Il m’est souvent arrivé de me demander d’où venait la haine que les gauches du monde entier portaient à Donald Trump.
La réponse la plus aisée est de dire que cette haine vient de ce qu’il n’est pas de gauche, et les gauches du monde entier étant par essence totalitaires ne peuvent admettre ce qui n’est pas de gauche. Cela leur paraît inadmissible, à éliminer, voire à exterminer.
Je n’oublie pas que les plus grandes et les plus abjectes actions génocidaires du vingtième siècle, celles qui en ont fait, comme l’a écrit le grand historien britannique Robert Conquest, un “siècle ravagé” sont venues de la gauche, qu’il s’agisse de l’élimination de la paysannerie en Union Soviétique sous Staline, de l’extermination des Juifs d’Europe sous Adolf Hitler ou du génocide cambodgien sous Pol Pot.
La gauche, fondamentalement, et même dans les démocraties les plus solides, n’admet des opposants politiques qu’à l’extrême rigueur, contrainte et forcée, et à la stricte condition que ceux-ci se placent sous l’ombre portée des idées de gauche, se montrent dociles et acceptent de perdre. Si ce n’est pas le cas, même dans les démocraties les plus solides, elle montre les dents et se révèle prête à sortir les couteaux.
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L’explication est pertinente. Elle peut paraître suffisante. Mais elle ne l’est pas.
La haine vouée à Donald Trump se situe, de fait, à un niveau de frénésie viscérale, proche du dérangement mental, qui n’a pas été atteint sous Ronald Reagan ou sous George Walker Bush, qui ont pourtant amplement l’un et l’autre reçu leur ration de crachats, d’éructations et de délires.
Une explication complémentaire me paraît pouvoir être résumée en un deux mots: absolue frustration.
La gauche garde un faible pour le vieux terroriste antisémite Mahmoud Abbas mais le fait qu’il ne lui reste que cela montre qu’elle touche le fond
Pendant des années, la gauche pouvait prétendre incarner une alternative et tenter de présenter des sociétés incarnant cette alternative. Elle a pu imaginer que l’avenir radieux s’écrivait en Union Soviétique, puis elle s’est tournée vers Fidel Castro, vers Mao. Elle a espéré en Ho Chi Minh. Elle a pu rêver en regardant Hugo Chavez.
Il ne lui reste plus aujourd’hui de société qu’elle peut décemment décrire comme une alternative présentable. Et même tous ses efforts de propagande et de désinformation ne pourraient plus lui faire présenter les pires criminels contre l’humanité en activité aujourd’hui comme des gens sympathiques et les sociétés qu’ils détruisent comme des modèles à imiter. Elle garde un faible pour le vieux terroriste antisémite Mahmoud Abbas mais le fait qu’il ne lui reste que cela montre qu’elle touche le fond.
Ces dernières années, faute de société pouvant incarner une alternative présentable, la gauche a pu songer pouvoir venir à bout de la première puissance du monde, et après avoir passionnément craché, éructé et déliré sur George Walker Bush, a placé ses espoirs en l’islamo-gauchiste Barack Obama.
Celui-ci a répondu pleinement aux espoirs que la gauche avait placé en lui. Il a détraqué les institutions américaines, y a placé des agents dormants et des taupes, créé un contexte planétaire propice au chaos, à la déstabilisation et à la guerre.
La gauche a pensé qu’Hillary Clinton finirait le travail.
Qu’en lieu et place d’Hillary Clinton le peuple américain ait porté Donald Trump à la présidence est venu raturer les espoirs de la gauche et a pu lui laisser craindre que Donald Trump pouvait sauver les Etats-Unis.
La gauche mondiale ne peut que détester Donald Trump comme elle n’a jamais détesté quiconque avant lui, car Donald Trump incarne la possibilité que les Etats-Unis soient sauvés. Elle ne peut que vouloir le détruire. Elle ne détesterait pas qu’il soit assassiné.
Elle est tellement ivre de rage qu’elle serait prête à un coup d’Etat et à l’abolition de la Constitution américaine.
Parce que la gauche tient l’essentiel des médias aux Etats-Unis, quasiment pas un seul article écrit sur Donald Trump n’est désormais autre chose qu’une longue vomissure de fiel dans lequel peu ou prou, rien n’est vrai.
Parce qu’en dehors des Etats-Unis, c’est pire, les articles publiés hors des Etats Unis sont plus fielleux encore.
Le parti Démocrate américain a été, ces derniers mois, atteint à un tel degré qu’il a consacré presque tout son temps à tenter d’obtenir un impeachment qui ne vient et ne viendra pas. Trump vient de le prendre à contre-pied et de faire un pied de nez à l’establishment Républicain, en se le conciliant sur un ou deux sujets, mais cela n’aura qu’un temps (j’y reviendrai).
Parce qu’en dehors des Etats-Unis, presque tous les partis politiques sont de gauche, presque tous les dirigeants politiques parlent comme les démocrates américains.
Les pires dictateurs nourrissent présentement les projets les plus inquiétants, mais pour la gauche, c’est toujours Donald Trump qui se trouve placé au banc des accusés. Et c’est logique: il ne reste rien à la gauche, sinon un appétit féroce de destruction.
Comme je l’ai écrit voici peu, heureusement que Donald Trump est Président, et heureusement qu’il se bat.
Comme je l’ai écrit aussi, il est présentement tout ce qui sépare les Etats-Unis et tout ce qui sépare le monde d’un glissement vers la barbarie.
Il m’arrive très souvent d’être inquiet à l’idée que Donald Trump ne soit plus là.
La survie de la civilisation peut sembler parfois ne tenir qu’à un fil.
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La gauche se bat pour que le fil se casse.
Elle ne cessera pas.
© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.
Ce matin, à ce propos, j’étais traversé par l’idée de déhiérarchisation du monde et de hiérarchisation du monde.
C’est notamment Jacques Jaffelin avec sa sociomatique qui abonde dans le sens qu’une déhiérarchisation du monde est en cours (donc pour lui tous les états peuvent se doter de la bombe etc…).
Lorsqu’on met en avant le divin, l’on créé une rupture, une cassure intolérable, mise en place d’une hiérarchisation.
Lorsque les gaulois attaquent le Temple de Delphes, lors que les révolutionnaires coupent la tête du roi, lorsqu’on clame “ni Dieu, ni Maître”, l’on va dans le sens d’une dé-hiérarchisation du monde…
Ce serait là le sens de la gauche… L’association avec l’islam est pour illustrer ce mot de Nietzsche : “le triomphe d’une idée n’est bien souvent que ceci : l’associer si fraternellement à la sottise (ici l’islam) que le poids de celle-ci fini par emporter celle-là vers la victoire (l’espoir donc de la gauche)”.
Que Trump mette en avant Dieu et donc par la même consacre la hiérarchisation du monde qu’exprime pleinement son slogan (L’Amérique first), ce ne peut être qu’un crime majeur face à ceux qui ne jurent -sans le dire expressément- que par la déhiérarchisation du monde.
Sacré commentaire aux allures de vrai article !
En effet, l’idéologie de mort et de destructions pousse son cynisme jusqu’à s’approprier la paternité des valeurs judéo-chrétiennes.
Merci Gérard Pierre d’avoir fait écho. Et si justement déhiérarchisation était le maître-mot de toute la déconstruction en cours (les cerveaux des décideurs ne sont plus à cliquet, de ne plus pouvoir prendre de vrai décision, Trump le constructeur de building rompant avec cette attitude soumise) ? Devoir alors s’abreuver à ce qui fondamentalement est source de restauration ? Travail en cours pour ma part.
Juste pour la réflexion…
le match Dictateurs de droite vs Dictateurs de gauche :
https://www.contrepoints.org/2017/09/11/298382-dictateur-de-gauche-plus-acceptable-dictateur-de-droite
🙂
Merci Guy Millière de tous vos articles qui nous réconfortent à savoir ce qui se passe en nous éclairant sur “les coulisses de l’exploit”.
Heureusement que vous Guy Millière avec toute l’équipe de Dreuz êtes là pour nous
donner l’Espoir que tout peut être encore sauvé de la catastrophe.
Il Faut que Toutes les Bonnes Volontés se Réveillent et VITE !!!!
Pour cela nous devons tous lire et faire connaître Dreuz avec vos articles pleins de
renseignements clairs et net. Félicitations pour votre travail d’informations.
J’avance une autre hypothèse de la haine de la gauche contre le Président Trump : Donald Trump incarne la réussite (professionnelle et personnelle). Il apporte son savoir faire au pays bénévolement . Il incarne TOUT ce que la gauche honni = la réussite.
La réussite et le désintéressement.
Et moi encore une autre hypothèse: la haine des impuissants et des couilles molles pour celui qui en a.
La gauche le hait aussi facilement parce que les droites molles les laissent faire.
Remplacez des fillon, mitch mc connell, teresa may , moukère merkel et autres péteux par des Trump , et vous verrez que les talibans marxistes seront écrasés.
Les droites molles européennes aiment être tenues en laisse par les gauchistes, plus ces derniers leurs mettent des claques et les maltraitent, plus ils sont contents.
“La gauche, fondamentalement, et même dans les démocraties les plus solides, n’admet des opposants politiques qu’à l’extrême rigueur, contrainte et forcée, et à la stricte condition que ceux-ci se placent sous l’ombre portée des idées de gauche, se montrent dociles et acceptent de perdre.”
Cela ressemble beaucoup aux “démocraties” islamique, lesquelles incluent la dhimmitude de ceux qui, de la même façon, ne pense pas comme eux.
Aux E.U., il y a me semble-t-il une concentration des pouvoirs (politique, mediatique, judiciaire avant tout) a l’interieur d’un vaste monde issu des memes universites prestigieuses, du Nord Est avant tout mais aussi de Californie. Un intrus tel que le President Trump n’avait des le depart aucune chance de se faire accepter: le pouvoir dans le pays appartient aux avocats, et Ms Clinton rentrait parfaitement dans le moule; l’echec de celle-ci ne sera jamais pardonne a Trump. Seul (depuis Truman) le President Reagan a reussi a forcer l’entree, mais avec la force que donnait sa celebrite cinematographique. Il faut bien sur mettre a part egalement le cas d’un grand militaire comme Eisenhower.
Excellent article comme d’habitude de G.Millière. Belle analyse sur les gauches. Je souscris totalement à cette analyse car il y a déjà longtemps que je me dis qu’elles sont toutes dictatoriales dans le fond. Elles ne supportent pas l’opposition. Elles se débrouillent pour faire taire les opposants, il n’y a qu’à voir comment depuis la “fabrication” de cellules genre SOS racisme (grosse foutaise), elles sont parvenues à culpabiliser toutes celles et ceux qui osaient critiquer l’islam (religion) en les traitant de racistes. Il y a belle lurette que je me fâche en faisant remarquer que critiquer une religion n’a jamais été raciste ! Pour revenir sur l’article de G.Millière, il dit clairement que certains aimeraient que Trump se fasse assassiner ! Et bien moi quelqu’un me l’a dit. Une personne qui, en passant, a voté Macron au dernières élections. Elle vomit Trump au point de me lâcher cette phrase un jour : “si seulement il pouvait se faire descendre “… Je vous rappelle également les propos indignes de Ruquier lors de son émission qui, en rigolant, proposait que Trump aille se promener à Dallas ! Je ne me rappelle pas que le CSA se soit alerté ! Ce triste personnage osait ce genre de plaisanterie sinistre sur le Président des EU, imaginons un instant que P.Sébastien ait dit la même chose d’Obama ? Qu’en pensez-vous ? Imaginez la levée de bouclier de toutes les “âmes bien pensantes” ! Il cumulait : racisme et appel au meurtre ! Il ne s’en serait jamais relevé… Ruquier c’est passé comme une lettre à la poste. Indigne ! Si le peuple ne se lève pas pour chasser ces gens je ne vois pas ce qu’il adviendra des démocraties.
Votre puissance d’analyse Monsieur Millière nous repositionne sans cesse dans le concret, dans “qui est qui” et ainsi les masques tombent et derrière les masques, il n’y a que du vide, il n’y a plus rien, vous nous présentez leurs affreux visages grimaçants et hideux.
Même si ce “rien” peut et veut faire le plus de mal possible, il persiste un sérieux rapport de force et celui qui vaincra est celui qui détient l’amour pour son peuple, l’énergie pour son pays, pour la prospérité et non pas pour le déclin. C’est une question de logique, le monde a toujours fonctionné comme cela. Les catastrophes de l’histoire humaine s’inscrivent dans la face cachée de ce mal, tant qu’il ne dit pas son nom, comme pour l’islam, tant qu’ il nourrit le monde entier avec ses mensonges. Alors nommons cette gauche: “bas les masques”, c’est ce que vous faites en les révélant au grand jour et au public, afin que leurs complots soient démasqués et tombent à l’eau.
Bravo à D.Trump et à ceux qui, à la Maison Blanche le soutiennent, c’est avec des hommes respectables de cette envergure que l’on écrit l’histoire.
M. Robert Conquest a juste oublier hugo Chavez du Vénézuela et la Corée du Nord ….
en passant les gauchistes aiment pas Trump uniquement car il est un libertarien et EUX sont des totalitaires
Les gauchistes ont un pouvoir : tout ce qu’ils frôlent devient désolation.
Et devant le spectacle de détresses, ils crient “Victoire !”.
Un article de plus que l’on a plaisir à lire. Je vous rejoints totalement. Cette gauche répugnante doit disparaître dans les égouts de l’histoire avec ces frères de destruction, de l’ignorance crasse et de la sauvagerie “la musulmanie. “
La gauche est sectaire. Monsieur le socialiste fait l’éloge des Femen qui se sont illustrées pendant un meeting du front national dans sa page Facebook. L’un de ses” amis “- mon neveu- lui rétorque qu’il ne trouvait pas ce fait très courageux. Aussitôt dit, aussitôt fait: Monsieur le socialiste raye mon neveu de sa liste d’amis.
Trump a volé à la gauche un de ses plus importants chevaux de bataille, à savoir la défense des faibles et des délaissés du “système”.
En plus, il a bien établi que ce combat était surtout une posture pour la gauche mais que pour lui, c’était au cœur de sa démarche. Et, dans le même temps, il a plus proprement désigné l’establishment et les convergences d’intérêts au lieu de parler d’un “système” éthéré.
Quand j’ai découvert ça, j’ai été épaté de voir combien, à gauche, tout semblait être fait pour minimiser et écarter la notion que les gens voulant voter Trump puisse être en effet des délaissés.
Sur ce point, je trouve que Trump a placé Clinton dans une situation impossible. Et il a considérablement limité les options pour elle.
Je pense que la haine envers Trump est psychologiquement nécessaire pour les Démocrates (bon, j’avoue que je suis fan des analyses de Scott Adams).
Le fait qu’il y ait des délaissés, en nombre, à l’issue de l’ère Obama, est un coup très rude à l’image. Il indique de facto des angles morts terribles chez des gens qui se disent et se voient comme très inclusifs.
Il faut une explication à ça. Pourquoi des gens passent au travers du filtre normalement très efficace de ces justiciers plein de bonté?
Réponse: parce qu’ils le méritent. Le filtre marche parfaitement, voyez-vous. La justice, c’est en réalité de combattre les déplorables.
Ajoutez à cela que nul n’ignore le degré de corruption de Clinton et, finalement, c’est parfaitement logique de dire que Trump est Hitler. Quand on fait partie du camp du Bien, voter Clinton ne peut pas être de l’ordre du possible. Reste donc l’impossible, l’impensable, l’indécent: forcément, c’est Trump.
Pourquoi la gauche déteste Trump?
Les raisons sont multiples et M. Millière en a exposé quelques unes. Les commentaires ci-haut en ont évoqué d’autres. À mon tour d’ajouter mon grain de sel:
Pour la gauche Trump représentait le candidat républicain idéal, celui qui était destiné à se faire battre à plate couture par la Hillary. Les élections prenaient l’allure d’une simple formalité ou si l’on préfère d’un couronnement, à tel point qu’un hebdomadaire aussi prestigieux que Newsweek avait, la veille du scrutin, mis sur sa page couverture la photo de Hillary Clinton avec le titre “Madame la présidente”!
Il est difficile de concevoir à quel point le choc fut brutal, d’autant plus que la victoire de Donald Trump au Collège électoral a été plus que convaincante. Une défaite aussi humiliante est extrêmement difficile à encaisser, la blessure narcissique de la gauche est à ce point profonde qu’on ne voit pas comment elle pourra cicatriser un jour.
L’introspection et l’autocritique sont des denrées extrêmement rares chez ceux qui croient à leurs propres mensonges. La gauche a tellement cru à son pouvoir de désinformation et de destruction, qu’elle s’est refusée d’envisager une issue autre que celle qu’elle prévoyait. La caricature monstrueuse taillée sur mesure pour Trump s’est avérée un atout pour lui. Les électeurs se dont dits: “si les médias et les donneurs de leçons lui crachent dessus, c’est qu’il est à coup sûr l’homme de la situation”.
Loin de tirer les leçons de la défaite, la gauche a choisi de renchérir sur son aveuglement, comme si le résultat des élections n’avaient pas mis fin à la campagne électorale. En fait dès le lendemain du scrutin elle a entrepris d’invalider la victoire de Trump et quand cela s’est avéré impossible, elle a mis en branle le processus de destitution.
La gauche se comporte à présent comme une bête blessée, elle ne contrôle plus sa rage, la haine dont elle fait preuve envers ses ennemis est à la mesure de l’humiliation qu’elle a subie. Cette rage et cette haine ne peuvent que croître avec le temps, elles se nourriront des éventuels succès de Trump et de sa popularité auprès de la classe moyenne et des laissés pour compte, elles risquent aussi de dégénérer dans la violence et le désordre.
Ce que Monsieur Hélios d’Alexandrie dit est tout a fait un fait véridique, on ne peut se tromper sur un tel scénario.
BRAVO Monsieur pour cette analyse
Est de gauche qui vise à créer “un homme nouveau” à partir d’une idéologie…tombée du ciel ?
Cela fait pas mal de monde et bien quelques dizaines de millions de morts au 20ème siècle effectivement.
Beaucoup continuent d’en demander en France. c’est bien le but affiché des réformes dites sociétales qui ne visent rien moins qu’à abattre tout ce qui nous aide pourtant à tenir plus ou moins debout depuis …quelques siècles ..
Et au nom de quoi quelques illuminés prétendent-ils vouloir “changer le monde”? De quel droit?
On comprendra mieux ce qui se passe le jour où tout le monde acceptera le définition suivante:
“La démocratie c’est la dictature des 51% contre les 49%”
Oui, la démocratie est également une forme de dictature. Mais le pouvoir prétend agir au nom du peuple, au nom des 100% ce qui est de toute évidence faux. Les grandes décisions sont donc prises à la frontière des + ou – 1%: c’est ridicule. Mais cette forme d’organisation sociale permet à certains groupes d’accaparer le pouvoir pour longtemps et elle prépare les futures dictatures…
Oui, je crois que leur haine vient de leur envie. Leur envie, car ils rejettent la hiérarchie naturelle puisque celle-ci vient de Dieu.
À toutes les excellentes raisons qui ont été données, j’ajouterai celle-ci qui vaut aussi pour le terrorisme islamique : Donald Trump n’est pas assez méchant pour faire peur et décourager ses agresseurs.
D’autre part, comme il est réfractaire au politiquement correct, son Parti “choqué” par son indépendance, ne le défend pas, quand il ne l’attaque pas.
n’ oublions pas que les révolutions ” communistes et socialistes ” se sont inspirées du 1er génocide – planifié – je veux dire la Vendée de 1793 – premiers fours humains , tanneries humaines , fabriques de graisses humaines , etc … Lénine voulait des Vendées , Hitler s’ en ait aussi inspiré , des Colonnes Infernales nous sommes passés à la waffen SS . Et pourtant , Thureau , l’ un des bourreaux de la Vendée a toujours son Nom à l’ Arc de Triomphe ! Alors ce n’ est pas la France Républicaine … qui va nous aider ….
Bonjour Mr. Millière
Très bonne analyse comme à votre habitude. Hélios d’Alexandrie ajoute d’autres explications très interessantes aussi..
Donc la Gauche s’est emparée complètement de l’Europe de l’Ouest
La Gauche s’était emparée temporairement des USA pendant 8 ans
La Gauche est bien sûr en Corée du Nord et en Chine officiellement
Au Mexique je ne suis pas sûr qu’elle tendance politique gouverne mais les Mexicains n’aiment pas Trump
De même au Canada : le Parti Libéral de Justin Trudeau ne se dit pas de gauche car c’est le territoire du NDP ( NéoDémocrates ) et pourtant Trump n’est pas dans les bonnes grâces des Libéraux, et je suis gentil en choisissant ces mots.
Estce qu’en parlant de la Gauche on fait allusion à la Gauche des Pays Occidentaux ? ma foi la Chine s’accomode bien de Donald Trump et Poutine s’arrange très bien avec les USA aujourd’hui sur les fronts de Syrie
Des fois je pense que nous vivons tout simplement au prélude de ce que Gog et Magog ont toujours symbolisé, le dernier combat de l’humanité, c-a-d une sorte de Tour de Babel à l’échelle planétaire dans laquelle personne ne comprend le langage des autres et donc tout finit par s’écrouler..ou finira par s’écrouler..
Donald Trump reste la force logique , constante et dirigeante malgrè toutes les tempêtes qui lui tombent dessus..
Est-ce qu’il réussira ? à son aĝe de 71 ans son palmarès est brillant. Il finit toujours ce qu’il entreprend et avec succès. Le long terme ne l’a jamais effrayé. Je l’ai vu en LIVE pendant les Primaires lors d’un Rally lorsqu’un Gauchiste s’était précipité vers la plateforme. Les agents du Secret Police se sont mis à quatre pour le protéger et quelques minutes plus tard Trump était revenu sur la scène devant son microphone et continua son speech, acceptant les dangers auxquels il fait face tous les jours, point final!
Donc aucune inquiétude à vous faire Mr. Millière au sujet de la santé de Donald Trump. Toutes les forces de Sécurité traditionnelles aux États Unis l’aiment et le protègent..et ce en dépit des voeux malsains des partis de la Gauche.
Il faut accepter une fois pour toute que l’arrivée de Donald J Trump sur la scène politique est l’évènement le plus extraordinaire des derniers siècles . Il s’est porté volontaire pour mettre fin à la folie de monde et le forcer vers son salut bon grè, mal grè..
Ce qui est surprenant c’est que beaucoup en doutent encore..Il réussira et le monde sera meilleur pour tous..
Amitiés
Nous avons une chance inouïe d’avoir DONALD TRUMP. Ceux qui souhaitent sa perte devraient être détruits physiquement et surtout mentalement. Le monde est prisonnier des gauchistes. Ceux-ci sont égoïstes et ne s’intéressent qu’à leurs propres avantages. Les dirigeants politiques bouffent dans les gamelles des médias dont 95% ont été alimentés sinon biberonnés par la gauchisme. Cette situation critique ne pourrait s’inverser qu’avec une sorte de révolution “nucléaire” extrême. Je prends cette métaphore, car je ne trouve pas d’expression pouvant s’adapter à la gravité de notre monde occidental inconscient actuel.
J’ai omis de remercier Guy Millière qui nous éclaire d’une façon concrète, ce qui nous permet de nous rendre compte en approchant la réalité des faits. Merci Monsieur Millière pour vos excellentes publications.
D’accord avec vous Monsieur Millième.
Mais pourquoi donc signe-t-il une directive interdisant les discours haineux du des nazis, du kkk et des suprémacistes blancs tout en oubliant les antifascistes et la gauche?
KASSAM: POTUS Signs ‘Anti-Hate’ Resolution, a Major Assault on America’s First Amendement
Est-il dans la même position qu’Alexandre Dubcek à Moscou en septembre 1968?
Prendre des décisions qui changent véritablement, cela dans un monde qui subit le tsunami de la déhiérarchisation du monde, cela ne peut-être qu’inacceptable.
C’est ainsi que Trump a immédiatement été désigné comme cible à abattre.
Un politique soumis à l’idéologie de la déhiérarchisation du monde ne prend JAMAIS aucune décision digne de ce nom, décision susceptible de redresser la barre. Non, ses “choix” nous entrainent, nous précipitent chaque jour davantage vers le nivellement zéro maritime…
ELIE COHEN: vous dites
Des fois je pense que nous vivons tout simplement au prélude de ce que Gog et Magog ont toujours symbolisé, le dernier combat de l’humanité, c-a-d une sorte de Tour de Babel à l’échelle planétaire dans laquelle personne ne comprend le langage des autres et donc tout finit par s’écrouler..ou finira par s’écrouler..
En effet car ce que vous énoncez ICI me fais aussi penser a ce que j’ai lu; l’apocalypse selon Jean
dans lequel il nous prédit tout ce qui arrive présentement a l’échelle du monde et ma foi je crois tout comme vous que nous sommes au temps de la fin.
Bonjour Serge
Bien dit !
Amitiés
Bonjour Nicolas
Vous avez parfaitement raison !
C’est pareil ici au Canada où beaucoup de personnes ne sont pas de tendance gauchiste ni même libérale, parmi eux énormément de mes coreligionnaires, au coeur de la famille aussi.
J’ai tenté de m’expliquer cette aberration et je me suis toujours cogné à un mur..
Mon épouse m’a dit que je faisais erreur en pensant qu’ils possèdent des connaissances objectives et véritables de l’Histoire et sujets politiques importants…En un mot : ‘’ chéri ne vas pas plus loin branche toi sur CNN tous les jours depuis 30 ans et tu agiras , peut être pas toi mais le plus commun des mortels , comme un mouton de Panurge….’’ Le chef du troupeau ayant toujours été CNN..Cette chaîne est symbole ici en Amérique du Nord d’un culte…CNN dit :.. et ses disciples répètent !..Lavage de cerveau, certainement ! Stupidité Oui! Syndrome d’adulation peut être..? En tous cas CNN et ses filiales leur permet d’avoir une opinion sans aucun effort…et puis des fois certaines gens ont besoin de trouver un bouc émissaire.. Objectivité dans tout ça = NUL !!
Votre réaction de changer le sujet est la meilleure solution face à une telle situation. C’est ce que je fais ici à Montréal , souvent ça marche mais des fois ces fidèles C.N.NOIS ne lâchent pas si facilement..Accepter défaite après 8 ans d’Obamaisme et 30 ans de Clintonism ce ne sera pas demain la veille qu’ils changeront..
Il y a d’autres raisons à ce phénomène d’obéissance aveugle à ce dogme , mais je désirais apporter mon petit commentaire sur ce que vous avez découvert parmi ces touristes américains visitant un pays qui a adopté leur nouvelle religion ou culte
Amitiés
Nicolas Carras: Je peux comprendre pour des personnes ayant entre 70 et 80 ans que leur système de référence a vieilli.
Ils avaient entre 20 et 30 ans en 1963 lors de l’assassinat de John F. Kennedy hautement médiatisé. Puis il y a eu le scandale du Watergate au début des années 70 et la publication des Pentagone Papers (sur les dessous de la guerre du Vietnam) par le New York Times.
À cette époque, les journalistes avaient le respect des Américains et on ne concevaient pas que les médias de masse mentent ou biaisent les nouvelles pour des raisons idéologiques.
Les choses ont beaucoup changé et 20 ans plus tard dans la série télévisée The West Wing tournée et diffusée à la fin des années 90, ont voit que les médias étaient déjà largement pro-démocrates.