corps encore sanguinolents des victimes des terroristes islamistes gisaient sur les pavés des Ramblas de Barcelone, sur le Web, défilaient les photos d’adorables chaton.

Diffusons des chatons, ne donnons pas d’information à ces terroristes“, explique un twitto. Il était alors environ 19 heures jeudi soir et une rumeur, démentie quelques heures plus tard, faisait état d’un suspect retranché dans un bar. Ces mignons chatons devaient donc empêcher celui-ci de se rendre compte de la situation à l’extérieur de l’établissement.

 

 

L’intention était certes louable, mais les photos de ces ravissants chatons visaient aussi d’ une manière à contrer l’horreur des images de l’attaque, publiées sur les réseaux sociaux peu de temps après le drame.

Il ne s’agit pas d’une mode idiote, ni d’images d’accroche (cela s’est déjà produit après d’autres attentats) mais une façon d’aseptiser l’horrible réalité, effacer la mort, exorciser la peur, croyant que la terreur peut se combattre avec un « mème internet, » une iconographie persistante au sein de la communauté virtuelle.

Pour certains esprits plus critiques, cette initiative est vue comme une tentative naïve de fuir la réalité, de ne pas montrer ce que nos yeux devraient voir : des dizaines de corps étendus sur les pavés, victimes de la furie islamique dans sa folie exterminatrice. Les médias, atteints d’une presbytie politiquement correcte, nous montrent les massacres, qui ensanglantent la planète à des milliers de kilomètres de chez nous, mais floutent les victimes d’attaques terroristes islamistes, dont le sang rougit nos places, nos rues, nos gares, nos aéroports, nos salles de concert.

Si l’Occident est en partie responsable de la déstabilisation du Moyen- Orient suite à certaines interventions non justifiées, il est indéniable que l’immigration incontrôlée à laquelle nous assistons depuis des mois soit la source d’une déstabilisation sociale de plus en plus violente. Elle est due à l’échec de l’intégration de masses énormes de migrants, à qui il est impossible de garantir un emploi et un accueil normal, d’où l’accroissement de phénomènes extrêmes, parmi lesquels l’augmentation de la violence, de la criminalité, de l’ extrémisme religieux et enfin du terrorisme.

Manifester sa révolte en clamant « Je n’ai pas peur » “Vous n’aurez pas ma haine” ne va pas effrayer l’ennemi, mais le faire rire aux éclats et renforcer sa détermination à continuer les massacres.

L’immigration incontrôlée, surtout l’islamique, n’est plus acceptable: nous avons suffisamment toléré, supporté, souffert. « Trop c’est trop !»

Seules des actions fortes pourront nous sauver de l’islam. Mais pour cela, nous avons besoin de courage, de fierté. Etourdis, drogués par le bien-être et ce sentiment illusoire d’une paix durable, nous oublions que nous sommes en guerre, une guerre certes larvée, mais bien réelle. L’islam nous a déclaré la guerre et les soldats d’Allah passent peu à peu à l’offensive.

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L’Occident doit sortir de cette résignation, de cette soumission, de cette insouciante inconscience, il doit montrer ses griffes et ne plus enfouir la tête dans le sable. Si l’Occident persiste à croire, qu’il peut endiguer la violence avec les marches pour la paix, les veillées à la bougie, les petits dessins colorés, les fleurs, les divers « Je suis » et la même rhétorique moisie des « bras ouverts » et de l’accueil pour tous, il est perdu d’avance.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Sources :

. « Islam et terrorisme : ecco la foto che maschera l’ipocrisia dei media » Il Giornale.it

. « E facebook, lento con l’Isis, cenusra le immagini du Barcelona »Il Giornale.it

 

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